Chords for Entrevue avec le roi du country québécois: Paul Daraîche | Stingray PausePlay

Tempo:
129.5 bpm
Chords used:

F#

F

Cm

G#m

Gm

Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
Show Tuner
Entrevue avec le roi du country québécois: Paul Daraîche | Stingray PausePlay chords
Start Jamming...
Salut, ici Paul Daraëch, vous regardez Stingray Passplay.
[F#] [F]
[N] Bonjour à tous, ici Charles Boyer.
Aujourd'hui à Stingray Passplay, j'ai le plaisir de cueillir Paul Daraëch.
Heureux de t'avoir parmi nous.
Salut Charles.
Tu as présentement ta chaîne vedette sur Stingray Music.
On y retrouve de tes chansons, mais aussi d'une sélection de tes coups de coeur,
tels que du Ray Charles, Willie Nelson, Ginette Renaud, Charles Aznavour et plusieurs autres.
Quel artiste t'a particulièrement influencé dans ton cheminement musical?
Je dirais Aznavour.
Oui.
Parce que quand j'ai appris la musique jeune, j'ai appris avec ses chansons.
J'ai aimé ses textes, mon chagrin de textes.
J'ai rencontré Mario Pelchat durant les Franco,
et il était tellement fier d'avoir pu réaliser ton rêve.
Bien oui.
De rencontrer Charles Aznavour et de chanter avec lui.
Non, t'allais le voir, moi je voulais le voir chanter au moins une fois.
Il était déjà à 91, 92 ans.
On avait un congé, alors il était au Montgolfière, à Iberville, à Saint-Jean.
Évidemment, on avait un contact pour rentrer à l'intérieur.
On a demandé si on pouvait le voir après sa sieste.
Il a dit « C'est quasiment impossible ».
Je lui ai dit « Je vais le demander ».
Il nous est revenu et il a dit « Oui, il accepte bien de vous recevoir ».
On était, ma femme, moi et Mario.
Il était dans un gros motorisé, on est entrés et il jouait du piano.
Il nous a reçus et 5 minutes après, on était en chambre.
Il est tellement simple.
On avait deux petits gars, Mario et moi, devant lui.
Il n'est pas grand, mais il est grand autrement.
On allait faire un album de Noël.
On venait découvrir une chanson de lui, une vieille, vieille toune,
qui s'appelait « Noël au salon » ou « Country ».
Ça n'avait pas de sens.
On lui a rappelé cette chanson-là, il ne se rappelait même pas.
On aimerait tellement chanter cette chanson-là en duo avec vous.
Bien sûr, pas plus compliqué que ça.
Il m'a dit « Il va falloir venir me voir loin.
On va aller au bout du monde.
»
Ce qui est étonnant chez toi, c'est que tu as été longtemps un grand timide
qui ne pouvait pas faire face à son public.
Oui, je n'aimais pas ça.
Je suis un musicien, je suis en arrière, je voulais rester là.
Mais qu'est-ce qui a favorisé ta confiance en toi sur scène?
D'abord, j'ai été obligé d'en avancer.
Il y a ma soeur, à la même époque, qui faisait le plus grand succès au Québec.
Ça s'appelait Julie et Fred Duguay.
C'était du vrai western traditionnel.
Moi, je réalisais des albums.
C'était tout croche.
C'était le plus grand vendeur.
À l'époque, un album coûtait 400-500$.
Mais ça avait les bonnes tonnes.
Même si c'était du croche, ça marchait.
Je n'aimais pas le country au début.
Non?
Parce qu'il n'y avait pas de moyens.
Ça sonnait mal.
Je suis allé voir son producteur pour voir si je pouvais faire ses tracks.
J'ai un vrai band.
Ça a commencé de même.
Tout le monde, country, Brunel, Martel, Ouellet, Bobé Hachette,
tout le monde était à cette même compagnie.
Après, tu fais Monsieur Brunel, tu fais Monsieur Martel.
Il manquait une chanson à un, une chanson à l'autre.
J'écrivais.
Finalement, je suis tombé en amour avec ce monde-là.
Leur mentalité.
C'était tellement authentique, le country.
Tout à fait.
J'ai dit, je vais rester là et je vais arranger ce que je n'aime pas.
Ils me donnaient plus de moyens à cause de ma soeur,
qui était le numéro un des vendeurs.
C'est mon aventure dans le country.
Rien n'a changé ça.
On sent toujours cette dose d'émerveillement,
toujours cette capacité à t'étonner de la beauté du monde.
Tes parents ont contribué.
Comment à l'artiste que tu es devenu aujourd'hui?
Mes parents chantaient tout le temps.
C'est du monde qui avait la musique au bout.
Je n'avais pas le genre de parent qui voulait quelqu'un qui allait à l'école,
qui était savant.
Tu veux être le médecin de la famille?
Oui, le médecin de l'ombre.
À six ans, ils me traînaient n'importe où.
Ils m'éveillaient pour me faire chanter.
J'avais six ans.
C'est leur faute à eux, finalement.
Ils sont responsables.
Ton plus récent album, « Ma maison favorite [Cm] »,
il y a la très touchante [N] chanson « Qu'est-ce qui t'a pris ?
»
qui parle du suicide.
Qu'est-ce que tu as envie de dire dans cette chanson-là?
Le suicide me touche parce que c'est surtout des jeunes.
Pas juste des jeunes, mais surtout.
Je ne suis pas capable de comprendre.
À 20 ans, tu veux t'en aller.
À 20 ans, tu veux conquérir le monde.
Tu comprends?
Je ne peux pas comprendre ça pour un jeune qui veut se suicider.
Ça me touche vraiment.
Quand j'ai entendu cette chanson-là,
Benjamin Bessette, un de mes chums, un auteur-compositeur,
m'a écrit ça.
J'ai été touché tout de suite.
Moi, quand ça me touche, ça va toucher les autres, c'est sûr.
Il faut que je la fasse, cette chanson-là.
Une autre très belle chanson sur ton album « Ma maison favorite »,
c'est « Tu étais là ».
Une chanson d'amour écrite pour ta conjointe des 30 dernières années.
Johanne, comment vous vous êtes rencontrée?
Je l'ai rencontrée bien avant ça.
Sa mère était la gardienne de mes enfants de mon premier mariage.
Ça part de loin.
Elle était avec son premier mari, elle venait avoir un petit bébé.
Ça a traîné longtemps, bien longtemps après.
Elle est venue à la Paris, à un moment donné où je travaillais.
À l'arrivée des mauvais moments pour moi,
parce que moi, ce n'était pas un bon moment dans ce temps-là.
J'étais dans la noirceur, si tu veux.
J'étais dans le bas.
Il y a des hauts et des bas pendant 50 ans de carrière.
Tout à fait, oui.
J'étais dans un creux de vagues.
Elle est venue me chercher là pour me ramener à la lumière.
Elle méritait cette chanson-là.
Magnifique chanson.
Prochain volet de questions, c'est en rafale.
On y va avec des réponses spontanées.
La chanson francophone qui t'a souvent ému jusqu'aux larmes.
Ému jusqu'aux larmes, mon Dieu, il y en a plusieurs.
Il y a deux personnes qui m'émeutent quand elles chantent.
C'est Céline et Ginette Renaud.
D'ailleurs, j'avais écrit une chanson pour Ginette il y a 45 ans
que j'ai réussi à chanter avec elle sur mon album précédent.
C'était un bonheur, Ginette, je ne suis pas déçu.
Pas juste sur sa voix, sur elle, son caractère.
Et puis, il y a ces personnes-là qui m'émeutent.
Et il y a certaines chansons, mes propres chansons,
m'émeutent comme à ma mère.
Je suis souvent le moton.
Pendant que je la chante, il faut que je pense à d'autres choses
de moches pour oublier.
À ma mère, elle est arrivée spontanément
suite au décès de ton père.
Oui, à ma mère, ça a sorti comme
J'ai trouvé ça beau quand elle a dit « elle sortit rapidement ».
Il a juste fallu que je la sable un petit peu.
Juste sablez-toi, vraiment.
Elle a sorti quasiment tout entièrement.
En ce moment, avec quel artiste aimerais-tu chanter en duo?
Là, je n'avais pas fini.
Un autre rêve.
Oui, un autre rêve, ce serait Cabrel.
J'adore Cabrel.
J'aimerais beaucoup.
On te souhaite.
Si tu pouvais être quelqu'un d'autre durant un petit 24 heures,
qui serais-tu?
Je serais heureux dans mon affaire, ça va bien.
La vie est belle.
Bonne femme, j'ai des bons enfants.
Mes enfants travaillent avec moi, on a du fun.
J'aime bien ma place.
C'est vrai.
C'est d'autres qui veulent l'apprendre, c'est ça?
Oui, c'est ça.
La prochaine question nous provient d'un artiste
que l'on a interviewé précédemment.
Dans ton cas, il s'agit de Roxane Bruneau.
Alors, voici sa question.
Salut, c'est Roxane Bruneau.
Ma question pour l'artiste mystère, c'est,
est-ce que tu as un rituel d'avant-show?
Rien, pas en tout.
Non, [G#m] non, non.
Je n'ai pas de rituel.
À quoi ressemble l'agenda de Paul Darage pour les mois à venir?
Pleine, pleine, comme trop.
Quand c'est pas assez, on chiale pareil.
C'est fou, c'est plein, plein.
Je n'arrête pas.
[Gm] Et peut-être un duo avec Cabrel.
Peut-être un duo avec Cabrel,
puis un nouvel album au début de 2020, c'est sûr.
Ça va être mon 31e.
Merci beaucoup d'être venu à Stingray.
Merci de m'avoir reçu.
Je rappelle aux gens que les chansons de Paul Darage
sont diffusées sur les chaînes Stingray Music,
Franco Country, Je t'aime en Country,
Sur la route du Country, Sa chaîne de vedettes
et plusieurs autres,
toutes disponibles sur notre application mobile Stingray Music,
ainsi que sur notre chaîne de vidéoclips
Palmarès à disque par Stingray.
Pour en savoir davantage sur Paul Darage,
consultez sa page Facebook,
facebook.com baroblic Paul Darage.
[E]
Key:  
F#
134211112
F
134211111
Cm
13421113
G#m
123111114
Gm
123111113
F#
134211112
F
134211111
Cm
13421113
Show All Diagrams
Chords
NotesBeta
Download PDF
Download Midi
Edit This Version
Hide Lyrics Hint
Salut, ici Paul Daraëch, vous regardez Stingray Passplay.
_ [F#] _ _ _ _ [F] _
_ _ _ _ _ _ _ _
_ _ [N] Bonjour à tous, ici Charles Boyer.
Aujourd'hui à Stingray Passplay, j'ai le plaisir de cueillir Paul Daraëch.
Heureux de t'avoir parmi nous.
Salut Charles.
Tu as présentement ta chaîne vedette sur Stingray Music.
On y retrouve de tes chansons, mais aussi d'une sélection de tes coups de coeur,
tels que du Ray Charles, Willie Nelson, Ginette Renaud, Charles Aznavour et plusieurs autres.
Quel artiste t'a particulièrement influencé dans ton cheminement musical? _ _
Je dirais Aznavour.
Oui.
Parce que quand j'ai appris la musique jeune, j'ai appris avec ses chansons. _
_ J'ai aimé ses textes, mon chagrin de textes.
J'ai rencontré Mario Pelchat durant les Franco,
et il était tellement fier d'avoir pu réaliser ton rêve.
Bien oui.
De rencontrer Charles Aznavour et de chanter avec lui.
Non, t'allais le voir, moi je voulais le voir chanter au moins une fois.
_ Il était déjà à 91, 92 ans.
_ On avait un congé, alors il était au Montgolfière, à _ Iberville, à Saint-Jean.
Évidemment, on avait un contact pour rentrer à l'intérieur.
On a demandé si on pouvait le voir après sa sieste.
Il a dit « C'est quasiment impossible ».
Je lui ai dit « Je vais le demander ».
Il nous est revenu et il a dit « Oui, il accepte bien de vous recevoir ».
On était, ma femme, moi et Mario. _
Il était dans un gros motorisé, on est entrés et il jouait du piano.
_ _ _ _ Il nous a reçus et 5 minutes après, on était en chambre.
Il est tellement simple. _
_ On avait deux petits gars, Mario et moi, devant lui.
Il n'est pas grand, mais il est grand autrement. _ _ _
_ On allait faire un album de Noël.
On venait découvrir une chanson de lui, une vieille, vieille toune,
qui s'appelait « Noël au salon » ou « Country ».
Ça n'avait pas de sens. _
_ On lui a rappelé cette chanson-là, il ne se rappelait même pas.
_ _ On aimerait tellement chanter cette chanson-là en duo avec vous.
Bien sûr, pas plus compliqué que ça.
Il m'a dit « Il va falloir venir me voir loin.
On va aller au bout du monde.
_ »
Ce qui est étonnant chez toi, c'est que tu as été longtemps un grand timide
qui ne pouvait pas faire face à son public.
Oui, je n'aimais pas ça.
Je suis un musicien, je suis en arrière, je voulais rester là.
_ Mais qu'est-ce qui a favorisé ta confiance en toi sur scène? _
D'abord, j'ai été obligé d'en avancer.
Il y a ma soeur, à la même époque, _ qui faisait le plus grand succès au Québec.
_ Ça s'appelait Julie et Fred Duguay.
C'était du vrai western traditionnel. _ _ _ _
Moi, je réalisais des albums. _ _ _
C'était tout croche.
C'était le plus grand vendeur.
_ À l'époque, un album coûtait 400-500$. _
Mais ça avait les bonnes tonnes.
Même si c'était du croche, ça marchait.
Je n'aimais pas le country au début.
Non?
Parce qu'il n'y avait pas de moyens.
Ça sonnait mal. _ _
Je suis allé voir son producteur pour voir si je pouvais faire ses tracks.
J'ai un vrai band.
_ _ Ça a commencé de même. _
Tout le monde, country, _ Brunel, Martel, Ouellet, Bobé Hachette,
tout le monde était à cette même compagnie.
_ _ Après, _ tu fais Monsieur Brunel, tu fais Monsieur Martel.
Il manquait une chanson à un, une chanson à l'autre.
J'écrivais.
_ Finalement, _ je suis tombé en amour avec ce monde-là.
Leur mentalité.
C'était tellement authentique, le country.
Tout à fait.
_ J'ai dit, je vais rester là et je vais arranger ce que je n'aime pas.
_ Ils me donnaient plus de moyens à cause de ma soeur,
qui était le numéro un des vendeurs.
_ C'est mon aventure dans le country.
Rien n'a _ changé ça.
On sent toujours cette dose d'émerveillement,
toujours cette capacité à t'étonner de la beauté du monde. _ _
Tes parents _ ont contribué.
Comment à l'artiste que tu es devenu aujourd'hui?
Mes parents chantaient tout le temps.
C'est du monde qui avait la musique au bout. _ _ _ _
Je n'avais pas le genre de parent _ qui voulait _ quelqu'un qui allait à l'école,
qui était savant. _ _ _
Tu veux être le médecin de la famille?
Oui, le médecin de l'ombre. _ _
_ _ À six ans, ils me traînaient n'importe où.
Ils m'éveillaient pour me faire chanter.
J'avais six ans.
C'est leur faute à eux, finalement.
Ils sont responsables. _
_ Ton plus récent album, « Ma maison favorite [Cm] »,
il y a la très touchante [N] chanson « Qu'est-ce qui t'a pris ?
»
qui parle du suicide.
_ _ Qu'est-ce que tu as envie de dire dans cette chanson-là?
Le suicide me touche parce que c'est surtout des jeunes.
Pas juste des jeunes, mais surtout. _
Je ne suis pas capable de comprendre.
_ À 20 ans, tu veux _ t'en aller.
À 20 ans, tu veux conquérir le monde.
Tu comprends?
Je ne peux pas comprendre ça pour un jeune qui veut se suicider.
Ça me touche vraiment.
_ Quand j'ai entendu cette chanson-là,
Benjamin Bessette, un de mes chums, un auteur-compositeur,
m'a écrit ça.
J'ai été touché tout de suite.
Moi, quand ça me touche, ça va toucher les autres, c'est sûr.
_ _ _ Il faut que je la fasse, cette chanson-là.
_ Une autre très belle chanson sur ton album « Ma maison favorite »,
c'est « Tu étais là ».
Une chanson d'amour écrite pour ta conjointe des 30 dernières années.
Johanne, comment vous vous êtes rencontrée?
_ _ Je l'ai rencontrée bien avant ça.
Sa mère était la gardienne de mes enfants de mon premier mariage.
Ça part de loin.
Elle était avec son premier mari, elle venait avoir un petit bébé.
_ _ _ Ça a traîné longtemps, bien longtemps après.
Elle est venue à la Paris, à un moment donné où je travaillais.
À l'arrivée des mauvais moments pour moi,
parce que moi, ce n'était pas un bon moment dans ce temps-là. _
_ _ _ J'étais dans la noirceur, si tu veux.
J'étais dans le bas.
Il y a des hauts et des bas pendant 50 ans de carrière.
Tout à fait, oui.
J'étais dans un creux de vagues.
_ _ Elle est venue me chercher là pour me ramener à la lumière.
_ _ _ Elle méritait cette chanson-là.
_ Magnifique chanson.
_ Prochain volet de questions, c'est en rafale.
On y va avec des réponses spontanées.
La chanson francophone qui t'a souvent ému jusqu'aux larmes. _ _
Ému jusqu'aux larmes, mon Dieu, il y en a plusieurs.
Il y a deux personnes qui m'émeutent quand elles chantent.
C'est Céline et _ Ginette Renaud.
_ D'ailleurs, j'avais écrit une chanson pour Ginette il y a 45 ans
que j'ai réussi à chanter avec elle sur mon album précédent.
C'était un bonheur, _ Ginette, je ne suis pas déçu.
Pas juste sur sa voix, sur elle, _ son caractère.
_ Et puis, _ il y a ces personnes-là qui m'émeutent.
Et il y a certaines chansons, mes propres chansons,
m'émeutent comme à ma mère.
Je _ _ suis souvent le moton.
Pendant que je la chante, il faut que je pense à d'autres choses
de moches pour oublier.
À ma mère, elle est arrivée spontanément
suite au décès de ton père.
Oui, à ma mère, ça a sorti _ _ comme_
J'ai trouvé ça beau quand elle a dit « elle sortit rapidement ».
Il a juste fallu que je la sable un petit peu.
Juste sablez-toi, vraiment.
Elle a sorti quasiment tout entièrement. _ _
_ En ce moment, avec quel artiste aimerais-tu chanter en duo?
Là, je n'avais pas fini.
Un autre rêve.
Oui, un autre rêve, ce serait Cabrel.
J'adore Cabrel.
J'aimerais beaucoup.
On te souhaite.
_ Si tu pouvais être quelqu'un d'autre durant un petit 24 heures,
qui serais-tu?
Je serais heureux dans mon affaire, ça va bien.
La vie est belle.
_ _ Bonne femme, j'ai des bons enfants.
Mes enfants travaillent avec moi, on a du fun. _ _ _ _
J'aime bien ma place.
C'est vrai. _ _
C'est d'autres qui veulent l'apprendre, c'est ça?
Oui, c'est ça. _
La prochaine question nous provient d'un artiste
que l'on a interviewé précédemment.
Dans ton cas, il s'agit de Roxane Bruneau.
Alors, voici sa question.
Salut, c'est Roxane Bruneau.
Ma question pour l'artiste mystère, c'est,
est-ce que tu as un rituel d'avant-show?
_ Rien, pas en tout.
Non, [G#m] non, non.
Je n'ai pas de rituel.
_ À quoi ressemble l'agenda de Paul Darage pour les mois à venir?
_ Pleine, pleine, comme trop.
_ Quand c'est pas assez, on chiale pareil.
_ _ C'est fou, c'est plein, plein.
Je n'arrête pas.
[Gm] Et peut-être un duo avec Cabrel.
Peut-être un duo avec Cabrel,
puis un nouvel album au début de 2020, c'est sûr. _
Ça va être mon _ 31e. _ _ _
Merci beaucoup d'être venu à Stingray.
Merci de m'avoir reçu.
Je rappelle aux gens que les chansons de Paul Darage
sont diffusées sur les chaînes Stingray Music,
Franco Country, Je t'aime en Country,
Sur la route du Country, Sa chaîne de vedettes
et plusieurs autres,
toutes disponibles sur notre application mobile Stingray Music,
ainsi que sur notre chaîne de vidéoclips
Palmarès à disque par Stingray.
Pour en savoir davantage sur Paul Darage,
consultez sa page Facebook,
facebook.com baroblic Paul Darage.
[E] _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _
_ _ _ _ _ _ _ _