Chords for AkhenatOn & Idir - Marche Sur Jerusalem
Tempo:
66.05 bpm
Chords used:
C
Eb
Cm
Bb
Gm
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
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[C]
Je viens porter des cadrals, des brosses, ou des fers et des couplets, chanter les refrains
de ma corse, ou déchirer des coupets, au-delà des règles et des closses.
Nous pleuvons, nous pour parler, coincés en [Eb] bière et baie, c'est dans nos mains que
sont [C] lotés, on branle, à marre, des gun et des bombes.
Toute la force écrive la loi, reflète les ténèbres des plombes.
Tout l'aspect de la foi poussière dans un champ de décombre.
On veut avoir le choix, car l'homme au [Eb] coupot, style d'entrée, la part du roi, tout se [C] passe
dans le secret des coffres.
Des palaces, des salons, des busses et des rimes, des coffres, de noix, plafond, avec
la lumière, des torches, des bagues et des glaçons, des [Eb] compagnies, écrans, des foires,
grands, des [C] grands, du monde, au centre de nos fantasmes.
Portes de blanc et de bandard, tes yeux imaginent la scène, tambour et fanfare, entrée dans
Jérusalem, ou dans un nuage de sable, sans arme, [Eb] sans arme, sous l'ombre de colombes,
[C] sinon bravo, aucun parti dort sous notre bannière.
Rien qu'à Salah, ni Arpé qui pose des barrières, ni Roquelle qui frappe le sacré ici dans
Champières, toute cette ville est le cœur, Moïse, Jésus, [Eb] Mohamed, enfin la paix en [C] sa demeure.
C'est une marche sur Jérusalem, portant nos impulses à l'aise, une myriade de noix
brise le silence et nos futures s'allègent, les sourires au même circuit que la crainte
et la peur balayent, laissent [Eb] mourir deux mille ans [C] tâchés de haine.
[Cm]
[Bb] [Gm] [Cm] [Bb]
[C] [Cm] [C]
[Eb] [C]
[Eb]
[C]
[Eb] [C]
[Cm]
[C]
[Eb] [C]
[Eb]
[C]
[Eb] [C]
[Cm]
Je viens porter des cadrals, des brosses, ou des fers et des couplets, chanter les refrains
de ma corse, ou déchirer des coupets, au-delà des règles et des closses.
Nous pleuvons, nous pour parler, coincés en [Eb] bière et baie, c'est dans nos mains que
sont [C] lotés, on branle, à marre, des gun et des bombes.
Toute la force écrive la loi, reflète les ténèbres des plombes.
Tout l'aspect de la foi poussière dans un champ de décombre.
On veut avoir le choix, car l'homme au [Eb] coupot, style d'entrée, la part du roi, tout se [C] passe
dans le secret des coffres.
Des palaces, des salons, des busses et des rimes, des coffres, de noix, plafond, avec
la lumière, des torches, des bagues et des glaçons, des [Eb] compagnies, écrans, des foires,
grands, des [C] grands, du monde, au centre de nos fantasmes.
Portes de blanc et de bandard, tes yeux imaginent la scène, tambour et fanfare, entrée dans
Jérusalem, ou dans un nuage de sable, sans arme, [Eb] sans arme, sous l'ombre de colombes,
[C] sinon bravo, aucun parti dort sous notre bannière.
Rien qu'à Salah, ni Arpé qui pose des barrières, ni Roquelle qui frappe le sacré ici dans
Champières, toute cette ville est le cœur, Moïse, Jésus, [Eb] Mohamed, enfin la paix en [C] sa demeure.
C'est une marche sur Jérusalem, portant nos impulses à l'aise, une myriade de noix
brise le silence et nos futures s'allègent, les sourires au même circuit que la crainte
et la peur balayent, laissent [Eb] mourir deux mille ans [C] tâchés de haine.
[Cm]
[Bb] [Gm] [Cm] [Bb]
[C] [Cm] [C]
[Eb] [C]
[Eb]
[C]
[Eb] [C]
[Cm]
[C]
[Eb] [C]
[Eb]
[C]
[Eb] [C]
[Cm]
Key:
C
Eb
Cm
Bb
Gm
C
Eb
Cm
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_ _ _ _ _ _ Je viens porter des cadrals, des brosses, ou des fers et des couplets, chanter les refrains
de ma corse, ou déchirer des coupets, au-delà des règles et des closses.
Nous pleuvons, nous pour parler, coincés en [Eb] bière et baie, c'est dans nos mains que
sont [C] lotés, on branle, à marre, des gun et des bombes.
Toute la force écrive la loi, reflète les ténèbres des plombes.
Tout l'aspect de la foi poussière dans un champ de décombre.
On veut avoir le choix, car l'homme au [Eb] coupot, style d'entrée, la part du roi, tout se [C] passe
dans le secret des coffres.
Des palaces, des salons, des busses et des rimes, des coffres, de noix, plafond, avec
la lumière, des torches, des bagues et des glaçons, des [Eb] compagnies, écrans, des foires,
grands, des [C] grands, du monde, au centre de nos fantasmes.
Portes de blanc et de bandard, tes yeux imaginent la scène, tambour et fanfare, entrée dans
Jérusalem, ou dans un nuage de sable, sans arme, [Eb] sans arme, sous l'ombre de colombes,
[C] sinon bravo, aucun parti dort sous notre bannière.
Rien qu'à Salah, ni Arpé qui pose des barrières, ni Roquelle qui frappe le sacré ici dans
Champières, toute cette ville est le cœur, Moïse, Jésus, [Eb] Mohamed, enfin la paix en [C] sa demeure.
C'est une marche sur Jérusalem, portant nos impulses à l'aise, une myriade de noix
brise le silence et nos futures s'allègent, les sourires au même circuit que la crainte
et la peur balayent, laissent [Eb] mourir deux mille ans [C] tâchés de haine.
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_ _ _ _ _ _ Je viens porter des cadrals, des brosses, ou des fers et des couplets, chanter les refrains
de ma corse, ou déchirer des coupets, au-delà des règles et des closses.
Nous pleuvons, nous pour parler, coincés en [Eb] bière et baie, c'est dans nos mains que
sont [C] lotés, on branle, à marre, des gun et des bombes.
Toute la force écrive la loi, reflète les ténèbres des plombes.
Tout l'aspect de la foi poussière dans un champ de décombre.
On veut avoir le choix, car l'homme au [Eb] coupot, style d'entrée, la part du roi, tout se [C] passe
dans le secret des coffres.
Des palaces, des salons, des busses et des rimes, des coffres, de noix, plafond, avec
la lumière, des torches, des bagues et des glaçons, des [Eb] compagnies, écrans, des foires,
grands, des [C] grands, du monde, au centre de nos fantasmes.
Portes de blanc et de bandard, tes yeux imaginent la scène, tambour et fanfare, entrée dans
Jérusalem, ou dans un nuage de sable, sans arme, [Eb] sans arme, sous l'ombre de colombes,
[C] sinon bravo, aucun parti dort sous notre bannière.
Rien qu'à Salah, ni Arpé qui pose des barrières, ni Roquelle qui frappe le sacré ici dans
Champières, toute cette ville est le cœur, Moïse, Jésus, [Eb] Mohamed, enfin la paix en [C] sa demeure.
C'est une marche sur Jérusalem, portant nos impulses à l'aise, une myriade de noix
brise le silence et nos futures s'allègent, les sourires au même circuit que la crainte
et la peur balayent, laissent [Eb] mourir deux mille ans [C] tâchés de haine.
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