Besoin de rien Chords by Grand Corps Malade, Ben Mazué, Gaël Faye
Tempo:
123.95 bpm
Chords used:
G
C
Am
Em
B
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
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Après pourquoi pas, en terme d'apéro je trouve que c'est pour moi c'est mieux.
Ouais, ça aussi.
[Gb] [E]
[A] [G]
Ben, il en sent quoi là ?
[Eb]
C'est peut-être sur des chipsters.
Excusez-moi je vais [G] un peu
Ouais, [Eb] faut que tu tiennes la voix.
[N]
Un herfre donné dans sa chambre, ou bien sous un abribus,
des mots qui s'invitent et s'inventent, pas besoin de beaucoup [G] plus.
Appelle ça de l'art brut, de l'art sauvage, appelle ça de l'art nu.
Quant à scène est un champ, un voyage, ou un banc au bout de l'avenue.
Un banc au bout de l'avenue devient un désert ou [C] lagune,
enfant de la lune, de la rue, balle poussière mélopée du bitume.
Nos voies traversent l'espace, les frontières imposées,
des mots claquent dans l'air en tonnerre pour ne jamais [G] retomber.
Pour ne jamais retomber, dans nos plus mauvais travers,
rester dans la [C] vraie vie ancrée, oublier [G] les métavères,
se satisfaire de très peu et voir ce que l'on devient,
regarder le [C] vrai dans les yeux et n'avoir [G] besoin de rien.
N'avoir besoin de rien, sauf de mes rimes et de mes frères de plume.
On se [C] détache de tout, donc on ne [G] perdra plus.
Retirer l'armature, relier nos cœurs, nos esprits, nos âmes,
autour d'un [C] verre, d'un feu, d'un [G] arbre à palabres.
D'un feu, d'un arbre à palabres, d'un jeu, d'une flamme bavarde,
un vieux [C] retard de ses larmes, une œuvre [G] d'art se balade,
une œuvre d'art innocente qui naît d'un esprit ignare,
une lumière [C] incandescente issue d'un [G] souffle oratoire.
Issue d'un souffle oratoire, au commencement était la parole,
j'ai feuille [Am] des bouquets de prose, aux [G] mélodies corolles,
je chantonne des gospels de l'âme pour les grands enfants tristes.
Il est l'heure, [Am] messieurs, mesdames, que nos poèmes [G] rentrent en piste.
Que nos poèmes rentrent en piste, même s'ils ne trouvent pas d'oreilles,
ils auront toujours [Am] le mérite de s'élever [G] vers les soleils,
vers les soleils et les lunes qu'ils auront eux-mêmes inventés.
Ils se créeront leur [C] propre route, se [G] sentant toujours inventés.
Vers les soleils et les lunes qu'ils auront eux [Em]-mêmes inventés,
ils se créeront [Am] leur propre route, se sentant [G] toujours inventés.
Je te connais, toi, t'es sourd et triste,
et tout le temps [Am] pendu, les allées, les pensées qui [G] brisent ton moral.
Ton instant [B] regarde-moi, [G]
et jusqu'à ce qu'on soit [C] séparés,
rejoins-moi [G] sur cette chorale.
Je te connais, [B] toi, t'es sourd et [Em] triste,
et je te connais, [G] toi, t'es tout le temps [C] pendu,
les allées, les [D] pensées qui [G] brisent ton moral.
Ton instant [B] regarde-moi, [Em]
et jusqu'à [G] ce qu'on soit [C] séparés,
prends l'instinct [Am] qui reste en toi, [G]
rejoins-moi sans rien présager.
Ton instant [B] regarde-moi, [Em]
et jusqu'à [Dm] ce qu'on soit [C] séparés,
prends l'instinct [D] qui reste en toi, [G]
rejoins-moi sans rien présager.
J'ai besoin de rien, mais j'ai tout donné,
je vois loin la vie que j'ai rêvée,
[Am] je suis sûr demain je vais [G] la trouver,
je vais la toucher cette vie, je te promets.
J'ai besoin de rien, je vais tout donner,
de mauvais chemin, tout recommencer.
J'ai besoin de rien, j'ai besoin de rien,
j'ai besoin de rien, j'ai besoin de rien.
Que le bruit parier, que le papillier,
qu'on en appuie sur le papier,
qu'on les manier, et les marier,
à la moitié, à la moitié,
que l'escalier [B] nous bannier,
[Em] si sacré, [G] si humanier,
[C] qu'on le bradier, [G] qu'on nous ranier,
que le paravies stratifié, qu'on fait extasier,
On est extasié, j'ai besoin de rien.
On est extasié, j'ai besoin de rien.
On est extasié, j'ai besoin de rien.
J'ai besoin [B] [Em]
[G] [C] de [D] [G]
rien.
[Am]
[Cm]
[Am] [N]
Ouais, ça aussi.
[Gb] [E]
[A] [G]
Ben, il en sent quoi là ?
[Eb]
C'est peut-être sur des chipsters.
Excusez-moi je vais [G] un peu
Ouais, [Eb] faut que tu tiennes la voix.
[N]
Un herfre donné dans sa chambre, ou bien sous un abribus,
des mots qui s'invitent et s'inventent, pas besoin de beaucoup [G] plus.
Appelle ça de l'art brut, de l'art sauvage, appelle ça de l'art nu.
Quant à scène est un champ, un voyage, ou un banc au bout de l'avenue.
Un banc au bout de l'avenue devient un désert ou [C] lagune,
enfant de la lune, de la rue, balle poussière mélopée du bitume.
Nos voies traversent l'espace, les frontières imposées,
des mots claquent dans l'air en tonnerre pour ne jamais [G] retomber.
Pour ne jamais retomber, dans nos plus mauvais travers,
rester dans la [C] vraie vie ancrée, oublier [G] les métavères,
se satisfaire de très peu et voir ce que l'on devient,
regarder le [C] vrai dans les yeux et n'avoir [G] besoin de rien.
N'avoir besoin de rien, sauf de mes rimes et de mes frères de plume.
On se [C] détache de tout, donc on ne [G] perdra plus.
Retirer l'armature, relier nos cœurs, nos esprits, nos âmes,
autour d'un [C] verre, d'un feu, d'un [G] arbre à palabres.
D'un feu, d'un arbre à palabres, d'un jeu, d'une flamme bavarde,
un vieux [C] retard de ses larmes, une œuvre [G] d'art se balade,
une œuvre d'art innocente qui naît d'un esprit ignare,
une lumière [C] incandescente issue d'un [G] souffle oratoire.
Issue d'un souffle oratoire, au commencement était la parole,
j'ai feuille [Am] des bouquets de prose, aux [G] mélodies corolles,
je chantonne des gospels de l'âme pour les grands enfants tristes.
Il est l'heure, [Am] messieurs, mesdames, que nos poèmes [G] rentrent en piste.
Que nos poèmes rentrent en piste, même s'ils ne trouvent pas d'oreilles,
ils auront toujours [Am] le mérite de s'élever [G] vers les soleils,
vers les soleils et les lunes qu'ils auront eux-mêmes inventés.
Ils se créeront leur [C] propre route, se [G] sentant toujours inventés.
Vers les soleils et les lunes qu'ils auront eux [Em]-mêmes inventés,
ils se créeront [Am] leur propre route, se sentant [G] toujours inventés.
Je te connais, toi, t'es sourd et triste,
et tout le temps [Am] pendu, les allées, les pensées qui [G] brisent ton moral.
Ton instant [B] regarde-moi, [G]
et jusqu'à ce qu'on soit [C] séparés,
rejoins-moi [G] sur cette chorale.
Je te connais, [B] toi, t'es sourd et [Em] triste,
et je te connais, [G] toi, t'es tout le temps [C] pendu,
les allées, les [D] pensées qui [G] brisent ton moral.
Ton instant [B] regarde-moi, [Em]
et jusqu'à [G] ce qu'on soit [C] séparés,
prends l'instinct [Am] qui reste en toi, [G]
rejoins-moi sans rien présager.
Ton instant [B] regarde-moi, [Em]
et jusqu'à [Dm] ce qu'on soit [C] séparés,
prends l'instinct [D] qui reste en toi, [G]
rejoins-moi sans rien présager.
J'ai besoin de rien, mais j'ai tout donné,
je vois loin la vie que j'ai rêvée,
[Am] je suis sûr demain je vais [G] la trouver,
je vais la toucher cette vie, je te promets.
J'ai besoin de rien, je vais tout donner,
de mauvais chemin, tout recommencer.
J'ai besoin de rien, j'ai besoin de rien,
j'ai besoin de rien, j'ai besoin de rien.
Que le bruit parier, que le papillier,
qu'on en appuie sur le papier,
qu'on les manier, et les marier,
à la moitié, à la moitié,
que l'escalier [B] nous bannier,
[Em] si sacré, [G] si humanier,
[C] qu'on le bradier, [G] qu'on nous ranier,
que le paravies stratifié, qu'on fait extasier,
On est extasié, j'ai besoin de rien.
On est extasié, j'ai besoin de rien.
On est extasié, j'ai besoin de rien.
J'ai besoin [B] [Em]
[G] [C] de [D] [G]
rien.
[Am]
[Cm]
[Am] [N]
Key:
G
C
Am
Em
B
G
C
Am
_ _ _ _ Après pourquoi pas, en terme d'apéro je trouve que c'est pour moi c'est mieux.
Ouais, _ _ _ _ ça aussi. _ _ _
_ [Gb] _ _ [E] _ _ _ _ _
_ _ [A] _ _ _ [G] _ _ _
Ben, il en sent quoi là ?
[Eb] _
C'est peut-être sur des chipsters.
_ Excusez-moi je vais [G] un peu_
Ouais, [Eb] faut que tu tiennes la voix.
_ [N] _ _ _ _
_ _ _ _ _ _ _ _
Un herfre donné dans sa chambre, ou bien sous un abribus,
des mots qui s'invitent et s'inventent, pas besoin de beaucoup [G] plus.
Appelle ça de l'art brut, de l'art sauvage, appelle ça de l'art nu.
Quant à scène est un champ, un voyage, ou un banc au bout de l'avenue.
Un banc au bout de l'avenue devient un désert ou [C] lagune,
enfant de la lune, de la rue, balle poussière mélopée du bitume.
Nos voies traversent l'espace, les frontières imposées,
des mots claquent dans l'air en tonnerre pour ne jamais [G] retomber.
Pour ne jamais retomber, dans nos plus mauvais travers,
rester dans la [C] vraie vie ancrée, oublier [G] les métavères,
se satisfaire de très peu et voir ce que l'on devient,
regarder le [C] vrai dans les yeux et n'avoir [G] besoin de rien.
N'avoir besoin de rien, sauf de mes rimes et de mes frères de plume.
On se [C] détache de tout, donc on ne [G] perdra plus.
_ Retirer l'armature, relier nos cœurs, nos esprits, nos âmes,
autour d'un [C] verre, d'un feu, d'un [G] arbre à palabres.
D'un feu, d'un arbre à palabres, d'un jeu, d'une flamme bavarde,
un vieux [C] retard de ses larmes, une œuvre [G] d'art se balade,
une œuvre d'art innocente qui naît d'un esprit ignare,
une lumière [C] incandescente issue d'un [G] souffle oratoire.
Issue d'un souffle oratoire, au commencement était la parole,
j'ai feuille [Am] des bouquets de prose, aux [G] mélodies corolles,
je chantonne des gospels de l'âme pour les grands enfants tristes.
Il est l'heure, [Am] messieurs, mesdames, que nos poèmes [G] rentrent en piste.
Que nos poèmes rentrent en piste, même s'ils ne trouvent pas d'oreilles,
ils auront toujours [Am] le mérite de s'élever [G] vers les soleils,
vers les soleils et les lunes qu'ils auront eux-mêmes inventés.
Ils se créeront leur [C] propre route, se [G] sentant toujours inventés.
Vers les soleils et les lunes qu'ils auront eux [Em]-mêmes inventés,
ils se créeront [Am] leur propre route, se sentant [G] toujours inventés.
_ Je te connais, toi, t'es sourd et triste,
et tout le temps [Am] pendu, les allées, les pensées qui [G] brisent ton moral.
_ _ Ton instant [B] regarde-moi, [G]
et jusqu'à ce qu'on soit [C] séparés,
_ rejoins-moi [G] sur cette chorale.
_ Je te connais, [B] toi, t'es sourd et [Em] triste,
et je te connais, [G] toi, t'es tout le temps [C] pendu,
les allées, les [D] pensées qui [G] brisent ton moral.
_ _ Ton instant [B] regarde-moi, [Em]
et jusqu'à [G] ce qu'on soit [C] séparés,
prends l'instinct [Am] qui reste en toi, [G]
rejoins-moi sans rien présager.
Ton instant [B] regarde-moi, [Em]
et jusqu'à [Dm] ce qu'on soit [C] séparés,
prends l'instinct [D] qui reste en toi, [G]
rejoins-moi sans rien présager.
J'ai besoin de rien, mais j'ai tout donné,
je vois loin la vie que j'ai rêvée,
[Am] je suis sûr demain je vais [G] la trouver,
je vais la toucher cette vie, je te promets.
J'ai besoin de rien, je vais tout donner,
de mauvais chemin, tout recommencer.
J'ai besoin de rien, j'ai besoin de rien,
j'ai besoin de rien, j'ai besoin de rien.
Que le bruit parier, que le papillier,
qu'on en appuie sur le papier,
qu'on les manier, et les marier,
à la moitié, à la moitié,
que l'escalier [B] nous bannier,
[Em] si sacré, [G] si humanier,
[C] qu'on le bradier, [G] qu'on nous ranier,
que le paravies stratifié, qu'on fait extasier,
On est extasié, j'ai besoin de rien.
On est extasié, j'ai besoin de rien.
On est extasié, j'ai besoin de rien.
J'ai besoin _ _ [B] _ _ [Em] _
_ [G] _ [C] de _ [D] _ _ [G] _
rien_. _ _ _ _ _ _
_ _ _ [Am] _ _ _ _ _
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_ [Cm] _ _ _ _ _ _ _
[Am] _ _ _ _ [N] _ _ _ _
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Ouais, _ _ _ _ ça aussi. _ _ _
_ [Gb] _ _ [E] _ _ _ _ _
_ _ [A] _ _ _ [G] _ _ _
Ben, il en sent quoi là ?
[Eb] _
C'est peut-être sur des chipsters.
_ Excusez-moi je vais [G] un peu_
Ouais, [Eb] faut que tu tiennes la voix.
_ [N] _ _ _ _
_ _ _ _ _ _ _ _
Un herfre donné dans sa chambre, ou bien sous un abribus,
des mots qui s'invitent et s'inventent, pas besoin de beaucoup [G] plus.
Appelle ça de l'art brut, de l'art sauvage, appelle ça de l'art nu.
Quant à scène est un champ, un voyage, ou un banc au bout de l'avenue.
Un banc au bout de l'avenue devient un désert ou [C] lagune,
enfant de la lune, de la rue, balle poussière mélopée du bitume.
Nos voies traversent l'espace, les frontières imposées,
des mots claquent dans l'air en tonnerre pour ne jamais [G] retomber.
Pour ne jamais retomber, dans nos plus mauvais travers,
rester dans la [C] vraie vie ancrée, oublier [G] les métavères,
se satisfaire de très peu et voir ce que l'on devient,
regarder le [C] vrai dans les yeux et n'avoir [G] besoin de rien.
N'avoir besoin de rien, sauf de mes rimes et de mes frères de plume.
On se [C] détache de tout, donc on ne [G] perdra plus.
_ Retirer l'armature, relier nos cœurs, nos esprits, nos âmes,
autour d'un [C] verre, d'un feu, d'un [G] arbre à palabres.
D'un feu, d'un arbre à palabres, d'un jeu, d'une flamme bavarde,
un vieux [C] retard de ses larmes, une œuvre [G] d'art se balade,
une œuvre d'art innocente qui naît d'un esprit ignare,
une lumière [C] incandescente issue d'un [G] souffle oratoire.
Issue d'un souffle oratoire, au commencement était la parole,
j'ai feuille [Am] des bouquets de prose, aux [G] mélodies corolles,
je chantonne des gospels de l'âme pour les grands enfants tristes.
Il est l'heure, [Am] messieurs, mesdames, que nos poèmes [G] rentrent en piste.
Que nos poèmes rentrent en piste, même s'ils ne trouvent pas d'oreilles,
ils auront toujours [Am] le mérite de s'élever [G] vers les soleils,
vers les soleils et les lunes qu'ils auront eux-mêmes inventés.
Ils se créeront leur [C] propre route, se [G] sentant toujours inventés.
Vers les soleils et les lunes qu'ils auront eux [Em]-mêmes inventés,
ils se créeront [Am] leur propre route, se sentant [G] toujours inventés.
_ Je te connais, toi, t'es sourd et triste,
et tout le temps [Am] pendu, les allées, les pensées qui [G] brisent ton moral.
_ _ Ton instant [B] regarde-moi, [G]
et jusqu'à ce qu'on soit [C] séparés,
_ rejoins-moi [G] sur cette chorale.
_ Je te connais, [B] toi, t'es sourd et [Em] triste,
et je te connais, [G] toi, t'es tout le temps [C] pendu,
les allées, les [D] pensées qui [G] brisent ton moral.
_ _ Ton instant [B] regarde-moi, [Em]
et jusqu'à [G] ce qu'on soit [C] séparés,
prends l'instinct [Am] qui reste en toi, [G]
rejoins-moi sans rien présager.
Ton instant [B] regarde-moi, [Em]
et jusqu'à [Dm] ce qu'on soit [C] séparés,
prends l'instinct [D] qui reste en toi, [G]
rejoins-moi sans rien présager.
J'ai besoin de rien, mais j'ai tout donné,
je vois loin la vie que j'ai rêvée,
[Am] je suis sûr demain je vais [G] la trouver,
je vais la toucher cette vie, je te promets.
J'ai besoin de rien, je vais tout donner,
de mauvais chemin, tout recommencer.
J'ai besoin de rien, j'ai besoin de rien,
j'ai besoin de rien, j'ai besoin de rien.
Que le bruit parier, que le papillier,
qu'on en appuie sur le papier,
qu'on les manier, et les marier,
à la moitié, à la moitié,
que l'escalier [B] nous bannier,
[Em] si sacré, [G] si humanier,
[C] qu'on le bradier, [G] qu'on nous ranier,
que le paravies stratifié, qu'on fait extasier,
On est extasié, j'ai besoin de rien.
On est extasié, j'ai besoin de rien.
On est extasié, j'ai besoin de rien.
J'ai besoin _ _ [B] _ _ [Em] _
_ [G] _ [C] de _ [D] _ _ [G] _
rien_. _ _ _ _ _ _
_ _ _ [Am] _ _ _ _ _
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_ [Cm] _ _ _ _ _ _ _
[Am] _ _ _ _ [N] _ _ _ _
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