HIPPO - UNDERGROUND Chords
Tempo:
79.4 bpm
Chords used:
C#m
C
E
G#
C#
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
Start Jamming...
Ma femme, [D] c'est Manus, c'est mon roi.
Ça fait plus de dix ans qu'on vit sous le même toit.
Elle m'a avoué hier [A#] soir qu'elle ne croyait plus [F] en moi.
[C#m] Ça m'a laissé sans voix.
Chez nous c'est elle qui porte la culotte [Fm] en dentelle.
Elle [E] ne court pas [G#] après l'arche, elle [A] est certaine de mon talent.
Mais a l'impression que je me démène pour ne récolter que des appétissements.
Quelques j'aimes et [C] un succès confidentiel.
La [C#] faute acquis à moi plein d'apathie qui me repose sur mes acquis.
Observant le monde via un écran comme si j'étais panique.
Moi qui mise petit, qui ai perdu mon appétit.
A ma voix de bariton lambda [C#m] sorti d'une habille.
Aux maisons de disques trop friles, enquêtes de tubes de l'été.
Au grand public peu curieux, qui veut qu'on lui donne la béquille ?
Aux médias qui s'épilent les uns les autres sans se mouiller.
Désignant les élus à leurs apôtres bien dressés.
Peu importe, loin de ces chemins balisés,
j'ai plongé dans des mers agitées.
En égouttant mon cœur palpité, il s'est arrêté.
Il a fallu que l'on m'enterre pour me ranimer.
Je renais plein de rêve et de rage, je pourrais arrêter le rap.
Mais c'est un art honorable, une sorte de drogue qui crame et crève.
Le crâne fait pleurer les braves, je ne fais qu'explorer mes failles sans trêve.
[E] Trêve le sable, je converge jour et nuit pour trouver des thèmes insolites.
Des axes [C#m] inédits, [E] j'ai déjà la chance de ne pas être [C#m] récompli.
De plus en plus de gens me trouvent brillant, pourtant je m [C]'assombris.
[G#] La prospérité [C#m] ne fera pas de moi un artiste accompli.
J'écris pour me ravistoler, pas pour les sous.
Je suis devenu fou à force d'enregistrer dans des cellules trépidonnées.
Mais je suis quand même habilité à [C] piloter une foule.
À tout affrichonner, c'est cool, je ne peux pas l [C#m]'ignorer.
Comme un mec bourré dans un musée, je fais tomber des nus.
Perdu dans mon imaginaire, je me dis que je n'ai rien vécu.
Quand je balance un clip, j'attends le buzz et je suis tout le temps déçu.
Tandis qu'aveuglés par leur ambition d'autracher le [C#] début,
Autant dire qu'ils n'ont aucun mérite, aucune éthique.
Je reste intégré, ce depuis la secte phonétique.
L'écriture a des vertus [F] introspectives.
L'acte est [C#m] solitaire, mais la réflexion collective.
J'essaye de me renouveler sans renier mes principes.
Je refuse de gaiement dérinfitre.
Tout miser sur un titre ou un clip impudique.
Copier des gimmicks, des gestuels ou des mimes,
Tout en me rendant d'être unique.
Il y a tant d'artistes dont j'admire le travail fantastique.
Ceux qui les imitent sont inodores comme des fleurs en plastique.
Avec leur voix robotisée, ils se lâchent ou cantatrices.
Je préfère écouter Schwin et mon fils qui fait de grands caprices.
Comme un chimiste, j'ai le sens de la formule.
Si t'as l'esprit étrique, t'as qu'à augmenter le volume.
Puisque Mozart a fini dans la fosse commune,
Je suis quasi [C#] convaincu que ma [C] renommée sera [C#m] posthume.
Je ne vous demande pas de vous apitoyer sur mon sort.
Même si ma carrière tangue, je vous amènerai à bon port.
Et tant pis si ce soir, je touche un cachet dérisoire.
Merci d'écouter mes petites histoires.
Merci d'y croire.
[C] [C#m]
[G#] [C#m]
[G#m] [C#m] [D#m] [C#m]
Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org
[C] [C#m]
Ça fait plus de dix ans qu'on vit sous le même toit.
Elle m'a avoué hier [A#] soir qu'elle ne croyait plus [F] en moi.
[C#m] Ça m'a laissé sans voix.
Chez nous c'est elle qui porte la culotte [Fm] en dentelle.
Elle [E] ne court pas [G#] après l'arche, elle [A] est certaine de mon talent.
Mais a l'impression que je me démène pour ne récolter que des appétissements.
Quelques j'aimes et [C] un succès confidentiel.
La [C#] faute acquis à moi plein d'apathie qui me repose sur mes acquis.
Observant le monde via un écran comme si j'étais panique.
Moi qui mise petit, qui ai perdu mon appétit.
A ma voix de bariton lambda [C#m] sorti d'une habille.
Aux maisons de disques trop friles, enquêtes de tubes de l'été.
Au grand public peu curieux, qui veut qu'on lui donne la béquille ?
Aux médias qui s'épilent les uns les autres sans se mouiller.
Désignant les élus à leurs apôtres bien dressés.
Peu importe, loin de ces chemins balisés,
j'ai plongé dans des mers agitées.
En égouttant mon cœur palpité, il s'est arrêté.
Il a fallu que l'on m'enterre pour me ranimer.
Je renais plein de rêve et de rage, je pourrais arrêter le rap.
Mais c'est un art honorable, une sorte de drogue qui crame et crève.
Le crâne fait pleurer les braves, je ne fais qu'explorer mes failles sans trêve.
[E] Trêve le sable, je converge jour et nuit pour trouver des thèmes insolites.
Des axes [C#m] inédits, [E] j'ai déjà la chance de ne pas être [C#m] récompli.
De plus en plus de gens me trouvent brillant, pourtant je m [C]'assombris.
[G#] La prospérité [C#m] ne fera pas de moi un artiste accompli.
J'écris pour me ravistoler, pas pour les sous.
Je suis devenu fou à force d'enregistrer dans des cellules trépidonnées.
Mais je suis quand même habilité à [C] piloter une foule.
À tout affrichonner, c'est cool, je ne peux pas l [C#m]'ignorer.
Comme un mec bourré dans un musée, je fais tomber des nus.
Perdu dans mon imaginaire, je me dis que je n'ai rien vécu.
Quand je balance un clip, j'attends le buzz et je suis tout le temps déçu.
Tandis qu'aveuglés par leur ambition d'autracher le [C#] début,
Autant dire qu'ils n'ont aucun mérite, aucune éthique.
Je reste intégré, ce depuis la secte phonétique.
L'écriture a des vertus [F] introspectives.
L'acte est [C#m] solitaire, mais la réflexion collective.
J'essaye de me renouveler sans renier mes principes.
Je refuse de gaiement dérinfitre.
Tout miser sur un titre ou un clip impudique.
Copier des gimmicks, des gestuels ou des mimes,
Tout en me rendant d'être unique.
Il y a tant d'artistes dont j'admire le travail fantastique.
Ceux qui les imitent sont inodores comme des fleurs en plastique.
Avec leur voix robotisée, ils se lâchent ou cantatrices.
Je préfère écouter Schwin et mon fils qui fait de grands caprices.
Comme un chimiste, j'ai le sens de la formule.
Si t'as l'esprit étrique, t'as qu'à augmenter le volume.
Puisque Mozart a fini dans la fosse commune,
Je suis quasi [C#] convaincu que ma [C] renommée sera [C#m] posthume.
Je ne vous demande pas de vous apitoyer sur mon sort.
Même si ma carrière tangue, je vous amènerai à bon port.
Et tant pis si ce soir, je touche un cachet dérisoire.
Merci d'écouter mes petites histoires.
Merci d'y croire.
[C] [C#m]
[G#] [C#m]
[G#m] [C#m] [D#m] [C#m]
Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org
[C] [C#m]
Key:
C#m
C
E
G#
C#
C#m
C
E
_ Ma femme, [D] c'est Manus, c'est mon roi.
Ça fait plus de dix ans qu'on vit sous le même toit.
Elle m'a avoué hier [A#] soir qu'elle ne croyait plus [F] en moi.
[C#m] Ça m'a laissé sans voix.
Chez nous c'est elle qui porte la culotte [Fm] en dentelle.
Elle [E] ne court pas [G#] après l'arche, elle [A] est certaine de mon talent.
Mais a l'impression que je me démène pour ne récolter que des appétissements.
Quelques j'aimes et [C] un succès confidentiel.
La [C#] faute acquis à moi plein d'apathie qui me repose sur mes acquis.
Observant le monde via un écran comme si j'étais panique.
Moi qui mise petit, qui ai perdu mon appétit.
A ma voix de bariton lambda [C#m] sorti d'une habille.
Aux maisons de disques trop friles, enquêtes de tubes de l'été.
Au grand public peu curieux, qui veut qu'on lui donne la béquille ?
Aux médias qui s'épilent les uns les autres sans se mouiller.
Désignant les élus à leurs apôtres bien dressés.
Peu importe, loin de ces chemins balisés,
j'ai plongé dans des mers agitées.
En égouttant mon cœur palpité, il s'est arrêté.
Il a fallu que l'on m'enterre pour me ranimer.
Je renais plein de rêve et de rage, je pourrais arrêter le rap.
Mais c'est un art honorable, une sorte de drogue qui crame et crève.
Le crâne fait pleurer les braves, je ne fais qu'explorer mes failles sans trêve.
[E] Trêve le sable, je converge jour et nuit pour trouver des thèmes insolites.
Des axes [C#m] inédits, [E] j'ai déjà la chance de ne pas être [C#m] récompli.
De plus en plus de gens me trouvent brillant, pourtant je m [C]'assombris.
[G#] La prospérité [C#m] ne fera pas de moi un artiste accompli.
J'écris pour me ravistoler, pas pour les sous.
Je suis devenu fou à force d'enregistrer dans des cellules trépidonnées.
Mais je suis quand même habilité à [C] piloter une foule.
À tout affrichonner, c'est cool, je ne peux pas l [C#m]'ignorer.
Comme un mec bourré dans un musée, je fais tomber des nus.
Perdu dans mon imaginaire, je me dis que je n'ai rien vécu.
Quand je balance un clip, j'attends le buzz et je suis tout le temps déçu.
Tandis qu'aveuglés par leur ambition d'autracher le [C#] début,
Autant dire qu'ils n'ont aucun mérite, aucune éthique.
Je reste intégré, ce depuis la secte phonétique.
L'écriture a des vertus [F] introspectives.
L'acte est [C#m] solitaire, mais la réflexion collective.
J'essaye de me renouveler sans renier mes principes.
Je refuse de gaiement dérinfitre.
Tout miser sur un titre ou un clip impudique.
Copier des gimmicks, des gestuels ou des mimes,
Tout en me rendant d'être unique.
Il y a tant d'artistes dont j'admire le travail fantastique.
Ceux qui les imitent sont inodores comme des fleurs en plastique.
Avec leur voix robotisée, ils se lâchent ou cantatrices.
Je préfère écouter Schwin et mon fils qui fait de grands caprices.
Comme un chimiste, j'ai le sens de la formule.
Si t'as l'esprit étrique, t'as qu'à augmenter le volume.
Puisque Mozart a fini dans la fosse commune,
Je suis quasi [C#] convaincu que ma [C] renommée sera [C#m] posthume.
Je ne vous demande pas de vous apitoyer sur mon sort.
Même si ma carrière tangue, je vous amènerai à bon port.
Et tant pis si ce soir, je touche un cachet dérisoire.
Merci d'écouter mes petites histoires.
Merci d'y croire.
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Ça fait plus de dix ans qu'on vit sous le même toit.
Elle m'a avoué hier [A#] soir qu'elle ne croyait plus [F] en moi.
[C#m] Ça m'a laissé sans voix.
Chez nous c'est elle qui porte la culotte [Fm] en dentelle.
Elle [E] ne court pas [G#] après l'arche, elle [A] est certaine de mon talent.
Mais a l'impression que je me démène pour ne récolter que des appétissements.
Quelques j'aimes et [C] un succès confidentiel.
La [C#] faute acquis à moi plein d'apathie qui me repose sur mes acquis.
Observant le monde via un écran comme si j'étais panique.
Moi qui mise petit, qui ai perdu mon appétit.
A ma voix de bariton lambda [C#m] sorti d'une habille.
Aux maisons de disques trop friles, enquêtes de tubes de l'été.
Au grand public peu curieux, qui veut qu'on lui donne la béquille ?
Aux médias qui s'épilent les uns les autres sans se mouiller.
Désignant les élus à leurs apôtres bien dressés.
Peu importe, loin de ces chemins balisés,
j'ai plongé dans des mers agitées.
En égouttant mon cœur palpité, il s'est arrêté.
Il a fallu que l'on m'enterre pour me ranimer.
Je renais plein de rêve et de rage, je pourrais arrêter le rap.
Mais c'est un art honorable, une sorte de drogue qui crame et crève.
Le crâne fait pleurer les braves, je ne fais qu'explorer mes failles sans trêve.
[E] Trêve le sable, je converge jour et nuit pour trouver des thèmes insolites.
Des axes [C#m] inédits, [E] j'ai déjà la chance de ne pas être [C#m] récompli.
De plus en plus de gens me trouvent brillant, pourtant je m [C]'assombris.
[G#] La prospérité [C#m] ne fera pas de moi un artiste accompli.
J'écris pour me ravistoler, pas pour les sous.
Je suis devenu fou à force d'enregistrer dans des cellules trépidonnées.
Mais je suis quand même habilité à [C] piloter une foule.
À tout affrichonner, c'est cool, je ne peux pas l [C#m]'ignorer.
Comme un mec bourré dans un musée, je fais tomber des nus.
Perdu dans mon imaginaire, je me dis que je n'ai rien vécu.
Quand je balance un clip, j'attends le buzz et je suis tout le temps déçu.
Tandis qu'aveuglés par leur ambition d'autracher le [C#] début,
Autant dire qu'ils n'ont aucun mérite, aucune éthique.
Je reste intégré, ce depuis la secte phonétique.
L'écriture a des vertus [F] introspectives.
L'acte est [C#m] solitaire, mais la réflexion collective.
J'essaye de me renouveler sans renier mes principes.
Je refuse de gaiement dérinfitre.
Tout miser sur un titre ou un clip impudique.
Copier des gimmicks, des gestuels ou des mimes,
Tout en me rendant d'être unique.
Il y a tant d'artistes dont j'admire le travail fantastique.
Ceux qui les imitent sont inodores comme des fleurs en plastique.
Avec leur voix robotisée, ils se lâchent ou cantatrices.
Je préfère écouter Schwin et mon fils qui fait de grands caprices.
Comme un chimiste, j'ai le sens de la formule.
Si t'as l'esprit étrique, t'as qu'à augmenter le volume.
Puisque Mozart a fini dans la fosse commune,
Je suis quasi [C#] convaincu que ma [C] renommée sera [C#m] posthume.
Je ne vous demande pas de vous apitoyer sur mon sort.
Même si ma carrière tangue, je vous amènerai à bon port.
Et tant pis si ce soir, je touche un cachet dérisoire.
Merci d'écouter mes petites histoires.
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