Chords for #SlowReading • pix inside © @LSarahD — Babx – Gaston Miron • La marche à l'amour
Tempo:
97.9 bpm
Chords used:
Fm
F
G
Gm
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret

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Qu'est-ce qu'on mit en haut, la marche à l'amour ?
[Fm]
Tu as les yeux perds des chambres rosées, [G] Tu as des yeux d'aventure et d'année-lumière,
[Fm] La douceur du fond des brises au mois de mai,
[Fm] Avec cette chaleur d'oiseau à ton corps craintif.
[G]
Moi, [Fm] [G] qui suis charpente et beaucoup de fardoche, Moi je fonds sa vive allure,
[Fm] Et inquiétée d'avenir, la tête en bas, Comme un bison dans son destin.
[Fm]
Tu as les yeux perds des chambres rosées, [G] Tu as des yeux d'aventure et d'année-lumière,
[Fm] La douceur du fond des brises au mois de mai,
[Fm] Avec cette chaleur d'oiseau à ton corps craintif.
[G]
Moi, [Fm] [G] qui suis charpente et beaucoup de fardoche, Moi je fonds sa vive allure,
[Fm] Et inquiétée d'avenir, la tête en bas, Comme un bison dans son destin.
100% ➙ 98BPM
Fm
F
G
Gm
Fm
F
G
Gm
_ _ _ _ _ _ _ _
_ _ _ _ _ _ Qu'est-ce qu'on mit en haut, la marche à l'amour ? _ _ _ _
_ _ _ _ _ _ _ [Fm] _
_ _ _ Tu as les yeux perds des chambres rosées, _ _ _ [G] Tu as des yeux d'aventure et d'année-lumière,
_ _ _ [Fm] _ _ La douceur du fond des brises au mois de mai,
_ [F] Dans les accompagnements de ma vie en friche, _ _ [Fm] Avec cette chaleur d'oiseau à ton corps craintif.
_ _ _ _ [G] _ _ _ _
_ _ _ Moi, [Fm] _ [G] qui suis charpente et beaucoup de fardoche, Moi je fonds sa vive allure, _
_ [Fm] Et inquiétée d'avenir, la tête en bas, _ _ Comme un bison dans son destin.
[F] _ _
[G] _ _ _ _ _ _ _ [Fm]
La [G] blancheur des nénuphars s'élève jusqu'à [Fm] ton cou,
_ Pour la conjuration de mes manitous maléfiques.
_ _ [Fm]
Moi, qui ai des yeux où ciel et mer s'influencent, Pour la [F]
réverbération de ta mort lointaine,
[G] _ _ Avec cette [Fm] tache errante de chevreuil que tu as,
_ Tu viendras, _
_ [G] _ tout ensoleillé d'existence, _ _ [Fm] La bouche envahie par la fraîcheur des herbes,
Le corps mûri [F] par les jardins oubliés, _ _ Où tes seins sont devenus des envoûtements. _ _ _
_ _ _ _ _ _ [G] Tu te lèves, _ _ _ [Fm] _ tu es l'aube dans mes bras, _ Où tu changes [F] comme les saisons. _
_ _ _ _ [Fm] _ Je te prendrai [G] marcheur d'un pays d'haleine, A bout de misère et à bout de démesure, _
_ Je veux te faire aimer la vie, _ [Fm] _
notre vie, _ _ _ _ _ [F]
t'aimer fou,
_ _ _ De racines [Fm] à feuilles et graves, [G] de jour en jour,
A travers nuits aiguées, de mois longs, nos vertus silencieuses. _
[Fm] Je finirai bien par te rencontrer quelque part, bon Dieu. _ _
_ [G] _ _ _ _ _ _ _
_ _ Et contre tout ce qui me rend absent et douloureux,
[G] Par le mince regard qui me reste au fond du froid, _ _
J'affirme [Fm] en mon amour que tu existes, _
_ _ _ [F] _ _ _ _
je corrige notre vie.
[G] _ _ _ _
_ [Fm] _ _ _ _ _ _ [F] _
_ _ _ _ _ _ _ _
_ [Fm] _ _ _ _ _ _ [F] _
_ _ _ _ _ _ _ [Fm]
Nous n'irons plus mourir de langueur, à des milles de distance, dans [F] nos rêves bourrasques,
_ Des filets de sang dans la soif [Fm] craquelée de nos lèvres,
Les épaules baignées de vol de mouettes, bon, [F] _
j'irai te chercher.
Nous vivrons sur la terre, _ [Fm]
la détresse n'est pas incurable,
Qui fait de moi une épave de dérision, [F]
un ballon d'indécence,
Un pitre, larmes d'étincelles et de lésions profondes,
[Fm]
Frappe l'air et le feu de mes soifs, coule-moi dans tes mains de ciel et de soie,
[F] La tête la première pour ne plus revenir, si ce n'est pour remonter debout à ton [Fm] flanc,
Nouveau venu de l'amour du monde, constelle-moi de ton corps de voie [F] lactée,
Même si j'ai fait de ma vie dans un plongeon, une sorte de marais, une espèce d [Fm]'orage noir,
Si je fus cabotin, conquinceur de désespoir, j'ai quand [F] même idée farouche de t'aimer pour ta pureté,
De t'aimer pour une tendresse que je n'ai pas [Fm] connue, dans les giboulées d'étoiles de mon ciel,
L'éclair s'épanouit dans ma chair, je [F] passe les points durs au vent,
J'ai un cœur de mille chevaux vapeurs, j'ai un cœur comme la flamme d [Fm]'une chandelle,
Toi, tu as la tête d'abîme douce, n'est-ce pas ?
La nuit de saule dans [F] tes cheveux,
Un visage enneigé de hasard et de fruit, un regard entretenu de source cachée,
[Fm]
Et mille champs d'insectes dans tes veines, et mille pluies de pétales dans tes caresses,
Tu es [F] mon amour, ma clameur, mon bras, mon an, tu es mon amour, ma ceinture [Fm] fléchée d'univers,
Ma danse carrée des quatre coins d'horizon, le rouet des écheveaux de mon [F] espoir,
Tu es ma réconciliation batailleuse, mon murmure de jour, un missile d [Fm]'abeilles,
Et mon eau bleue de fenêtres dans les ovoles de bulles dignes de mon amour,
[F] De fontaines, de haies, de ronds-points, de fleurs, tu es ma chance ouverte et [Fm] mon encerclement,
A cause de toi, mon courage est un sapin toujours vert, [G] et j'ai du chien d'ande à chier en plein l'âme,
Tu es belle, de tout l'avenir [Fm] épargné, d'une frêle beauté, d'une frêle beauté,
[G] Soleilleuse contre l'ombre.
_ _ _ _ _ _ [Fm] _ _ _ _ _ _ _ _ _
[Gm] _ _ _ _ _ _ _ [Fm] _
_ _ _ _ _ _ [N] _ _
_ _ _ _ _ _ Qu'est-ce qu'on mit en haut, la marche à l'amour ? _ _ _ _
_ _ _ _ _ _ _ [Fm] _
_ _ _ Tu as les yeux perds des chambres rosées, _ _ _ [G] Tu as des yeux d'aventure et d'année-lumière,
_ _ _ [Fm] _ _ La douceur du fond des brises au mois de mai,
_ [F] Dans les accompagnements de ma vie en friche, _ _ [Fm] Avec cette chaleur d'oiseau à ton corps craintif.
_ _ _ _ [G] _ _ _ _
_ _ _ Moi, [Fm] _ [G] qui suis charpente et beaucoup de fardoche, Moi je fonds sa vive allure, _
_ [Fm] Et inquiétée d'avenir, la tête en bas, _ _ Comme un bison dans son destin.
[F] _ _
[G] _ _ _ _ _ _ _ [Fm]
La [G] blancheur des nénuphars s'élève jusqu'à [Fm] ton cou,
_ Pour la conjuration de mes manitous maléfiques.
_ _ [Fm]
Moi, qui ai des yeux où ciel et mer s'influencent, Pour la [F]
réverbération de ta mort lointaine,
[G] _ _ Avec cette [Fm] tache errante de chevreuil que tu as,
_ Tu viendras, _
_ [G] _ tout ensoleillé d'existence, _ _ [Fm] La bouche envahie par la fraîcheur des herbes,
Le corps mûri [F] par les jardins oubliés, _ _ Où tes seins sont devenus des envoûtements. _ _ _
_ _ _ _ _ _ [G] Tu te lèves, _ _ _ [Fm] _ tu es l'aube dans mes bras, _ Où tu changes [F] comme les saisons. _
_ _ _ _ [Fm] _ Je te prendrai [G] marcheur d'un pays d'haleine, A bout de misère et à bout de démesure, _
_ Je veux te faire aimer la vie, _ [Fm] _
notre vie, _ _ _ _ _ [F]
t'aimer fou,
_ _ _ De racines [Fm] à feuilles et graves, [G] de jour en jour,
A travers nuits aiguées, de mois longs, nos vertus silencieuses. _
[Fm] Je finirai bien par te rencontrer quelque part, bon Dieu. _ _
_ [G] _ _ _ _ _ _ _
_ _ Et contre tout ce qui me rend absent et douloureux,
[G] Par le mince regard qui me reste au fond du froid, _ _
J'affirme [Fm] en mon amour que tu existes, _
_ _ _ [F] _ _ _ _
je corrige notre vie.
[G] _ _ _ _
_ [Fm] _ _ _ _ _ _ [F] _
_ _ _ _ _ _ _ _
_ [Fm] _ _ _ _ _ _ [F] _
_ _ _ _ _ _ _ [Fm]
Nous n'irons plus mourir de langueur, à des milles de distance, dans [F] nos rêves bourrasques,
_ Des filets de sang dans la soif [Fm] craquelée de nos lèvres,
Les épaules baignées de vol de mouettes, bon, [F] _
j'irai te chercher.
Nous vivrons sur la terre, _ [Fm]
la détresse n'est pas incurable,
Qui fait de moi une épave de dérision, [F]
un ballon d'indécence,
Un pitre, larmes d'étincelles et de lésions profondes,
[Fm]
Frappe l'air et le feu de mes soifs, coule-moi dans tes mains de ciel et de soie,
[F] La tête la première pour ne plus revenir, si ce n'est pour remonter debout à ton [Fm] flanc,
Nouveau venu de l'amour du monde, constelle-moi de ton corps de voie [F] lactée,
Même si j'ai fait de ma vie dans un plongeon, une sorte de marais, une espèce d [Fm]'orage noir,
Si je fus cabotin, conquinceur de désespoir, j'ai quand [F] même idée farouche de t'aimer pour ta pureté,
De t'aimer pour une tendresse que je n'ai pas [Fm] connue, dans les giboulées d'étoiles de mon ciel,
L'éclair s'épanouit dans ma chair, je [F] passe les points durs au vent,
J'ai un cœur de mille chevaux vapeurs, j'ai un cœur comme la flamme d [Fm]'une chandelle,
Toi, tu as la tête d'abîme douce, n'est-ce pas ?
La nuit de saule dans [F] tes cheveux,
Un visage enneigé de hasard et de fruit, un regard entretenu de source cachée,
[Fm]
Et mille champs d'insectes dans tes veines, et mille pluies de pétales dans tes caresses,
Tu es [F] mon amour, ma clameur, mon bras, mon an, tu es mon amour, ma ceinture [Fm] fléchée d'univers,
Ma danse carrée des quatre coins d'horizon, le rouet des écheveaux de mon [F] espoir,
Tu es ma réconciliation batailleuse, mon murmure de jour, un missile d [Fm]'abeilles,
Et mon eau bleue de fenêtres dans les ovoles de bulles dignes de mon amour,
[F] De fontaines, de haies, de ronds-points, de fleurs, tu es ma chance ouverte et [Fm] mon encerclement,
A cause de toi, mon courage est un sapin toujours vert, [G] et j'ai du chien d'ande à chier en plein l'âme,
Tu es belle, de tout l'avenir [Fm] épargné, d'une frêle beauté, d'une frêle beauté,
[G] Soleilleuse contre l'ombre.
_ _ _ _ _ _ [Fm] _ _ _ _ _ _ _ _ _
[Gm] _ _ _ _ _ _ _ [Fm] _
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