Chords for Charles Aznavour - Emmenez-moi (1994)
Tempo:
72.55 bpm
Chords used:
Am
G
C
E
F
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret

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[Am]
Vers les docks où le poids [G] et l'ennui me [Am] courbent le dos,
[E]
[Am] Ils arrivent de [G] ventre, alors ils [Am] fuient les bateaux.
[F] Ils viennent du bout du monde, importants avec eux,
Des îles et vagabondes, roulent [G] dans les îles bleues [C] de mirage.
Traînent un vieux senteur, poivré de pays inconnu,
D'été long, oui, presque nu, sur les plages.
[Am] Moi qui n'ai connu toute ma [G] vie que le ciel du [Am] nord,
J'aimerais les [Em] barres bouillées, [G] sucrées, en virant [Am] de bord.
Emmenez [G]-moi au bout [C] de la terre,
[G] Menez-moi au pays des merveilles,
[Am] Il [E] me semble que la misère serait moins bête qu'le [Am] soleil.
Dans les barres, à la tombée [G] du jour, avec [Am] les marins,
[E] [Am] Quand on parle de vie [G] et d'amour, un [Am] verre à la main,
Je perds la notion des choses, et je sors de ma pence,
Et mon lèvre me dépose, un merveilleux été, [C] sur la grève,
Où je vois tant [F] dans les bras l'amour qui me fait [C] un fou courtement.
Donc moi je me pend au bout [D] de mon [E] rêve,
[Am] Quand les barres ferment, que les [G] marins [Am] rejoignent leur bord,
[E] Moi je rêve encore jusqu'au matin, debout sur le port.
Emmenez [G]-moi au bout de la [C] terre,
Menez [G]-moi au pays des [C] merveilles,
Il me [E] semble que la [Am] misère [F] serait moins pénible qu'le [Am] soleil.
Un bonjour sur un rafiot [G] craquant de la coque [Am] au pont,
[E] Pour [Am] partir je travaillerai [G] dans la soude à [Am] charbon.
Prenons la route qui mène à mes rêves d'enfant sur des îles lointaines
Où rien n'est [F] important que de [C] vivre,
Où les filles allant qui vont ramer sur le grotte
Me semblent attendus de ces colliers de fleurs qui [E] enivrent,
[Am] Je fuirai laissant l'amour [G] passer sans [Am] aucun remord.
[E] [Am] Sans bagage de cœur ni [G] mérite, en [Am] chantant très fort,
Emmenez [G]-moi au [C] bout de la terre,
[G] Menez-moi au pays des merveilles,
[E] Il me semble que [Am] la misère serait moins pénible qu'le soleil.
[G] Emmenez-moi au [C] bout de la terre,
Menez-moi au pays des merveilles,
[E] Il me semble que [Am] la misère serait moins pénible qu'le soleil.
[G] [C] Car il [E] me semble que la misère serait moins pénible [Am] que le soleil.
[G] [C] [G] [C] [E] [Am]
[G] [C] [G]
[C] [E]
[Am] [G] [C] [G]
[C] [E]
Vers les docks où le poids [G] et l'ennui me [Am] courbent le dos,
[E]
[Am] Ils arrivent de [G] ventre, alors ils [Am] fuient les bateaux.
[F] Ils viennent du bout du monde, importants avec eux,
Des îles et vagabondes, roulent [G] dans les îles bleues [C] de mirage.
Traînent un vieux senteur, poivré de pays inconnu,
D'été long, oui, presque nu, sur les plages.
[Am] Moi qui n'ai connu toute ma [G] vie que le ciel du [Am] nord,
J'aimerais les [Em] barres bouillées, [G] sucrées, en virant [Am] de bord.
Emmenez [G]-moi au bout [C] de la terre,
[G] Menez-moi au pays des merveilles,
[Am] Il [E] me semble que la misère serait moins bête qu'le [Am] soleil.
Dans les barres, à la tombée [G] du jour, avec [Am] les marins,
[E] [Am] Quand on parle de vie [G] et d'amour, un [Am] verre à la main,
Je perds la notion des choses, et je sors de ma pence,
Et mon lèvre me dépose, un merveilleux été, [C] sur la grève,
Où je vois tant [F] dans les bras l'amour qui me fait [C] un fou courtement.
Donc moi je me pend au bout [D] de mon [E] rêve,
[Am] Quand les barres ferment, que les [G] marins [Am] rejoignent leur bord,
[E] Moi je rêve encore jusqu'au matin, debout sur le port.
Emmenez [G]-moi au bout de la [C] terre,
Menez [G]-moi au pays des [C] merveilles,
Il me [E] semble que la [Am] misère [F] serait moins pénible qu'le [Am] soleil.
Un bonjour sur un rafiot [G] craquant de la coque [Am] au pont,
[E] Pour [Am] partir je travaillerai [G] dans la soude à [Am] charbon.
Prenons la route qui mène à mes rêves d'enfant sur des îles lointaines
Où rien n'est [F] important que de [C] vivre,
Où les filles allant qui vont ramer sur le grotte
Me semblent attendus de ces colliers de fleurs qui [E] enivrent,
[Am] Je fuirai laissant l'amour [G] passer sans [Am] aucun remord.
[E] [Am] Sans bagage de cœur ni [G] mérite, en [Am] chantant très fort,
Emmenez [G]-moi au [C] bout de la terre,
[G] Menez-moi au pays des merveilles,
[E] Il me semble que [Am] la misère serait moins pénible qu'le soleil.
[G] Emmenez-moi au [C] bout de la terre,
Menez-moi au pays des merveilles,
[E] Il me semble que [Am] la misère serait moins pénible qu'le soleil.
[G] [C] Car il [E] me semble que la misère serait moins pénible [Am] que le soleil.
[G] [C] [G] [C] [E] [Am]
[G] [C] [G]
[C] [E]
[Am] [G] [C] [G]
[C] [E]
Key:
Am
G
C
E
F
Am
G
C
_ _ _ _ [Am] _ _ _
Vers les docks où le poids [G] et l'ennui me [Am] courbent le dos,
_ [E] _
[Am] Ils arrivent de [G] ventre, alors ils [Am] fuient les bateaux. _
[F] Ils viennent du bout du monde, importants avec eux,
Des îles et vagabondes, roulent [G] dans les îles bleues [C] de mirage.
Traînent un vieux senteur, poivré de pays inconnu,
D'été long, oui, presque nu, sur les plages.
[Am] Moi qui n'ai connu toute ma [G] vie que le ciel du [Am] nord, _
J'aimerais les [Em] barres bouillées, [G] sucrées, en virant [Am] de bord. _
_ Emmenez [G]-moi au bout [C] de la terre,
[G] Menez-moi au pays des merveilles,
[Am] Il [E] me semble que la misère serait moins bête qu'le [Am] soleil.
Dans les barres, à la tombée [G] du jour, avec [Am] les marins,
_ [E] _ [Am] Quand on parle de vie [G] et d'amour, un [Am] verre à la main,
_ _ Je perds la notion des choses, et je sors de ma pence,
Et mon lèvre me dépose, un merveilleux été, [C] sur la grève,
Où je vois tant [F] dans les bras l'amour qui me fait [C] un fou courtement.
Donc moi je me pend au bout [D] de mon [E] rêve,
[Am] Quand les barres ferment, que les [G] marins [Am] rejoignent leur bord,
_ [E] Moi je rêve encore jusqu'au matin, debout sur le port.
_ _ _ Emmenez [G]-moi au bout de la [C] terre,
Menez [G]-moi au pays des [C] merveilles,
Il me [E] semble que la [Am] misère [F] serait moins pénible qu'le [Am] soleil.
Un bonjour sur un rafiot [G] craquant de la coque [Am] au pont,
_ [E] Pour [Am] partir je travaillerai [G] dans la soude à [Am] charbon.
_ _ Prenons la route qui mène à mes rêves d'enfant sur des îles lointaines
Où rien n'est [F] important que de [C] vivre,
Où les filles allant qui vont ramer sur le grotte
Me semblent attendus de ces colliers de fleurs qui [E] enivrent,
[Am] Je fuirai laissant l'amour [G] passer sans [Am] aucun remord.
[E] _ [Am] Sans bagage de cœur ni [G] mérite, en [Am] chantant très fort,
_ _ Emmenez [G]-moi au [C] bout de la terre,
[G] Menez-moi au pays des merveilles,
[E] Il me semble que [Am] la misère serait moins pénible qu'le soleil.
_ [G] Emmenez-moi au [C] bout de la terre,
Menez-moi au pays des merveilles,
[E] Il me semble que [Am] la misère serait moins pénible qu'le soleil.
[G] _ [C] Car _ _ _ il [E] me semble que la misère serait moins pénible [Am] que le soleil.
_ [G] _ _ [C] _ _ [G] _ _ [C] _ _ [E] _ _ [Am] _ _ _ _
_ _ [G] _ _ [C] _ _ [G] _ _
[C] _ _ [E] _ _ _ _ _ _
[Am] _ _ [G] _ _ [C] _ _ [G] _ _
[C] _ _ [E] _ _ _ _ _ _
Vers les docks où le poids [G] et l'ennui me [Am] courbent le dos,
_ [E] _
[Am] Ils arrivent de [G] ventre, alors ils [Am] fuient les bateaux. _
[F] Ils viennent du bout du monde, importants avec eux,
Des îles et vagabondes, roulent [G] dans les îles bleues [C] de mirage.
Traînent un vieux senteur, poivré de pays inconnu,
D'été long, oui, presque nu, sur les plages.
[Am] Moi qui n'ai connu toute ma [G] vie que le ciel du [Am] nord, _
J'aimerais les [Em] barres bouillées, [G] sucrées, en virant [Am] de bord. _
_ Emmenez [G]-moi au bout [C] de la terre,
[G] Menez-moi au pays des merveilles,
[Am] Il [E] me semble que la misère serait moins bête qu'le [Am] soleil.
Dans les barres, à la tombée [G] du jour, avec [Am] les marins,
_ [E] _ [Am] Quand on parle de vie [G] et d'amour, un [Am] verre à la main,
_ _ Je perds la notion des choses, et je sors de ma pence,
Et mon lèvre me dépose, un merveilleux été, [C] sur la grève,
Où je vois tant [F] dans les bras l'amour qui me fait [C] un fou courtement.
Donc moi je me pend au bout [D] de mon [E] rêve,
[Am] Quand les barres ferment, que les [G] marins [Am] rejoignent leur bord,
_ [E] Moi je rêve encore jusqu'au matin, debout sur le port.
_ _ _ Emmenez [G]-moi au bout de la [C] terre,
Menez [G]-moi au pays des [C] merveilles,
Il me [E] semble que la [Am] misère [F] serait moins pénible qu'le [Am] soleil.
Un bonjour sur un rafiot [G] craquant de la coque [Am] au pont,
_ [E] Pour [Am] partir je travaillerai [G] dans la soude à [Am] charbon.
_ _ Prenons la route qui mène à mes rêves d'enfant sur des îles lointaines
Où rien n'est [F] important que de [C] vivre,
Où les filles allant qui vont ramer sur le grotte
Me semblent attendus de ces colliers de fleurs qui [E] enivrent,
[Am] Je fuirai laissant l'amour [G] passer sans [Am] aucun remord.
[E] _ [Am] Sans bagage de cœur ni [G] mérite, en [Am] chantant très fort,
_ _ Emmenez [G]-moi au [C] bout de la terre,
[G] Menez-moi au pays des merveilles,
[E] Il me semble que [Am] la misère serait moins pénible qu'le soleil.
_ [G] Emmenez-moi au [C] bout de la terre,
Menez-moi au pays des merveilles,
[E] Il me semble que [Am] la misère serait moins pénible qu'le soleil.
[G] _ [C] Car _ _ _ il [E] me semble que la misère serait moins pénible [Am] que le soleil.
_ [G] _ _ [C] _ _ [G] _ _ [C] _ _ [E] _ _ [Am] _ _ _ _
_ _ [G] _ _ [C] _ _ [G] _ _
[C] _ _ [E] _ _ _ _ _ _
[Am] _ _ [G] _ _ [C] _ _ [G] _ _
[C] _ _ [E] _ _ _ _ _ _