Chords for Bourvil - Les crayons - Paroles (Lyrics)
Tempo:
124.15 bpm
Chords used:
C
Fm
F
Ab
Gm
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
Start Jamming...
[Fm] [G] [C] [Db] Elle n [Ab]'avait pas de [Fm] parents, puisque [Cm] elle était [C] orpheline.
Comme elle n'avait pas d'argent, ce n'était pas une [Db] [C] richessie.
[Bb] [Fm] Elle eusse [C] pendant [Fm] des parents, [C] mais ils ne l'avaient pas reconnue.
Si bien que la [Fm] pauvre [Ab] enfant, [D] on la [Db] surnomma l [C]'inconnue.
[F] Elle vendait des cartes postales, puis aussi des [Gm]
[C] crayons.
Car sa destinée fatale, c'était de vendre des [Fm] crayons.
[Dm] [F] Elle disait aux gens de la rue, voulez [C]-vous des crayons ?
Mais reconnaissant l'inconnue, il disait toujours [F] non, [C] si c'était [Gm] [C] [F] triste.
[Ab] C'est triste quand même de ne pas reconnaître son enfant.
Il ne faut pas être physionomiste.
Il me semble que si j'avais un enfant, moi je le reconnaîtrais.
A condition qu'il me ressemble, naturellement.
C'était rudement il m'entend, qu'elle étalait son petit [C] panier.
Pour attirer les clients, elle remuait un peu son [Fm] panier.
Mais [C] un jour un [Fm] vagabond, qui [C] passait auprès de son panier,
lui a pris tous ses [Fm] crayons.
[Eb]
[D] [Db] Alors elle s'est mise à [C] crier, [F] voulez-vous des cartes postales ?
Je n'ai plus de [Gm] crayons.
[C] Mais les gens, chose banale, ne voulaient plus que des crayons.
[Dm] [F] Quand elle disait dans la rue, qu'elle avait [C] des crayons,
ils disaient à l'inconnue, tes crayons ne sont pas bons, [Ebm] [Gm] c'est ce qui est [C] [F] triste.
[G] C'est triste quand même.
Elle n'avait plus de crayons.
Forcément, elle se baladait avec son panier à découvert, n'est-ce pas ?
Alors le vagabond, lui, il a pris tous ses crayons.
Comme ça, elle n'en avait plus.
C'est vrai qu'elle n'en avait pas besoin, puisqu'elle n'en vendait jamais.
[Fm] Un marchand [Ab] de crayons [D] en gros, [Fm] lui dit, viens chez moi [C] mon enfant,
je t'en ferai voir des beaux, je ne te demanderai [Db] pas d [Fm]'argent.
Ce fut [C] un drôle de [Ab] marcher, [C] car c'était un drôle de marchand,
et elle l'a [Fm] senti passer, [Eb] [D] car elle en [Db] a eu [C] un enfant.
[Ab] C'est triste quand même d'abuser d'une inconnue comme ça.
C'est vrai qu'elle était faible aussi, c'est pas parce qu'il disait qu'il était un marchand de [G] crayons en gros,
qu'enfin elle avait un enfant.
Elle avait bonne mine, si seulement elle avait une mine de crayons.
Mais non, c'est ça qui la minait.
Alors quand elle a vu ça, elle a abandonné son enfant.
[A] Puis qu'est-ce qu'elle a fait [Ab] plus tard, cet enfant ?
[F] Elle vendait des cartes postales, puis aussi [Gm] des crayons,
[C] car sa destinée fatale, c'était de vendre des [F]
[Ab] crayons.
[F] Elle disait aux gens de la rue,
«Voulez [Gm]-vous des [C] crayons ?
»
Mais reconnaissant l'inconnue,
il disait toujours non.
C'est ça qui [Gm] est [F] triste.
Comme elle n'avait pas d'argent, ce n'était pas une [Db] [C] richessie.
[Bb] [Fm] Elle eusse [C] pendant [Fm] des parents, [C] mais ils ne l'avaient pas reconnue.
Si bien que la [Fm] pauvre [Ab] enfant, [D] on la [Db] surnomma l [C]'inconnue.
[F] Elle vendait des cartes postales, puis aussi des [Gm]
[C] crayons.
Car sa destinée fatale, c'était de vendre des [Fm] crayons.
[Dm] [F] Elle disait aux gens de la rue, voulez [C]-vous des crayons ?
Mais reconnaissant l'inconnue, il disait toujours [F] non, [C] si c'était [Gm] [C] [F] triste.
[Ab] C'est triste quand même de ne pas reconnaître son enfant.
Il ne faut pas être physionomiste.
Il me semble que si j'avais un enfant, moi je le reconnaîtrais.
A condition qu'il me ressemble, naturellement.
C'était rudement il m'entend, qu'elle étalait son petit [C] panier.
Pour attirer les clients, elle remuait un peu son [Fm] panier.
Mais [C] un jour un [Fm] vagabond, qui [C] passait auprès de son panier,
lui a pris tous ses [Fm] crayons.
[Eb]
[D] [Db] Alors elle s'est mise à [C] crier, [F] voulez-vous des cartes postales ?
Je n'ai plus de [Gm] crayons.
[C] Mais les gens, chose banale, ne voulaient plus que des crayons.
[Dm] [F] Quand elle disait dans la rue, qu'elle avait [C] des crayons,
ils disaient à l'inconnue, tes crayons ne sont pas bons, [Ebm] [Gm] c'est ce qui est [C] [F] triste.
[G] C'est triste quand même.
Elle n'avait plus de crayons.
Forcément, elle se baladait avec son panier à découvert, n'est-ce pas ?
Alors le vagabond, lui, il a pris tous ses crayons.
Comme ça, elle n'en avait plus.
C'est vrai qu'elle n'en avait pas besoin, puisqu'elle n'en vendait jamais.
[Fm] Un marchand [Ab] de crayons [D] en gros, [Fm] lui dit, viens chez moi [C] mon enfant,
je t'en ferai voir des beaux, je ne te demanderai [Db] pas d [Fm]'argent.
Ce fut [C] un drôle de [Ab] marcher, [C] car c'était un drôle de marchand,
et elle l'a [Fm] senti passer, [Eb] [D] car elle en [Db] a eu [C] un enfant.
[Ab] C'est triste quand même d'abuser d'une inconnue comme ça.
C'est vrai qu'elle était faible aussi, c'est pas parce qu'il disait qu'il était un marchand de [G] crayons en gros,
qu'enfin elle avait un enfant.
Elle avait bonne mine, si seulement elle avait une mine de crayons.
Mais non, c'est ça qui la minait.
Alors quand elle a vu ça, elle a abandonné son enfant.
[A] Puis qu'est-ce qu'elle a fait [Ab] plus tard, cet enfant ?
[F] Elle vendait des cartes postales, puis aussi [Gm] des crayons,
[C] car sa destinée fatale, c'était de vendre des [F]
[Ab] crayons.
[F] Elle disait aux gens de la rue,
«Voulez [Gm]-vous des [C] crayons ?
»
Mais reconnaissant l'inconnue,
il disait toujours non.
C'est ça qui [Gm] est [F] triste.
Key:
C
Fm
F
Ab
Gm
C
Fm
F
[Fm] _ _ [G] _ _ [C] _ _ [Db] Elle n [Ab]'avait pas de [Fm] parents, _ puisque [Cm] elle était [C] orpheline.
Comme elle n'avait pas d'argent, ce n'était pas une [Db] [C] richessie.
[Bb] [Fm] Elle eusse [C] pendant [Fm] des parents, _ [C] mais ils ne l'avaient pas reconnue.
Si bien que la [Fm] pauvre [Ab] enfant, [D] on la [Db] surnomma l [C]'inconnue.
[F] Elle vendait des cartes postales, puis aussi des [Gm]
[C] crayons.
_ Car sa destinée fatale, c'était de vendre des [Fm] crayons.
[Dm] _ [F] Elle disait aux gens de la rue, voulez [C]-vous des crayons ?
Mais reconnaissant l'inconnue, _ il disait toujours [F] non, [C] si c'était [Gm] _ [C] _ [F] triste. _
[Ab] C'est triste quand même de ne pas reconnaître son enfant.
_ Il ne faut pas être physionomiste.
Il me semble que si j'avais un enfant, moi je le reconnaîtrais. _ _
A condition qu'il me ressemble, naturellement.
C'était rudement il m'entend, qu'elle étalait son petit [C] panier.
_ Pour attirer les clients, _ elle remuait un peu son [Fm] panier.
_ Mais [C] un jour un [Fm] vagabond, _ qui [C] passait auprès de son panier,
_ lui a pris tous ses [Fm] crayons.
[Eb] _
_ [D] [Db] Alors elle s'est mise à [C] crier, _ [F] voulez-vous des cartes postales ?
Je n'ai plus de [Gm] crayons.
[C] _ Mais les gens, chose banale, ne voulaient plus que des crayons.
[Dm] _ [F] Quand elle disait dans la rue, qu'elle avait [C] des crayons, _
ils disaient à l'inconnue, tes crayons ne sont pas bons, [Ebm] [Gm] c'est ce qui est [C] _ [F] triste. _
[G] C'est triste quand même.
_ Elle n'avait plus de crayons.
_ Forcément, elle se baladait avec son panier à découvert, n'est-ce pas ?
Alors le vagabond, lui, il _ _ a _ _ _ pris tous ses crayons.
_ Comme ça, elle n'en avait plus. _
_ C'est vrai qu'elle n'en avait pas besoin, puisqu'elle n'en vendait jamais.
_ _ [Fm] Un marchand [Ab] de crayons [D] en gros, [Fm] lui dit, viens chez moi [C] mon enfant,
je t'en ferai voir des beaux, je ne te demanderai [Db] pas d [Fm]'argent.
Ce fut [C] un drôle de [Ab] marcher, [C] car c'était un drôle de marchand,
et elle l'a [Fm] senti passer, [Eb] [D] car elle en [Db] a eu [C] un enfant.
_ _ [Ab] C'est triste quand même d'abuser d'une inconnue comme ça.
_ _ C'est vrai qu'elle était faible aussi, c'est pas parce qu'il disait _ _ qu'il était un marchand de [G] crayons en gros, _ _ _ _
_ _ qu'enfin elle avait un enfant. _
Elle avait bonne mine, _ si seulement elle avait une mine de crayons.
Mais non, c'est ça qui la minait.
Alors quand elle a vu ça, elle a abandonné son enfant.
[A] Puis qu'est-ce qu'elle a fait [Ab] plus tard, cet enfant ?
[F] Elle vendait des cartes postales, puis aussi [Gm] des crayons,
[C] car sa destinée fatale, c'était de vendre des [F]
[Ab] crayons.
[F] _ Elle disait aux gens de la rue,
«Voulez [Gm]-vous des [C] crayons ?
»
Mais reconnaissant l'inconnue,
il disait toujours non.
C'est ça qui [Gm] est _ [F] triste. _ _ _ _
Comme elle n'avait pas d'argent, ce n'était pas une [Db] [C] richessie.
[Bb] [Fm] Elle eusse [C] pendant [Fm] des parents, _ [C] mais ils ne l'avaient pas reconnue.
Si bien que la [Fm] pauvre [Ab] enfant, [D] on la [Db] surnomma l [C]'inconnue.
[F] Elle vendait des cartes postales, puis aussi des [Gm]
[C] crayons.
_ Car sa destinée fatale, c'était de vendre des [Fm] crayons.
[Dm] _ [F] Elle disait aux gens de la rue, voulez [C]-vous des crayons ?
Mais reconnaissant l'inconnue, _ il disait toujours [F] non, [C] si c'était [Gm] _ [C] _ [F] triste. _
[Ab] C'est triste quand même de ne pas reconnaître son enfant.
_ Il ne faut pas être physionomiste.
Il me semble que si j'avais un enfant, moi je le reconnaîtrais. _ _
A condition qu'il me ressemble, naturellement.
C'était rudement il m'entend, qu'elle étalait son petit [C] panier.
_ Pour attirer les clients, _ elle remuait un peu son [Fm] panier.
_ Mais [C] un jour un [Fm] vagabond, _ qui [C] passait auprès de son panier,
_ lui a pris tous ses [Fm] crayons.
[Eb] _
_ [D] [Db] Alors elle s'est mise à [C] crier, _ [F] voulez-vous des cartes postales ?
Je n'ai plus de [Gm] crayons.
[C] _ Mais les gens, chose banale, ne voulaient plus que des crayons.
[Dm] _ [F] Quand elle disait dans la rue, qu'elle avait [C] des crayons, _
ils disaient à l'inconnue, tes crayons ne sont pas bons, [Ebm] [Gm] c'est ce qui est [C] _ [F] triste. _
[G] C'est triste quand même.
_ Elle n'avait plus de crayons.
_ Forcément, elle se baladait avec son panier à découvert, n'est-ce pas ?
Alors le vagabond, lui, il _ _ a _ _ _ pris tous ses crayons.
_ Comme ça, elle n'en avait plus. _
_ C'est vrai qu'elle n'en avait pas besoin, puisqu'elle n'en vendait jamais.
_ _ [Fm] Un marchand [Ab] de crayons [D] en gros, [Fm] lui dit, viens chez moi [C] mon enfant,
je t'en ferai voir des beaux, je ne te demanderai [Db] pas d [Fm]'argent.
Ce fut [C] un drôle de [Ab] marcher, [C] car c'était un drôle de marchand,
et elle l'a [Fm] senti passer, [Eb] [D] car elle en [Db] a eu [C] un enfant.
_ _ [Ab] C'est triste quand même d'abuser d'une inconnue comme ça.
_ _ C'est vrai qu'elle était faible aussi, c'est pas parce qu'il disait _ _ qu'il était un marchand de [G] crayons en gros, _ _ _ _
_ _ qu'enfin elle avait un enfant. _
Elle avait bonne mine, _ si seulement elle avait une mine de crayons.
Mais non, c'est ça qui la minait.
Alors quand elle a vu ça, elle a abandonné son enfant.
[A] Puis qu'est-ce qu'elle a fait [Ab] plus tard, cet enfant ?
[F] Elle vendait des cartes postales, puis aussi [Gm] des crayons,
[C] car sa destinée fatale, c'était de vendre des [F]
[Ab] crayons.
[F] _ Elle disait aux gens de la rue,
«Voulez [Gm]-vous des [C] crayons ?
»
Mais reconnaissant l'inconnue,
il disait toujours non.
C'est ça qui [Gm] est _ [F] triste. _ _ _ _