Chords for EUPHONIK - LES ANGES DE L'OUBLI
Tempo:
90.05 bpm
Chords used:
Bbm
Ebm
Gb
Ab
F
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
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[Bbm] Regarde-moi !
Et les gens, là-dehors ?
Tu crois qu'ils viendraient si je faisais semblant, hein ?
Je m'affronte complètement de savoir s'ils m'aiment ou s'ils me détestent.
Ils sont là.
C'est tout.
Ces lettres existent.
Tout ça existe.
J'existe !
Regarde-moi !
Regarde-moi, putain, j'existe !
J'suis pas rien !
J'suis pas du vide !
J'suis quelque chose !
J'suis quelqu'un !
J'suis vivant !
J'suis leur meilleur ami, j'suis leur pire ennemi !
J'suis le mort qui parle !
Et j'suis ton mère !
J'écris la vie, ses aléas, entre [Ab] les deuils, les jours, lumière, un peu [Ebm] de lui, de elle, de moi.
[Bbm] Et l'amour qu'on réitère, [Gb] vérifier tous leurs défunts.
[Am] Quand le bonheur s'étole à la [Bbm] recherche d'un cœur luciole, dans l'obscurité sans fin.
On a souvent l'air confus, [Ab] entre amour [Ebm] et conflit.
Il y a de solitude, sale [Bbm] recherche et sale conflit.
Fais [Gb] semblant de ne pas entendre quand les [F] gens parlent de tes problèmes.
Comment [Bbm] pourraient-ils te comprendre déjà que tu comprends pas toi-même ?
L'humanité t'a rendu froid, tu [Ab] n'as fait que [Ebm] douter de plus.
À la recherche d'un autre toi, comme [Bbm] si t'étais une toupe et russe.
[Gb] Tout s'est plus en quicroir, t'as [A] des primes silencieuses.
[Bbm] Elles te bouffent, tu rebarres, comme une montre religieuse.
Rien [Ebm] ne semble t'émouvoir, [Am] ton sourire dans un miroir.
On [Bbm] n'est plus qu'un âme à divoir.
[Gb] Au fond d'une chambre noire, je me [Ab] demande qui [Ebm] sont les fous.
Etrange comme le sourire, ce soir j'écris [F] pour eux.
L'essentiel de l'oubli, la [Bbm] nuit est bien trop noire.
Faut [Ab] que tu puisses [Ebm] voir clairement.
Et tu te demandes bêtement [Bb] qui sera à ton enterrement.
Tu [Gb] en oublies le plaisir, [F] d'une main qui t'effleure.
J [Bbm]'écris la dernière lueur, qu'ils ne pourront saisir.
Et tu nourris tes peurs, [Ab] personne pour te [Ebm] rassurer.
Et tu te réveilles en sueur, comme [Bb] si ton corps avait pleuré.
[Gb] Ils te scarifient, c'est [F] moins brutal que de se pendre.
Ils [Bbm] ont du mal à te comprendre, car ils sont terrifiés.
L'impression d'être barge, [Ab] tu t'arraches [Ebm] les entrailles.
Et tu caches les entailles, [Bbm] sous de grands sapillages.
[Gb] Ils te voient comme un monstre, [F] je te vois comme un être.
[Bbm] Qui sera prêt à mourir, ou qui sera prêt à renaître ?
Tu [Ebm] ne vois plus aux couleurs, pour toi [Am] plus rien n'est captivant.
[Bbm] Car il n'y a que la douleur, qui [Gb] te fera sentir vivant.
[Ab] Après dire t'es [Ebm] presque mort, et tu dis que c'est mieux ainsi.
Que t'as pas besoin [F] d'un pilier, car c'est seul qu'on s'en sort.
[Bbm] Après dire ça me fait marrer, [Ab] plus rien ne peut t'acclaindre.
[Ebm] Ils te disent d'en parler, mais [Bbm] t'es trop vieux pour te plaindre.
[Gb] Cherche à vaincre un drame, et [F] votre âme est [Bbm] condamnée.
Hier de tes 21 grammes, toi t'as déjà tout cramé.
Après dire c'est pas cycline, c'est [Ab] cyclique, une addiction.
[Ebm] Tu connais l'enfer, son [Bbm] climat fait de contradictions.
J [Gb]'ai créé aux anges oubliés, [F] ceux qu'on a [C] laissés seuls.
[Bbm] Aux âmes désespérées, ta tête auprès du sol.
[Ebm] On est trop vrais pour [Bbm] tous ces bâtards.
J [Gb]'ai ri trop vrai quand on [F] rit ou quand on a le [Bbm] cafard.
Trop vrai au milieu de tous ces putains de [Ebm] hypocrites.
Parce qu'on est trop vrais, on est [F] trop souvent trop seul et trop [Bbm] triste.
On est trop vrais pour [Gb] tous ces bâtards.
J [Ab]'ai ri trop vrai quand on [Ebm] rit ou quand on a le cafard.
Trop [F] vrai au milieu de tous ces putains de [Bbm] hypocrites.
[Ab] [Ebm] [Bbm] [Gb] [F]
[Bbm]
Et les gens, là-dehors ?
Tu crois qu'ils viendraient si je faisais semblant, hein ?
Je m'affronte complètement de savoir s'ils m'aiment ou s'ils me détestent.
Ils sont là.
C'est tout.
Ces lettres existent.
Tout ça existe.
J'existe !
Regarde-moi !
Regarde-moi, putain, j'existe !
J'suis pas rien !
J'suis pas du vide !
J'suis quelque chose !
J'suis quelqu'un !
J'suis vivant !
J'suis leur meilleur ami, j'suis leur pire ennemi !
J'suis le mort qui parle !
Et j'suis ton mère !
J'écris la vie, ses aléas, entre [Ab] les deuils, les jours, lumière, un peu [Ebm] de lui, de elle, de moi.
[Bbm] Et l'amour qu'on réitère, [Gb] vérifier tous leurs défunts.
[Am] Quand le bonheur s'étole à la [Bbm] recherche d'un cœur luciole, dans l'obscurité sans fin.
On a souvent l'air confus, [Ab] entre amour [Ebm] et conflit.
Il y a de solitude, sale [Bbm] recherche et sale conflit.
Fais [Gb] semblant de ne pas entendre quand les [F] gens parlent de tes problèmes.
Comment [Bbm] pourraient-ils te comprendre déjà que tu comprends pas toi-même ?
L'humanité t'a rendu froid, tu [Ab] n'as fait que [Ebm] douter de plus.
À la recherche d'un autre toi, comme [Bbm] si t'étais une toupe et russe.
[Gb] Tout s'est plus en quicroir, t'as [A] des primes silencieuses.
[Bbm] Elles te bouffent, tu rebarres, comme une montre religieuse.
Rien [Ebm] ne semble t'émouvoir, [Am] ton sourire dans un miroir.
On [Bbm] n'est plus qu'un âme à divoir.
[Gb] Au fond d'une chambre noire, je me [Ab] demande qui [Ebm] sont les fous.
Etrange comme le sourire, ce soir j'écris [F] pour eux.
L'essentiel de l'oubli, la [Bbm] nuit est bien trop noire.
Faut [Ab] que tu puisses [Ebm] voir clairement.
Et tu te demandes bêtement [Bb] qui sera à ton enterrement.
Tu [Gb] en oublies le plaisir, [F] d'une main qui t'effleure.
J [Bbm]'écris la dernière lueur, qu'ils ne pourront saisir.
Et tu nourris tes peurs, [Ab] personne pour te [Ebm] rassurer.
Et tu te réveilles en sueur, comme [Bb] si ton corps avait pleuré.
[Gb] Ils te scarifient, c'est [F] moins brutal que de se pendre.
Ils [Bbm] ont du mal à te comprendre, car ils sont terrifiés.
L'impression d'être barge, [Ab] tu t'arraches [Ebm] les entrailles.
Et tu caches les entailles, [Bbm] sous de grands sapillages.
[Gb] Ils te voient comme un monstre, [F] je te vois comme un être.
[Bbm] Qui sera prêt à mourir, ou qui sera prêt à renaître ?
Tu [Ebm] ne vois plus aux couleurs, pour toi [Am] plus rien n'est captivant.
[Bbm] Car il n'y a que la douleur, qui [Gb] te fera sentir vivant.
[Ab] Après dire t'es [Ebm] presque mort, et tu dis que c'est mieux ainsi.
Que t'as pas besoin [F] d'un pilier, car c'est seul qu'on s'en sort.
[Bbm] Après dire ça me fait marrer, [Ab] plus rien ne peut t'acclaindre.
[Ebm] Ils te disent d'en parler, mais [Bbm] t'es trop vieux pour te plaindre.
[Gb] Cherche à vaincre un drame, et [F] votre âme est [Bbm] condamnée.
Hier de tes 21 grammes, toi t'as déjà tout cramé.
Après dire c'est pas cycline, c'est [Ab] cyclique, une addiction.
[Ebm] Tu connais l'enfer, son [Bbm] climat fait de contradictions.
J [Gb]'ai créé aux anges oubliés, [F] ceux qu'on a [C] laissés seuls.
[Bbm] Aux âmes désespérées, ta tête auprès du sol.
[Ebm] On est trop vrais pour [Bbm] tous ces bâtards.
J [Gb]'ai ri trop vrai quand on [F] rit ou quand on a le [Bbm] cafard.
Trop vrai au milieu de tous ces putains de [Ebm] hypocrites.
Parce qu'on est trop vrais, on est [F] trop souvent trop seul et trop [Bbm] triste.
On est trop vrais pour [Gb] tous ces bâtards.
J [Ab]'ai ri trop vrai quand on [Ebm] rit ou quand on a le cafard.
Trop [F] vrai au milieu de tous ces putains de [Bbm] hypocrites.
[Ab] [Ebm] [Bbm] [Gb] [F]
[Bbm]
Key:
Bbm
Ebm
Gb
Ab
F
Bbm
Ebm
Gb
[Bbm] _ _ Regarde-moi ! _ _ _
Et les gens, là-dehors ?
Tu crois qu'ils viendraient si je faisais semblant, hein ?
Je m'affronte complètement de savoir s'ils m'aiment ou s'ils me détestent.
Ils sont là.
C'est tout.
Ces lettres existent.
Tout ça existe.
J'existe !
Regarde-moi !
Regarde-moi, putain, j'existe !
J'suis pas rien !
J'suis pas du vide !
J'suis quelque chose !
J'suis quelqu'un !
J'suis vivant !
J'suis leur meilleur ami, j'suis leur pire ennemi !
J'suis le mort qui parle !
Et j'suis ton mère !
J'écris la vie, ses aléas, entre [Ab] les deuils, les jours, lumière, un peu [Ebm] de lui, de elle, de moi.
[Bbm] Et l'amour qu'on réitère, [Gb] vérifier tous leurs défunts.
[Am] Quand le bonheur s'étole à la [Bbm] recherche d'un cœur luciole, dans l'obscurité sans fin.
On a souvent l'air confus, [Ab] entre amour [Ebm] et conflit.
Il y a de solitude, sale [Bbm] recherche et sale conflit.
Fais [Gb] semblant de ne pas entendre quand les [F] gens parlent de tes problèmes.
Comment [Bbm] pourraient-ils te comprendre déjà que tu comprends pas toi-même ?
L'humanité t'a rendu froid, tu [Ab] n'as fait que [Ebm] douter de plus.
À la recherche d'un autre toi, comme [Bbm] si t'étais une toupe et russe.
[Gb] Tout s'est plus en quicroir, t'as [A] des primes silencieuses.
[Bbm] Elles te bouffent, tu rebarres, comme une montre religieuse.
Rien [Ebm] ne semble t'émouvoir, [Am] ton sourire dans un miroir.
On [Bbm] n'est plus qu'un âme à divoir.
[Gb] Au fond d'une chambre noire, je me [Ab] demande qui [Ebm] sont les fous.
Etrange comme le sourire, ce soir j'écris [F] pour eux.
L'essentiel de l'oubli, la [Bbm] nuit est bien trop noire.
Faut [Ab] que tu puisses [Ebm] voir clairement.
Et tu te demandes bêtement [Bb] qui sera à ton enterrement.
Tu [Gb] en oublies le plaisir, [F] d'une main qui t'effleure.
J [Bbm]'écris la dernière lueur, qu'ils ne pourront saisir.
Et tu nourris tes peurs, [Ab] personne pour te [Ebm] rassurer.
Et tu te réveilles en sueur, comme [Bb] si ton corps avait pleuré.
[Gb] Ils te scarifient, c'est [F] moins brutal que de se pendre.
Ils [Bbm] ont du mal à te comprendre, car ils sont terrifiés.
L'impression d'être barge, [Ab] tu t'arraches [Ebm] les entrailles.
Et tu caches les entailles, [Bbm] sous de grands sapillages.
[Gb] Ils te voient comme un monstre, [F] je te vois comme un être.
[Bbm] Qui sera prêt à mourir, ou qui sera prêt à renaître ?
Tu [Ebm] ne vois plus aux couleurs, pour toi [Am] plus rien n'est captivant.
[Bbm] Car il n'y a que la douleur, qui [Gb] te fera sentir vivant.
[Ab] Après dire t'es [Ebm] presque mort, et tu dis que c'est mieux ainsi.
Que t'as pas besoin [F] d'un pilier, car c'est seul qu'on s'en sort.
[Bbm] Après dire ça me fait marrer, [Ab] plus rien ne peut t'acclaindre.
[Ebm] Ils te disent d'en parler, mais [Bbm] t'es trop vieux pour te plaindre.
[Gb] Cherche à vaincre un drame, et [F] votre âme est [Bbm] condamnée.
Hier de tes 21 grammes, toi t'as déjà tout cramé.
Après dire c'est pas cycline, c'est [Ab] cyclique, une addiction.
[Ebm] Tu connais l'enfer, son [Bbm] climat fait de contradictions.
J [Gb]'ai créé aux anges oubliés, [F] ceux qu'on a [C] laissés seuls.
[Bbm] Aux âmes désespérées, ta tête auprès du sol. _
[Ebm] On est trop vrais pour [Bbm] tous ces bâtards.
J [Gb]'ai ri trop vrai quand on [F] rit ou quand on a le [Bbm] cafard.
Trop vrai au milieu de tous ces putains de [Ebm] hypocrites.
Parce qu'on est trop vrais, on est [F] trop souvent trop seul et trop [Bbm] triste.
On est trop vrais pour [Gb] tous ces bâtards.
J [Ab]'ai ri trop vrai quand on [Ebm] rit ou quand on a le cafard.
Trop [F] vrai au milieu de tous ces putains de [Bbm] hypocrites.
_ [Ab] _ _ [Ebm] _ _ [Bbm] _ _ _ [Gb] _ [F] _ _
[Bbm] _ _ _ _ _ _ _ _
Et les gens, là-dehors ?
Tu crois qu'ils viendraient si je faisais semblant, hein ?
Je m'affronte complètement de savoir s'ils m'aiment ou s'ils me détestent.
Ils sont là.
C'est tout.
Ces lettres existent.
Tout ça existe.
J'existe !
Regarde-moi !
Regarde-moi, putain, j'existe !
J'suis pas rien !
J'suis pas du vide !
J'suis quelque chose !
J'suis quelqu'un !
J'suis vivant !
J'suis leur meilleur ami, j'suis leur pire ennemi !
J'suis le mort qui parle !
Et j'suis ton mère !
J'écris la vie, ses aléas, entre [Ab] les deuils, les jours, lumière, un peu [Ebm] de lui, de elle, de moi.
[Bbm] Et l'amour qu'on réitère, [Gb] vérifier tous leurs défunts.
[Am] Quand le bonheur s'étole à la [Bbm] recherche d'un cœur luciole, dans l'obscurité sans fin.
On a souvent l'air confus, [Ab] entre amour [Ebm] et conflit.
Il y a de solitude, sale [Bbm] recherche et sale conflit.
Fais [Gb] semblant de ne pas entendre quand les [F] gens parlent de tes problèmes.
Comment [Bbm] pourraient-ils te comprendre déjà que tu comprends pas toi-même ?
L'humanité t'a rendu froid, tu [Ab] n'as fait que [Ebm] douter de plus.
À la recherche d'un autre toi, comme [Bbm] si t'étais une toupe et russe.
[Gb] Tout s'est plus en quicroir, t'as [A] des primes silencieuses.
[Bbm] Elles te bouffent, tu rebarres, comme une montre religieuse.
Rien [Ebm] ne semble t'émouvoir, [Am] ton sourire dans un miroir.
On [Bbm] n'est plus qu'un âme à divoir.
[Gb] Au fond d'une chambre noire, je me [Ab] demande qui [Ebm] sont les fous.
Etrange comme le sourire, ce soir j'écris [F] pour eux.
L'essentiel de l'oubli, la [Bbm] nuit est bien trop noire.
Faut [Ab] que tu puisses [Ebm] voir clairement.
Et tu te demandes bêtement [Bb] qui sera à ton enterrement.
Tu [Gb] en oublies le plaisir, [F] d'une main qui t'effleure.
J [Bbm]'écris la dernière lueur, qu'ils ne pourront saisir.
Et tu nourris tes peurs, [Ab] personne pour te [Ebm] rassurer.
Et tu te réveilles en sueur, comme [Bb] si ton corps avait pleuré.
[Gb] Ils te scarifient, c'est [F] moins brutal que de se pendre.
Ils [Bbm] ont du mal à te comprendre, car ils sont terrifiés.
L'impression d'être barge, [Ab] tu t'arraches [Ebm] les entrailles.
Et tu caches les entailles, [Bbm] sous de grands sapillages.
[Gb] Ils te voient comme un monstre, [F] je te vois comme un être.
[Bbm] Qui sera prêt à mourir, ou qui sera prêt à renaître ?
Tu [Ebm] ne vois plus aux couleurs, pour toi [Am] plus rien n'est captivant.
[Bbm] Car il n'y a que la douleur, qui [Gb] te fera sentir vivant.
[Ab] Après dire t'es [Ebm] presque mort, et tu dis que c'est mieux ainsi.
Que t'as pas besoin [F] d'un pilier, car c'est seul qu'on s'en sort.
[Bbm] Après dire ça me fait marrer, [Ab] plus rien ne peut t'acclaindre.
[Ebm] Ils te disent d'en parler, mais [Bbm] t'es trop vieux pour te plaindre.
[Gb] Cherche à vaincre un drame, et [F] votre âme est [Bbm] condamnée.
Hier de tes 21 grammes, toi t'as déjà tout cramé.
Après dire c'est pas cycline, c'est [Ab] cyclique, une addiction.
[Ebm] Tu connais l'enfer, son [Bbm] climat fait de contradictions.
J [Gb]'ai créé aux anges oubliés, [F] ceux qu'on a [C] laissés seuls.
[Bbm] Aux âmes désespérées, ta tête auprès du sol. _
[Ebm] On est trop vrais pour [Bbm] tous ces bâtards.
J [Gb]'ai ri trop vrai quand on [F] rit ou quand on a le [Bbm] cafard.
Trop vrai au milieu de tous ces putains de [Ebm] hypocrites.
Parce qu'on est trop vrais, on est [F] trop souvent trop seul et trop [Bbm] triste.
On est trop vrais pour [Gb] tous ces bâtards.
J [Ab]'ai ri trop vrai quand on [Ebm] rit ou quand on a le cafard.
Trop [F] vrai au milieu de tous ces putains de [Bbm] hypocrites.
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