Chords for Alexis HK - Maudits Anglois
Tempo:
79.8 bpm
Chords used:
Bm
Em
F#m
G
D
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
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[Bm] Preux chevalier, [F#m] qu'as-tu fait de ta [Em] belle ?
Je l'ai confiée [Bm] aux bons soins de ma mère.
Pourquoi as-tu [F#m] quitté ta terre mère [G] ?
Je suis parti pour [D] fendre [Bm] les Anglois.
Que les Anglois t'ont fait que [F#m] tu ne voudras les perdre [G] ?
Ils m'ont donné l [Bm]'angoisse du trépas.
Comment est née [F#m] une angoisse si [G] vaine ?
Cette angoisse est née à cause [Bm] des Anglois.
C'était l'époque où le monde était un mythe.
Recouvert de [F#m] forêts, habité par des druides et des [Em] esprits.
On entendait de très loin les fracas de la [Bm] mer qui séparaient la France de la vieille Angleterre.
Dans le comté de Blois, on portait des sabots et l [F#m]'Anglois était à la source de tous [Em] nos maux.
Epidémie, guerre, pluie, [Bm] hiver, les mauvais vents revenaient souvent d'Angleterre.
[Em] Par la grâce du ciel, de la terre et des [Bm] eaux dont tu es le roi.
[Em] Ô tout [Bm] puissant, donne force à nos bras.
[Em] Par ta grâce éternelle et par la lumière [Bm] de ton éclat.
[Em] Ô tout puissant, [Bm] donne [A] force à nos bras.
[Bm] Cette année-là, il plut pendant trente et six [F#m] semaines.
La bouffe était dégueu, nos femmes étaient [Em] vilaines.
Tout nous portait à croire évidence, fait [Bm] loi.
A la malverserie de ces maudits Anglois, nous fîmes sans tarder un conseil de [F#m] sage.
Dans un manoir secret dont j'avais l'héritage.
[Em] Or après maintes et maintes goulées de gros [Bm] biffes, l'un de nous s'écria
Et nous partîmes aux heures les plus intimes de la [F#m] nuit, à l'heure où les plus vaillants se sont [Em] endormis.
Quand la forêt regorge de chiens [Bm] loups, et que la brume rend la lune floue.
[G] [D] [Em] Par la grâce du ciel, de la terre et des [Bm] eaux dont tu es le roi.
[Em] Ô tout puissant, [Bm] donne force à nos bras.
[Em] Par ta grâce éternelle et par la lumière [Bm] de ton éclat.
[Em] Ô [G] tout puissant, [Bm] donne force [A] à nos bras.
Mais [Bm] trop peu de viatique avait été prévisionné.
[F#m] Une baguette, une bouteille, un verret.
Pas [Em] de fusil contre les sangliers à poils roux.
Pas [Bm] de lumière pour nous guider dans le blackout.
Et nous fallû s'en mettre pour commencer à périr.
Le premier [F#m] d'entre nous se fit tout de suite engloutir.
L'autre [Em] mourut, il ne restait plus que moi.
[Bm] Il faut dire que nous étions trois.
Et j'ai couru, couru pour échapper au mort-fâle.
[F#m] Et je suis arrivé devant ton gîte rural.
[Em] Et toi ma belle anglaise, qui m'ouvris sans façon, [Bm] m'assurant le couvert, le gîte et puis la cuisse.
C'est nu sur ton grand lit que vérité s'abat.
[F#m] Et je me titouba en fumant ma [Em] gauloise.
Bénis soient les anglois [Bm] et leurs belles angloises.
[G] [Dm] [G]
Je l'ai confiée [Bm] aux bons soins de ma mère.
Pourquoi as-tu [F#m] quitté ta terre mère [G] ?
Je suis parti pour [D] fendre [Bm] les Anglois.
Que les Anglois t'ont fait que [F#m] tu ne voudras les perdre [G] ?
Ils m'ont donné l [Bm]'angoisse du trépas.
Comment est née [F#m] une angoisse si [G] vaine ?
Cette angoisse est née à cause [Bm] des Anglois.
C'était l'époque où le monde était un mythe.
Recouvert de [F#m] forêts, habité par des druides et des [Em] esprits.
On entendait de très loin les fracas de la [Bm] mer qui séparaient la France de la vieille Angleterre.
Dans le comté de Blois, on portait des sabots et l [F#m]'Anglois était à la source de tous [Em] nos maux.
Epidémie, guerre, pluie, [Bm] hiver, les mauvais vents revenaient souvent d'Angleterre.
[Em] Par la grâce du ciel, de la terre et des [Bm] eaux dont tu es le roi.
[Em] Ô tout [Bm] puissant, donne force à nos bras.
[Em] Par ta grâce éternelle et par la lumière [Bm] de ton éclat.
[Em] Ô tout puissant, [Bm] donne [A] force à nos bras.
[Bm] Cette année-là, il plut pendant trente et six [F#m] semaines.
La bouffe était dégueu, nos femmes étaient [Em] vilaines.
Tout nous portait à croire évidence, fait [Bm] loi.
A la malverserie de ces maudits Anglois, nous fîmes sans tarder un conseil de [F#m] sage.
Dans un manoir secret dont j'avais l'héritage.
[Em] Or après maintes et maintes goulées de gros [Bm] biffes, l'un de nous s'écria
Et nous partîmes aux heures les plus intimes de la [F#m] nuit, à l'heure où les plus vaillants se sont [Em] endormis.
Quand la forêt regorge de chiens [Bm] loups, et que la brume rend la lune floue.
[G] [D] [Em] Par la grâce du ciel, de la terre et des [Bm] eaux dont tu es le roi.
[Em] Ô tout puissant, [Bm] donne force à nos bras.
[Em] Par ta grâce éternelle et par la lumière [Bm] de ton éclat.
[Em] Ô [G] tout puissant, [Bm] donne force [A] à nos bras.
Mais [Bm] trop peu de viatique avait été prévisionné.
[F#m] Une baguette, une bouteille, un verret.
Pas [Em] de fusil contre les sangliers à poils roux.
Pas [Bm] de lumière pour nous guider dans le blackout.
Et nous fallû s'en mettre pour commencer à périr.
Le premier [F#m] d'entre nous se fit tout de suite engloutir.
L'autre [Em] mourut, il ne restait plus que moi.
[Bm] Il faut dire que nous étions trois.
Et j'ai couru, couru pour échapper au mort-fâle.
[F#m] Et je suis arrivé devant ton gîte rural.
[Em] Et toi ma belle anglaise, qui m'ouvris sans façon, [Bm] m'assurant le couvert, le gîte et puis la cuisse.
C'est nu sur ton grand lit que vérité s'abat.
[F#m] Et je me titouba en fumant ma [Em] gauloise.
Bénis soient les anglois [Bm] et leurs belles angloises.
[G] [Dm] [G]
Key:
Bm
Em
F#m
G
D
Bm
Em
F#m
[Bm] Preux chevalier, [F#m] qu'as-tu fait de ta [Em] belle ?
Je l'ai confiée [Bm] aux bons soins de ma mère.
Pourquoi as-tu [F#m] quitté ta terre mère [G] ?
Je suis parti pour [D] fendre [Bm] les Anglois.
Que les Anglois t'ont fait que [F#m] tu ne voudras les perdre [G] ?
Ils m'ont donné l [Bm]'angoisse du trépas.
Comment est née [F#m] une angoisse si [G] vaine ?
Cette angoisse est née à cause [Bm] des Anglois.
C'était l'époque où le monde était un mythe.
Recouvert de [F#m] forêts, habité par des druides et des [Em] esprits.
On entendait de très loin les fracas de la [Bm] mer qui séparaient la France de la vieille Angleterre.
Dans le comté de Blois, on portait des sabots et l [F#m]'Anglois était à la source de tous [Em] nos maux.
Epidémie, guerre, pluie, [Bm] hiver, les mauvais vents revenaient souvent d'Angleterre. _
[Em] Par la grâce du ciel, de la terre et des [Bm] eaux dont tu es le roi.
[Em] Ô tout [Bm] puissant, donne force à nos bras.
[Em] Par ta grâce éternelle et par la lumière [Bm] de ton éclat. _
[Em] Ô tout puissant, [Bm] donne [A] force à nos bras.
[Bm] Cette année-là, il plut pendant trente et six [F#m] semaines.
La bouffe était dégueu, nos femmes étaient [Em] vilaines.
Tout nous portait à croire évidence, fait [Bm] loi.
A la malverserie de ces maudits Anglois, nous fîmes sans tarder un conseil de [F#m] sage.
Dans un manoir secret dont j'avais l'héritage.
[Em] Or après maintes et maintes goulées de gros [Bm] biffes, l'un de nous s'écria_
Et nous partîmes aux heures les plus intimes de la [F#m] nuit, à l'heure où les plus vaillants se sont [Em] endormis.
Quand la forêt regorge de chiens [Bm] loups, et que la brume rend la lune floue.
_ [G] _ [D] [Em] Par la grâce du ciel, de la terre et des [Bm] eaux dont tu es le roi.
[Em] Ô tout puissant, [Bm] donne force à nos bras.
[Em] Par ta grâce éternelle et par la lumière [Bm] de ton éclat.
_ [Em] Ô [G] tout puissant, [Bm] donne force [A] à nos bras.
Mais [Bm] trop peu de viatique avait été prévisionné.
[F#m] Une baguette, une bouteille, un verret.
Pas [Em] de fusil contre les sangliers à poils roux.
Pas [Bm] de lumière pour nous guider dans le blackout.
Et nous fallû s'en mettre pour commencer à périr.
Le premier [F#m] d'entre nous se fit tout de suite engloutir.
L'autre [Em] mourut, il ne restait plus que moi. _
[Bm] _ Il faut dire que nous étions trois.
Et j'ai couru, couru pour échapper au mort-fâle.
[F#m] Et je suis arrivé devant ton gîte rural.
[Em] Et toi ma belle anglaise, qui m'ouvris sans façon, [Bm] m'assurant le couvert, le gîte et puis la cuisse.
C'est nu sur ton grand lit que vérité s'abat.
[F#m] Et je me titouba en fumant ma [Em] gauloise.
Bénis soient les anglois [Bm] et leurs belles angloises. _ _ _ _
[G] _ _ [Dm] _ _ [G] _ _ _ _
Je l'ai confiée [Bm] aux bons soins de ma mère.
Pourquoi as-tu [F#m] quitté ta terre mère [G] ?
Je suis parti pour [D] fendre [Bm] les Anglois.
Que les Anglois t'ont fait que [F#m] tu ne voudras les perdre [G] ?
Ils m'ont donné l [Bm]'angoisse du trépas.
Comment est née [F#m] une angoisse si [G] vaine ?
Cette angoisse est née à cause [Bm] des Anglois.
C'était l'époque où le monde était un mythe.
Recouvert de [F#m] forêts, habité par des druides et des [Em] esprits.
On entendait de très loin les fracas de la [Bm] mer qui séparaient la France de la vieille Angleterre.
Dans le comté de Blois, on portait des sabots et l [F#m]'Anglois était à la source de tous [Em] nos maux.
Epidémie, guerre, pluie, [Bm] hiver, les mauvais vents revenaient souvent d'Angleterre. _
[Em] Par la grâce du ciel, de la terre et des [Bm] eaux dont tu es le roi.
[Em] Ô tout [Bm] puissant, donne force à nos bras.
[Em] Par ta grâce éternelle et par la lumière [Bm] de ton éclat. _
[Em] Ô tout puissant, [Bm] donne [A] force à nos bras.
[Bm] Cette année-là, il plut pendant trente et six [F#m] semaines.
La bouffe était dégueu, nos femmes étaient [Em] vilaines.
Tout nous portait à croire évidence, fait [Bm] loi.
A la malverserie de ces maudits Anglois, nous fîmes sans tarder un conseil de [F#m] sage.
Dans un manoir secret dont j'avais l'héritage.
[Em] Or après maintes et maintes goulées de gros [Bm] biffes, l'un de nous s'écria_
Et nous partîmes aux heures les plus intimes de la [F#m] nuit, à l'heure où les plus vaillants se sont [Em] endormis.
Quand la forêt regorge de chiens [Bm] loups, et que la brume rend la lune floue.
_ [G] _ [D] [Em] Par la grâce du ciel, de la terre et des [Bm] eaux dont tu es le roi.
[Em] Ô tout puissant, [Bm] donne force à nos bras.
[Em] Par ta grâce éternelle et par la lumière [Bm] de ton éclat.
_ [Em] Ô [G] tout puissant, [Bm] donne force [A] à nos bras.
Mais [Bm] trop peu de viatique avait été prévisionné.
[F#m] Une baguette, une bouteille, un verret.
Pas [Em] de fusil contre les sangliers à poils roux.
Pas [Bm] de lumière pour nous guider dans le blackout.
Et nous fallû s'en mettre pour commencer à périr.
Le premier [F#m] d'entre nous se fit tout de suite engloutir.
L'autre [Em] mourut, il ne restait plus que moi. _
[Bm] _ Il faut dire que nous étions trois.
Et j'ai couru, couru pour échapper au mort-fâle.
[F#m] Et je suis arrivé devant ton gîte rural.
[Em] Et toi ma belle anglaise, qui m'ouvris sans façon, [Bm] m'assurant le couvert, le gîte et puis la cuisse.
C'est nu sur ton grand lit que vérité s'abat.
[F#m] Et je me titouba en fumant ma [Em] gauloise.
Bénis soient les anglois [Bm] et leurs belles angloises. _ _ _ _
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