Chords for DENIS BARTHE . ceci dit pour être clair. - noirdez.fr
Tempo:
73.9 bpm
Chords used:
E
Em
Ebm
Eb
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
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Il y a quelques jours, j'ai annoncé que l'histoire de Noir Désir était terminée en tant que telle.
Je l'ai fait par l'intermédiaire de quelques médias à qui j'ai donné des interviews.
Ces médias-là n'étaient pas choisis.
Je savais très bien que mes propos seraient repris, je savais très bien que mes propos seraient découpés.
Ils ont par ailleurs été déformés.
C'est pour cela, aujourd'hui, que je fais cette intervention,
afin que mes propos soient clairs, nets, précis et que personne ne puisse les détourner.
Mes propos ont donc été découpés, déformés, parfois interprétés.
TF1 ne s'est pas gêné pour titrer Bertrand Cantat lâché par son groupe.
C'est élégant, ce n'est pas putassier, vous en conviendrez.
Un journal a titré, quant à lui, « Denis Barthe part à la suite de Serge Tessoguet ».
Je ne pars à la suite de personne, je ne lâche personne.
J'ai simplement annoncé que l'histoire de Noir Désir était finie en tant que telle,
parce que ça me paraissait évident.
Je tiens à préciser que mes propos n'engagent que moi.
Il n'y a que sur l'annonce de la fin de Noir Désir que j'ai associé Jean-Paul Roy et Bertrand Cantat à mes déclarations.
Tout le reste ne concerne que moi, c'est ce que je pense profondément.
Par ailleurs, je ne donnerai pas d'autres interviews.
Je n'ai pas l'intention d'être omniprésent, surtout sur ce thème-là.
J'ai donc lundi matin pris connaissance du contenu du communiqué de Sergio.
Les raisons qu'il exposait pour expliquer son départ m'ont paru claires et précises,
du moins dans la première partie du communiqué.
Je ne peux pas dire que j'ai été totalement surpris,
car lors des dernières répétitions de Noir Désir, des tensions fortes sont apparues entre nous.
Je pensais que nous pouvions passer au-dessus.
J'osais espérer que chacun en tirerait des conclusions et ferait en sorte que ceci ne puisse plus arriver.
Dans un sens, c'est ce qui s'est passé.
Cela n'arrivera plus.
Je tiens à préciser que je respecte les raisons de Serge,
mais elles lui appartiennent, elles sont les siennes, ainsi que la manière qu'il a choisi de les communiquer.
En ce qui concerne la deuxième partie du communiqué de Sergio,
qui parle de la position indécente dans laquelle se trouve Noir Désir depuis plusieurs années,
je ne peux pas être d'accord.
[E] Pour la bonne et simple raison que ce n'est pas Noir Désir qui s'est retrouvé au centre de la [Em] tourmente de Vilnius.
Dès le [Ebm] départ, nous nous sommes attachés [E] à ne pas répondre aux attaques les plus [Eb] basses,
à ne pas faire cas des rumeurs les plus nauséabondes.
Nous avons fait preuve de discrétion et de retenue.
Je ne vois pas comment, dans ce cas-là, on peut qualifier la position de Noir Désir d'indécente.
Il était évident que le départ de Serge, ainsi que les raisons qui ont motivé son départ,
signifiaient purement et simplement la fin de Noir Désir.
Il fallait l'annoncer.
Il fallait l'annoncer par honnêteté.
Par honnêteté d'abord envers nous-mêmes, envers notre entourage,
envers les gens avec qui nous travaillons, envers notre public tout simplement.
J'ai pensé qu'il était préférable de couper court à toute rumeur et à toute supposition.
Il fallait dire Noir Désir s'est terminé.
L'histoire de Noir Désir, c'était avant tout une histoire d'amis,
une histoire d'amitié qui durait depuis 30 ans.
Alors, au moment d'annoncer la fin de cette histoire, je ne peux pas dire que ça m'a fait plaisir.
Ça m'a profondément touché.
Ce qui est paradoxal, c'est que ce soit moi qui me sois senti obligé d'intervenir,
parce que j'étais probablement celui qui avait le moins envie que cette histoire s'arrête.
Ce n'est pas la fin du monde.
Mes amis, pour le moment, n'ont pas souhaité s'exprimer.
Je pense qu'ils le feront le jour où ils le sentiront.
En conclusion, il m'apparaissait important d'apporter ces quelques précisions,
afin que mes déclarations ne soient pas interprétées, découpées,
[E] détournées de leur sens premier,
et qu'on ne puisse pas me prêter des propos que je n'ai pas eus.
Voilà, maintenant je sais que bon nombre de personnes espéraient voir Noir Désir sur scène,
bon nombre espéraient voir un album dans les bacs, tout comme nous.
Maintenant, je serais tenté de dire que la fin d'une histoire est obligatoirement le début d'autre chose.
Je l'ai fait par l'intermédiaire de quelques médias à qui j'ai donné des interviews.
Ces médias-là n'étaient pas choisis.
Je savais très bien que mes propos seraient repris, je savais très bien que mes propos seraient découpés.
Ils ont par ailleurs été déformés.
C'est pour cela, aujourd'hui, que je fais cette intervention,
afin que mes propos soient clairs, nets, précis et que personne ne puisse les détourner.
Mes propos ont donc été découpés, déformés, parfois interprétés.
TF1 ne s'est pas gêné pour titrer Bertrand Cantat lâché par son groupe.
C'est élégant, ce n'est pas putassier, vous en conviendrez.
Un journal a titré, quant à lui, « Denis Barthe part à la suite de Serge Tessoguet ».
Je ne pars à la suite de personne, je ne lâche personne.
J'ai simplement annoncé que l'histoire de Noir Désir était finie en tant que telle,
parce que ça me paraissait évident.
Je tiens à préciser que mes propos n'engagent que moi.
Il n'y a que sur l'annonce de la fin de Noir Désir que j'ai associé Jean-Paul Roy et Bertrand Cantat à mes déclarations.
Tout le reste ne concerne que moi, c'est ce que je pense profondément.
Par ailleurs, je ne donnerai pas d'autres interviews.
Je n'ai pas l'intention d'être omniprésent, surtout sur ce thème-là.
J'ai donc lundi matin pris connaissance du contenu du communiqué de Sergio.
Les raisons qu'il exposait pour expliquer son départ m'ont paru claires et précises,
du moins dans la première partie du communiqué.
Je ne peux pas dire que j'ai été totalement surpris,
car lors des dernières répétitions de Noir Désir, des tensions fortes sont apparues entre nous.
Je pensais que nous pouvions passer au-dessus.
J'osais espérer que chacun en tirerait des conclusions et ferait en sorte que ceci ne puisse plus arriver.
Dans un sens, c'est ce qui s'est passé.
Cela n'arrivera plus.
Je tiens à préciser que je respecte les raisons de Serge,
mais elles lui appartiennent, elles sont les siennes, ainsi que la manière qu'il a choisi de les communiquer.
En ce qui concerne la deuxième partie du communiqué de Sergio,
qui parle de la position indécente dans laquelle se trouve Noir Désir depuis plusieurs années,
je ne peux pas être d'accord.
[E] Pour la bonne et simple raison que ce n'est pas Noir Désir qui s'est retrouvé au centre de la [Em] tourmente de Vilnius.
Dès le [Ebm] départ, nous nous sommes attachés [E] à ne pas répondre aux attaques les plus [Eb] basses,
à ne pas faire cas des rumeurs les plus nauséabondes.
Nous avons fait preuve de discrétion et de retenue.
Je ne vois pas comment, dans ce cas-là, on peut qualifier la position de Noir Désir d'indécente.
Il était évident que le départ de Serge, ainsi que les raisons qui ont motivé son départ,
signifiaient purement et simplement la fin de Noir Désir.
Il fallait l'annoncer.
Il fallait l'annoncer par honnêteté.
Par honnêteté d'abord envers nous-mêmes, envers notre entourage,
envers les gens avec qui nous travaillons, envers notre public tout simplement.
J'ai pensé qu'il était préférable de couper court à toute rumeur et à toute supposition.
Il fallait dire Noir Désir s'est terminé.
L'histoire de Noir Désir, c'était avant tout une histoire d'amis,
une histoire d'amitié qui durait depuis 30 ans.
Alors, au moment d'annoncer la fin de cette histoire, je ne peux pas dire que ça m'a fait plaisir.
Ça m'a profondément touché.
Ce qui est paradoxal, c'est que ce soit moi qui me sois senti obligé d'intervenir,
parce que j'étais probablement celui qui avait le moins envie que cette histoire s'arrête.
Ce n'est pas la fin du monde.
Mes amis, pour le moment, n'ont pas souhaité s'exprimer.
Je pense qu'ils le feront le jour où ils le sentiront.
En conclusion, il m'apparaissait important d'apporter ces quelques précisions,
afin que mes déclarations ne soient pas interprétées, découpées,
[E] détournées de leur sens premier,
et qu'on ne puisse pas me prêter des propos que je n'ai pas eus.
Voilà, maintenant je sais que bon nombre de personnes espéraient voir Noir Désir sur scène,
bon nombre espéraient voir un album dans les bacs, tout comme nous.
Maintenant, je serais tenté de dire que la fin d'une histoire est obligatoirement le début d'autre chose.
Key:
E
Em
Ebm
Eb
E
Em
Ebm
Eb
Il y a quelques jours, j'ai annoncé que l'histoire de Noir Désir était terminée en tant que telle.
Je l'ai fait par l'intermédiaire de quelques médias à qui j'ai donné des interviews.
Ces médias-là n'étaient pas choisis.
Je savais très bien que mes propos seraient repris, je savais très bien que mes propos seraient découpés.
Ils ont par ailleurs été déformés.
C'est pour cela, aujourd'hui, que je fais cette intervention,
afin que mes propos soient clairs, nets, précis et que personne ne puisse les détourner.
Mes propos ont donc été découpés, déformés, parfois interprétés.
TF1 ne s'est pas gêné pour titrer Bertrand Cantat lâché par son groupe.
C'est élégant, ce n'est pas putassier, vous en conviendrez.
Un journal a titré, quant à lui, « Denis Barthe part à la suite de Serge Tessoguet ».
Je ne pars à la suite de personne, je ne lâche personne.
J'ai simplement annoncé que l'histoire de Noir Désir était finie en tant que telle,
parce que ça me paraissait évident.
Je tiens à préciser que mes propos n'engagent que moi.
Il n'y a que sur l'annonce de la fin de Noir Désir que j'ai associé Jean-Paul Roy et Bertrand Cantat à mes déclarations.
Tout le reste ne concerne que moi, c'est ce que je pense profondément.
Par ailleurs, je ne donnerai pas d'autres interviews.
Je n'ai pas l'intention d'être omniprésent, surtout sur ce thème-là.
J'ai donc lundi matin pris connaissance du contenu du communiqué de Sergio.
Les raisons qu'il exposait pour expliquer son départ m'ont paru claires et précises,
du moins dans la première partie du communiqué.
Je ne peux pas dire que j'ai été totalement surpris,
car lors des dernières répétitions de Noir Désir, des tensions fortes sont apparues entre nous.
Je pensais que nous pouvions passer au-dessus.
J'osais espérer que chacun en tirerait des conclusions et ferait en sorte que ceci ne puisse plus arriver.
_ Dans un sens, c'est ce qui s'est passé.
Cela n'arrivera plus.
Je tiens à préciser que je respecte les raisons de Serge,
mais elles lui appartiennent, elles sont les siennes, ainsi que la manière qu'il a choisi de les communiquer.
En ce qui concerne la deuxième partie du communiqué de Sergio,
qui parle de la position indécente dans laquelle se trouve Noir Désir depuis plusieurs années,
je ne peux pas être d'accord.
[E] Pour la bonne et simple raison que ce n'est pas Noir Désir qui s'est retrouvé au centre de la [Em] tourmente de Vilnius.
Dès le [Ebm] départ, nous nous sommes attachés [E] à ne pas répondre aux attaques les plus [Eb] basses,
à ne pas faire cas des rumeurs les plus nauséabondes.
Nous avons fait preuve de discrétion et de retenue.
Je ne vois pas comment, dans ce cas-là, on peut qualifier la position de Noir Désir d'indécente.
Il était évident que le départ de Serge, ainsi que les raisons qui ont motivé son départ,
signifiaient purement et simplement la fin de Noir Désir.
Il fallait l'annoncer.
Il fallait l'annoncer par honnêteté.
Par honnêteté d'abord envers nous-mêmes, envers notre entourage,
envers les gens avec qui nous travaillons, _ envers notre public tout simplement.
J'ai pensé qu'il était préférable de couper court à toute rumeur et à toute supposition.
Il fallait dire Noir Désir s'est terminé.
L'histoire de Noir Désir, c'était avant tout une histoire d'amis,
une histoire d'amitié qui durait depuis 30 ans.
Alors, au moment d'annoncer la fin de cette histoire, je ne peux pas dire que ça m'a fait plaisir.
Ça m'a profondément touché.
Ce qui est paradoxal, c'est que ce soit moi qui me sois senti obligé d'intervenir,
parce que j'étais probablement celui qui avait le moins envie que cette histoire s'arrête.
Ce n'est pas la fin du monde.
Mes amis, pour le moment, n'ont pas souhaité s'exprimer.
Je pense qu'ils le feront le jour où ils le sentiront.
En conclusion, il m'apparaissait important d'apporter ces quelques précisions,
afin que mes déclarations ne soient pas interprétées, découpées,
[E] détournées de leur sens premier,
et qu'on ne puisse pas me prêter des propos que je n'ai pas eus.
Voilà, maintenant je sais que bon nombre de personnes espéraient voir Noir Désir sur scène,
bon nombre espéraient voir un album dans les bacs, tout comme nous.
Maintenant, je serais tenté de dire que la fin d'une histoire est obligatoirement le début d'autre chose. _ _ _ _ _ _ _
Je l'ai fait par l'intermédiaire de quelques médias à qui j'ai donné des interviews.
Ces médias-là n'étaient pas choisis.
Je savais très bien que mes propos seraient repris, je savais très bien que mes propos seraient découpés.
Ils ont par ailleurs été déformés.
C'est pour cela, aujourd'hui, que je fais cette intervention,
afin que mes propos soient clairs, nets, précis et que personne ne puisse les détourner.
Mes propos ont donc été découpés, déformés, parfois interprétés.
TF1 ne s'est pas gêné pour titrer Bertrand Cantat lâché par son groupe.
C'est élégant, ce n'est pas putassier, vous en conviendrez.
Un journal a titré, quant à lui, « Denis Barthe part à la suite de Serge Tessoguet ».
Je ne pars à la suite de personne, je ne lâche personne.
J'ai simplement annoncé que l'histoire de Noir Désir était finie en tant que telle,
parce que ça me paraissait évident.
Je tiens à préciser que mes propos n'engagent que moi.
Il n'y a que sur l'annonce de la fin de Noir Désir que j'ai associé Jean-Paul Roy et Bertrand Cantat à mes déclarations.
Tout le reste ne concerne que moi, c'est ce que je pense profondément.
Par ailleurs, je ne donnerai pas d'autres interviews.
Je n'ai pas l'intention d'être omniprésent, surtout sur ce thème-là.
J'ai donc lundi matin pris connaissance du contenu du communiqué de Sergio.
Les raisons qu'il exposait pour expliquer son départ m'ont paru claires et précises,
du moins dans la première partie du communiqué.
Je ne peux pas dire que j'ai été totalement surpris,
car lors des dernières répétitions de Noir Désir, des tensions fortes sont apparues entre nous.
Je pensais que nous pouvions passer au-dessus.
J'osais espérer que chacun en tirerait des conclusions et ferait en sorte que ceci ne puisse plus arriver.
_ Dans un sens, c'est ce qui s'est passé.
Cela n'arrivera plus.
Je tiens à préciser que je respecte les raisons de Serge,
mais elles lui appartiennent, elles sont les siennes, ainsi que la manière qu'il a choisi de les communiquer.
En ce qui concerne la deuxième partie du communiqué de Sergio,
qui parle de la position indécente dans laquelle se trouve Noir Désir depuis plusieurs années,
je ne peux pas être d'accord.
[E] Pour la bonne et simple raison que ce n'est pas Noir Désir qui s'est retrouvé au centre de la [Em] tourmente de Vilnius.
Dès le [Ebm] départ, nous nous sommes attachés [E] à ne pas répondre aux attaques les plus [Eb] basses,
à ne pas faire cas des rumeurs les plus nauséabondes.
Nous avons fait preuve de discrétion et de retenue.
Je ne vois pas comment, dans ce cas-là, on peut qualifier la position de Noir Désir d'indécente.
Il était évident que le départ de Serge, ainsi que les raisons qui ont motivé son départ,
signifiaient purement et simplement la fin de Noir Désir.
Il fallait l'annoncer.
Il fallait l'annoncer par honnêteté.
Par honnêteté d'abord envers nous-mêmes, envers notre entourage,
envers les gens avec qui nous travaillons, _ envers notre public tout simplement.
J'ai pensé qu'il était préférable de couper court à toute rumeur et à toute supposition.
Il fallait dire Noir Désir s'est terminé.
L'histoire de Noir Désir, c'était avant tout une histoire d'amis,
une histoire d'amitié qui durait depuis 30 ans.
Alors, au moment d'annoncer la fin de cette histoire, je ne peux pas dire que ça m'a fait plaisir.
Ça m'a profondément touché.
Ce qui est paradoxal, c'est que ce soit moi qui me sois senti obligé d'intervenir,
parce que j'étais probablement celui qui avait le moins envie que cette histoire s'arrête.
Ce n'est pas la fin du monde.
Mes amis, pour le moment, n'ont pas souhaité s'exprimer.
Je pense qu'ils le feront le jour où ils le sentiront.
En conclusion, il m'apparaissait important d'apporter ces quelques précisions,
afin que mes déclarations ne soient pas interprétées, découpées,
[E] détournées de leur sens premier,
et qu'on ne puisse pas me prêter des propos que je n'ai pas eus.
Voilà, maintenant je sais que bon nombre de personnes espéraient voir Noir Désir sur scène,
bon nombre espéraient voir un album dans les bacs, tout comme nous.
Maintenant, je serais tenté de dire que la fin d'une histoire est obligatoirement le début d'autre chose. _ _ _ _ _ _ _