Chords for H.F. Thiéfaine - Fièvre résurrectionnelle (Homo Plebis Ultimae Tour)
Tempo:
135.9 bpm
Chords used:
C#
A#m
F#
F
A#
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret

Start Jamming...
[G#m]
[C#] Sous un brouillard d'acier, dans les banlieues d'Ismire, de Chuz, au sein de ta paix, [F#] six
milliards de pantins, au bout de la lumière, qui se mettent à rêver d'un nouvel univers.
[C#] Et toi tu restes ailleurs, dans un dos immortel, [F] à fabriquer des leurres en fleurs artificielles,
pour les mendiants qui prient les dieux et les chimères, les trafiquants d'espoir, au
sort tu les [C#] vestiaires, [A#m] je t'aime et [C#] je t'attends, [F#] à l'ombre de [A#m] tes rêves, je t'aime et [C#] je
t 'attends, [F#] et le [A#m] soleil se lève, et le [C#] soleil dans un rideau de feu, dans les banlieues
d'Oklahoma, de Kisco, où montrent [F#] ces milliards de fantômes, qui cherchent la sortie, avec
sonotone et des cannes assorties, [C#] et toi tu viens d'ailleurs d'une étrange spirale, [F] comme
un astronaute dans la brèche spatiale, avec autour du cou des cordes de piano, et au
poignet des yeux, où t'appelles le [C#] mameau, [A#m] je t'aime et [C#] je t'attends, [F#] à l'ombre de [A#m] tes
rêves, je t'aime et [C#] je t 'attends, [F#] et le [A#m] soleil se lève,
[A#] et le [C#] soleil dans son plasma féerique, dans les banlieues d'Hanoï, de Sfax ou de Munich,
[F#] ces milliards de décrets, qui cherchent leur puissance, dans les rues de la cour, en suivant
la cadence, [C#] et toi tu cherches ailleurs l'espace élémentaire, [F] qui traduisent nos pensées,
comme on traduit au vert, et tu m'apprends les verbes d'Allac, Mathieu, Bart, pendant
que je fais chou, t'es à l [C#]'harmonica, [A#m] je t'aime et [C#] je t'attends, [F#] à l'ombre de [A#m] tes rêves,
je t'aime et [C#] je t 'attends, [F#] et le [A#m] soleil se lève, et le soleil,
[C#] libre de ses vieux hommes, dans les banlieues d'un canton, où l'atmator, [F#] ces milliards
de paumés, devant la tête au ciel, pour chercher l'erreur, dans un vol d'hirondelle,
[C#] et toi tu flingues ailleurs, sur des nuages flous, [F] dans de faux arcs-en-ciel, vibrant de
sable mou, tu chantes une estharia, l'espoir universel, pour faire que le soleil se lève
sur nos immeubles, je [A#m] t'aime et je [C#] t'attends, [A#m] [F#] à l'ombre de [A#m] mes rêves, je t'aime et [C#] je t'attends,
[F#] et le soleil [A#m] se lève, et le soleil, [C#] la masse sur l'horizon,
Fernand Eliopolis, en jouant Hyperion, ces [F#] milliards de groupies, qui l'attendent hystérique,
dans le stade aux jolies, en brouillant la musique, [C#] mais toi tu sois d'ailleurs, dans
un désert de pluie, [F] en attendant les heures plus fraîches de la nuit, et tu me fais danser,
là-haut sur ta colline, dans ton souffle éthéré, de nuit, ça fait [C#] nid, nid, nid, ça [A#m] fait,
et [C#] je te veux, [F#] à l'ombre de [A#m] mes rêves, je t'aime et je te veux, [F#] et le soleil se [A#m] lève,
[A#] [N]
Marc à la basse,
[D#] [N]
Jean-Pi à la batterie, guitare, clavier, crisse, et Alice à la guitare.
[C#] Sous un brouillard d'acier, dans les banlieues d'Ismire, de Chuz, au sein de ta paix, [F#] six
milliards de pantins, au bout de la lumière, qui se mettent à rêver d'un nouvel univers.
[C#] Et toi tu restes ailleurs, dans un dos immortel, [F] à fabriquer des leurres en fleurs artificielles,
pour les mendiants qui prient les dieux et les chimères, les trafiquants d'espoir, au
sort tu les [C#] vestiaires, [A#m] je t'aime et [C#] je t'attends, [F#] à l'ombre de [A#m] tes rêves, je t'aime et [C#] je
t 'attends, [F#] et le [A#m] soleil se lève, et le [C#] soleil dans un rideau de feu, dans les banlieues
d'Oklahoma, de Kisco, où montrent [F#] ces milliards de fantômes, qui cherchent la sortie, avec
sonotone et des cannes assorties, [C#] et toi tu viens d'ailleurs d'une étrange spirale, [F] comme
un astronaute dans la brèche spatiale, avec autour du cou des cordes de piano, et au
poignet des yeux, où t'appelles le [C#] mameau, [A#m] je t'aime et [C#] je t'attends, [F#] à l'ombre de [A#m] tes
rêves, je t'aime et [C#] je t 'attends, [F#] et le [A#m] soleil se lève,
[A#] et le [C#] soleil dans son plasma féerique, dans les banlieues d'Hanoï, de Sfax ou de Munich,
[F#] ces milliards de décrets, qui cherchent leur puissance, dans les rues de la cour, en suivant
la cadence, [C#] et toi tu cherches ailleurs l'espace élémentaire, [F] qui traduisent nos pensées,
comme on traduit au vert, et tu m'apprends les verbes d'Allac, Mathieu, Bart, pendant
que je fais chou, t'es à l [C#]'harmonica, [A#m] je t'aime et [C#] je t'attends, [F#] à l'ombre de [A#m] tes rêves,
je t'aime et [C#] je t 'attends, [F#] et le [A#m] soleil se lève, et le soleil,
[C#] libre de ses vieux hommes, dans les banlieues d'un canton, où l'atmator, [F#] ces milliards
de paumés, devant la tête au ciel, pour chercher l'erreur, dans un vol d'hirondelle,
[C#] et toi tu flingues ailleurs, sur des nuages flous, [F] dans de faux arcs-en-ciel, vibrant de
sable mou, tu chantes une estharia, l'espoir universel, pour faire que le soleil se lève
sur nos immeubles, je [A#m] t'aime et je [C#] t'attends, [A#m] [F#] à l'ombre de [A#m] mes rêves, je t'aime et [C#] je t'attends,
[F#] et le soleil [A#m] se lève, et le soleil, [C#] la masse sur l'horizon,
Fernand Eliopolis, en jouant Hyperion, ces [F#] milliards de groupies, qui l'attendent hystérique,
dans le stade aux jolies, en brouillant la musique, [C#] mais toi tu sois d'ailleurs, dans
un désert de pluie, [F] en attendant les heures plus fraîches de la nuit, et tu me fais danser,
là-haut sur ta colline, dans ton souffle éthéré, de nuit, ça fait [C#] nid, nid, nid, ça [A#m] fait,
et [C#] je te veux, [F#] à l'ombre de [A#m] mes rêves, je t'aime et je te veux, [F#] et le soleil se [A#m] lève,
[A#] [N]
Marc à la basse,
[D#] [N]
Jean-Pi à la batterie, guitare, clavier, crisse, et Alice à la guitare.
Key:
C#
A#m
F#
F
A#
C#
A#m
F#
_ _ _ [G#m] _ _ _ _
[C#] Sous un brouillard d'acier, dans les banlieues d'Ismire, de Chuz, au sein de ta paix, [F#] six
milliards de pantins, au bout de la lumière, qui se mettent à rêver d'un nouvel univers.
[C#] Et toi tu restes ailleurs, dans un dos immortel, [F] à fabriquer des leurres en fleurs _ artificielles,
pour les mendiants qui prient les dieux et les chimères, les trafiquants d'espoir, au
sort tu les [C#] vestiaires, [A#m] je t'aime et [C#] je t'attends, [F#] à l'ombre de [A#m] tes rêves, _ je t'aime et [C#] je
t _ 'attends, [F#] _ et le [A#m] soleil se lève, _ _ et le [C#] soleil dans un rideau de feu, dans les banlieues
d'Oklahoma, de Kisco, où montrent [F#] ces milliards de fantômes, qui cherchent la sortie, avec
sonotone et des cannes assorties, [C#] et toi tu viens d'ailleurs d'une étrange spirale, [F] comme
un astronaute dans la brèche _ spatiale, avec autour du cou des cordes de piano, et au
poignet des yeux, où t'appelles le [C#] mameau, [A#m] je t'aime et [C#] je t'attends, [F#] à l'ombre de [A#m] tes
rêves, je t'aime et [C#] je t _ 'attends, [F#] _ et le [A#m] soleil se lève,
_ _ [A#] et le [C#] soleil dans son plasma féerique, dans les banlieues d'Hanoï, de Sfax ou de Munich,
[F#] ces milliards de décrets, qui cherchent leur puissance, dans les rues de la cour, en suivant
la cadence, [C#] et toi tu cherches ailleurs l'espace élémentaire, [F] qui traduisent nos pensées,
comme on traduit au vert, et tu m'apprends les verbes d'Allac, Mathieu, Bart, pendant
que je fais chou, t'es à l [C#]'harmonica, [A#m] je t'aime et [C#] je t'attends, [F#] à l'ombre de [A#m] tes rêves,
_ je t'aime et [C#] je t _ 'attends, [F#] _ et le [A#m] soleil se lève, _ _ et le soleil,
[C#] libre de ses vieux hommes, dans les banlieues d'un canton, où l'atmator, [F#] ces milliards
de paumés, devant la tête au ciel, pour chercher l'erreur, dans un vol d'hirondelle,
[C#] et toi tu flingues ailleurs, sur des nuages flous, [F] dans de faux arcs-en-ciel, vibrant de
sable mou, tu chantes une estharia, l'espoir _ universel, pour faire que le soleil se lève
sur nos immeubles, je [A#m] t'aime et je [C#] t'attends, [A#m] _ [F#] à l'ombre de [A#m] mes rêves, je t'aime et [C#] je t'attends,
_ _ [F#] _ et le soleil [A#m] se lève, _ _ et le soleil, [C#] la masse sur l'horizon,
Fernand Eliopolis, en jouant Hyperion, ces [F#] milliards de groupies, qui l'attendent hystérique,
dans le stade aux jolies, en brouillant la musique, [C#] mais toi tu sois d'ailleurs, dans
un désert de pluie, [F] en attendant les heures plus fraîches de la nuit, et tu me fais danser,
là-haut sur ta colline, dans ton souffle éthéré, de nuit, ça fait [C#] nid, nid, nid, ça [A#m] fait,
_ et [C#] je te veux, _ [F#] à l'ombre de [A#m] mes rêves, _ je t'aime et je te veux, _ _ [F#] _ et le soleil se [A#m] lève, _ _ _ _ _ _
_ [A#] _ _ _ _ [N] _ _ _
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_ _ Marc à la basse, _ _
_ [D#] _ _ _ [N] _ _ _ _
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Jean-Pi à la batterie, _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _
_ _ _ _ guitare, clavier, crisse, _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _
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et Alice à la guitare. _ _ _ _ _
[C#] Sous un brouillard d'acier, dans les banlieues d'Ismire, de Chuz, au sein de ta paix, [F#] six
milliards de pantins, au bout de la lumière, qui se mettent à rêver d'un nouvel univers.
[C#] Et toi tu restes ailleurs, dans un dos immortel, [F] à fabriquer des leurres en fleurs _ artificielles,
pour les mendiants qui prient les dieux et les chimères, les trafiquants d'espoir, au
sort tu les [C#] vestiaires, [A#m] je t'aime et [C#] je t'attends, [F#] à l'ombre de [A#m] tes rêves, _ je t'aime et [C#] je
t _ 'attends, [F#] _ et le [A#m] soleil se lève, _ _ et le [C#] soleil dans un rideau de feu, dans les banlieues
d'Oklahoma, de Kisco, où montrent [F#] ces milliards de fantômes, qui cherchent la sortie, avec
sonotone et des cannes assorties, [C#] et toi tu viens d'ailleurs d'une étrange spirale, [F] comme
un astronaute dans la brèche _ spatiale, avec autour du cou des cordes de piano, et au
poignet des yeux, où t'appelles le [C#] mameau, [A#m] je t'aime et [C#] je t'attends, [F#] à l'ombre de [A#m] tes
rêves, je t'aime et [C#] je t _ 'attends, [F#] _ et le [A#m] soleil se lève,
_ _ [A#] et le [C#] soleil dans son plasma féerique, dans les banlieues d'Hanoï, de Sfax ou de Munich,
[F#] ces milliards de décrets, qui cherchent leur puissance, dans les rues de la cour, en suivant
la cadence, [C#] et toi tu cherches ailleurs l'espace élémentaire, [F] qui traduisent nos pensées,
comme on traduit au vert, et tu m'apprends les verbes d'Allac, Mathieu, Bart, pendant
que je fais chou, t'es à l [C#]'harmonica, [A#m] je t'aime et [C#] je t'attends, [F#] à l'ombre de [A#m] tes rêves,
_ je t'aime et [C#] je t _ 'attends, [F#] _ et le [A#m] soleil se lève, _ _ et le soleil,
[C#] libre de ses vieux hommes, dans les banlieues d'un canton, où l'atmator, [F#] ces milliards
de paumés, devant la tête au ciel, pour chercher l'erreur, dans un vol d'hirondelle,
[C#] et toi tu flingues ailleurs, sur des nuages flous, [F] dans de faux arcs-en-ciel, vibrant de
sable mou, tu chantes une estharia, l'espoir _ universel, pour faire que le soleil se lève
sur nos immeubles, je [A#m] t'aime et je [C#] t'attends, [A#m] _ [F#] à l'ombre de [A#m] mes rêves, je t'aime et [C#] je t'attends,
_ _ [F#] _ et le soleil [A#m] se lève, _ _ et le soleil, [C#] la masse sur l'horizon,
Fernand Eliopolis, en jouant Hyperion, ces [F#] milliards de groupies, qui l'attendent hystérique,
dans le stade aux jolies, en brouillant la musique, [C#] mais toi tu sois d'ailleurs, dans
un désert de pluie, [F] en attendant les heures plus fraîches de la nuit, et tu me fais danser,
là-haut sur ta colline, dans ton souffle éthéré, de nuit, ça fait [C#] nid, nid, nid, ça [A#m] fait,
_ et [C#] je te veux, _ [F#] à l'ombre de [A#m] mes rêves, _ je t'aime et je te veux, _ _ [F#] _ et le soleil se [A#m] lève, _ _ _ _ _ _
_ [A#] _ _ _ _ [N] _ _ _
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_ _ Marc à la basse, _ _
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Jean-Pi à la batterie, _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _
_ _ _ _ guitare, clavier, crisse, _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _
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et Alice à la guitare. _ _ _ _ _