Chords for DESERTS - Lucio Bukowski , Arm , Fayçal & Oster Lapwass
Tempo:
94.1 bpm
Chords used:
Dm
Gm
Bb
D
G
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
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[C] [Dm]
[A] [G]
[D]
[G] [C] [D] [Gm]
[Eb]
[Dm] [Gm]
[Dm] Le keuf [Gm] à poil, mes couilles, vider mes poches sur le sol
Une paire de clés, un vieux nokia, une pièce de bertol brecht
Pendant que le gyrophare s'affire, ça folle, s'affirme le vide menant vers [Dm] d'autres brechts
Evidemment que mon vin se bronifie dans mon ivresse
Je ne lui demande rien d'autre et c'est d'ailleurs ce qu'il semble [A] faire le mieux
Perdu dans cette nuit, ce [Dm] manteau trop fin pour la saison
Je contemple la rue et le clochard en face [Bb] au fer, le vieux geste royau
Poème dans le postillon, reste de halo, obscurité dans le sillon
Me perdre dans la vie, les plus, j'ai hère sur la ville écluse
D'un canal [Dm] interne et puis vomis, c'est que ma ville est pure
Art minimal, post-attraction lyrique Serge Polyakov et ce bon vin, voici ceux qui m'irriquent
Le monde mort m'entoure, il n'est qu'un tas de silice
Des cendres commerciaux dans le [Bb] désert sinistre
Cette [Gm] solitude dans des bistros de nuit
Et ce silence qui rend les hommes fous
Qui poussent nos âmes dans des lambeaux de cris
Ils cherchent l'amour, mais l [Dm]'amour s'enfuit
Une sur des kilomètres traversé par des chemins de fer
Dieu est-il enterré dans le coin, prend-il un [G] bon bain de mer ?
Autant de réponses que d'oasis dans ce [Dm] néant d'atoll
Du coup on cherche du rêve dans un vagin, chez un [Gm] marchand d'alcool
Pendant que des filles piétinent la grâce nocturne
Quels en chopins ça paye la bouffe et le reste ?
Elles rentreront un petit matin sous l'aube naissante
Croisant les ouvriers qui de leur [Dm] songe descendent
En communiquant sans décibel, les cordes vocales se signaient
L'équilibre ainsi est maintenu selon d'anciennes consignes
Satrophie d [D]'échanges et nous sommes barricades à l'autre éternel
[Am] À valeur de sabres émoussés par les quatre [Gm]
apôtres
[Eb]
[Cm] [Bb]
[Dm]
[D] [Gm] Seul dans la nuit, seul au milieu des gens
Des visages, des figures qui se parlent en [Dm] dehors
Je repars absent, les yeux dans les nuages
[Gm] Des étoiles sous les feux que personne ne [Dm] reprend
Bicole encore, vas-y, bois ton salaire
Oublie le sol et la pente qu'ils te feront [A] grimper
Je veux pas que le faire tant qu'il vit, tant qu'il hurle
[F] Parce que la vie c'est trop court pour s [Gm]'écouter parler
Désert de pluie, la [Am] victoire en [Bb] dedans
Tellement solo dans des [D] foutoirs immenses
Ni là, ni absent, je lance un dernier regard
Un [Dm] dernier regard, un dernier [G] [Dm]
regard
Je déserterai même les déserts
Asservis lentement comme ils [D] veulent
Dans [Dm] les contretemps, sont la brise
Nous la hordes face au [Gm] contrevent
Crache ta [E] haine pour ceux qui verront
Que [Gm] dalle comme d'hab après [Bb] max 2 litres
Dernier refuge [Am] dans un bar de nuit
[Eb] Ta vieille solitude [Dm] à ceux qui te paieront
Selfie tristesse dans le living room
Plus jamais seul tant que le wifi tourne
[Gm] On a le fait, ça comme des dieux, comme des sales gosses
Chacun veut briller, veut plier sa gomme
J'lèverai les yeux quand j'aurai plus la force
Mais si j'éteins l'écran, [Eb] ma vie ferme sa [Dm] porte
Lors de s'éteindre, on a peur de l'ennui
Peur de se perdre
Peur d'être en vie, [Gm] seul désert
[Eb] [Gm]
[G]
[Dm] [Bb]
Là [Dm]
[E] [Dm] où les étoiles se discernent
Où se noient les lueurs de froid de sueur
Tout se voilait mais cerne, voilée de meurtre de sable
[G] Que le vent [Dm] engloutira, tout se meurt
Tout est périssable avec le temps
Tout ira [Gm] entre amitié et repli
Qui vivra verra, la gourde à moitié remplie
On se suivra, se relèvera
Là où [Bb] la pluie est imprésente
Puis tout sera passé, ne restera que [Gm] dérapace
Et mon âme lourde, je m'infaisant quelques [Dm] ossements
Brûlée par le fiel, s'il faut aller à l'essentiel
Parfois me succondu faussement
[Gm] Mais nul ne larme moi
Où le [Dm] ciel n'est jamais changé en moi
Face à moi, n'est [Bb] appris qu'en échangeant, qu'en [Gm] malégeant
Compris que bien et mal ne se séparent, tel est le prix
Rien ne s'annule, tout se répare, prétend [D] me tuer
Se nourrir seul, c'est mourir seul
C'est un [Gm] peu sourire au linceul
Un soir somptueux, où [Dm] tortueux est l'horizon
Où nul ne l'ouvre grand
Où le souffrant trouve le désert pour guérison
J'irai dans un désir avide, de vie d'intensité
M'asseoir devant le vide, [Cm] saisir l'immensité
[Eb] [Bb]
[Gm]
[Bb] [A]
[A] [G]
[D]
[G] [C] [D] [Gm]
[Eb]
[Dm] [Gm]
[Dm] Le keuf [Gm] à poil, mes couilles, vider mes poches sur le sol
Une paire de clés, un vieux nokia, une pièce de bertol brecht
Pendant que le gyrophare s'affire, ça folle, s'affirme le vide menant vers [Dm] d'autres brechts
Evidemment que mon vin se bronifie dans mon ivresse
Je ne lui demande rien d'autre et c'est d'ailleurs ce qu'il semble [A] faire le mieux
Perdu dans cette nuit, ce [Dm] manteau trop fin pour la saison
Je contemple la rue et le clochard en face [Bb] au fer, le vieux geste royau
Poème dans le postillon, reste de halo, obscurité dans le sillon
Me perdre dans la vie, les plus, j'ai hère sur la ville écluse
D'un canal [Dm] interne et puis vomis, c'est que ma ville est pure
Art minimal, post-attraction lyrique Serge Polyakov et ce bon vin, voici ceux qui m'irriquent
Le monde mort m'entoure, il n'est qu'un tas de silice
Des cendres commerciaux dans le [Bb] désert sinistre
Cette [Gm] solitude dans des bistros de nuit
Et ce silence qui rend les hommes fous
Qui poussent nos âmes dans des lambeaux de cris
Ils cherchent l'amour, mais l [Dm]'amour s'enfuit
Une sur des kilomètres traversé par des chemins de fer
Dieu est-il enterré dans le coin, prend-il un [G] bon bain de mer ?
Autant de réponses que d'oasis dans ce [Dm] néant d'atoll
Du coup on cherche du rêve dans un vagin, chez un [Gm] marchand d'alcool
Pendant que des filles piétinent la grâce nocturne
Quels en chopins ça paye la bouffe et le reste ?
Elles rentreront un petit matin sous l'aube naissante
Croisant les ouvriers qui de leur [Dm] songe descendent
En communiquant sans décibel, les cordes vocales se signaient
L'équilibre ainsi est maintenu selon d'anciennes consignes
Satrophie d [D]'échanges et nous sommes barricades à l'autre éternel
[Am] À valeur de sabres émoussés par les quatre [Gm]
apôtres
[Eb]
[Cm] [Bb]
[Dm]
[D] [Gm] Seul dans la nuit, seul au milieu des gens
Des visages, des figures qui se parlent en [Dm] dehors
Je repars absent, les yeux dans les nuages
[Gm] Des étoiles sous les feux que personne ne [Dm] reprend
Bicole encore, vas-y, bois ton salaire
Oublie le sol et la pente qu'ils te feront [A] grimper
Je veux pas que le faire tant qu'il vit, tant qu'il hurle
[F] Parce que la vie c'est trop court pour s [Gm]'écouter parler
Désert de pluie, la [Am] victoire en [Bb] dedans
Tellement solo dans des [D] foutoirs immenses
Ni là, ni absent, je lance un dernier regard
Un [Dm] dernier regard, un dernier [G] [Dm]
regard
Je déserterai même les déserts
Asservis lentement comme ils [D] veulent
Dans [Dm] les contretemps, sont la brise
Nous la hordes face au [Gm] contrevent
Crache ta [E] haine pour ceux qui verront
Que [Gm] dalle comme d'hab après [Bb] max 2 litres
Dernier refuge [Am] dans un bar de nuit
[Eb] Ta vieille solitude [Dm] à ceux qui te paieront
Selfie tristesse dans le living room
Plus jamais seul tant que le wifi tourne
[Gm] On a le fait, ça comme des dieux, comme des sales gosses
Chacun veut briller, veut plier sa gomme
J'lèverai les yeux quand j'aurai plus la force
Mais si j'éteins l'écran, [Eb] ma vie ferme sa [Dm] porte
Lors de s'éteindre, on a peur de l'ennui
Peur de se perdre
Peur d'être en vie, [Gm] seul désert
[Eb] [Gm]
[G]
[Dm] [Bb]
Là [Dm]
[E] [Dm] où les étoiles se discernent
Où se noient les lueurs de froid de sueur
Tout se voilait mais cerne, voilée de meurtre de sable
[G] Que le vent [Dm] engloutira, tout se meurt
Tout est périssable avec le temps
Tout ira [Gm] entre amitié et repli
Qui vivra verra, la gourde à moitié remplie
On se suivra, se relèvera
Là où [Bb] la pluie est imprésente
Puis tout sera passé, ne restera que [Gm] dérapace
Et mon âme lourde, je m'infaisant quelques [Dm] ossements
Brûlée par le fiel, s'il faut aller à l'essentiel
Parfois me succondu faussement
[Gm] Mais nul ne larme moi
Où le [Dm] ciel n'est jamais changé en moi
Face à moi, n'est [Bb] appris qu'en échangeant, qu'en [Gm] malégeant
Compris que bien et mal ne se séparent, tel est le prix
Rien ne s'annule, tout se répare, prétend [D] me tuer
Se nourrir seul, c'est mourir seul
C'est un [Gm] peu sourire au linceul
Un soir somptueux, où [Dm] tortueux est l'horizon
Où nul ne l'ouvre grand
Où le souffrant trouve le désert pour guérison
J'irai dans un désir avide, de vie d'intensité
M'asseoir devant le vide, [Cm] saisir l'immensité
[Eb] [Bb]
[Gm]
[Bb] [A]
Key:
Dm
Gm
Bb
D
G
Dm
Gm
Bb
[C] _ _ _ _ _ _ _ [Dm] _
_ _ _ [A] _ _ [G] _ _ _
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[G] _ _ [C] _ [D] _ _ _ _ [Gm] _
_ [Eb] _ _ _ _ _ _ _
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[Dm] _ _ _ _ _ _ _ [Gm] _
_ _ [Dm] _ _ _ _ Le keuf [Gm] à poil, mes couilles, vider mes poches sur le sol
Une paire de clés, un vieux nokia, une pièce de bertol brecht
Pendant que le gyrophare s'affire, ça folle, s'affirme le vide menant vers [Dm] d'autres brechts
Evidemment que mon vin se bronifie dans mon ivresse
Je ne lui demande rien d'autre et c'est d'ailleurs ce qu'il semble [A] faire le mieux
Perdu dans cette nuit, ce [Dm] manteau trop fin pour la saison
Je contemple la rue et le clochard en face [Bb] au fer, le vieux geste royau
Poème dans le postillon, reste de halo, obscurité dans le sillon
Me perdre dans la vie, les plus, j'ai hère sur la ville écluse
D'un canal [Dm] interne et puis vomis, c'est que ma ville est pure
Art minimal, post-attraction lyrique Serge Polyakov et ce bon vin, voici ceux qui m'irriquent
Le monde mort m'entoure, il n'est qu'un tas de silice
Des cendres commerciaux dans le [Bb] désert sinistre
Cette [Gm] solitude dans des bistros de nuit
Et ce silence qui rend les hommes fous
Qui poussent nos âmes dans des lambeaux de cris
Ils cherchent l'amour, mais l [Dm]'amour s'enfuit
Une sur des kilomètres traversé par des chemins de fer
Dieu est-il enterré dans le coin, prend-il un [G] bon bain de mer ?
Autant de réponses que d'oasis dans ce [Dm] néant d'atoll
Du coup on cherche du rêve dans un vagin, chez un [Gm] marchand d'alcool
Pendant que des filles piétinent la grâce nocturne
Quels en chopins ça paye la bouffe et le reste ?
Elles rentreront un petit matin sous l'aube naissante
Croisant les ouvriers qui de leur [Dm] songe descendent
En communiquant sans décibel, les cordes vocales se signaient
L'équilibre ainsi est maintenu selon d'anciennes consignes
Satrophie d [D]'échanges et nous sommes barricades à l'autre éternel
[Am] À valeur de sabres émoussés par les quatre [Gm]
apôtres
_ _ _ _ _ _ [Eb] _
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_ _ _ _ _ _ [D] [Gm] Seul dans la nuit, seul au milieu des gens
Des visages, des figures qui se parlent en [Dm] dehors
Je repars absent, les yeux dans les nuages
[Gm] Des étoiles sous les feux que personne ne [Dm] reprend
Bicole encore, vas-y, bois ton salaire
Oublie le sol et la pente qu'ils te feront [A] grimper
Je veux pas que le faire tant qu'il vit, tant qu'il hurle
[F] Parce que la vie c'est trop court pour s [Gm]'écouter parler
Désert de pluie, la [Am] victoire en [Bb] dedans
Tellement solo dans des [D] foutoirs immenses
Ni là, ni absent, je lance un dernier regard
Un [Dm] dernier regard, un dernier [G] _ [Dm]
regard
Je déserterai même les déserts
Asservis lentement comme ils [D] veulent
Dans [Dm] les contretemps, sont la brise
Nous la hordes face au [Gm] contrevent
Crache ta [E] haine pour ceux qui verront
Que [Gm] dalle comme d'hab après [Bb] max 2 litres
Dernier refuge [Am] dans un bar de nuit
[Eb] Ta vieille solitude [Dm] à ceux qui te paieront
Selfie tristesse dans le living room
_ Plus jamais seul tant que le wifi tourne
_ [Gm] On a le fait, ça comme des dieux, comme des sales gosses
Chacun veut briller, veut plier sa gomme
J'lèverai les yeux quand j'aurai plus la force
Mais si j'éteins l'écran, [Eb] ma vie ferme sa [Dm] porte
Lors de s'éteindre, on a peur de l'ennui
_ _ Peur de se perdre
Peur d'être en vie, [Gm] seul _ désert _ _ _ _ _
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Où se noient les lueurs de froid de sueur
Tout se voilait mais cerne, voilée de meurtre de sable
[G] Que le vent [Dm] engloutira, tout se meurt
Tout est périssable avec le temps
Tout ira [Gm] entre amitié et repli
Qui vivra verra, la gourde à moitié remplie
On se suivra, se relèvera
Là où [Bb] la pluie est imprésente
Puis tout sera passé, ne restera que [Gm] dérapace
Et mon âme lourde, je m'infaisant quelques [Dm] ossements
Brûlée par le fiel, s'il faut aller à l'essentiel
Parfois me succondu faussement
[Gm] Mais nul ne larme moi
Où le [Dm] ciel n'est jamais changé en moi
Face à moi, n'est [Bb] appris qu'en échangeant, qu'en [Gm] malégeant
Compris que bien et mal ne se séparent, tel est le prix
Rien ne s'annule, tout se répare, prétend [D] me tuer
Se nourrir seul, c'est mourir seul
C'est un [Gm] peu sourire au linceul
Un soir somptueux, où [Dm] tortueux est l'horizon
Où nul ne l'ouvre grand
Où le souffrant trouve le désert pour guérison
J'irai dans un désir avide, de vie d'intensité
M'asseoir devant le vide, [Cm] saisir l'immensité
[Eb] _ _ _ _ _ _ _ _ _
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_ _ [Dm] _ _ _ _ Le keuf [Gm] à poil, mes couilles, vider mes poches sur le sol
Une paire de clés, un vieux nokia, une pièce de bertol brecht
Pendant que le gyrophare s'affire, ça folle, s'affirme le vide menant vers [Dm] d'autres brechts
Evidemment que mon vin se bronifie dans mon ivresse
Je ne lui demande rien d'autre et c'est d'ailleurs ce qu'il semble [A] faire le mieux
Perdu dans cette nuit, ce [Dm] manteau trop fin pour la saison
Je contemple la rue et le clochard en face [Bb] au fer, le vieux geste royau
Poème dans le postillon, reste de halo, obscurité dans le sillon
Me perdre dans la vie, les plus, j'ai hère sur la ville écluse
D'un canal [Dm] interne et puis vomis, c'est que ma ville est pure
Art minimal, post-attraction lyrique Serge Polyakov et ce bon vin, voici ceux qui m'irriquent
Le monde mort m'entoure, il n'est qu'un tas de silice
Des cendres commerciaux dans le [Bb] désert sinistre
Cette [Gm] solitude dans des bistros de nuit
Et ce silence qui rend les hommes fous
Qui poussent nos âmes dans des lambeaux de cris
Ils cherchent l'amour, mais l [Dm]'amour s'enfuit
Une sur des kilomètres traversé par des chemins de fer
Dieu est-il enterré dans le coin, prend-il un [G] bon bain de mer ?
Autant de réponses que d'oasis dans ce [Dm] néant d'atoll
Du coup on cherche du rêve dans un vagin, chez un [Gm] marchand d'alcool
Pendant que des filles piétinent la grâce nocturne
Quels en chopins ça paye la bouffe et le reste ?
Elles rentreront un petit matin sous l'aube naissante
Croisant les ouvriers qui de leur [Dm] songe descendent
En communiquant sans décibel, les cordes vocales se signaient
L'équilibre ainsi est maintenu selon d'anciennes consignes
Satrophie d [D]'échanges et nous sommes barricades à l'autre éternel
[Am] À valeur de sabres émoussés par les quatre [Gm]
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Des visages, des figures qui se parlent en [Dm] dehors
Je repars absent, les yeux dans les nuages
[Gm] Des étoiles sous les feux que personne ne [Dm] reprend
Bicole encore, vas-y, bois ton salaire
Oublie le sol et la pente qu'ils te feront [A] grimper
Je veux pas que le faire tant qu'il vit, tant qu'il hurle
[F] Parce que la vie c'est trop court pour s [Gm]'écouter parler
Désert de pluie, la [Am] victoire en [Bb] dedans
Tellement solo dans des [D] foutoirs immenses
Ni là, ni absent, je lance un dernier regard
Un [Dm] dernier regard, un dernier [G] _ [Dm]
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Je déserterai même les déserts
Asservis lentement comme ils [D] veulent
Dans [Dm] les contretemps, sont la brise
Nous la hordes face au [Gm] contrevent
Crache ta [E] haine pour ceux qui verront
Que [Gm] dalle comme d'hab après [Bb] max 2 litres
Dernier refuge [Am] dans un bar de nuit
[Eb] Ta vieille solitude [Dm] à ceux qui te paieront
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Chacun veut briller, veut plier sa gomme
J'lèverai les yeux quand j'aurai plus la force
Mais si j'éteins l'écran, [Eb] ma vie ferme sa [Dm] porte
Lors de s'éteindre, on a peur de l'ennui
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Où se noient les lueurs de froid de sueur
Tout se voilait mais cerne, voilée de meurtre de sable
[G] Que le vent [Dm] engloutira, tout se meurt
Tout est périssable avec le temps
Tout ira [Gm] entre amitié et repli
Qui vivra verra, la gourde à moitié remplie
On se suivra, se relèvera
Là où [Bb] la pluie est imprésente
Puis tout sera passé, ne restera que [Gm] dérapace
Et mon âme lourde, je m'infaisant quelques [Dm] ossements
Brûlée par le fiel, s'il faut aller à l'essentiel
Parfois me succondu faussement
[Gm] Mais nul ne larme moi
Où le [Dm] ciel n'est jamais changé en moi
Face à moi, n'est [Bb] appris qu'en échangeant, qu'en [Gm] malégeant
Compris que bien et mal ne se séparent, tel est le prix
Rien ne s'annule, tout se répare, prétend [D] me tuer
Se nourrir seul, c'est mourir seul
C'est un [Gm] peu sourire au linceul
Un soir somptueux, où [Dm] tortueux est l'horizon
Où nul ne l'ouvre grand
Où le souffrant trouve le désert pour guérison
J'irai dans un désir avide, de vie d'intensité
M'asseoir devant le vide, [Cm] saisir l'immensité
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