Chords for Bernard Lavilliers - Sertao

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[C] _ _ [Bm] _ _ _ _ [C] _ _
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_ _ [Bm] _ Bon, on va où ?
[C] Hôtel Centenario, _ [Bm] _ suite Prince Yell, vue sur les [C] chiottes, t'as les couleurs ?
Courante.
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_ [Bm] _ _ _ _ [C] _ _ _
_ [Bm] _ _ _ _ _ [D] _ [C] _
_ _ [Bm] _ _ _ _ _ [C] _
_ _ [Bm] Les palmes du ventilateur ont des courbes tranche à [C] tranche, heureux et têtes comme les maniocs.
_ [Bm] Le dernier Texaco vient de fermer ses [C] portes.
Il regarde les poussées, [Bm] pour m'aimer de la sorte.
_ [C] Et leurs baisers sanglants m'empêchent de [D] dormir.
_ [Bm] Bien fait pour ma gueule.
Tu aurais pas dû [C] venir. _
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_ _ [Bm] _ _ _ _ [C] _ _
_ _ [Bm] _ _ _ _ [C] _ _
_ _ [Bm] _ Je t'allais dans ton fauteuil, tu écoutes ma [C] voix.
Comme un vieux charognard qui attend que je crache.
[Bm] La gueule jaune de Caboclo.
_ [C] Antonio das Montes.
_ [Bm] Capangas Fracho.
À la solde des [C] fazendeiros, pour te donner un avant-goût [Bm] de vacances.
Deux dizaines.
_ [C] _ _
_ _ [Bm] Ce qui vente du soleil à tempérament, les [C] cocotiers, les palaces et les sables blancs.
_ [Bm] Ils n'iront jamais par ici.
_ [C] _ _
_ [Bm] _ Ils m'arrêtent de boire des pupons le soir.
[C] Ça rassure.
_ _ [Bm] Alors allez-y.
Ici [C] dans le septembre, _ tout le monde peut [Bm] venir.
Ici dans le septembre, il n'y a rien. _
Comme était l'ouverture,
si [F#m] l'espace avant [C] s'éteint.
_ [Bm] Son rapide terrain,
_ comme un vente,
et [A] le rhumage, c'est [B] là.
Va-t-en !
[Bm] _ [B] _
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Un soleil épaulant tourne dans le ciel, et des pauvres paysages [Bm] en taillent le ciel.
Je sais que vous ne pensez à l'ombre de l'encre, ou à l'ombre de la serre en allumant la flotte.
_ _ _ [G] _ [B] _
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_ _ _ Eh bien, il vous le croit, sous le cheval rouge, son fusil en bandoulière qui tourne des clous.
[Bm] À travers ce désert, asséchez la main, pour chercher quelques fausaires.
À Caloum, les terrains, les tueurs, _ les biens, [C] le _
[Bm] temps s'est arrêté.
_ En [C#m] taille, il y a du [B] bois, en bleu. _ _ _ _ _
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[C#] _ _ [B] _ _ _ _ _ _
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_ _ _ _ _ _ [D] Le grand fer, le sol amour, [D#] se concentre à l'isle de l'encre.
Le poussin, le pauvre palais d'amour, [C] avec les quadruples, [Bm] le rhumage.
_ [B] _ _ _ _ _ _ _
_ [D] Il retourne les fois dans le cachot, mais il se le désespoir, comme [A#] le loup.
Il n'a pas tout le rhumage, mais il attend, avec son pomme à mignon, un corps qui [Bm] s'éteint.
_ [E] C'est tard, [D] _ _ _ c'est tard, c'est tard, c'est tard, c'est tard, c'est tard, c'est tard, c'est tard.
Ensoleillé, beau de rose, le long ciel, il est dans le paysage de tes renseignements.
Au passage, le boudin blond, le roi Kogacé doit l'aimer.
C'est tard, c'est tard, c'est [N] tard, c'est tard, c'est tard, c'est tard, c'est tard, c'est tard, c'est tard. _