Chords for Isabelle Aubret Medley Hommage à Jean Ferrat

Il y a un monde fou qui vient sans arrêt, sans arrêt, perpétueusement.
Il s'agit de Jean Ferrat, évidemment.
Et puis, on a la chance d'avoir la merveilleuse Isabelle Aubret,
qui va nous faire un petit medley pour rendre hommage à Jean,
avec « C'est beau la vie », « La montagne » que vous allez chanter.
« Ma France »
Et puis « Ma France ».
Elle est magnifique de guetter.
Et quand elle rentre pour chanter « C'est beau la vie »,
elle vous réconcilie vraiment avec la vie.
Viens, mon Isabelle. _ _ _ _
_ _ _ _ [Cm] _ _ [Db] _ _
[Eb] _ [Ab] Au vent d'en mèche [Fm] de blanc,
du soleil à l'horizon,
[Cm] quelques mots d'une chanson.
[Bbm] Que c'est [Eb] beau, [Cm] c'est beau la vie.
_ [Eb] [Ab] Un oiseau qui [Fm] fait la roue
[Cm] sur un arbre [Fm] déjà roux,
et son cri par-dessus tout.
Que [Bbm] c'est beau, c'est [Ab] beau la vie. _ _
[Db] Tout [Ebm] ce qui tremble et [Cm] palpite,
tout ce qui lutte [Ab] et se bat,
tout ce que j'ai [Db] cru trop [G] vide
a [Eb] jamais perdu pour [Ab] moi.
Pouvoir [Fm] encore regarder,
[Cm] pouvoir [Fm] encore écouter,
mais surtout [Db] pouvoir [Bbm] chanter.
Que c'est [Eb] beau, c'est beau [Ab] la vie.
_ [E] _ _ [Gbm] Pouvoir en [Dbm] parler,
pouvoir [Gbm] encore être embrassée,
de le dire, de le chanter.
[Bm] Oui, c'est beau [E] la _ _ [A] vie. _
_ [Gbm] _ _ [D] _ _ [Bm] _ _ _
_ [A] _ _ _ _ _ _ [D] _
_ _ [Bm] _ _ [G] _ _ _ [A] _
_ [D] Ils quittent un [Bm] arbre, un pays,
pour s'en aller gagner [D] leur vie.
Loin de [Bm] la terre, ils sont [Em] plés.
Où ils entendent et [A] en rêvent de la ville,
et de ses secrets, les formicaux [D] et les sinés.
Les vieux, ça n'était [Bm] pas original,
quand ils essuyaient machinal
l'arbre vert de [Gbm] manche, les laits.
[G] Mais ils savaient [A] tout à propos
tuer la caille, le perdre au rhum,
et manger la [D] tombe de chèvre.
_ _ _ [G]
Pourtant, _ [Am] que la [Gbm] montagne est belle, _
_ comment peut-on [D] s'imaginer
[G]
en voyant un vol d [Gbm]'hirondelles
[Em] que l'automne vient [D] d'arriver.
Vous êtes tout seul, _ [G] pourtant.
_ [A] _
_ _ _ _ _ [Gb] _ _ _
_ _ _ _ [F] _ _ _ _
_ _ _ _ [D] _ _ _ _
_ Allez, ma France, [Am] la sienne. _ _
_ [F] _ _ _ [Am] Le plaine d'un forêt, de vallons enquelilles,
du printemps qui va naître à tes [F] mortes saisons,
_ _ [C] de ce que j'ai vécu à ce que j [G]'imagine,
je n'en finirai pas d [Am]'écrire ta chanson,
[G] ma France. _ _
_ [C] Au grand soleil d'été qui [G] court de la Provence,
_ [C] déjeuner de [G] Bretagne aux bouillères d [Ab]'Ardèche,
[Am] quelque chose dans l'air a cette [Dm] transparence
[G] et ce goût du bonheur [E] qui rend ma lèvre sèche,
ma [Am] France.
_ _ [Bbm] _
Celle qui ne possède en or que ses nuits blanches, _
où la luce est [Db] lue de ce temps [Gb] quotidien, _ _
journal que l'on vend [Ab] le matin et le dimanche,
à la fiche qu'on colle au [Bbm] mur du lendemain,
[Ab] ma France.
[Bbm] _ _ [Ab] _ [Db] Qu'elle monte les mines, [Ab] descende les cahiers,
_ [Db] qu'elle qui chante en voix [Ab] la belle allure,
_ [A] [Bbm] qu'elle tient l'avenir [Ebm] serré dans ses mains fines,
[Ab] celle de trente [F] citades, soixante-huit chandelles, [Bbm] ma France.
[Ebm] _ _ [Bbm] _ _ [Ebm] _ _