Chords for IAM - Cosmos (Audio officiel)
Tempo:
95.2 bpm
Chords used:
Ab
Gb
Eb
Gbm
B
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
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[B] [Eb]
[Ab] Folie de l'espace, peur de la nuit [A] absolue, du silence absolu, de l'absolu [Eb] d'un univers sans commencement [Bb] ni fin ?
Non, [Ab] non.
[Gb] [Ab]
[Db] [Ab]
[Gb] [Ab]
[Gb] [Ab] Assis sur un poêle infime de l'univers courbe, un paradis a été créé.
Un instant d'écourt ne leur regard sur les étoiles et leur lumière.
Des millions de vies possibles autour de la mer.
Ceux qui croyaient à la platitude de la planète, ceux qui parlaient de se faire ont perdu la tête.
À travers cela, on a réalisé l'insanité, les vanités, les folies de l'humanité.
Et tous savaient [Eb] que rien ne se perd dans l'univers.
A des disparitions de matière, des démocrites amendés les hier,
demi dans un placement, le tableau périodique des éléments,
des molécules, structures atomiques, pleins de matière minérale et organique.
La vie est née de la vie niment petite, mais l'homme prend conscience seulement aujourd'hui
que ce qu'il y a dans son corps [Ab] ressemble étrangement au système solaire et aux astres brillants.
De ces sombres parcours, en fixant un scrutin au ralenti, je m'incline, prisonnier du set et qu'on tient le cosmos.
[Gb] [Ab]
[Gb] [Ab]
[Gb] [Ab] Chantier, symbole des réchanges tant [Gbm] triomphales,
issu d'une philosophie restée dans les annales.
Il y a longtemps, sait-tu, pendant des siècles, il conversa avec ce qu'il y avait derrière le ciel.
La [Ab] vérité se trouve à l'intérieur de [Gbm] soi, mais l'homme a détruit son véritable moi.
Régit par les lois du matérialisme, décomposant l'univers comme le ferait l'humourisme,
avec la lumière que l'on refuse de toucher.
Car il est clair qu'il faut vouloir pour essayer élever sa spiritualité,
intérieurement chercher à s'éveiller.
L'univers subit un dérèglement croissant, on [Ab] oublie que notre rôle est important.
Comment parler d'harmonie avec les énergies extrêmes [Gbm] lorsqu'on est en total désaccord avec soi-même ?
Que l'on se bautique sous l'aide de la compassion, [Gb] ou sous l'anthropomorphisme d'une religion ?
Nous étions censés maintenir une symbiose, en fait, [Eb] nous avons trahi [Ab] le cosmos.
[Gb] [Ab]
[Gb] [Ab]
Nous avons trahi le cosmos, nous avons trahi l [E]'anthropomorphisme.
[B] Chaque être a une place dans l'espace, et le [Gbm] vide est comme une grande glace.
Sa [Ab] vitrine, le silence, planent une exposition de nouveaux objets de la création.
Des bijoux rangés dans une cassette, leurs rêves minutieux, doux, clairs ou bénêts.
La hauteur, la largeur, la longueur, la position de toutes formes se déplacent en trois dimensions.
Attention le temps, [Eb]
prince magnifique des mesures accouchant du passé, du présent, du [Gb] futur.
Et je joins mes mains, la [Abm] sévice est le mot.
Augmente le pourcentage d'activité dans mon [Eb] cerveau, tout est opposé mais équilibré.
La chaleur, le froid, la sécheresse et l'humidité, fait bien le mal, du jour et la nuit.
Les émerillants s'embrassant comme des frères à l'instant, tu buques [Gbm] une bande.
L'homme n'a plus les pieds sur terre, mis dans sa merde, et attend impatient [Eb] que son ignorance se le perde.
Il croit [Ab] en lui, et en sa vision [Ebm] hémisphérique, en [Ab] 360 degrés et d'horizon panoramique.
Le danger vient dans son dos, comme dans la posse, car il a négligé ses origines, le cosmos.
Une étoile s'épeint, une autre la remplace, il en est ainsi pour toutes choses, très inévitable.
La vie, la mort, le frère, le frère, autant de dualités parfois on choisit, parfois on ne peut s'y dérouler.
Mais en tant que médiateur, entre le ciel et le terre, régi par l'un et dépendant de cette lumière.
Notre tâche est d'assurer la liaison, mais son nom rempli par la façon dont nous vivons.
Quelques-uns d'entre nous ont reçu le message, cela nous dépasse, nous les appelons sages.
Peut-être qu'un jour, dans les années qui [Gbm] viennent, nous comprendrons le langage, pourvu qu'il nous parvienne.
[Gb] Et d'autres s'engageront sur le chemin des Yvéniennes.
Car [Ab] tout Baobab ne fut d'abord qu'une simple graine, je délaisse un instant ce que vous qualifiez du Bumbi.
Dans la position du Lotus, je vide mon esprit, attends le mot Shéna, [Eb] pute ma classification laisse les ondes m'envelopper comme un cocon.
Mon âme s'éveille, [Ab] l'énergie se renouvelle, rivalisant avec Talos, je contiens le cosmos.
[Eb]
[Gb] [Eb] [Ab]
Maquis, toi qui t'es, [Ab]
tu ne disparaîtra jamais.
[Gb] [Ab]
[N]
[Ab] Folie de l'espace, peur de la nuit [A] absolue, du silence absolu, de l'absolu [Eb] d'un univers sans commencement [Bb] ni fin ?
Non, [Ab] non.
[Gb] [Ab]
[Db] [Ab]
[Gb] [Ab]
[Gb] [Ab] Assis sur un poêle infime de l'univers courbe, un paradis a été créé.
Un instant d'écourt ne leur regard sur les étoiles et leur lumière.
Des millions de vies possibles autour de la mer.
Ceux qui croyaient à la platitude de la planète, ceux qui parlaient de se faire ont perdu la tête.
À travers cela, on a réalisé l'insanité, les vanités, les folies de l'humanité.
Et tous savaient [Eb] que rien ne se perd dans l'univers.
A des disparitions de matière, des démocrites amendés les hier,
demi dans un placement, le tableau périodique des éléments,
des molécules, structures atomiques, pleins de matière minérale et organique.
La vie est née de la vie niment petite, mais l'homme prend conscience seulement aujourd'hui
que ce qu'il y a dans son corps [Ab] ressemble étrangement au système solaire et aux astres brillants.
De ces sombres parcours, en fixant un scrutin au ralenti, je m'incline, prisonnier du set et qu'on tient le cosmos.
[Gb] [Ab]
[Gb] [Ab]
[Gb] [Ab] Chantier, symbole des réchanges tant [Gbm] triomphales,
issu d'une philosophie restée dans les annales.
Il y a longtemps, sait-tu, pendant des siècles, il conversa avec ce qu'il y avait derrière le ciel.
La [Ab] vérité se trouve à l'intérieur de [Gbm] soi, mais l'homme a détruit son véritable moi.
Régit par les lois du matérialisme, décomposant l'univers comme le ferait l'humourisme,
avec la lumière que l'on refuse de toucher.
Car il est clair qu'il faut vouloir pour essayer élever sa spiritualité,
intérieurement chercher à s'éveiller.
L'univers subit un dérèglement croissant, on [Ab] oublie que notre rôle est important.
Comment parler d'harmonie avec les énergies extrêmes [Gbm] lorsqu'on est en total désaccord avec soi-même ?
Que l'on se bautique sous l'aide de la compassion, [Gb] ou sous l'anthropomorphisme d'une religion ?
Nous étions censés maintenir une symbiose, en fait, [Eb] nous avons trahi [Ab] le cosmos.
[Gb] [Ab]
[Gb] [Ab]
Nous avons trahi le cosmos, nous avons trahi l [E]'anthropomorphisme.
[B] Chaque être a une place dans l'espace, et le [Gbm] vide est comme une grande glace.
Sa [Ab] vitrine, le silence, planent une exposition de nouveaux objets de la création.
Des bijoux rangés dans une cassette, leurs rêves minutieux, doux, clairs ou bénêts.
La hauteur, la largeur, la longueur, la position de toutes formes se déplacent en trois dimensions.
Attention le temps, [Eb]
prince magnifique des mesures accouchant du passé, du présent, du [Gb] futur.
Et je joins mes mains, la [Abm] sévice est le mot.
Augmente le pourcentage d'activité dans mon [Eb] cerveau, tout est opposé mais équilibré.
La chaleur, le froid, la sécheresse et l'humidité, fait bien le mal, du jour et la nuit.
Les émerillants s'embrassant comme des frères à l'instant, tu buques [Gbm] une bande.
L'homme n'a plus les pieds sur terre, mis dans sa merde, et attend impatient [Eb] que son ignorance se le perde.
Il croit [Ab] en lui, et en sa vision [Ebm] hémisphérique, en [Ab] 360 degrés et d'horizon panoramique.
Le danger vient dans son dos, comme dans la posse, car il a négligé ses origines, le cosmos.
Une étoile s'épeint, une autre la remplace, il en est ainsi pour toutes choses, très inévitable.
La vie, la mort, le frère, le frère, autant de dualités parfois on choisit, parfois on ne peut s'y dérouler.
Mais en tant que médiateur, entre le ciel et le terre, régi par l'un et dépendant de cette lumière.
Notre tâche est d'assurer la liaison, mais son nom rempli par la façon dont nous vivons.
Quelques-uns d'entre nous ont reçu le message, cela nous dépasse, nous les appelons sages.
Peut-être qu'un jour, dans les années qui [Gbm] viennent, nous comprendrons le langage, pourvu qu'il nous parvienne.
[Gb] Et d'autres s'engageront sur le chemin des Yvéniennes.
Car [Ab] tout Baobab ne fut d'abord qu'une simple graine, je délaisse un instant ce que vous qualifiez du Bumbi.
Dans la position du Lotus, je vide mon esprit, attends le mot Shéna, [Eb] pute ma classification laisse les ondes m'envelopper comme un cocon.
Mon âme s'éveille, [Ab] l'énergie se renouvelle, rivalisant avec Talos, je contiens le cosmos.
[Eb]
[Gb] [Eb] [Ab]
Maquis, toi qui t'es, [Ab]
tu ne disparaîtra jamais.
[Gb] [Ab]
[N]
Key:
Ab
Gb
Eb
Gbm
B
Ab
Gb
Eb
_ _ [B] _ _ _ _ _ [Eb] _
_ [Ab] _ _ _ Folie de l'espace, _ peur de la nuit [A] absolue, du silence absolu, de l'absolu [Eb] d'un univers sans commencement [Bb] ni fin ?
Non, [Ab] non. _ _
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_ _ [Gb] _ [Ab] _ _ _ _ _
_ _ [Db] _ [Ab] _ _ _ _ _
_ _ [Gb] _ [Ab] _ _ _ _ _
_ _ [Gb] _ [Ab] _ _ Assis sur un poêle infime de l'univers courbe, un paradis a été créé.
Un instant d'écourt ne leur regard sur les étoiles et leur lumière.
Des millions de vies possibles autour de la mer.
Ceux qui croyaient à la platitude de la planète, ceux qui parlaient de se faire ont perdu la tête.
À travers cela, on a réalisé l'insanité, les vanités, les folies de l'humanité.
Et tous savaient [Eb] que rien ne se perd dans l'univers.
A des disparitions de matière, des démocrites amendés les hier,
demi dans un placement, le tableau périodique des éléments,
des molécules, structures atomiques, pleins de matière minérale et organique.
La vie est née de la vie niment petite, mais l'homme prend conscience seulement aujourd'hui
que ce qu'il y a dans son corps [Ab] ressemble étrangement au système solaire et aux astres brillants.
De ces sombres parcours, en fixant un scrutin au ralenti, je m'incline, prisonnier du set et qu'on tient le cosmos. _
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_ _ [Gb] _ [Ab] _ _ Chantier, symbole des réchanges tant [Gbm] triomphales,
issu d'une philosophie restée dans les annales.
Il y a longtemps, sait-tu, pendant des siècles, il conversa avec ce qu'il y avait derrière le ciel.
La [Ab] vérité se trouve à l'intérieur de [Gbm] soi, mais l'homme a détruit son véritable moi.
Régit par les lois du matérialisme, décomposant l'univers comme le ferait l'humourisme,
avec la lumière que l'on refuse de toucher.
Car il est clair qu'il faut vouloir pour essayer élever sa spiritualité,
intérieurement chercher à s'éveiller.
L'univers subit un dérèglement croissant, on [Ab] oublie que notre rôle est important.
Comment parler d'harmonie avec les énergies extrêmes [Gbm] lorsqu'on est en total désaccord avec soi-même ?
Que l'on se bautique sous l'aide de la compassion, [Gb] ou sous l'anthropomorphisme d'une religion ?
Nous étions censés maintenir une symbiose, en fait, [Eb] nous avons trahi [Ab] le cosmos. _ _
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Nous avons trahi le cosmos, nous avons trahi l [E]'anthropomorphisme.
[B] Chaque être a une place dans l'espace, et le [Gbm] vide est comme une grande glace.
Sa [Ab] vitrine, le silence, planent une exposition de nouveaux objets de la création.
Des bijoux rangés dans une cassette, leurs rêves minutieux, doux, clairs ou bénêts.
La hauteur, la largeur, la longueur, la position de toutes formes se déplacent en trois dimensions.
Attention le temps, [Eb]
prince magnifique des mesures accouchant du passé, du présent, du [Gb] futur.
Et je joins mes mains, la [Abm] sévice est le mot.
Augmente le pourcentage d'activité dans mon [Eb] cerveau, tout est opposé mais équilibré.
La chaleur, le froid, la sécheresse et l'humidité, fait bien le mal, du jour et la nuit.
Les émerillants s'embrassant comme des frères à l'instant, tu buques [Gbm] une bande.
L'homme n'a plus les pieds sur terre, mis dans sa merde, et attend impatient [Eb] que son ignorance se le perde.
Il croit [Ab] en lui, et en sa vision [Ebm] hémisphérique, en [Ab] 360 degrés et d'horizon panoramique.
Le danger vient dans son dos, comme dans la posse, car il a négligé ses origines, le cosmos.
Une étoile s'épeint, une autre la remplace, il en est ainsi pour toutes choses, très inévitable.
La vie, la mort, le frère, le frère, autant de dualités parfois on choisit, parfois on ne peut s'y dérouler.
Mais en tant que médiateur, entre le ciel et le terre, régi par l'un et dépendant de cette lumière.
Notre tâche est d'assurer la liaison, mais son nom rempli par la façon dont nous vivons.
Quelques-uns d'entre nous ont reçu le message, cela nous dépasse, nous les appelons sages.
Peut-être qu'un jour, dans les années qui [Gbm] viennent, nous comprendrons le langage, pourvu qu'il nous parvienne.
[Gb] Et d'autres s'engageront sur le chemin des Yvéniennes.
Car [Ab] tout Baobab ne fut d'abord qu'une simple graine, je délaisse un instant ce que vous qualifiez du Bumbi.
Dans la position du Lotus, je vide mon esprit, attends le mot Shéna, [Eb] pute ma classification laisse les ondes m'envelopper comme un cocon.
Mon âme s'éveille, [Ab] l'énergie se renouvelle, rivalisant avec Talos, je contiens le cosmos.
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_ _ [Gb] _ _ [Eb] _ _ [Ab] _ _
Maquis, toi qui t'es, _ [Ab] _ _ _
tu ne disparaîtra jamais. _ _ _ _
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_ [Ab] _ _ _ Folie de l'espace, _ peur de la nuit [A] absolue, du silence absolu, de l'absolu [Eb] d'un univers sans commencement [Bb] ni fin ?
Non, [Ab] non. _ _
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_ _ [Gb] _ [Ab] _ _ _ _ _
_ _ [Db] _ [Ab] _ _ _ _ _
_ _ [Gb] _ [Ab] _ _ _ _ _
_ _ [Gb] _ [Ab] _ _ Assis sur un poêle infime de l'univers courbe, un paradis a été créé.
Un instant d'écourt ne leur regard sur les étoiles et leur lumière.
Des millions de vies possibles autour de la mer.
Ceux qui croyaient à la platitude de la planète, ceux qui parlaient de se faire ont perdu la tête.
À travers cela, on a réalisé l'insanité, les vanités, les folies de l'humanité.
Et tous savaient [Eb] que rien ne se perd dans l'univers.
A des disparitions de matière, des démocrites amendés les hier,
demi dans un placement, le tableau périodique des éléments,
des molécules, structures atomiques, pleins de matière minérale et organique.
La vie est née de la vie niment petite, mais l'homme prend conscience seulement aujourd'hui
que ce qu'il y a dans son corps [Ab] ressemble étrangement au système solaire et aux astres brillants.
De ces sombres parcours, en fixant un scrutin au ralenti, je m'incline, prisonnier du set et qu'on tient le cosmos. _
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_ _ [Gb] _ [Ab] _ _ Chantier, symbole des réchanges tant [Gbm] triomphales,
issu d'une philosophie restée dans les annales.
Il y a longtemps, sait-tu, pendant des siècles, il conversa avec ce qu'il y avait derrière le ciel.
La [Ab] vérité se trouve à l'intérieur de [Gbm] soi, mais l'homme a détruit son véritable moi.
Régit par les lois du matérialisme, décomposant l'univers comme le ferait l'humourisme,
avec la lumière que l'on refuse de toucher.
Car il est clair qu'il faut vouloir pour essayer élever sa spiritualité,
intérieurement chercher à s'éveiller.
L'univers subit un dérèglement croissant, on [Ab] oublie que notre rôle est important.
Comment parler d'harmonie avec les énergies extrêmes [Gbm] lorsqu'on est en total désaccord avec soi-même ?
Que l'on se bautique sous l'aide de la compassion, [Gb] ou sous l'anthropomorphisme d'une religion ?
Nous étions censés maintenir une symbiose, en fait, [Eb] nous avons trahi [Ab] le cosmos. _ _
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Nous avons trahi le cosmos, nous avons trahi l [E]'anthropomorphisme.
[B] Chaque être a une place dans l'espace, et le [Gbm] vide est comme une grande glace.
Sa [Ab] vitrine, le silence, planent une exposition de nouveaux objets de la création.
Des bijoux rangés dans une cassette, leurs rêves minutieux, doux, clairs ou bénêts.
La hauteur, la largeur, la longueur, la position de toutes formes se déplacent en trois dimensions.
Attention le temps, [Eb]
prince magnifique des mesures accouchant du passé, du présent, du [Gb] futur.
Et je joins mes mains, la [Abm] sévice est le mot.
Augmente le pourcentage d'activité dans mon [Eb] cerveau, tout est opposé mais équilibré.
La chaleur, le froid, la sécheresse et l'humidité, fait bien le mal, du jour et la nuit.
Les émerillants s'embrassant comme des frères à l'instant, tu buques [Gbm] une bande.
L'homme n'a plus les pieds sur terre, mis dans sa merde, et attend impatient [Eb] que son ignorance se le perde.
Il croit [Ab] en lui, et en sa vision [Ebm] hémisphérique, en [Ab] 360 degrés et d'horizon panoramique.
Le danger vient dans son dos, comme dans la posse, car il a négligé ses origines, le cosmos.
Une étoile s'épeint, une autre la remplace, il en est ainsi pour toutes choses, très inévitable.
La vie, la mort, le frère, le frère, autant de dualités parfois on choisit, parfois on ne peut s'y dérouler.
Mais en tant que médiateur, entre le ciel et le terre, régi par l'un et dépendant de cette lumière.
Notre tâche est d'assurer la liaison, mais son nom rempli par la façon dont nous vivons.
Quelques-uns d'entre nous ont reçu le message, cela nous dépasse, nous les appelons sages.
Peut-être qu'un jour, dans les années qui [Gbm] viennent, nous comprendrons le langage, pourvu qu'il nous parvienne.
[Gb] Et d'autres s'engageront sur le chemin des Yvéniennes.
Car [Ab] tout Baobab ne fut d'abord qu'une simple graine, je délaisse un instant ce que vous qualifiez du Bumbi.
Dans la position du Lotus, je vide mon esprit, attends le mot Shéna, [Eb] pute ma classification laisse les ondes m'envelopper comme un cocon.
Mon âme s'éveille, [Ab] l'énergie se renouvelle, rivalisant avec Talos, je contiens le cosmos.
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