Chords for Ben Mazué - Des nouvelles (Live Victoires 2022)
Tempo:
94.4 bpm
Chords used:
F#
C#
D#m
B
A#m
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
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[G#m] [B] [D#m]
[C#] [F#] [B] [F#] [G#m]
[F#] [D#m] [C#]
Faire ce qu'on [B] aime, le faire du mieux qu [F#]'on peut et si possible avec le soutien des [C#] proches.
C'est ça le vrai [D#m] privilège, c'est ça le meilleur [B] boucli.
Parlons-en de mes [F#] proches.
Je pense à eux [C#] là, maintenant que je suis sur cette scène, devant vous.
Je pense aux vivants, [B] je pense aux morts et bizarrement, [F#] je pense surtout aux morts.
[C#] Peut-être parce que les vivants on se parle encore et que les morts, je [D#m] leur parle moi, mais eux, ils ne me parlent [B] pas.
Enfin parfois j'ai l'impression [F#] que si.
Disons parfois, [C#] j'ai l'impression que je vois des signes.
Quand par exemple j'ai un rendez-vous important et [B] que sur la route, je croise une grue de [F#] chantier,
parce que ma mère [C#] adorait les grues de chantier, [D] j'ai l'impression que [D#m] c'est elle.
J'ai l'impression qu'elle a quelque chose à [B] me dire de réconfortant.
Mais [F#] enfin gageons que c'est quand même moins direct qu'un petit texto qui [C#] dit
« Je pense à toi pour ce soir, j'ai confiance, ça va bien se passer.
[C#m] [F#]
[A#m]
[C#] [D#m]
[F#] [C#] »
[F#] Disons que t'es morte, je dis pas [Fm] partie moi.
[A#m] Je dis morte, je dis pas s'en est [D#m] allée.
Je dis pas disparue, je dis [C#] morte, enterrée.
C'est pas moche, c'est ainsi, c'est la vie [F#] de n'être plus.
Puis de te parler, ça j'ai pas [A#m] arrêté.
Et puis de te penser, ça j'ai pas [D#m] oublié.
Tous les jours c'est facile, t'es partout [C#] quand j'avance.
Dans mon âme, tu es l'île des souvenirs [F#] de l'enfance.
Pourtant tout a changé depuis que t [A#m]'existes plus.
Des familles oubliées, reconstruits, [D#m] tout perdus.
Des succès, des défaites, des amours [C#] compliqués.
Et beaucoup moins de fêtes depuis que t'es plus là pour les [F#] organiser.
J'aimerais bien que tu vois les concerts.
Y'a du monde, c'est [A#m] pas comme avant.
Déjà qu'à l'époque t'étais fière alors que t'étais toute [D#m] seule devant.
On fera les grands théâtres cet hiver et des zéniths au [C#] printemps.
J'ai les cheveux longs comme un chanteur.
J'fais des selfies [F#] comme un chanteur.
On a confié nos souvenirs, la mémoire et l [A#m]'orientation.
Moi je sais plus aller nulle part sans que mon téléphone me donne la [D#m] direction.
Et le plus grave dans cette histoire, c'est que j'arrive à un âge [C#] dangereux.
Où c'est facile d'être gagné par le sentiment qu'avant [F#] c'était mieux.
[A#m]
[D#m]
[C#]
[F#] De ton époque y'a toujours la radio le [A#m] matin.
Les odeurs de figues fin août qui disent que la rentrée n'est [D#m] pas loin.
Le verre de vin de 19h.
Les heures à parler avec ma [C#] soeur.
Faire des projets comme tu disais.
Ça on le fait ouais j'te [F#] promets.
Mais de ton époque y'a plus la maison [A#m] qui rassemblait.
Nos convictions ont disparu et tous les [D#m] schémas ont déçu.
Alors on s'efforce de profiter.
Chacun chez [C#] soi c'est dramatique.
Le bonheur est privé.
Le malheur [F#] est public.
Mais l'amour ça y'en a vraiment.
C'est plus comme [A#m] avant j'te jure.
Les parents, les grands-parents disent je t'aime à [D#m] leur progéniture.
J'me souviens pas qu'on se disait je t'aime.
Nous c'est pas de le dire [C#] qui règle tout.
Enfin c'est mieux de pas se cacher.
Derrière des pudeurs [F#] mal placées.
En me relisant j'trouve que vraiment.
Ça ressemble [A#m] beaucoup aux gens qui disent que c'était mieux avant.
Alors qu'y'a plein de [D#m] trucs qui se sont améliorés.
On va commencer par comment je vais.
[C#] Et j'en ai mieux.
[B] [F#]
[C#] [D#m]
[B] [F#]
[C#]
[B] [F#]
[C#] [F] [D#m]
[B] [F#]
[C#]
[F#]
[A#]
[C#] [D#m]
[F#]
[C#] [B]
[G] [N] Sous-titres réalisés par la communauté d'Amara.org
[C#] [F#] [B] [F#] [G#m]
[F#] [D#m] [C#]
Faire ce qu'on [B] aime, le faire du mieux qu [F#]'on peut et si possible avec le soutien des [C#] proches.
C'est ça le vrai [D#m] privilège, c'est ça le meilleur [B] boucli.
Parlons-en de mes [F#] proches.
Je pense à eux [C#] là, maintenant que je suis sur cette scène, devant vous.
Je pense aux vivants, [B] je pense aux morts et bizarrement, [F#] je pense surtout aux morts.
[C#] Peut-être parce que les vivants on se parle encore et que les morts, je [D#m] leur parle moi, mais eux, ils ne me parlent [B] pas.
Enfin parfois j'ai l'impression [F#] que si.
Disons parfois, [C#] j'ai l'impression que je vois des signes.
Quand par exemple j'ai un rendez-vous important et [B] que sur la route, je croise une grue de [F#] chantier,
parce que ma mère [C#] adorait les grues de chantier, [D] j'ai l'impression que [D#m] c'est elle.
J'ai l'impression qu'elle a quelque chose à [B] me dire de réconfortant.
Mais [F#] enfin gageons que c'est quand même moins direct qu'un petit texto qui [C#] dit
« Je pense à toi pour ce soir, j'ai confiance, ça va bien se passer.
[C#m] [F#]
[A#m]
[C#] [D#m]
[F#] [C#] »
[F#] Disons que t'es morte, je dis pas [Fm] partie moi.
[A#m] Je dis morte, je dis pas s'en est [D#m] allée.
Je dis pas disparue, je dis [C#] morte, enterrée.
C'est pas moche, c'est ainsi, c'est la vie [F#] de n'être plus.
Puis de te parler, ça j'ai pas [A#m] arrêté.
Et puis de te penser, ça j'ai pas [D#m] oublié.
Tous les jours c'est facile, t'es partout [C#] quand j'avance.
Dans mon âme, tu es l'île des souvenirs [F#] de l'enfance.
Pourtant tout a changé depuis que t [A#m]'existes plus.
Des familles oubliées, reconstruits, [D#m] tout perdus.
Des succès, des défaites, des amours [C#] compliqués.
Et beaucoup moins de fêtes depuis que t'es plus là pour les [F#] organiser.
J'aimerais bien que tu vois les concerts.
Y'a du monde, c'est [A#m] pas comme avant.
Déjà qu'à l'époque t'étais fière alors que t'étais toute [D#m] seule devant.
On fera les grands théâtres cet hiver et des zéniths au [C#] printemps.
J'ai les cheveux longs comme un chanteur.
J'fais des selfies [F#] comme un chanteur.
On a confié nos souvenirs, la mémoire et l [A#m]'orientation.
Moi je sais plus aller nulle part sans que mon téléphone me donne la [D#m] direction.
Et le plus grave dans cette histoire, c'est que j'arrive à un âge [C#] dangereux.
Où c'est facile d'être gagné par le sentiment qu'avant [F#] c'était mieux.
[A#m]
[D#m]
[C#]
[F#] De ton époque y'a toujours la radio le [A#m] matin.
Les odeurs de figues fin août qui disent que la rentrée n'est [D#m] pas loin.
Le verre de vin de 19h.
Les heures à parler avec ma [C#] soeur.
Faire des projets comme tu disais.
Ça on le fait ouais j'te [F#] promets.
Mais de ton époque y'a plus la maison [A#m] qui rassemblait.
Nos convictions ont disparu et tous les [D#m] schémas ont déçu.
Alors on s'efforce de profiter.
Chacun chez [C#] soi c'est dramatique.
Le bonheur est privé.
Le malheur [F#] est public.
Mais l'amour ça y'en a vraiment.
C'est plus comme [A#m] avant j'te jure.
Les parents, les grands-parents disent je t'aime à [D#m] leur progéniture.
J'me souviens pas qu'on se disait je t'aime.
Nous c'est pas de le dire [C#] qui règle tout.
Enfin c'est mieux de pas se cacher.
Derrière des pudeurs [F#] mal placées.
En me relisant j'trouve que vraiment.
Ça ressemble [A#m] beaucoup aux gens qui disent que c'était mieux avant.
Alors qu'y'a plein de [D#m] trucs qui se sont améliorés.
On va commencer par comment je vais.
[C#] Et j'en ai mieux.
[B] [F#]
[C#] [D#m]
[B] [F#]
[C#]
[B] [F#]
[C#] [F] [D#m]
[B] [F#]
[C#]
[F#]
[A#]
[C#] [D#m]
[F#]
[C#] [B]
[G] [N] Sous-titres réalisés par la communauté d'Amara.org
Key:
F#
C#
D#m
B
A#m
F#
C#
D#m
[G#m] _ [B] _ [D#m] _ _ _ _
[C#] _ [F#] _ [B] _ [F#] _ _ [G#m] _
[F#] _ [D#m] _ [C#] _ _ _ _
Faire ce qu'on [B] aime, le faire du mieux qu [F#]'on peut et si possible avec le soutien des [C#] proches.
C'est ça le vrai [D#m] privilège, c'est ça le meilleur [B] boucli.
Parlons-en de mes [F#] proches.
Je pense à eux [C#] là, maintenant que je suis sur cette scène, devant vous.
Je pense aux vivants, [B] je pense aux morts et bizarrement, [F#] je pense surtout aux morts.
[C#] Peut-être parce que les vivants on se parle encore et que les morts, je [D#m] leur parle moi, mais eux, ils ne me parlent [B] pas.
Enfin parfois j'ai l'impression [F#] que si.
Disons parfois, [C#] j'ai l'impression que je vois des signes.
Quand par exemple j'ai un rendez-vous important et [B] que sur la route, je croise une grue de [F#] chantier,
parce que ma mère [C#] adorait les grues de chantier, [D] j'ai l'impression que [D#m] c'est elle.
J'ai l'impression qu'elle a quelque chose à [B] me dire de réconfortant.
Mais [F#] enfin gageons que c'est quand même moins direct qu'un petit texto qui [C#] dit
« Je pense à toi pour ce soir, j'ai confiance, ça va bien se passer. _ _ _ _ _
_ [C#m] _ [F#] _ _ _ _
_ _ _ [A#m] _ _ _
_ [C#] _ [D#m] _ _ _ _
_ _ [F#] _ [C#] » _
_ _ [F#] Disons que t'es morte, je dis pas [Fm] partie moi.
[A#m] Je dis morte, je dis pas s'en est [D#m] allée.
Je dis pas disparue, je dis [C#] morte, enterrée.
C'est pas moche, c'est ainsi, c'est la vie [F#] de n'être plus.
Puis de te parler, ça j'ai pas [A#m] arrêté.
Et puis de te penser, ça j'ai pas [D#m] oublié.
Tous les jours c'est facile, t'es partout [C#] quand j'avance.
Dans mon âme, tu es l'île des souvenirs [F#] de l'enfance.
Pourtant tout a changé depuis que t [A#m]'existes plus.
Des familles oubliées, reconstruits, [D#m] tout perdus.
Des succès, des défaites, des amours [C#] compliqués.
Et beaucoup moins de fêtes depuis que t'es plus là pour les [F#] organiser.
J'aimerais bien que tu vois les concerts.
Y'a du monde, c'est [A#m] pas comme avant.
Déjà qu'à l'époque t'étais fière alors que t'étais toute [D#m] seule devant.
On fera les grands théâtres cet hiver et des zéniths au [C#] printemps.
J'ai les cheveux longs comme un chanteur.
J'fais des selfies [F#] comme un chanteur.
On a confié nos souvenirs, la mémoire et l [A#m]'orientation.
Moi je sais plus aller nulle part sans que mon téléphone me donne la [D#m] direction.
Et le plus grave dans cette histoire, c'est que j'arrive à un âge [C#] dangereux.
Où c'est facile d'être gagné par le sentiment qu'avant [F#] c'était mieux. _ _ _
_ _ [A#m] _ _ _ _
_ _ [D#m] _ _ _ _
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_ [F#] De ton époque y'a toujours _ la radio le [A#m] matin.
Les odeurs de figues fin août qui disent que la rentrée n'est [D#m] pas loin.
Le verre de vin de 19h.
Les heures à parler avec ma [C#] soeur.
Faire des projets comme tu disais.
Ça on le fait ouais j'te [F#] promets.
Mais de ton époque y'a plus la maison [A#m] qui rassemblait.
Nos convictions ont disparu et tous les [D#m] schémas ont déçu.
Alors on s'efforce de profiter.
Chacun chez [C#] soi c'est dramatique.
Le bonheur est privé.
Le malheur [F#] est public.
Mais l'amour ça y'en a vraiment.
C'est plus comme [A#m] avant j'te jure.
Les parents, les grands-parents disent je t'aime à [D#m] leur progéniture.
J'me souviens pas qu'on se disait je t'aime.
Nous c'est pas de le dire [C#] qui règle tout.
Enfin c'est mieux de pas se cacher.
Derrière des pudeurs [F#] mal placées.
En me relisant j'trouve que vraiment.
Ça ressemble [A#m] beaucoup aux gens qui disent que c'était mieux avant.
Alors qu'y'a plein de [D#m] trucs qui se sont améliorés.
On va commencer par comment je vais.
[C#] Et j'en ai mieux. _ _
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[C#] _ _ _ _ [D#m] _ _
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_ _ [G] [N] Sous-titres réalisés par la communauté d'Amara.org _ _
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[F#] _ [D#m] _ [C#] _ _ _ _
Faire ce qu'on [B] aime, le faire du mieux qu [F#]'on peut et si possible avec le soutien des [C#] proches.
C'est ça le vrai [D#m] privilège, c'est ça le meilleur [B] boucli.
Parlons-en de mes [F#] proches.
Je pense à eux [C#] là, maintenant que je suis sur cette scène, devant vous.
Je pense aux vivants, [B] je pense aux morts et bizarrement, [F#] je pense surtout aux morts.
[C#] Peut-être parce que les vivants on se parle encore et que les morts, je [D#m] leur parle moi, mais eux, ils ne me parlent [B] pas.
Enfin parfois j'ai l'impression [F#] que si.
Disons parfois, [C#] j'ai l'impression que je vois des signes.
Quand par exemple j'ai un rendez-vous important et [B] que sur la route, je croise une grue de [F#] chantier,
parce que ma mère [C#] adorait les grues de chantier, [D] j'ai l'impression que [D#m] c'est elle.
J'ai l'impression qu'elle a quelque chose à [B] me dire de réconfortant.
Mais [F#] enfin gageons que c'est quand même moins direct qu'un petit texto qui [C#] dit
« Je pense à toi pour ce soir, j'ai confiance, ça va bien se passer. _ _ _ _ _
_ [C#m] _ [F#] _ _ _ _
_ _ _ [A#m] _ _ _
_ [C#] _ [D#m] _ _ _ _
_ _ [F#] _ [C#] » _
_ _ [F#] Disons que t'es morte, je dis pas [Fm] partie moi.
[A#m] Je dis morte, je dis pas s'en est [D#m] allée.
Je dis pas disparue, je dis [C#] morte, enterrée.
C'est pas moche, c'est ainsi, c'est la vie [F#] de n'être plus.
Puis de te parler, ça j'ai pas [A#m] arrêté.
Et puis de te penser, ça j'ai pas [D#m] oublié.
Tous les jours c'est facile, t'es partout [C#] quand j'avance.
Dans mon âme, tu es l'île des souvenirs [F#] de l'enfance.
Pourtant tout a changé depuis que t [A#m]'existes plus.
Des familles oubliées, reconstruits, [D#m] tout perdus.
Des succès, des défaites, des amours [C#] compliqués.
Et beaucoup moins de fêtes depuis que t'es plus là pour les [F#] organiser.
J'aimerais bien que tu vois les concerts.
Y'a du monde, c'est [A#m] pas comme avant.
Déjà qu'à l'époque t'étais fière alors que t'étais toute [D#m] seule devant.
On fera les grands théâtres cet hiver et des zéniths au [C#] printemps.
J'ai les cheveux longs comme un chanteur.
J'fais des selfies [F#] comme un chanteur.
On a confié nos souvenirs, la mémoire et l [A#m]'orientation.
Moi je sais plus aller nulle part sans que mon téléphone me donne la [D#m] direction.
Et le plus grave dans cette histoire, c'est que j'arrive à un âge [C#] dangereux.
Où c'est facile d'être gagné par le sentiment qu'avant [F#] c'était mieux. _ _ _
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_ [F#] De ton époque y'a toujours _ la radio le [A#m] matin.
Les odeurs de figues fin août qui disent que la rentrée n'est [D#m] pas loin.
Le verre de vin de 19h.
Les heures à parler avec ma [C#] soeur.
Faire des projets comme tu disais.
Ça on le fait ouais j'te [F#] promets.
Mais de ton époque y'a plus la maison [A#m] qui rassemblait.
Nos convictions ont disparu et tous les [D#m] schémas ont déçu.
Alors on s'efforce de profiter.
Chacun chez [C#] soi c'est dramatique.
Le bonheur est privé.
Le malheur [F#] est public.
Mais l'amour ça y'en a vraiment.
C'est plus comme [A#m] avant j'te jure.
Les parents, les grands-parents disent je t'aime à [D#m] leur progéniture.
J'me souviens pas qu'on se disait je t'aime.
Nous c'est pas de le dire [C#] qui règle tout.
Enfin c'est mieux de pas se cacher.
Derrière des pudeurs [F#] mal placées.
En me relisant j'trouve que vraiment.
Ça ressemble [A#m] beaucoup aux gens qui disent que c'était mieux avant.
Alors qu'y'a plein de [D#m] trucs qui se sont améliorés.
On va commencer par comment je vais.
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