Chords for Angelo Branduardi - Confession d'un malandrin (reprise)

Tempo:
60.425 bpm
Chords used:

Dm

C

A

F

D

Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
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Angelo Branduardi - Confession d'un malandrin (reprise) chords
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[Bbm] [Dm] [C]
[F] [A] [Dm] [Dm]
Je passe les cheveux fous dans vos villages, la tête [C] comme [F] embrasée d'un phare [Dm] qu'on allume.
Au vent soumis, je chante les orages, au chant l'amour [Dm] et la nuit des plages.
[Fm] Les arbres [C] voient la lame de mon [Dm] visage, où glisse [Am] la souillure [Dm] des injures.
Je vignoie au vent l'histoire de ma chevelure, qui m'habille [Dm] et me rassure.
[C] [Dm]
Je revois les temps de mon enfance, où les [F] roseaux et tous [A] qui nous se [Dm] dansent,
et tous les miens qui n'ont pas eu la chance d'avoir [Dm] un fils sans espérance.
[F] Mais ils m [C]'aiment comme ils aiment [Dm] la terre, [Am] ingrates à leur souffrance [Dm] et leur misère.
Si quelqu'un me salissait de reproche, il coûterait la [Dm] pointe de leur pioche.
[D] Les [G] paysans pauvres, mes pères [C] et mes mères, [F] attachés à la boue de [A] cette terre,
craignant [Dm] mes seigneurs [Bb] et leurs collègues, vos parents [A] qui n'étaient même pas fiers
[D] d'avoir [Gm] un fils mauvais qui se [C] promène, parmi [F] les rois et les [A] reines,
qui, dans [Dm] des escartins vers [Bb] pieds sages, [A] laissent ses pieds [Dm] larges et son courage.
[C] [Dm]
Mais survivent en moi comme lumière les [F] ruses d'un [A] royaume à cette [Dm] terre.
Devant l'enseigne d'une boucherie campagnarde, je [C] pense aux chevaux marrons, [Dm] les camarades.
[F] Et si je vois [C] traîner un [Dm] fiacre, [Am] jaillit d'un passé que le temps [Dm] frappe,
je me revois aux noces de campagne, parmi les chers [Dm] brûlés des paysans.
[C] [Dm]
J'aime encore ma terre, et qu'affliger [F] de trop beaux [A] pavards et [Dm] sévères,
c'est le cris seul des porcs que je préfère, tous [Dm] les discours qui m [Fm]'affairent.
Je suis [C] malade d'enfance et [Dm] de sourire, de frais [Am] crépuscules passés [Dm] sans rien dire.
Je crois voir les arbres qui s'étirent, se [Dm] réchauffer puis s'endormir.
[D] [G] Au lit qui cache la couve et tout [C] demain, j'irai [F] poser ma main [A] devenue blanche.
Mais l [Dm]'effort sera [Bb] toujours le même, et aussi dure [A] encore la vieille écorce.
[D] Et [G] toi, le grand chien de mes [C] promenades, oui, [F] aveugle et bien [A] malade,
tu [Dm] tournes la kebasse [Bb] dans la ferme [A] sans savoir qui [Dm] entre ou qui t'enferme.
[C] [Dm]
Il me reste des souvenirs qui saignent, de l [F]'arcin, de pain [A] dans la [Dm] glucerne,
et toi et moi, mangeons comme des frères, chers enfants, [C] se [Dm] partageant la terre.
[F] Je suis [C] toujours le même, [Dm] je sens [Am] les désirs, les mêmes haines.
[Dm] Sur ce tapis de mots qui se déroule, je pourrai jeter [Dm] mon cœur à vous.
[C] [Dm]
Bonne nuit, faucille de la lune, [F] brillante dans les blés [A] qui te font [Dm] brûler.
De ma fenêtre j'abois des mots que j'aime, quand dans le [Dm] ciel je te vois pleine.
[F] La nuit semble [C] si claire, [Dm] on aimerait bien [Am] mourir pour [Dm] se distraire.
T'apportes si mon esprit va la campagne, qu'on montre du doigt [Dm] mon idéal.
[D] Des chevals [Gm] presque morts et des [C] bonheurs, d'un galop [F] sans hâte et sans [A] mystère.
J'apprends [Dm] comme d'un maître [Bb] solitaire, à chanter toutes les [A] joies de la [D] terre.
De ma [Gm] tête comme d [C]'une grappe mûre, [F] coule le vin chaud de ma [A] chevelure.
De mon [Dm] sang sur une immense voile pure, [Bb] je veux [A] écrire les rêves des nuits [D] futures.
[A] [Dm] [C] [Dm]
Key:  
Dm
2311
C
3211
A
1231
F
134211111
D
1321
Dm
2311
C
3211
A
1231
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[Bbm] _ _ _ [Dm] _ _ _ _ [C] _
[F] _ [A] _ [Dm] _ _ _ _ [Dm] _
Je passe les cheveux fous dans vos villages, la tête [C] comme [F] embrasée d'un phare [Dm] qu'on allume.
Au vent soumis, je chante les orages, au chant l'amour [Dm] et la nuit des plages.
[Fm] Les arbres [C] voient la lame de mon [Dm] visage, où glisse [Am] la souillure [Dm] des injures.
Je vignoie au vent l'histoire de ma chevelure, qui m'habille [Dm] et me rassure.
_ _ _ _ [C] _ [Dm] _
Je revois les temps de mon enfance, où les [F] roseaux et tous [A] qui nous se [Dm] dansent,
et tous les miens qui n'ont pas eu la chance d'avoir [Dm] un fils sans espérance.
[F] Mais ils m [C]'aiment comme ils aiment [Dm] la terre, [Am] ingrates à leur souffrance [Dm] et leur misère.
Si quelqu'un me salissait de reproche, il coûterait la [Dm] pointe de leur pioche.
[D] Les [G] paysans pauvres, mes pères [C] et mes mères, [F] attachés à la boue de [A] cette terre,
craignant [Dm] mes seigneurs [Bb] et leurs collègues, vos parents [A] qui n'étaient même pas fiers
[D] d'avoir [Gm] un fils mauvais qui se [C] promène, parmi [F] les rois et les [A] reines,
qui, dans [Dm] des escartins vers [Bb] pieds sages, [A] laissent ses pieds [Dm] larges et son _ courage.
[C] _ [Dm] _
Mais survivent en moi comme lumière les [F] ruses d'un [A] royaume à cette [Dm] terre.
Devant l'enseigne d'une boucherie campagnarde, je [C] pense aux chevaux marrons, [Dm] les camarades.
[F] Et si je vois [C] traîner un [Dm] fiacre, [Am] jaillit d'un passé que le temps [Dm] frappe,
je me revois aux noces de campagne, parmi les chers [Dm] brûlés des paysans.
_ _ _ _ [C] _ [Dm] _
J'aime encore ma terre, et qu'affliger [F] de trop beaux [A] pavards et [Dm] sévères,
c'est le cris seul des porcs que je préfère, tous [Dm] les discours qui m [Fm]'affairent.
Je suis [C] malade d'enfance et [Dm] de sourire, de frais [Am] crépuscules passés [Dm] sans rien dire.
Je crois voir les arbres qui s'étirent, se [Dm] réchauffer puis s'endormir.
[D] [G] Au lit qui cache la couve et tout [C] demain, j'irai [F] poser ma main [A] devenue blanche.
Mais l [Dm]'effort sera [Bb] toujours le même, et aussi dure [A] encore la vieille écorce.
[D] Et [G] toi, le grand chien de mes [C] promenades, oui, [F] aveugle et bien [A] malade,
tu [Dm] tournes la kebasse [Bb] dans la ferme [A] sans savoir qui [Dm] entre ou qui t'enferme.
_ _ [C] _ [Dm] _
Il me reste des souvenirs qui saignent, de l [F]'arcin, de pain [A] dans la [Dm] glucerne,
et toi et moi, mangeons comme des frères, chers enfants, [C] se [Dm] partageant la terre.
[F] Je suis [C] toujours le même, [Dm] je sens [Am] les désirs, les mêmes haines.
[Dm] Sur ce tapis de mots qui se déroule, je pourrai jeter [Dm] mon cœur à vous.
_ _ _ _ [C] _ [Dm] _
Bonne nuit, faucille de la lune, [F] brillante dans les blés [A] qui te font [Dm] brûler.
De ma fenêtre j'abois des mots que j'aime, quand dans le [Dm] ciel je te vois pleine.
[F] La nuit semble [C] si claire, [Dm] on aimerait bien [Am] mourir pour [Dm] se distraire.
T'apportes si mon esprit va la campagne, qu'on montre du doigt [Dm] mon idéal.
[D] Des chevals [Gm] presque morts et des [C] bonheurs, d'un galop [F] sans hâte et sans [A] mystère.
J'apprends [Dm] comme d'un maître [Bb] solitaire, à chanter toutes les [A] joies de la [D] terre.
De ma [Gm] tête comme d [C]'une grappe mûre, [F] coule le vin chaud de ma [A] chevelure.
De mon [Dm] sang sur une immense voile pure, [Bb] je veux [A] écrire les rêves des nuits [D] futures.
[A] _ [Dm] _ _ _ [C] _ [Dm] _ _ _

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