Chords for Akhenaton - J'voulais dire (Audio officiel)

Tempo:
83.025 bpm
Chords used:

Fm

Cm

Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
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Akhenaton - J'voulais dire (Audio officiel) chords
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aller vendre des trucs bidons à des gens crédules
ou enfoncer l'autre pour gagner honnêtement ma vie.
Si c'est ça l'honnêteté, alors moi je choisis le mal.
En fin de compte, notre problème à nous ici,
c'est qu'on n'a pas appris à enfoncer l'autre, à en souffrir.
Et quand on a choisi quelqu'un pour notre arnaque,
c'est qu'on l'estime et qu'on l'a reconnu comme quelqu'un de bien.
Voilà, il faut que tu saches ça.
En fait, à part dormir, glander, décoller toute la journée sur les bancs du quartier,
tu sais [Fm] rien faire d'autre.
Ouais, mais moi je les ai pas construits ces bancs,
même si de temps en temps j'ai mis [Cm] mes fesses dessus.
Voilà, et j'ai pas eu le [Fm] poids.
Mes amis, c'est les seuls que j'ai.
À ceux qui m'appellent enculé, je voulais dire
que la première fois où ma main a touché un mic, je voulais rire.
J'avais 15 ans à peine, je crois.
C'est drôle comment on me croirait.
Une grosse croix sur ma vue plus tard.
Voir ce qu'on aime plein de soucis, ça fait trop de peine.
Et comme les peines ne viennent pas seules dans le bus,
je revois ma tante visiter son fils pur génie ou repeine.
Les camarades classe le mercredi au catechisme.
L'église, la place, mon frère et moi, on faisait du vélo en face.
La famille rouge, mon grand-père, n'a jamais cru en Dieu.
Même le même jour, lui, les sangs qu'une père Dieu.
Perdu parmi les immigrés de Naples et les ambironds du Lésus.
On se comptait les vifs violentes des dards.
On le crucifiait comme Jésus traumatisé.
Tous en barre, tabac, visage découvert.
P38, explose, la tête visée, sang couvert.
Moi, plus je paie les rages dans le passé.
Ce jour-là, je compris tout, en regardant les autres
se conduire comme si c'était rien.
Va, c'est merde.
La stain de voyage, je fuirai de là.
Loin des histoires de jeunes assassinés une fois de leur mariage.
C'est dingue, putain.
Village, frache le venin.
T'as drit mon pipeline, free time.
Au son de mon Walkman, je répétais « Alzheimer ».
Au sort, j'ai traité mal, je m'excuse, pleurs.
J'avais rien à offrir sans amour.
Juste un autre jour à souffrir, rien de plus.
Juste un autre jour à se faire chier, à mourir comme d'hab.
Et là, je fais pénitence, croitre et dans mon lab.
Je revois des potes d'avant, je parle des petits.
Me parle de Rolex, puis le silence.
On regarde la montre même si on s'épargne.
Disons qu'on reste collègues, ex-frères de Faites de la vérité.
Aujourd'hui, je crois qu'on n'a plus rien à se dire, c'est pète.
Adulte à l'avant, j'ai fumé ma jeunesse.
Là, je n'ai regretté cette perte, je n'y m'échante.
C'est tant de gâchis, tant bien que mal je me dresse.
Le stress, moi, sans parent, sans guide, sans parent.
Je me suis tellement effacé que j'en suis devenu transparent.
Je voulais être comme eux, draguer les minches.
Traquer les francs de banque, m'élevant mes potes de rac.
Et les riches, sans sentiment de naïf.
Un méfiant, de méfiant, paranoïaque.
La E+, la paraffine, 30 crocs nerveux.
Et l'estomac plein de prosac.
Avec les filles, je me foirais aussi.
Tu vois le problème, à force de fréquenter les clubs.
Tu crois que c'est conne, t'arnaques ton pollen.
Quand elle s'attendait, moins un peu de passion.
Je comprenais pas, y'avait dans le magasin que stress et pression.
Intraînée là où les patates, tu perds ton encaisse.
Bouche glose, et la vision se déforme en rêve.
Des lions où on s'engraisse, couche rose.
Puis, on se trouve où les ennuis sont.
Démon s'amuse, Marseille à nuit.
C'est comme avoir sa cligueur de vin en anus.
Quand ça arrive, ferme les yeux, essaie de rigoler.
Parce que le pognon te rembat la santé que cette vie tient à voler.
Parfois j'ai des nausées, et des soirs ma poitrine se comprime.
Si tu veux comprendre, on prend des comprimés.
Faut croire que je déprime, j'te jure j'flippe.
Comme j'ai flippé cette fois, sauvé par la veine.
Ce putain d'soir d'été, où ils m'ont tiré dessus au McTen.
Moi j'veux vivre plein l'armée, j'traîne, j'vais que l'brûler.
Et les barils pleins d'moulayak j'ai eu, c'est pas en écrivant que j'les ai trouvés.
C'est assez chill, t'entends, pas d'bluff, l'hérice de Tarre.
On clappe, histoire vraie, action, pas d'invention.
De fanfarons, du rap, famille dure, envie de vendre des exemples durs.
On n'a pas l'choix sous les jets d'pierre, supporter cette vie, c'est mon chemin de croix.
Donne-moi ta main, franco, donne-moi ta main d'bon cœur.
Frère, si j'suis si gentil, c'est que j'ai vu trop d'gags et blitz.
Laisse dans l'cœur, trop d'gens qui portent le mal.
Comme j't'apporte cette nouvelle, j't'apporte mon cœur ouvert.
Comme des faux frères, t'apporte leurs poubelles en bronze.
Frimousse, le p'tit gars maigre solidaire, à l'origine solidaire.
A goûter l'miel, trop d'frères rattrapent le fer solitaire.
Oh les gars, vous avez vu comment il a fait ?
Le bâtard là qui est parti, tu vois ce que j'ai fait ?
Et tous les jours c'est la même chose, hein ?
Dès que je sors du quartier, y en a un que moi qui me casse la souris.
Toujours pareil, les petits rouges là.
Tu les vois pleins de haine sur leur visage et tout.
Hé laisse tomber, qu'est-ce que tu t'en bats les couilles de ce mec ?
Tu vois pas que c'est une traduction ?
Qu'est-ce qu'il nous fait là ?
Non bravo, si vous voulez laisser tomber, y en a marre maintenant.
Il croit quoi lui ?
Que j'ai débarqué hier ?
Y a qu'une seule chose que je sais.
C'est que je suis né ici moi !
[Fm]
Key:  
Fm
123111111
Cm
13421113
Fm
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Cm
13421113
Fm
123111111
Cm
13421113
Fm
123111111
Cm
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To learn Akhenaton - (Version 1, [Bande originale du film]) Jvoulais Dire chords, grasp the musical fabric of the song with this sequence - Fm, Cm, Fm, Fm and N of chords. Ease into the song by practicing at 41 BPM before reaching the track's full tempo of 83 BPM. With an eye on the song's key C# Major, set the capo that best suits your vocal range.

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aller vendre des trucs bidons à des gens crédules
ou enfoncer l'autre pour gagner honnêtement ma vie.
Si c'est ça l'honnêteté, alors moi je choisis le mal.
En fin de compte, notre problème à nous ici,
c'est qu'on n'a pas appris à enfoncer l'autre, à en souffrir.
Et quand on a choisi quelqu'un pour notre arnaque,
c'est qu'on l'estime et qu'on l'a reconnu comme quelqu'un de bien.
Voilà, il faut que tu saches ça.
En fait, à part dormir, glander, décoller toute la journée sur les bancs du quartier,
tu sais [Fm] rien faire d'autre.
Ouais, mais moi je les ai pas construits ces bancs,
même si de temps en temps j'ai mis [Cm] mes fesses dessus.
Voilà, et j'ai pas eu le [Fm] poids.
Mes amis, c'est les seuls que j'ai.
À ceux qui m'appellent enculé, je voulais dire
que la première fois où ma main a touché un mic, je voulais rire.
J'avais 15 ans à peine, je crois.
C'est drôle comment on me croirait.
Une grosse croix sur ma vue plus tard.
Voir ce qu'on aime plein de soucis, ça fait trop de peine.
Et comme les peines ne viennent pas seules dans le bus,
je revois ma tante visiter son fils pur génie ou repeine.
Les camarades classe le mercredi au catechisme.
L'église, la place, mon frère et moi, on faisait du vélo en face.
La famille rouge, mon grand-père, n'a jamais cru en Dieu.
_ Même le même jour, lui, les sangs qu'une père Dieu.
Perdu parmi les immigrés de Naples et les ambironds du Lésus.
On se comptait les vifs violentes des dards.
On le crucifiait comme Jésus traumatisé.
Tous en barre, tabac, visage découvert.
P38, explose, la tête visée, sang couvert.
Moi, plus je paie les rages dans le passé.
Ce jour-là, je compris tout, en regardant les autres
se conduire comme si c'était rien.
Va, c'est merde.
La stain de voyage, je fuirai de là.
Loin des histoires de jeunes assassinés une fois de leur mariage.
C'est dingue, putain.
Village, frache le venin.
T'as drit mon pipeline, free time.
Au son de mon Walkman, je répétais « Alzheimer ».
Au sort, j'ai traité mal, je m'excuse, pleurs.
J'avais rien à offrir sans amour.
Juste un autre jour à souffrir, rien de plus.
Juste un autre jour à se faire chier, à mourir comme d'hab.
Et là, je fais pénitence, croitre et dans mon lab.
Je revois des potes d'avant, je parle des petits.
Me parle de Rolex, puis le silence.
On regarde la montre même si on s'épargne.
Disons qu'on reste collègues, ex-frères de Faites de la vérité.
Aujourd'hui, je crois qu'on n'a plus rien à se dire, c'est pète.
Adulte à l'avant, j'ai fumé ma jeunesse.
Là, je n'ai regretté cette perte, je n'y m'échante.
C'est tant de gâchis, tant bien que mal je me dresse.
Le stress, moi, sans parent, sans guide, sans parent.
Je me suis tellement effacé que j'en suis devenu transparent.
Je voulais être comme eux, draguer les minches.
Traquer les francs de banque, m'élevant mes potes de rac.
Et les riches, sans sentiment de naïf.
Un méfiant, de méfiant, paranoïaque.
La E+, la paraffine, 30 crocs nerveux.
Et l'estomac plein de prosac.
Avec les filles, je me foirais aussi.
Tu vois le problème, à force de fréquenter les clubs.
Tu crois que c'est conne, t'arnaques ton pollen.
Quand elle s'attendait, moins un peu de passion.
Je comprenais pas, y'avait dans le magasin que stress et pression.
Intraînée là où les patates, tu perds ton encaisse.
Bouche glose, et la vision se déforme en rêve.
Des lions où on s'engraisse, couche rose.
Puis, on se trouve où les ennuis sont.
Démon s'amuse, Marseille à nuit.
C'est comme avoir sa cligueur de vin en anus.
Quand ça arrive, ferme les yeux, essaie de rigoler.
Parce que le pognon te rembat la santé que cette vie tient à voler.
Parfois j'ai des nausées, et des soirs ma poitrine se comprime.
Si tu veux comprendre, on prend des comprimés.
Faut croire que je déprime, j'te jure j'flippe.
Comme j'ai flippé cette fois, sauvé par la veine.
Ce putain d'soir d'été, où ils m'ont tiré dessus au McTen.
Moi j'veux vivre plein l'armée, j'traîne, j'vais que l'brûler.
Et les barils pleins d'moulayak j'ai eu, c'est pas en écrivant que j'les ai trouvés.
C'est assez chill, t'entends, pas d'bluff, l'hérice de Tarre.
On clappe, histoire vraie, action, pas d'invention.
De fanfarons, du rap, famille dure, envie de vendre des exemples durs.
On n'a pas l'choix sous les jets d'pierre, supporter cette vie, c'est mon chemin de croix.
Donne-moi ta main, franco, donne-moi ta main d'bon cœur.
Frère, si j'suis si gentil, c'est que j'ai vu trop d'gags et blitz.
Laisse dans l'cœur, trop d'gens qui portent le mal.
Comme j't'apporte cette nouvelle, j't'apporte mon cœur ouvert.
Comme des faux frères, t'apporte leurs poubelles en bronze.
Frimousse, le p'tit gars maigre solidaire, à l'origine solidaire.
A goûter l'miel, trop d'frères rattrapent le fer solitaire.
Oh les gars, vous avez vu comment il a fait ?
Le bâtard là qui est parti, tu vois ce que j'ai fait ?
Et tous les jours c'est la même chose, hein ?
Dès que je sors du quartier, y en a un que moi qui me casse la souris.
Toujours pareil, les petits rouges là.
Tu les vois pleins de haine sur leur visage et tout.
Hé laisse tomber, qu'est-ce que tu t'en bats les couilles de ce mec ?
Tu vois pas que c'est une traduction ?
Qu'est-ce qu'il nous fait là ?
Non bravo, si vous voulez laisser tomber, y en a marre maintenant.
Il croit quoi lui ?
Que j'ai débarqué hier ?
Y a qu'une seule chose que je sais.
C'est que je suis né ici moi ! _ _ _ _ _ _
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Facts about this song

This song was featured on the Comme un aimant album.