Croque Chords by Thomas Fersen, Thomas Fersen, Thomas Fersen
Tempo:
94.2 bpm
Chords used:
F#m
C#m
E
G#
C#
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
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[C#m] [C#]
[F#m] [C#m]
Quand je rentre à la maison, elle me dit souvent que j'ai une tête d'enterrement.
[F#m] Et elle a raison, je travaille au cimetière, c'est incontestable.
Je laisse ma tête au vestiaire [C#m] et je me mets à table.
Pour pas se laisser abattre, j'ai une faim de loup.
Moi je mange comme quatre [F#m] et je bois comme un trou.
Puis je retourne au cimetière, travailler mon mieux.
Digérer mon pot de bière [C#m] et mon croque-monsieur.
Pendant l'oraison [E] du prêtre, [F#m] j'ai un [G#] petit creux.
Moi [C#m] je pense à ma côtelette, [F#m] [E] à mon [G#] pot au feu.
[C#m] Aux premières [F#m] couronnes de fleurs, [E] j'ai déjà [G#] la dent.
C [C#m]'est mon [F#m] estomac qui pleure [A] à chaque [G#] enfermement.
[C#m] [F#m] [E]
[C#] [C#m]
A un côté du cimetière, inhabité, j'ai planté des pommes de [F#m] terre dans l'intimité.
Et dans ma jaquette noire, contre deux services, je donne un coup d [C#m]'arrosoir et je cours à l'office.
Je gratte, je bine et je bêche, quelle heureuse surprise.
Je trouve un verre pour la [F#m] pêche, je range ma prise.
Dans une boîte en fer blanc, le temps est superbe.
Voilà un coin et pas tant pour déjeuner sur [C#m] l'herbe.
A présent, [E] Castron est là, [F#m] l'heure du [G#m] goût pillant.
[C#m] Je pense à mes pommes vapeur, [F#m] [D#m] à mon con [C#m] bouillant.
Et quand tombent les [F#m] premières gouttes [E] sur mon [G#] ventre de farme,
j'ai mon ventre [F#m] qui [A] gloute, mon [G#] ventre qui [C#m] rogne.
[F#m] [E]
[C#]
[C#m] [F#m]
[C#m]
Pourquoi je croque un oignon, parfois une gousse d'ail, parfois même un chou [F#m]-pignon ?
Une vie du haï, il faut faire avec, ce n'est pas copieux.
Car ces [C#m] oraisons du prêtre n'en voient pas la queue.
Le vent chasse les nuages, sous providentiel.
Un grand disque de [F#m] fromage en autre, le ciel.
Un fin moumoum dans la tête, j'avale mon chapeau.
Un bouton de ma [C#m] jaquette et un pourroi.
Je ne suis pas dans mon [E] assiette, [F#m] je vais [E] rendre larme.
[C#m] Quand je pense à mes propriètes, [F#m] [E] à mon [C#m] croque-madame.
Ça fait trop [F#m] longtemps que ça dure, [E] je m [G#]'allonge un peu [C#m] sur le tapis [F#m] de [A] verdure.
Et je [G#] ferme les [C#m] yeux.
[F#m] [G#] [C#m] Ça fait trop [F#m] longtemps que ça dure, [E] je m'allonge un peu sur le tapis [A] de verdure.
Et je [G#] ferme les [C#m] yeux.
[F#m] [F] [F#] [C#]
[C#m]
[C#]
[F#m]
[C#m]
[F#m]
[F#m] [C#m]
Quand je rentre à la maison, elle me dit souvent que j'ai une tête d'enterrement.
[F#m] Et elle a raison, je travaille au cimetière, c'est incontestable.
Je laisse ma tête au vestiaire [C#m] et je me mets à table.
Pour pas se laisser abattre, j'ai une faim de loup.
Moi je mange comme quatre [F#m] et je bois comme un trou.
Puis je retourne au cimetière, travailler mon mieux.
Digérer mon pot de bière [C#m] et mon croque-monsieur.
Pendant l'oraison [E] du prêtre, [F#m] j'ai un [G#] petit creux.
Moi [C#m] je pense à ma côtelette, [F#m] [E] à mon [G#] pot au feu.
[C#m] Aux premières [F#m] couronnes de fleurs, [E] j'ai déjà [G#] la dent.
C [C#m]'est mon [F#m] estomac qui pleure [A] à chaque [G#] enfermement.
[C#m] [F#m] [E]
[C#] [C#m]
A un côté du cimetière, inhabité, j'ai planté des pommes de [F#m] terre dans l'intimité.
Et dans ma jaquette noire, contre deux services, je donne un coup d [C#m]'arrosoir et je cours à l'office.
Je gratte, je bine et je bêche, quelle heureuse surprise.
Je trouve un verre pour la [F#m] pêche, je range ma prise.
Dans une boîte en fer blanc, le temps est superbe.
Voilà un coin et pas tant pour déjeuner sur [C#m] l'herbe.
A présent, [E] Castron est là, [F#m] l'heure du [G#m] goût pillant.
[C#m] Je pense à mes pommes vapeur, [F#m] [D#m] à mon con [C#m] bouillant.
Et quand tombent les [F#m] premières gouttes [E] sur mon [G#] ventre de farme,
j'ai mon ventre [F#m] qui [A] gloute, mon [G#] ventre qui [C#m] rogne.
[F#m] [E]
[C#]
[C#m] [F#m]
[C#m]
Pourquoi je croque un oignon, parfois une gousse d'ail, parfois même un chou [F#m]-pignon ?
Une vie du haï, il faut faire avec, ce n'est pas copieux.
Car ces [C#m] oraisons du prêtre n'en voient pas la queue.
Le vent chasse les nuages, sous providentiel.
Un grand disque de [F#m] fromage en autre, le ciel.
Un fin moumoum dans la tête, j'avale mon chapeau.
Un bouton de ma [C#m] jaquette et un pourroi.
Je ne suis pas dans mon [E] assiette, [F#m] je vais [E] rendre larme.
[C#m] Quand je pense à mes propriètes, [F#m] [E] à mon [C#m] croque-madame.
Ça fait trop [F#m] longtemps que ça dure, [E] je m [G#]'allonge un peu [C#m] sur le tapis [F#m] de [A] verdure.
Et je [G#] ferme les [C#m] yeux.
[F#m] [G#] [C#m] Ça fait trop [F#m] longtemps que ça dure, [E] je m'allonge un peu sur le tapis [A] de verdure.
Et je [G#] ferme les [C#m] yeux.
[F#m] [F] [F#] [C#]
[C#m]
[C#]
[F#m]
[C#m]
[F#m]
Key:
F#m
C#m
E
G#
C#
F#m
C#m
E
[C#m] _ _ _ _ [C#] _ _ _ _
_ _ [F#m] _ _ _ _ [C#m] _
Quand je rentre à la maison, elle me dit souvent que j'ai une tête d'enterrement.
[F#m] Et elle a raison, je travaille au cimetière, c'est incontestable.
Je laisse ma tête au vestiaire [C#m] et je me mets à table.
_ _ Pour pas se laisser abattre, j'ai une faim de loup.
Moi je mange comme quatre [F#m] et je bois comme un trou.
Puis je retourne au cimetière, travailler mon mieux.
Digérer mon pot de bière [C#m] et mon croque-monsieur. _ _
Pendant l'oraison [E] du prêtre, [F#m] j'ai un [G#] petit creux.
Moi [C#m] je pense à ma côtelette, [F#m] _ [E] à mon [G#] pot au feu.
[C#m] Aux premières [F#m] couronnes de fleurs, [E] j'ai déjà [G#] la dent.
C [C#m]'est mon [F#m] estomac qui pleure [A] à chaque [G#] enfermement.
[C#m] _ _ _ _ [F#m] _ _ [E] _ _
[C#] _ _ _ _ _ [C#m] _ _
A un côté du cimetière, inhabité, j'ai planté des pommes de [F#m] terre dans l'intimité.
Et dans ma jaquette noire, contre deux services, je donne un coup d [C#m]'arrosoir et je cours à l'office.
_ _ Je gratte, je bine et je bêche, quelle heureuse surprise.
Je trouve un verre pour la [F#m] pêche, je range ma prise.
Dans une boîte en fer blanc, le temps est superbe.
Voilà un coin et pas tant pour déjeuner sur [C#m] l'herbe. _
A présent, [E] Castron est là, [F#m] l'heure du [G#m] goût pillant.
[C#m] Je pense à mes pommes vapeur, [F#m] _ [D#m] à mon con [C#m] bouillant.
Et quand tombent les [F#m] premières gouttes [E] sur mon [G#] ventre de farme,
j'ai mon ventre [F#m] qui [A] gloute, mon [G#] ventre qui [C#m] rogne.
_ _ _ [F#m] _ _ _ [E] _
[C#] _ _ _ _ _ _ _ _
[C#m] _ _ _ _ _ _ [F#m] _ _
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Pourquoi je croque un oignon, parfois une gousse d'ail, parfois même un chou [F#m]-pignon ?
Une vie du haï, il faut faire avec, ce n'est pas copieux.
Car ces [C#m] oraisons du prêtre n'en voient pas la queue.
Le vent chasse les nuages, sous providentiel.
Un grand disque de [F#m] fromage en autre, le ciel.
Un fin moumoum dans la tête, j'avale mon chapeau.
Un bouton de ma [C#m] jaquette et un pourroi.
_ _ _ Je ne suis pas dans mon [E] assiette, [F#m] je vais [E] rendre larme.
[C#m] Quand je pense à mes propriètes, [F#m] _ [E] à mon [C#m] croque-madame.
Ça fait trop [F#m] longtemps que ça dure, [E] je m [G#]'allonge un peu [C#m] sur le tapis [F#m] de [A] verdure.
Et je [G#] ferme les [C#m] yeux. _ _ _
[F#m] _ _ [G#] _ [C#m] Ça fait trop [F#m] longtemps que ça dure, [E] je m'allonge un peu sur le tapis [A] de verdure.
Et je [G#] ferme les [C#m] yeux. _ _ _
_ [F#m] _ [F] _ [F#] _ [C#] _ _ _ _
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Quand je rentre à la maison, elle me dit souvent que j'ai une tête d'enterrement.
[F#m] Et elle a raison, je travaille au cimetière, c'est incontestable.
Je laisse ma tête au vestiaire [C#m] et je me mets à table.
_ _ Pour pas se laisser abattre, j'ai une faim de loup.
Moi je mange comme quatre [F#m] et je bois comme un trou.
Puis je retourne au cimetière, travailler mon mieux.
Digérer mon pot de bière [C#m] et mon croque-monsieur. _ _
Pendant l'oraison [E] du prêtre, [F#m] j'ai un [G#] petit creux.
Moi [C#m] je pense à ma côtelette, [F#m] _ [E] à mon [G#] pot au feu.
[C#m] Aux premières [F#m] couronnes de fleurs, [E] j'ai déjà [G#] la dent.
C [C#m]'est mon [F#m] estomac qui pleure [A] à chaque [G#] enfermement.
[C#m] _ _ _ _ [F#m] _ _ [E] _ _
[C#] _ _ _ _ _ [C#m] _ _
A un côté du cimetière, inhabité, j'ai planté des pommes de [F#m] terre dans l'intimité.
Et dans ma jaquette noire, contre deux services, je donne un coup d [C#m]'arrosoir et je cours à l'office.
_ _ Je gratte, je bine et je bêche, quelle heureuse surprise.
Je trouve un verre pour la [F#m] pêche, je range ma prise.
Dans une boîte en fer blanc, le temps est superbe.
Voilà un coin et pas tant pour déjeuner sur [C#m] l'herbe. _
A présent, [E] Castron est là, [F#m] l'heure du [G#m] goût pillant.
[C#m] Je pense à mes pommes vapeur, [F#m] _ [D#m] à mon con [C#m] bouillant.
Et quand tombent les [F#m] premières gouttes [E] sur mon [G#] ventre de farme,
j'ai mon ventre [F#m] qui [A] gloute, mon [G#] ventre qui [C#m] rogne.
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[C#] _ _ _ _ _ _ _ _
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Pourquoi je croque un oignon, parfois une gousse d'ail, parfois même un chou [F#m]-pignon ?
Une vie du haï, il faut faire avec, ce n'est pas copieux.
Car ces [C#m] oraisons du prêtre n'en voient pas la queue.
Le vent chasse les nuages, sous providentiel.
Un grand disque de [F#m] fromage en autre, le ciel.
Un fin moumoum dans la tête, j'avale mon chapeau.
Un bouton de ma [C#m] jaquette et un pourroi.
_ _ _ Je ne suis pas dans mon [E] assiette, [F#m] je vais [E] rendre larme.
[C#m] Quand je pense à mes propriètes, [F#m] _ [E] à mon [C#m] croque-madame.
Ça fait trop [F#m] longtemps que ça dure, [E] je m [G#]'allonge un peu [C#m] sur le tapis [F#m] de [A] verdure.
Et je [G#] ferme les [C#m] yeux. _ _ _
[F#m] _ _ [G#] _ [C#m] Ça fait trop [F#m] longtemps que ça dure, [E] je m'allonge un peu sur le tapis [A] de verdure.
Et je [G#] ferme les [C#m] yeux. _ _ _
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