Chords for Gauguin (Lettre à Jacques brel) -Barbara- Subtitulada
Tempo:
99.75 bpm
Chords used:
G
Ab
C
E
Am
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
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[D]
[Ab] Il pleut sur l'île des [Ab] Valois, le vent sur les longs arbres verts, jette des sables d'or mouillés.
[G] Il pleut sur un ciel de corail, comme une pluie venue du nord, qui délave les ores
rouges et les bleus violets de Gauguin.
Il [G] pleut.
[C] Les [Ab] marquises sont devenues grises, le zéphyr est un [G] bandu nord, ce matin-là, sur l'île
qui sommeille encore.
[C] Il a dû s'étonner [Ab] Gauguin, [C] dans ses framboisieurs de [Fm] [C] pelouan, en pleurer des [E] larmes de pluie
qui venaient de la [Am] mer du nord.
[F] Il a dû s'étonner
[Dm] [G] Gauguin.
Et [Ab] toi, comme un grand danseur fatigué, avec ton regard de l [G]'enfance, et toi, [Eb] bonjour
monsieur [Ab] Gauguin, fais-toi peu [G] la seule.
Je suis un voyageur lointain, j'arrive des brumes du nord et je viens dormir au [C]
soleil.
Fais-toi peu [E] la seule.
Tu sais, [Ab]
[Ab] ce n'est pas que tu sois partie qui m'importe.
D'ailleurs, pour moi, tu n'es que seule partie.
[Eb] Tu sais, ce n'est pas que tu ne chantes plus qui m'importe.
D'ailleurs, pour moi, tu chantes encore.
J'aimais penser qu'un jour, le vent que tu émets te [E] devenait contraire.
Je pense que plus jamais tu ne naviguerais ni le ciel ni [A] la mer.
Plus jamais en avril toucher l'île [Dm] à blanc.
Plus jamais voir le [G] ciel au-dessus du [Ab] canal.
Mais qui peut [G] dire, moi [E] qui te connais bien, je suis sûre qu'aujourd'hui, tu caresse les
seins d'une femme de coquin [A] et qu'il pinte un mystère d'âme.
Vous regardez ensemble [G] se lever le soleil au-dessus de la [Dm] lune, où [G] galopent des chevaux blancs.
Et ton rire [Ab] me parvient en cascade, en torrents qui traversent la mer et le ciel [G] et les vents.
Et ta voix chante encore.
[C] Oh, il a dû s'étonner, coquin, [E] [C] quand ces femmes aux yeux de velours [C] ont pleuré des
larmes [E] de pluie qui venaient de ta mer du [Am] Nord.
[F] Il a dû s'étonner, [G] coquin.
[Ab]
Souvent je pense [Abm] à toi qui allongeais les dunes et [Eb] traversais le Nord pour aller dormir
[G] au [Ab] soleil, là-bas, [G] sous le ciel de corail.
C'était ta volonté, sois bien, dors bien.
Souvent je pense à toi.
[G]
Je [C] signe, Léonie, tu [Ab] sauras qui je suis.
[G]
Dors [C] bien.
[Am]
[Ab] Il pleut sur l'île des [Ab] Valois, le vent sur les longs arbres verts, jette des sables d'or mouillés.
[G] Il pleut sur un ciel de corail, comme une pluie venue du nord, qui délave les ores
rouges et les bleus violets de Gauguin.
Il [G] pleut.
[C] Les [Ab] marquises sont devenues grises, le zéphyr est un [G] bandu nord, ce matin-là, sur l'île
qui sommeille encore.
[C] Il a dû s'étonner [Ab] Gauguin, [C] dans ses framboisieurs de [Fm] [C] pelouan, en pleurer des [E] larmes de pluie
qui venaient de la [Am] mer du nord.
[F] Il a dû s'étonner
[Dm] [G] Gauguin.
Et [Ab] toi, comme un grand danseur fatigué, avec ton regard de l [G]'enfance, et toi, [Eb] bonjour
monsieur [Ab] Gauguin, fais-toi peu [G] la seule.
Je suis un voyageur lointain, j'arrive des brumes du nord et je viens dormir au [C]
soleil.
Fais-toi peu [E] la seule.
Tu sais, [Ab]
[Ab] ce n'est pas que tu sois partie qui m'importe.
D'ailleurs, pour moi, tu n'es que seule partie.
[Eb] Tu sais, ce n'est pas que tu ne chantes plus qui m'importe.
D'ailleurs, pour moi, tu chantes encore.
J'aimais penser qu'un jour, le vent que tu émets te [E] devenait contraire.
Je pense que plus jamais tu ne naviguerais ni le ciel ni [A] la mer.
Plus jamais en avril toucher l'île [Dm] à blanc.
Plus jamais voir le [G] ciel au-dessus du [Ab] canal.
Mais qui peut [G] dire, moi [E] qui te connais bien, je suis sûre qu'aujourd'hui, tu caresse les
seins d'une femme de coquin [A] et qu'il pinte un mystère d'âme.
Vous regardez ensemble [G] se lever le soleil au-dessus de la [Dm] lune, où [G] galopent des chevaux blancs.
Et ton rire [Ab] me parvient en cascade, en torrents qui traversent la mer et le ciel [G] et les vents.
Et ta voix chante encore.
[C] Oh, il a dû s'étonner, coquin, [E] [C] quand ces femmes aux yeux de velours [C] ont pleuré des
larmes [E] de pluie qui venaient de ta mer du [Am] Nord.
[F] Il a dû s'étonner, [G] coquin.
[Ab]
Souvent je pense [Abm] à toi qui allongeais les dunes et [Eb] traversais le Nord pour aller dormir
[G] au [Ab] soleil, là-bas, [G] sous le ciel de corail.
C'était ta volonté, sois bien, dors bien.
Souvent je pense à toi.
[G]
Je [C] signe, Léonie, tu [Ab] sauras qui je suis.
[G]
Dors [C] bien.
[Am]
Key:
G
Ab
C
E
Am
G
Ab
C
_ _ _ _ _ _ _ _
_ _ _ _ _ _ _ [D] _
_ _ _ [Ab] Il pleut sur l'île des [Ab] Valois, le vent sur les longs arbres verts, jette des sables d'or mouillés.
_ [G] _ Il pleut sur un ciel de corail, comme une pluie venue du nord, qui délave les ores
rouges et les bleus violets de Gauguin. _
_ _ Il [G] pleut. _ _
[C] Les [Ab] marquises sont devenues grises, _ _ le zéphyr est un [G] bandu nord, ce matin-là, _ _ _ sur l'île
qui sommeille encore.
_ _ [C] _ _ Il a dû s'étonner [Ab] Gauguin, _ _ [C] _ dans ses framboisieurs de [Fm] _ _ [C] pelouan, en pleurer des [E] larmes de pluie
_ _ qui venaient de la [Am] mer du nord.
[F] Il a dû s'étonner _ _
[Dm] [G] Gauguin.
Et [Ab] toi, comme un grand danseur fatigué, _ avec ton regard de l [G]'enfance, et toi, [Eb] bonjour
monsieur [Ab] Gauguin, fais-toi peu [G] la seule.
Je suis un voyageur lointain, j'arrive des brumes du nord et je viens dormir au [C]
soleil.
Fais-toi peu [E] la seule. _
_ Tu sais, [Ab] _ _ _ _
[Ab] ce n'est pas que tu sois partie qui m'importe.
D'ailleurs, pour moi, tu n'es que seule partie.
[Eb] _ Tu sais, ce n'est pas que tu ne chantes plus qui m'importe.
D'ailleurs, pour moi, tu chantes encore.
J'aimais penser qu'un jour, le vent que tu émets te [E] devenait contraire.
Je pense que plus jamais tu ne naviguerais ni le ciel ni [A] la mer.
Plus jamais en avril toucher l'île [Dm] à blanc.
Plus jamais voir le [G] ciel au-dessus du [Ab] canal.
Mais qui peut [G] dire, _ moi [E] qui te connais bien, _ je suis sûre qu'aujourd'hui, tu caresse les
seins d'une femme de coquin [A] et qu'il pinte un mystère d'âme.
Vous regardez ensemble [G] se lever le soleil au-dessus de la [Dm] lune, où [G] galopent des chevaux blancs.
Et ton rire [Ab] me parvient en cascade, en torrents qui traversent la mer et le ciel [G] et les vents.
Et ta voix chante encore.
_ _ _ [C] _ Oh, il a dû s'étonner, coquin, [E] _ _ _ _ [C] quand ces femmes aux yeux de velours _ [C] ont pleuré des
larmes [E] de pluie _ qui venaient de ta mer du [Am] Nord.
_ [F] Il a dû s'étonner, [G] coquin.
_ _ _ [Ab] _
Souvent je pense [Abm] à toi qui allongeais les dunes et [Eb] traversais le Nord pour aller dormir
[G] au [Ab] soleil, là-bas, [G] sous le ciel de corail.
C'était ta volonté, sois bien, dors bien.
_ Souvent je pense à toi.
_ _ _ _ [G] _ _ _
Je [C] signe, Léonie, _ tu [Ab] sauras qui je suis.
_ _ _ [G] _ _ _ _
_ Dors [C] bien. _ _ _ _
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_ _ _ _ _ [Am] _ _ _
_ _ _ _ _ _ _ [D] _
_ _ _ [Ab] Il pleut sur l'île des [Ab] Valois, le vent sur les longs arbres verts, jette des sables d'or mouillés.
_ [G] _ Il pleut sur un ciel de corail, comme une pluie venue du nord, qui délave les ores
rouges et les bleus violets de Gauguin. _
_ _ Il [G] pleut. _ _
[C] Les [Ab] marquises sont devenues grises, _ _ le zéphyr est un [G] bandu nord, ce matin-là, _ _ _ sur l'île
qui sommeille encore.
_ _ [C] _ _ Il a dû s'étonner [Ab] Gauguin, _ _ [C] _ dans ses framboisieurs de [Fm] _ _ [C] pelouan, en pleurer des [E] larmes de pluie
_ _ qui venaient de la [Am] mer du nord.
[F] Il a dû s'étonner _ _
[Dm] [G] Gauguin.
Et [Ab] toi, comme un grand danseur fatigué, _ avec ton regard de l [G]'enfance, et toi, [Eb] bonjour
monsieur [Ab] Gauguin, fais-toi peu [G] la seule.
Je suis un voyageur lointain, j'arrive des brumes du nord et je viens dormir au [C]
soleil.
Fais-toi peu [E] la seule. _
_ Tu sais, [Ab] _ _ _ _
[Ab] ce n'est pas que tu sois partie qui m'importe.
D'ailleurs, pour moi, tu n'es que seule partie.
[Eb] _ Tu sais, ce n'est pas que tu ne chantes plus qui m'importe.
D'ailleurs, pour moi, tu chantes encore.
J'aimais penser qu'un jour, le vent que tu émets te [E] devenait contraire.
Je pense que plus jamais tu ne naviguerais ni le ciel ni [A] la mer.
Plus jamais en avril toucher l'île [Dm] à blanc.
Plus jamais voir le [G] ciel au-dessus du [Ab] canal.
Mais qui peut [G] dire, _ moi [E] qui te connais bien, _ je suis sûre qu'aujourd'hui, tu caresse les
seins d'une femme de coquin [A] et qu'il pinte un mystère d'âme.
Vous regardez ensemble [G] se lever le soleil au-dessus de la [Dm] lune, où [G] galopent des chevaux blancs.
Et ton rire [Ab] me parvient en cascade, en torrents qui traversent la mer et le ciel [G] et les vents.
Et ta voix chante encore.
_ _ _ [C] _ Oh, il a dû s'étonner, coquin, [E] _ _ _ _ [C] quand ces femmes aux yeux de velours _ [C] ont pleuré des
larmes [E] de pluie _ qui venaient de ta mer du [Am] Nord.
_ [F] Il a dû s'étonner, [G] coquin.
_ _ _ [Ab] _
Souvent je pense [Abm] à toi qui allongeais les dunes et [Eb] traversais le Nord pour aller dormir
[G] au [Ab] soleil, là-bas, [G] sous le ciel de corail.
C'était ta volonté, sois bien, dors bien.
_ Souvent je pense à toi.
_ _ _ _ [G] _ _ _
Je [C] signe, Léonie, _ tu [Ab] sauras qui je suis.
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_ Dors [C] bien. _ _ _ _
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