Chords for Alain Bashung "En Aparté" (partie 3)
Tempo:
126.1 bpm
Chords used:
Am
D
E
A
G
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret

Jam Along & Learn...
Le dernier album, vous l'avez dit, en date, s'appelle L'imprudence.
Et tout au long de ces [E] années, Alain Bachon, les mots [N] que vous avez initiés, malaxés,
littéraire.
donc cette contribution signée Pierre Pochard.
[Em] T'es dur, t'es moche, t'es [Am] seul, en [C] manque, doucement, tu creuses, [G] t'attends.
[E] miavorie générale et acidulée des années [Am] vieillées, les textes de Bachon déjà [C] prenaient la contre-allée.
[A] [E]
[D] [G] Avec Boris [Bbm] Bergman, premier complice à pousser la grammaire dans [Eb] les orties du rock'n'roll,
Et tout au long de ces [E] années, Alain Bachon, les mots [N] que vous avez initiés, malaxés,
littéraire.
donc cette contribution signée Pierre Pochard.
[Em] T'es dur, t'es moche, t'es [Am] seul, en [C] manque, doucement, tu creuses, [G] t'attends.
[E] miavorie générale et acidulée des années [Am] vieillées, les textes de Bachon déjà [C] prenaient la contre-allée.
[A] [E]
[D] [G] Avec Boris [Bbm] Bergman, premier complice à pousser la grammaire dans [Eb] les orties du rock'n'roll,
100% ➙ 126BPM
Am
D
E
A
G
Am
D
E
_ _ Le dernier album, vous l'avez dit, en date, s'appelle L'imprudence.
Le tout premier c'était Romand [Eb] Photo.
Et tout au long de ces [E] années, Alain Bachon, les mots [N] que vous avez initiés, malaxés,
avec Boris Bergman, Serge Gainsbourg ou Jean Faux, que plus influence littéraire.
_ Bachon, sur le bout de la langue, regardez donc cette contribution signée Pierre Pochard.
_ _ [A] _ _
[Em] T'es dur, t'es moche, t'es [Am] seul, en [C] manque, doucement, tu creuses, [G] t'attends.
[B] Dans la [E] miavorie générale et acidulée des années [Am] vieillées, les textes de Bachon déjà [C] prenaient la contre-allée.
_ _ [B] _ _ [E] _ _
_ _ [A] _ _ _ _ [E] _ _
_ [D] _ _ [G] _ _ Avec Boris [Bbm] Bergman, premier complice à pousser la grammaire dans [Eb] les orties du rock'n'roll,
Bachon découvre la bonne parole.
Gimmicks, slogans, calembours et détachements, le texte est en première ligne,
enjambre des cadavres exquis et dévoile une écriture à quatre mains bien [A] baladeuse.
_ _ [Em] _
_ _ _ _ [Gbm] _ _ _
Elle [G] est encore toute mouillée, tellement [A] beaucoup qu'elle a plu.
_ [Em] _ _ Jeux de mots, rimes riches et mises [Gbm] en bouche, c'est d'abord à ça qu'on reconnaît [F] sa chanson.
[Dm] Non [Bb] mais t'as vu ce qui passe, [Gm] _ _ je veux le [Bb] feuilleton à la place.
[Gm] _ _ [Gb] Surplez blessures, c'est l'ascension des grands sommets, nouvelle étape de haute montagne, avec Gainsbourg en premier de cordée.
[E] Et c'est comment qu'on prenne l [Dbm]
'art, _ sur la tête sable, _
[Em] _ _ [Gb] c'est comment qu'on prenne l _
_ _ [Am] _ _ 'art.
Depuis l'album Novice, la [Em] production s'étoffe et le texte s'épure.
Lyrics et syntaxe se malaxent.
_ Des calculs mantenés dans [C] ta bouche ça piquait, _ _ [Db]
j'ai pas compté, j'ai [C] scanté. _ _ _
[Am] Kafka, Ferré, Pesnos, Kadic, [D] le quantique des quantiques,
de la bombe textuelle à fragmentation, ça découpe la parole, ses [D] prétextes à donner le la, disperser la [Am] phrase en éclats.
J'ai _ tambouriné, _ [D] _ tambouriné, _ _
[Am] _ moussaï de sa bonté, _ _ _
_ _ [Am] un Judas _ malhormien, [A] _ _ _ _ et j'ai pris les verres en douce.
_ _ [D] _ _ _ _ _
[Am] _ _ Bachung et son armée des ombres, [D] Jean Fauc, Cadiot, Berger [Am] et d'autres, comme un commando de porte plume,
une [E] garde rapprochée qui avec l'âge se [Ebm] rapporte à votre [N] ramage, vous qui êtes le phénix des hôtes [B] de ces bois.
_ Les amours je les ai sur le bout de la langue, _ [G] _ elles me reviennent à chaque frontière.
_ _ [Eb] Langue morte, [Ebm] langue de vipère, _ _ [D] langue familier.
_ _ _ _ _ _ _ _
_ _ _ _ _ _ _ _
_ _ _ [Bm] C'est inouï toutes ces [N] bombes que vous avez lâchées, _ _ vous vous rendez compte ?
Oui, je me rends compte un petit peu quand même. _ _ _
_ C'est drôle que vous dites ça, parce que _ _ c'était fait pour faire réagir des mots comme ça.
C'était parfois _ des couplets qui avaient l'air brumeux, puis d'un seul coup il y avait une phrase _ _ noyée dans des _ formes électriques ou des images, tout ça.
_ Vous avez le sentiment, comme le notait Pierre Pochard, les années passant d'être allé dans la direction de l'épure quand même _ ?
Peut-être oui, mais _ _ _ _ je ne sais pas si _ c'est mieux ou pas.
C'est simplement une histoire de période. _
Quand on commence on a la tête tellement pleine de choses qu'on a envie de raconter,
alors ça sort comme un flot, _ [F] _ _
on a envie de tout dire d'un seul coup,
donc ça fait des tas de mots, des tas [G] de musiques,
[N] _ et puis ensuite on essaye _ _ _ _ _ _ _ peut-être de dire moins de choses, mais de les dire _ _ plus sereinement, je ne sais pas.
Je ne sais pas si c'est mieux. _ _ _ _
Je ne sais pas si c'est mieux.
Le côté foutrac, ça me paraît important aussi. _ _ _ _
_ _ L'épure, ce n'est pas forcément du génie. _
_ _ Je ne sais pas, c'est simplement ce qui est important, _ _ je trouve que ça a une raison d'être.
[Gb] _ _ _ [F] Et puis voilà, [N] je ne me sens pas, _ _ _ _ et que je n'arrive pas sur scène en me disant que je ne suis qu'un vulgaire escroc [D] à 100%. _ _ _ _ _ _
_ [G] _ _ _ _ _ [A] _ _
_ [N] Encore plus de Bachung à suivre.
Je trouve qu'il tombe mal.
Benoît XVI, il tombe mal ?
Pour moi il tombe mal, oui.
Le tout premier c'était Romand [Eb] Photo.
Et tout au long de ces [E] années, Alain Bachon, les mots [N] que vous avez initiés, malaxés,
avec Boris Bergman, Serge Gainsbourg ou Jean Faux, que plus influence littéraire.
_ Bachon, sur le bout de la langue, regardez donc cette contribution signée Pierre Pochard.
_ _ [A] _ _
[Em] T'es dur, t'es moche, t'es [Am] seul, en [C] manque, doucement, tu creuses, [G] t'attends.
[B] Dans la [E] miavorie générale et acidulée des années [Am] vieillées, les textes de Bachon déjà [C] prenaient la contre-allée.
_ _ [B] _ _ [E] _ _
_ _ [A] _ _ _ _ [E] _ _
_ [D] _ _ [G] _ _ Avec Boris [Bbm] Bergman, premier complice à pousser la grammaire dans [Eb] les orties du rock'n'roll,
Bachon découvre la bonne parole.
Gimmicks, slogans, calembours et détachements, le texte est en première ligne,
enjambre des cadavres exquis et dévoile une écriture à quatre mains bien [A] baladeuse.
_ _ [Em] _
_ _ _ _ [Gbm] _ _ _
Elle [G] est encore toute mouillée, tellement [A] beaucoup qu'elle a plu.
_ [Em] _ _ Jeux de mots, rimes riches et mises [Gbm] en bouche, c'est d'abord à ça qu'on reconnaît [F] sa chanson.
[Dm] Non [Bb] mais t'as vu ce qui passe, [Gm] _ _ je veux le [Bb] feuilleton à la place.
[Gm] _ _ [Gb] Surplez blessures, c'est l'ascension des grands sommets, nouvelle étape de haute montagne, avec Gainsbourg en premier de cordée.
[E] Et c'est comment qu'on prenne l [Dbm]
'art, _ sur la tête sable, _
[Em] _ _ [Gb] c'est comment qu'on prenne l _
_ _ [Am] _ _ 'art.
Depuis l'album Novice, la [Em] production s'étoffe et le texte s'épure.
Lyrics et syntaxe se malaxent.
_ Des calculs mantenés dans [C] ta bouche ça piquait, _ _ [Db]
j'ai pas compté, j'ai [C] scanté. _ _ _
[Am] Kafka, Ferré, Pesnos, Kadic, [D] le quantique des quantiques,
de la bombe textuelle à fragmentation, ça découpe la parole, ses [D] prétextes à donner le la, disperser la [Am] phrase en éclats.
J'ai _ tambouriné, _ [D] _ tambouriné, _ _
[Am] _ moussaï de sa bonté, _ _ _
_ _ [Am] un Judas _ malhormien, [A] _ _ _ _ et j'ai pris les verres en douce.
_ _ [D] _ _ _ _ _
[Am] _ _ Bachung et son armée des ombres, [D] Jean Fauc, Cadiot, Berger [Am] et d'autres, comme un commando de porte plume,
une [E] garde rapprochée qui avec l'âge se [Ebm] rapporte à votre [N] ramage, vous qui êtes le phénix des hôtes [B] de ces bois.
_ Les amours je les ai sur le bout de la langue, _ [G] _ elles me reviennent à chaque frontière.
_ _ [Eb] Langue morte, [Ebm] langue de vipère, _ _ [D] langue familier.
_ _ _ _ _ _ _ _
_ _ _ _ _ _ _ _
_ _ _ [Bm] C'est inouï toutes ces [N] bombes que vous avez lâchées, _ _ vous vous rendez compte ?
Oui, je me rends compte un petit peu quand même. _ _ _
_ C'est drôle que vous dites ça, parce que _ _ c'était fait pour faire réagir des mots comme ça.
C'était parfois _ des couplets qui avaient l'air brumeux, puis d'un seul coup il y avait une phrase _ _ noyée dans des _ formes électriques ou des images, tout ça.
_ Vous avez le sentiment, comme le notait Pierre Pochard, les années passant d'être allé dans la direction de l'épure quand même _ ?
Peut-être oui, mais _ _ _ _ je ne sais pas si _ c'est mieux ou pas.
C'est simplement une histoire de période. _
Quand on commence on a la tête tellement pleine de choses qu'on a envie de raconter,
alors ça sort comme un flot, _ [F] _ _
on a envie de tout dire d'un seul coup,
donc ça fait des tas de mots, des tas [G] de musiques,
[N] _ et puis ensuite on essaye _ _ _ _ _ _ _ peut-être de dire moins de choses, mais de les dire _ _ plus sereinement, je ne sais pas.
Je ne sais pas si c'est mieux. _ _ _ _
Je ne sais pas si c'est mieux.
Le côté foutrac, ça me paraît important aussi. _ _ _ _
_ _ L'épure, ce n'est pas forcément du génie. _
_ _ Je ne sais pas, c'est simplement ce qui est important, _ _ je trouve que ça a une raison d'être.
[Gb] _ _ _ [F] Et puis voilà, [N] je ne me sens pas, _ _ _ _ et que je n'arrive pas sur scène en me disant que je ne suis qu'un vulgaire escroc [D] à 100%. _ _ _ _ _ _
_ [G] _ _ _ _ _ [A] _ _
_ [N] Encore plus de Bachung à suivre.
Je trouve qu'il tombe mal.
Benoît XVI, il tombe mal ?
Pour moi il tombe mal, oui.