Chords for Alain Souchon parle de Bernard Lavilliers sur France info le 13 aout 2017

Tempo:
138.7 bpm
Chords used:

Em

B

G

Am

Bm

Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
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Alain Souchon parle de Bernard Lavilliers sur France info le 13 aout 2017 chords
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[C]
[Em] [B]
[Em] Les mains d'or [B] [Em]
[B]
[E] par Bernard [Em] Lavigne, une chanson [B] que l'on a l'impression de connaître depuis
[Em] toujours alors qu'elle date seulement de l'album [F#m] Arrêt sur image en 2001.
[A] Mais il est vrai que la [Em] réalité qu'affronte Bernard Lavigne [B] est [A#m] au coeur des [Em] mutations
de la France depuis des décennies puisqu'il [B] s'agit de la désindustrialisation et de la
situation de ces travailleurs qui sont [E] passés des duretés de [F#] la condition ouvrière [Em] aux
souffrances du chômage.
[Am]
[Em]
[B] [Em] Les mains d 'or c'est [Am] notre monde, c'est [F#] magnifique, c'est [Em] désespéré, [G] les mots sont beaux, peut-être
la musique est belle comme il le chante, [F#] c'est bouleversant.
Les mains d'or est devenue rapidement une [B] sorte de [Em] classique reprise par des artistes
aussi [B] différentes que Juliette Gréco [G] ou [Fm] Isabelle Boulet.
C'est un grand vent [F] glacial qui fait grincher [Fm] les dents, mouche de [G] métal qui va [Fm] dérivant.
Je voudrais travailler encore, [Fm]
travailler encore, [F] forger la source [A#m] avec mes mains d'or,
[D#m] travailler encore, [D#m] [A#m] travailler encore, [F] acier rouge et [A#m] main d'or.
J'ai passé [F] ma vie là.
[B] Dans ce [Em] laminois, mes poumons en [B] sang et mes colères [Em] noires, horizon [B] barré là, les
soleils [Em] frérats comme une [B] tranchée rouge saignée sur [Em] l'estoire.
La Villiers c'est un mec que j'aime beaucoup, [Am] qui a la [G#] même culture que moi, qui [Em] met les
chansons d'un dragon, chante [F#] par Léo Ferré [Fm] et tout ça.
C'était un temps déraisonnable, on [Cm] avait mis les morts [Fm] à table, on [Cm] faisait des châteaux
de sable, on prenait les loups pour [F] des chiens.
Sur franceinfo [E].fr à la page Un été en Souchon, vous retrouverez [G] notre chronique du 17 juillet
dans laquelle Alain Souchon [A] évoque les chansons de Ferré [E] et Aragon et aussi les références
de tout ce que je vous fais écouter aujourd'hui.
Mais vous avez évidemment [G] reconnu S ainsi que les hommes [E] d'Évide par Ferré puis La Villiers.
Dans le quartier au Henselaire, entre la Sare et les Casernes, comme les fleurs de la Lusaine,
pleurissent les seins de l'Olonne.
Alors on [Em] est très différents évidemment, lui [F#m] il est très, il a ce côté [Em] très physique,
du reggae, du reggae, rien [B] que cette façon de dire reggae que j'aime bien, [F#] reggae,
je me suis dit [Bm] reggae.
[Em] [F#] Reggae, [Bm] reggae, [Em] puis j'aimais bien [B] quand il disait on était jeunes et larges d'épaule,
on [Em] attendait que la mort nous [F#] frôle.
C'est hyper [G] prétentieux ces paroles là, mais personne n'oserait [D] dire ça.
Je me [G] vois pas en disant on était jeunes et [Bm] larges d'épaule, on [F#] attendait que la mort nous frôle.
C'est [G] vachement bien de le dire parce [Bm] que quand on a 18 ans et qu'on est larges d'épaule
on doit [Em] se sentir
C'est vachement bien de dire ça, c'est [D] fort.
Nous [Em] étions jeunes [G] et larges d [D]'épaule, [B] bondit [Em] joyeux un sol en [Bm] haideron,
[D] on [Em] attendait que [G] la mort nous [Bm] frôle.
On the road again, again, [Bm] on the road again, [G] again.
Certes Alain Souchon et Bernard Lavillier ne pratiquent pas [G] exactement les mêmes sports
ni n'ont pas la [Bm] même garde-robe.
[E] Mais avec le temps, on [G] finit par distinguer [Bm] ce qui les rapproche.
Par exemple dans leur inquiétude devant les ravages de l [D]'économique sur l'humain.
[G] Quand il s'agit de chanter la solitude, le chômage, le déracinement, la brutalité du
monde, il [Bm] existe entre ces chanteurs là une sorte de fraternité qui s'exprime par des
moyens et sur des angles différents mais qui unit deux paroles humanistes [Em] et utiles.
Je voudrais [Am] travailler encore, [Em] travailler encore, [B] forger l'acier rouge [Em] avec mes mains d'or.
[Am] Travailler encore, [Em] travailler encore, [B] acier rouge [Em] et mains d'or.
Je ne peux plus [B] exister là, je ne peux plus [Em] habiter là, je ne sers plus à rien [B]
moi,
il n'y a plus rien à [Em] faire, je ne fais plus [B] rien moi, ce coûte moins [Em] cher que quand
je [B] travaillais moi.
D'après les [Em] experts, je me tenais à [B]
produire pour gagner des [Em] clous.
C'est moi qui [B] délivre ou qui deviens [Em] fou.
Je ne peux plus [F#m] exister là, [B] je ne peux plus [Em] habiter là, je ne sers plus [B] à rien moi,
il n'y a plus rien à [Em] faire.
Je voudrais [Am] travailler encore, [Em] travailler encore, [B] forger l'acier rouge [Em] avec mes mains d'or.
[Am] Travailler encore, [A] [Em] travailler encore, [B] acier rouge [Em] et mains d'or.
[Am] Travailler encore, [Em] travailler encore, [B] forger l'acier rouge [Em] avec mes mains d'or.
[Am] Travailler encore, [Em] travailler encore, [B] acier rouge [Em] et mains d'or.
[Am] Travailler encore, [Em] travailler encore, [B] forger l'acier rouge [Em] avec mes mains d'or.
[Am] Travailler, [Em] travailler.
[N]
Key:  
Em
121
B
12341112
G
2131
Am
2311
Bm
13421112
Em
121
B
12341112
G
2131
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To learn Bernard Lavilliers - On The Road Again chords, your practice should emphasize these chord progressions: B, Em, B, Am, Em, B and E. For a smooth transition, initiate your practice at 52 BPM and gradually match the song's pace of 104 BPM. With the song's key of D Major, set your capo to fit your vocal range and chord choice.

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_ _ _ _ _ _ [C] _ _
_ _ [Em] _ _ _ [B] _ _ _
_ _ [Em] _ Les mains d'or [B] _ _ _ _ _ [Em] _ _ _
_ _ [B] _ _ _ _ _ _
_ _ _ _ _ _ _ _
_ _ [E] _ par Bernard [Em] Lavigne, une chanson [B] que l'on a l'impression de connaître depuis
[Em] toujours alors qu'elle date seulement de l'album [F#m] Arrêt sur image en 2001.
[A] Mais il est vrai que la [Em] réalité qu'affronte Bernard Lavigne [B] est [A#m] au coeur des [Em] mutations
de la France depuis des décennies puisqu'il [B] s'agit de la _ désindustrialisation et de la
situation de ces travailleurs qui sont [E] passés des duretés de [F#] la condition ouvrière [Em] aux
souffrances du chômage.
_ _ [Am] _
_ _ _ _ _ [Em] _ _ _
_ _ [B] _ _ _ _ [Em] Les mains d _ 'or c'est [Am] notre monde, c'est [F#] magnifique, c'est [Em] désespéré, _ [G] les mots sont beaux, peut-être
la musique est belle comme il le chante, [F#] c'est bouleversant.
Les mains d'or est devenue rapidement une [B] sorte de [Em] classique reprise par des artistes
aussi [B] différentes que Juliette Gréco [G] ou [Fm] Isabelle Boulet.
C'est un grand vent [F] glacial qui fait grincher [Fm] les dents, _ _ mouche de [G] métal qui va [Fm] dérivant. _
Je voudrais _ travailler encore, [Fm] _ _
travailler _ encore, _ [F] forger la source [A#m] avec mes mains d'or,
[D#m] travailler encore, [D#m] _ [A#m] travailler _ encore, _ [F] acier rouge et [A#m] main d'or.
J'ai passé [F] ma vie là.
[B] Dans ce [Em] laminois, _ mes poumons en [B] sang et mes colères [Em] noires, _ _ horizon [B] barré là, les
soleils [Em] frérats _ comme une [B] tranchée rouge saignée sur [Em] l'estoire.
La Villiers c'est un mec que j'aime beaucoup, [Am] qui a la [G#] même culture que moi, qui [Em] met les
chansons d'un dragon, chante [F#] par Léo Ferré [Fm] et tout ça.
C'était un temps déraisonnable, on [Cm] avait mis les morts [Fm] à table, on [Cm] faisait des châteaux
de sable, on prenait les loups pour [F] des chiens.
Sur franceinfo [E].fr à la page Un été en Souchon, vous retrouverez [G] notre chronique du 17 juillet
dans laquelle Alain Souchon [A] évoque les chansons de Ferré [E] et Aragon et aussi les références
de tout ce que je vous fais écouter aujourd'hui.
Mais vous avez évidemment [G] reconnu S ainsi que les hommes [E] d'Évide par Ferré puis La Villiers.
Dans le quartier au Henselaire, entre la Sare et les Casernes, comme les fleurs de la Lusaine,
_ pleurissent les seins de l'Olonne.
Alors on [Em] est très différents évidemment, lui [F#m] il est très, il a ce côté [Em] très physique,
du reggae, du reggae, rien [B] que cette façon de dire reggae que j'aime bien, [F#] reggae,
je me suis dit [Bm] reggae. _
_ _ [Em] _ _ [F#] Reggae, [Bm] reggae, _ _ [Em] puis j'aimais bien [B] quand il disait on était jeunes et larges d'épaule,
on [Em] attendait que la mort nous [F#] frôle.
C'est hyper [G] prétentieux ces paroles là, mais personne n'oserait [D] dire ça.
Je me [G] vois pas en disant on était jeunes et [Bm] larges d'épaule, on [F#] attendait que la mort nous frôle.
C'est [G] vachement bien de le dire parce [Bm] que quand on a 18 ans et qu'on est larges d'épaule
on doit [Em] se sentir_
C'est vachement bien de dire ça, c'est [D] fort.
Nous [Em] étions jeunes [G] et larges d [D]'épaule, _ [B] bondit [Em] joyeux un sol en [Bm] haideron,
_ [D] _ on [Em] attendait que [G] la mort nous [Bm] frôle.
On the road again, again, _ _ [Bm] _ on the road again, _ [G] again.
Certes Alain Souchon et Bernard Lavillier ne pratiquent pas [G] exactement les mêmes sports
ni n'ont pas la [Bm] même garde-robe.
[E] Mais avec le temps, on [G] finit par distinguer [Bm] ce qui les rapproche.
Par exemple dans leur inquiétude devant les ravages de l [D]'économique sur l'humain.
[G] Quand il s'agit de chanter la solitude, le chômage, le déracinement, la brutalité du
monde, il [Bm] existe entre ces chanteurs là une sorte de fraternité qui s'exprime par des
moyens et sur des angles différents mais qui unit deux paroles humanistes [Em] et utiles.
Je voudrais [Am] travailler _ encore, _ [Em] travailler _ encore, [B] forger l'acier rouge [Em] avec mes mains d'or.
_ [Am] Travailler encore, _ [Em] travailler _ encore, _ [B] acier rouge _ [Em] et mains d'or.
Je ne peux plus [B] exister là, je ne peux plus [Em] habiter là, je ne sers plus à rien [B]
moi,
il n'y a plus rien à [Em] faire, _ je ne fais plus [B] rien moi, ce coûte moins [Em] cher que quand
je [B] travaillais moi.
D'après les [Em] experts, je me tenais à [B] _
produire pour gagner des [Em] clous.
C'est moi qui [B] _ délivre ou qui deviens [Em] fou. _
Je ne peux plus [F#m] exister là, [B] je ne peux plus [Em] habiter là, je ne sers plus [B] à rien moi,
il n'y a plus rien à [Em] faire.
Je voudrais [Am] travailler _ encore, _ [Em] travailler _ _ encore, [B] forger l'acier rouge [Em] avec mes mains d'or.
_ [Am] Travailler encore, [A] _ _ [Em] travailler encore, _ [B] acier rouge _ [Em] et mains d'or.
_ _ _ [Am] Travailler encore, [Em] travailler _ encore, _ [B] forger l'acier rouge [Em] avec mes mains d'or.
_ [Am] Travailler encore, _ [Em] travailler encore, _ _ [B] acier rouge _ [Em] et mains d'or.
_ _ _ [Am] Travailler encore, _ [Em] travailler _ encore, _ [B] forger l'acier rouge [Em] avec mes mains d'or.
_ [Am] Travailler, _ _ _ [Em] travailler.
_ _ [N] _ _ _

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