Chords for Bernard Lavilliers vivre encore
Tempo:
72 bpm
Chords used:
Dm
Gm
Am
D
A
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret

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A fréquenter, moi, aller devant.
Donc comme une espèce de challenge, j'ai souvent fait ça dans ma vie.
Et j'ai terriblement un manque de peur qui fait que je peux faire un peu n'importe quoi.
Ça m'arrive.
Mais vivre encore c'est continuer à créer, continuer à aimer, continuer à rebâtir, partir de zéro, avoir la force.
Quand tu n'entends plus dans ton [Gm] cœur trop lourd battre ton sang noir, voilé les [D] tambours.
Et que le soleil, comme une [Am] blessure, est placé à la nuit quand la [Gm] mort rassure.
[Dm] Faut vivre encore.
Combien de ratures, combien [Gm] de nuits blanches pour toucher de près ce sang [Dm] qui me hante.
Ce qu'il faut de sang pour donner [Am] la vie, ce qu'il faut de temps pour [Gm] toucher l'oubli.
[Dm] Et vivre encore, vivre encore, [Am] vivre comme un cri, [Dm] cri du sang, [Am] de l'amour aussi.
[Gm] Vivre ailleurs, [Dm] survivre ici,
[Am] la bataille n'est [Gm] jamais finie.
[Dm] Quel vainqueur.
Ce qu'il faut courir pour avoir [Gm] le souffle, ce qu'il faut sentir au [Dm]-dessus du gouffre.
Ce qu'il faut cacher [Am] pour un mot d'amour, ce qu'il faut tuer pour [Gm] revoir le jour.
[Dm] Et vivre encore, vivre encore, [Am] vivre comme un cri, [Dm] cri du sang, [Am] de l'amour aussi.
[Gm] Vivre ailleurs,
[Dm] survivre ici, [Am] la bataille n'est jamais [Gm] finie.
[Dm] Quel vainqueur.
[Am]
[Dm]
[Am] [Gm]
[Dm] Ce qu'il faut lâcher pour cette [Gm] altitude, ce qu'il faut forcer pour la [Dm] solitude.
Faut de la présence pour tenir [Am] la scène, prendre des distances pour [Gm] tenir la sienne.
[Dm] Et vivre encore, vivre encore, [Am] vivre comme un cri, [Dm] cri du sang, [Am] de l'amour aussi.
[Gm] Vivre ailleurs, [Dm] survivre ici, [Am] la bataille n'est [Gm] jamais finie.
[Dm] Quel vainqueur.
[D]
Quand tu n'entends plus dans ton [Gm] cœur trop lourd battre ton son noir, voiler les [D] tambours.
Et quand le soleil, comme une [Am] blessure, fait place à la nuit, quand la [Gm] mort a su.
[Dm] Faut vivre encore,
[D] [A] vivre [D] encore, [A] vivre encore.
[D]
Merci Bernard Lavillier d'être passé par chez nous.
Le mot de la fin vous appartient.
Ah ouais.
La lucidité est la blessure la plus proche du soleil.
[D] Une phrase à méditer donc.
Merci en tout cas Bernard Lavillier, longue route à vous.
Merci à vous.
Et à votre album [Bm] Baron Samedi.
Merci.
[A] [A#]
[Fm] [C#] [N]
Donc comme une espèce de challenge, j'ai souvent fait ça dans ma vie.
Et j'ai terriblement un manque de peur qui fait que je peux faire un peu n'importe quoi.
Ça m'arrive.
Mais vivre encore c'est continuer à créer, continuer à aimer, continuer à rebâtir, partir de zéro, avoir la force.
Quand tu n'entends plus dans ton [Gm] cœur trop lourd battre ton sang noir, voilé les [D] tambours.
Et que le soleil, comme une [Am] blessure, est placé à la nuit quand la [Gm] mort rassure.
[Dm] Faut vivre encore.
Combien de ratures, combien [Gm] de nuits blanches pour toucher de près ce sang [Dm] qui me hante.
Ce qu'il faut de sang pour donner [Am] la vie, ce qu'il faut de temps pour [Gm] toucher l'oubli.
[Dm] Et vivre encore, vivre encore, [Am] vivre comme un cri, [Dm] cri du sang, [Am] de l'amour aussi.
[Gm] Vivre ailleurs, [Dm] survivre ici,
[Am] la bataille n'est [Gm] jamais finie.
[Dm] Quel vainqueur.
Ce qu'il faut courir pour avoir [Gm] le souffle, ce qu'il faut sentir au [Dm]-dessus du gouffre.
Ce qu'il faut cacher [Am] pour un mot d'amour, ce qu'il faut tuer pour [Gm] revoir le jour.
[Dm] Et vivre encore, vivre encore, [Am] vivre comme un cri, [Dm] cri du sang, [Am] de l'amour aussi.
[Gm] Vivre ailleurs,
[Dm] survivre ici, [Am] la bataille n'est jamais [Gm] finie.
[Dm] Quel vainqueur.
[Am]
[Dm]
[Am] [Gm]
[Dm] Ce qu'il faut lâcher pour cette [Gm] altitude, ce qu'il faut forcer pour la [Dm] solitude.
Faut de la présence pour tenir [Am] la scène, prendre des distances pour [Gm] tenir la sienne.
[Dm] Et vivre encore, vivre encore, [Am] vivre comme un cri, [Dm] cri du sang, [Am] de l'amour aussi.
[Gm] Vivre ailleurs, [Dm] survivre ici, [Am] la bataille n'est [Gm] jamais finie.
[Dm] Quel vainqueur.
[D]
Quand tu n'entends plus dans ton [Gm] cœur trop lourd battre ton son noir, voiler les [D] tambours.
Et quand le soleil, comme une [Am] blessure, fait place à la nuit, quand la [Gm] mort a su.
[Dm] Faut vivre encore,
[D] [A] vivre [D] encore, [A] vivre encore.
[D]
Merci Bernard Lavillier d'être passé par chez nous.
Le mot de la fin vous appartient.
Ah ouais.
La lucidité est la blessure la plus proche du soleil.
[D] Une phrase à méditer donc.
Merci en tout cas Bernard Lavillier, longue route à vous.
Merci à vous.
Et à votre album [Bm] Baron Samedi.
Merci.
[A] [A#]
[Fm] [C#] [N]
Key:
Dm
Gm
Am
D
A
Dm
Gm
Am
A fréquenter, moi, aller devant.
Donc comme une espèce de challenge, j'ai souvent fait ça dans ma vie.
Et j'ai terriblement un manque de peur qui fait que je peux faire un peu n'importe quoi.
Ça m'arrive.
Mais vivre encore c'est continuer à créer, continuer à aimer, continuer à rebâtir, partir de zéro, avoir la force.
Quand _ _ _ _ _ _ _
tu n'entends plus dans ton [Gm] cœur trop lourd battre ton sang noir, voilé les [D] tambours.
Et que le soleil, comme une [Am] blessure, est placé à la nuit quand la [Gm] mort rassure.
_ [Dm] Faut vivre encore. _ _
Combien de ratures, combien [Gm] de nuits blanches pour toucher de près ce sang [Dm] qui me hante.
Ce qu'il faut de sang pour donner [Am] la vie, ce qu'il faut de temps pour [Gm] toucher l'oubli.
_ [Dm] Et vivre encore, _ vivre encore, _ [Am] vivre comme un cri, _ [Dm] cri du sang, _ [Am] de l'amour aussi.
_ [Gm] Vivre ailleurs, _ [Dm] survivre ici, _ _
[Am] la bataille n'est [Gm] jamais finie.
_ [Dm] Quel vainqueur.
Ce _ _ _ _ qu'il faut courir pour avoir [Gm] le souffle, ce qu'il faut sentir au [Dm]-dessus du gouffre.
Ce qu'il faut cacher [Am] pour un mot d'amour, ce qu'il faut tuer pour [Gm] revoir le jour. _
[Dm] Et vivre encore, _ vivre encore, _ [Am] vivre comme un cri, _ [Dm] cri du sang, _ [Am] de l'amour aussi.
_ [Gm] Vivre ailleurs, _ _
[Dm] survivre ici, _ _ [Am] la bataille n'est jamais [Gm] finie. _
[Dm] Quel vainqueur.
_ _ [Am] _ _
_ _ [Dm] _ _ _ _
[Am] _ _ _ _ [Gm] _ _
_ _ [Dm] Ce qu'il faut lâcher pour cette [Gm] altitude, ce qu'il faut forcer pour la [Dm] solitude.
Faut de la présence pour tenir [Am] la scène, prendre des distances pour [Gm] tenir la sienne.
_ [Dm] Et vivre encore, _ vivre encore, _ [Am] vivre comme un cri, _ [Dm] cri du sang, _ [Am] de l'amour aussi. _
[Gm] Vivre ailleurs, _ _ [Dm] survivre ici, _ _ [Am] la bataille n'est [Gm] jamais finie.
_ [Dm] Quel vainqueur.
_ _ _ [D] _ _ _
Quand tu n'entends plus dans ton [Gm] cœur trop lourd battre ton son noir, voiler les [D] tambours.
Et quand le soleil, comme une [Am] blessure, fait place à la nuit, quand la [Gm] mort a su.
_ [Dm] Faut vivre encore, _ _
_ [D] _ _ [A] vivre [D] encore, _ _ _ _ _
[A] vivre encore.
[D] _ _ _ _
_ _ Merci Bernard Lavillier d'être passé par chez nous.
Le mot de la fin vous appartient.
Ah ouais. _ _
La lucidité est la blessure la plus proche du soleil.
[D] Une phrase à méditer donc.
Merci en tout cas Bernard Lavillier, longue route à vous.
Merci à vous.
Et à votre album [Bm] Baron Samedi.
Merci. _ _ _
[A] _ _ _ _ [A#] _ _
[Fm] _ _ [C#] _ _ _ [N] _
Donc comme une espèce de challenge, j'ai souvent fait ça dans ma vie.
Et j'ai terriblement un manque de peur qui fait que je peux faire un peu n'importe quoi.
Ça m'arrive.
Mais vivre encore c'est continuer à créer, continuer à aimer, continuer à rebâtir, partir de zéro, avoir la force.
Quand _ _ _ _ _ _ _
tu n'entends plus dans ton [Gm] cœur trop lourd battre ton sang noir, voilé les [D] tambours.
Et que le soleil, comme une [Am] blessure, est placé à la nuit quand la [Gm] mort rassure.
_ [Dm] Faut vivre encore. _ _
Combien de ratures, combien [Gm] de nuits blanches pour toucher de près ce sang [Dm] qui me hante.
Ce qu'il faut de sang pour donner [Am] la vie, ce qu'il faut de temps pour [Gm] toucher l'oubli.
_ [Dm] Et vivre encore, _ vivre encore, _ [Am] vivre comme un cri, _ [Dm] cri du sang, _ [Am] de l'amour aussi.
_ [Gm] Vivre ailleurs, _ [Dm] survivre ici, _ _
[Am] la bataille n'est [Gm] jamais finie.
_ [Dm] Quel vainqueur.
Ce _ _ _ _ qu'il faut courir pour avoir [Gm] le souffle, ce qu'il faut sentir au [Dm]-dessus du gouffre.
Ce qu'il faut cacher [Am] pour un mot d'amour, ce qu'il faut tuer pour [Gm] revoir le jour. _
[Dm] Et vivre encore, _ vivre encore, _ [Am] vivre comme un cri, _ [Dm] cri du sang, _ [Am] de l'amour aussi.
_ [Gm] Vivre ailleurs, _ _
[Dm] survivre ici, _ _ [Am] la bataille n'est jamais [Gm] finie. _
[Dm] Quel vainqueur.
_ _ [Am] _ _
_ _ [Dm] _ _ _ _
[Am] _ _ _ _ [Gm] _ _
_ _ [Dm] Ce qu'il faut lâcher pour cette [Gm] altitude, ce qu'il faut forcer pour la [Dm] solitude.
Faut de la présence pour tenir [Am] la scène, prendre des distances pour [Gm] tenir la sienne.
_ [Dm] Et vivre encore, _ vivre encore, _ [Am] vivre comme un cri, _ [Dm] cri du sang, _ [Am] de l'amour aussi. _
[Gm] Vivre ailleurs, _ _ [Dm] survivre ici, _ _ [Am] la bataille n'est [Gm] jamais finie.
_ [Dm] Quel vainqueur.
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Quand tu n'entends plus dans ton [Gm] cœur trop lourd battre ton son noir, voiler les [D] tambours.
Et quand le soleil, comme une [Am] blessure, fait place à la nuit, quand la [Gm] mort a su.
_ [Dm] Faut vivre encore, _ _
_ [D] _ _ [A] vivre [D] encore, _ _ _ _ _
[A] vivre encore.
[D] _ _ _ _
_ _ Merci Bernard Lavillier d'être passé par chez nous.
Le mot de la fin vous appartient.
Ah ouais. _ _
La lucidité est la blessure la plus proche du soleil.
[D] Une phrase à méditer donc.
Merci en tout cas Bernard Lavillier, longue route à vous.
Merci à vous.
Et à votre album [Bm] Baron Samedi.
Merci. _ _ _
[A] _ _ _ _ [A#] _ _
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