Chords for Jacques Brel - Le dernier repas (Olympia 64)
Tempo:
56.7 bpm
Chords used:
A
Am
Bm
E
C
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
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[Am] A mon dernier repas, je veux voir mes frères, et mes chiens, et mes chats, et le bord de la mer.
A mon dernier repas, je veux voir mes voisins, [Dm] et puis quelques Chinois en [A] guise de cousins.
Et je veux qu'on y boive, en plus du vin de Metz, de ce vin si joli qu'on buvait en arboire.
[E] Je veux qu'on y dévore, après [Bm] quelques soutanes, une boule faisanne, venue [A] du Périgord.
Puis je veux qu'on m [A]'emmène, en haut de ma colline, voir les arbres dormir, en [D] refermant leurs bras.
Et puis je veux encore lancer des [C] pierres au ciel, en criant « Dieu est mort !
» une [Am] dernière fois.
A mon dernier [Bb] repas, je veux voir mon âne, mes poules et mes oies, mes [Am] vaches et mes phares.
A mon dernier repas, je veux voir ces drôlesses, dont je fus maître et roi, ou qui [A] furent mes maîtresses.
Quand j'aurai dans la pince de quoi noyer la terre, je briserai mon verre pour faire le [E] silence.
Et chanterai à tue [Bm]-tête, à la [B] mort qui s'avance, les croyards [Bm] de romance qui font [A] peur aux nonnettes.
Puis je veux qu'on m'emmène, en haut de ma colline, voir le soil qui chemine, lentement vers la [Bb] plaine.
Et là, [F] debout encore, j [C]'insulterai les bourgeois, sans [Bb] grainte et sans remords, [Am] une dernière fois.
Après mon dernier [C] repas, je veux que l'on s'en aille, qu'on finisse ripaille, [Am] ailleurs que sous mon toit.
Après mon dernier repas, je veux que l'on m'installe, assis seul comme un roi, [A] accueillant ses vestales.
Dans ma pipe, je brûlerai mes souvenirs d'enfance, mes rêves inachevés, mes restes [E] d [Bm]'espérance.
Et je ne garderai pour habiller mon âme que l [Bm]'idée d'un rosier et [A] qu'un prénom de fable.
Puis je regarderai le haut de ma colline, qui danse, qui se devine, qui [Dm] finit par sombrer.
Et dans l'odeur des [F] fleurs, qui bientôt s [C]'éteindra, je sais que j'aurai [Bm] peur, [Am] une dernière [E] fois.
[Em]
A mon dernier repas, je veux voir mes voisins, [Dm] et puis quelques Chinois en [A] guise de cousins.
Et je veux qu'on y boive, en plus du vin de Metz, de ce vin si joli qu'on buvait en arboire.
[E] Je veux qu'on y dévore, après [Bm] quelques soutanes, une boule faisanne, venue [A] du Périgord.
Puis je veux qu'on m [A]'emmène, en haut de ma colline, voir les arbres dormir, en [D] refermant leurs bras.
Et puis je veux encore lancer des [C] pierres au ciel, en criant « Dieu est mort !
» une [Am] dernière fois.
A mon dernier [Bb] repas, je veux voir mon âne, mes poules et mes oies, mes [Am] vaches et mes phares.
A mon dernier repas, je veux voir ces drôlesses, dont je fus maître et roi, ou qui [A] furent mes maîtresses.
Quand j'aurai dans la pince de quoi noyer la terre, je briserai mon verre pour faire le [E] silence.
Et chanterai à tue [Bm]-tête, à la [B] mort qui s'avance, les croyards [Bm] de romance qui font [A] peur aux nonnettes.
Puis je veux qu'on m'emmène, en haut de ma colline, voir le soil qui chemine, lentement vers la [Bb] plaine.
Et là, [F] debout encore, j [C]'insulterai les bourgeois, sans [Bb] grainte et sans remords, [Am] une dernière fois.
Après mon dernier [C] repas, je veux que l'on s'en aille, qu'on finisse ripaille, [Am] ailleurs que sous mon toit.
Après mon dernier repas, je veux que l'on m'installe, assis seul comme un roi, [A] accueillant ses vestales.
Dans ma pipe, je brûlerai mes souvenirs d'enfance, mes rêves inachevés, mes restes [E] d [Bm]'espérance.
Et je ne garderai pour habiller mon âme que l [Bm]'idée d'un rosier et [A] qu'un prénom de fable.
Puis je regarderai le haut de ma colline, qui danse, qui se devine, qui [Dm] finit par sombrer.
Et dans l'odeur des [F] fleurs, qui bientôt s [C]'éteindra, je sais que j'aurai [Bm] peur, [Am] une dernière [E] fois.
[Em]
Key:
A
Am
Bm
E
C
A
Am
Bm
[Am] _ _ _ _ _ A mon dernier repas, je veux voir mes frères, et mes chiens, et mes chats, et le bord de la mer. _ _
A mon dernier repas, je veux voir mes voisins, [Dm] et puis quelques Chinois en [A] guise de cousins.
_ Et je veux qu'on y boive, en plus du vin de Metz, de ce vin si joli qu'on buvait en arboire.
[E] Je veux qu'on y dévore, après [Bm] quelques soutanes, une boule faisanne, venue [A] du Périgord.
Puis je veux qu'on m [A]'emmène, en haut de ma colline, voir les arbres dormir, en [D] refermant leurs bras.
Et puis je veux encore lancer des [C] pierres au ciel, en criant « Dieu est mort !
» une [Am] dernière fois.
_ A mon dernier [Bb] repas, je veux voir mon âne, mes poules et mes oies, mes [Am] vaches et mes phares.
_ A mon dernier repas, je veux voir ces drôlesses, dont je fus maître et roi, ou qui [A] furent mes maîtresses.
Quand j'aurai dans la pince de quoi noyer la terre, je briserai mon verre pour faire le [E] silence.
_ Et chanterai à tue [Bm]-tête, à la [B] mort qui s'avance, les croyards [Bm] de romance qui font [A] peur aux nonnettes.
Puis je veux qu'on m'emmène, en haut de ma colline, voir le soil qui chemine, lentement vers la [Bb] plaine.
Et là, [F] debout encore, j [C]'insulterai les bourgeois, sans [Bb] grainte et sans remords, [Am] une dernière fois.
_ Après mon dernier [C] repas, je veux que l'on s'en aille, qu'on finisse ripaille, [Am] ailleurs que sous mon toit.
Après mon dernier repas, je veux que l'on m'installe, assis seul comme un roi, [A] accueillant ses vestales.
Dans ma pipe, je brûlerai mes souvenirs d'enfance, mes rêves inachevés, mes restes [E] d [Bm]'espérance.
Et je ne garderai pour habiller mon âme que l [Bm]'idée d'un rosier et [A] qu'un prénom de fable.
Puis je regarderai le haut de ma colline, qui danse, qui se devine, qui [Dm] finit par sombrer.
Et dans l'odeur des [F] fleurs, qui bientôt s [C]'éteindra, je sais que j'aurai [Bm] peur, [Am] une dernière [E] fois.
_ [Em] _
A mon dernier repas, je veux voir mes voisins, [Dm] et puis quelques Chinois en [A] guise de cousins.
_ Et je veux qu'on y boive, en plus du vin de Metz, de ce vin si joli qu'on buvait en arboire.
[E] Je veux qu'on y dévore, après [Bm] quelques soutanes, une boule faisanne, venue [A] du Périgord.
Puis je veux qu'on m [A]'emmène, en haut de ma colline, voir les arbres dormir, en [D] refermant leurs bras.
Et puis je veux encore lancer des [C] pierres au ciel, en criant « Dieu est mort !
» une [Am] dernière fois.
_ A mon dernier [Bb] repas, je veux voir mon âne, mes poules et mes oies, mes [Am] vaches et mes phares.
_ A mon dernier repas, je veux voir ces drôlesses, dont je fus maître et roi, ou qui [A] furent mes maîtresses.
Quand j'aurai dans la pince de quoi noyer la terre, je briserai mon verre pour faire le [E] silence.
_ Et chanterai à tue [Bm]-tête, à la [B] mort qui s'avance, les croyards [Bm] de romance qui font [A] peur aux nonnettes.
Puis je veux qu'on m'emmène, en haut de ma colline, voir le soil qui chemine, lentement vers la [Bb] plaine.
Et là, [F] debout encore, j [C]'insulterai les bourgeois, sans [Bb] grainte et sans remords, [Am] une dernière fois.
_ Après mon dernier [C] repas, je veux que l'on s'en aille, qu'on finisse ripaille, [Am] ailleurs que sous mon toit.
Après mon dernier repas, je veux que l'on m'installe, assis seul comme un roi, [A] accueillant ses vestales.
Dans ma pipe, je brûlerai mes souvenirs d'enfance, mes rêves inachevés, mes restes [E] d [Bm]'espérance.
Et je ne garderai pour habiller mon âme que l [Bm]'idée d'un rosier et [A] qu'un prénom de fable.
Puis je regarderai le haut de ma colline, qui danse, qui se devine, qui [Dm] finit par sombrer.
Et dans l'odeur des [F] fleurs, qui bientôt s [C]'éteindra, je sais que j'aurai [Bm] peur, [Am] une dernière [E] fois.
_ [Em] _