Chords for Fayçal - L'introversion

Tempo:
85.2 bpm
Chords used:

F#m

A

C#m

D

B

Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
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Fayçal - L'introversion chords
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[F#m]
[C#m]
[F#m] L'introversion,
[A]
[F#m] introvertie, suicidaire, réfléchie et solitaire,
Je narre un cœur austère où seule la peine et la rancœur de lui ont été solidaires.
En effet, [A] inhibé par nature, on m'a dit [C#m] immature,
Mais dans les faits c'est l [F#m]'émotion et les mots qui saturent,
Ma vie adhérature, enrayée puis rayée par l'échec d'une relation,
Mais je reste allié à la droiture, sans [A] délégation,
Aliené par la passion, j'évolue sans compassion,
Envers [F#m] mon armature, moi, mes joies et mes lois,
Donc les mots allaisent en émo à toutes ces blessures non révolues,
Rien n'est résolu, je reste isolé dans [A] la césure comme à César,
Où l'affection demeure [F#m] momosolée,
Dans sa camisole, la réflexion m'a désolé,
J'ai vu l'amour comme une fiction, malgré mes convictions,
Auprès de ma diction, je dévoile mes sentiments,
J'enlève le voile intimement avant de voir [F#m] la mort m'étreindre,
Prendre les devants sans craindre le moindre roror,
Frise l'inconcevable, car ma crise est stable, établie et fiable dans l'âme,
Elle est comme un [A] mal recevable, attitude anormale,
Grise et [F#m] incomprise, quand une brise de lassitude,
Sur une braise de solitude, attise la flamme de l'habitude,
Si loin de la béatitude,
[C#m]
[F#m] Le faciès fermé, je reste enfermé dans mes peines,
Les yeux cernés, gouvernés par tant d'amour et de haine,
La voie est une vertu, quand la vie [A] nous pervertit,
Donc pour elle, je mets vertu, car je reste [F#m] introverti,
Le faciès fermé, je reste enfermé dans mes peines,
Les yeux cernés, gouvernés par tant d'amour et de haine,
La voie est une vertu, quand la vie [A] nous pervertit,
Donc pour elle, je mets vertu, car je reste [F#m] introverti,
Timide, vexé, acide et complexé,
J'ai accès à l'homicide, car trop lucide dans l'excès,
Le front et l'œil humide, j'ai pas fait le [C#m] deuil de la fond,
Mais nul n'est parfait, car espoir et mépris s'annulent,
Mes mots sont une victoire, ma parole un exutoire,
Et face au mot de mon esprit, c'est un art oratoire,
Une part de mon histoire, sans [A] carapace ni rempart,
Et d'autre part, une impasse à l [D]'humour, de part en part,
J'ai pas l'humeur glamour, qui plaît à la plupart,
Mais la stupeur de l'amour, pour des plaies qui font plus peur,
La distance est immense, entre mon [A] cœur et la confiance,
Lorsque mon existence, et vos regards se [F#m] fiancent,
Cette méfiance à mon égard, purement une illusion,
Non sûrement une allusion, aux lésions d'une liaison,
A ces visions amères, [A] ternes et sans couleur,
Comme une colère éphémère, qui consterne ma [F#m] douleur,
Pour l'heure, le cœur encore emprunt de cette époque,
Demeure en plein dans l'équivoque, quand j'évoque mon devenir,
Au-delà du passé, c'est mes [A] souvenirs que j'invoque,
Lorsque dépassée par ma joie, la voix [F#m] trépassée,
La parole me délaisse, l'insolence laisse acerbe,
Le silence est une violence, qui blesse plus que le vert,
Le faciès fermé, je reste enfermé dans mes peines,
Les yeux cernés, gouvernés, partant d'amour et de haine,
La voix est une vertu, quand la [A] vie nous perverdit,
Donc pour elle, je m'évertue, car je [F#m] reste introverti,
Le faciès fermé, je reste enfermé dans mes peines,
Les yeux cernés, gouvernés, partant d'amour et de haine,
La voix est une vertu, quand la [A] vie nous pervertit,
Donc pour elle, je m
Key:  
F#m
123111112
A
1231
C#m
13421114
D
1321
B
12341112
F#m
123111112
A
1231
C#m
13421114
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_ _ _ [F#m] _ _ _ _ _
_ _ _ _ [C#m] _ _ _ _
_ [F#m] L'introversion, _ _ _
_ _ _ _ _ [A] _ _ _
_ [F#m] introvertie, suicidaire, réfléchie et solitaire,
Je narre un cœur austère où seule la peine et la rancœur de lui ont été solidaires.
En effet, [A] inhibé par nature, on m'a dit [C#m] immature,
Mais dans les faits c'est l [F#m]'émotion et les mots qui saturent,
Ma vie adhérature, enrayée puis rayée par l'échec d'une relation,
Mais je reste allié à la droiture, sans [A] délégation,
Aliené par la passion, j'évolue sans compassion,
Envers [F#m] mon armature, moi, mes joies et mes lois,
Donc les mots allaisent en émo à toutes ces blessures non révolues,
Rien n'est résolu, je reste isolé dans [A] la césure comme à César,
Où l'affection demeure [F#m] momosolée,
Dans sa camisole, la réflexion m'a désolé,
J'ai vu l'amour comme une fiction, malgré mes convictions,
Auprès de ma diction, je dévoile mes sentiments,
J'enlève le voile intimement avant de voir [F#m] la mort m'étreindre,
Prendre les devants sans craindre le moindre roror,
Frise l'inconcevable, car ma crise est stable, établie et fiable dans l'âme,
Elle est comme un [A] mal recevable, attitude anormale,
Grise et [F#m] incomprise, quand une brise de lassitude,
Sur une braise de solitude, attise la flamme de l'habitude,
Si loin de la béatitude,
_ _ [C#m] _ _ _ _
_ [F#m] Le faciès fermé, je reste enfermé dans mes peines,
Les yeux cernés, gouvernés par tant d'amour et de haine,
La voie est une vertu, quand la vie [A] nous pervertit,
Donc pour elle, je mets vertu, car je reste [F#m] introverti,
Le faciès fermé, je reste enfermé dans mes peines,
Les yeux cernés, gouvernés par tant d'amour et de haine,
La voie est une vertu, quand la vie [A] nous pervertit,
Donc pour elle, je mets vertu, car je reste [F#m] introverti,
Timide, vexé, acide et complexé,
J'ai accès à l'homicide, car trop lucide dans l'excès,
Le front et l'œil humide, j'ai pas fait le [C#m] deuil de la fond,
Mais nul n'est parfait, car espoir et mépris s'annulent,
Mes mots sont une victoire, ma parole un exutoire,
Et face au mot de mon esprit, c'est un art oratoire,
Une part de mon histoire, sans [A] carapace ni rempart,
Et d'autre part, une impasse à l [D]'humour, de part en part,
J'ai pas l'humeur glamour, qui plaît à la plupart,
Mais la stupeur de l'amour, pour des plaies qui font plus peur,
La distance est immense, entre mon [A] cœur et la confiance,
Lorsque mon existence, et vos regards se [F#m] fiancent,
Cette méfiance à mon égard, purement une illusion,
Non sûrement une allusion, aux lésions d'une liaison,
A ces visions amères, [A] ternes et sans couleur,
Comme une colère éphémère, qui consterne ma [F#m] douleur,
Pour l'heure, le cœur encore emprunt de cette époque,
Demeure en plein dans l'équivoque, quand j'évoque mon devenir,
Au-delà du passé, c'est mes [A] souvenirs que j'invoque,
Lorsque dépassée par ma joie, la voix [F#m] trépassée,
La parole me délaisse, l'insolence laisse acerbe,
Le silence est une violence, qui blesse plus que le vert, _ _ _ _ _
_ _ Le faciès fermé, je reste enfermé dans mes peines,
Les yeux cernés, gouvernés, partant d'amour et de haine,
La voix est une vertu, quand la [A] vie nous perverdit,
Donc pour elle, je m'évertue, car je [F#m] reste introverti,
Le faciès fermé, je reste enfermé dans mes peines,
Les yeux cernés, gouvernés, partant d'amour et de haine,
La voix est une vertu, quand la [A] vie nous pervertit,
Donc pour elle, je m