Chords for Jean Leloup - Passe ton chemin (Version karaoké)
Tempo:
73.55 bpm
Chords used:
Eb
Fm
Ab
Bbm
Gm
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
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[Eb] [Fm] [Eb]
[Fm] [Eb] [G]
C'est la nuit, l'ouragan, [Eb] dans le glacial [Fm] rage, sur la plaine sans [Eb] nom, le vent foire
en baillon, un homme sans [Gm] visage, recouvert de [Db] haillons, se déplace à grands [Fm] pas vers
l'unique maison.
Il arrive à la [Gm] porte, frappe un coup et puis [Ab] dit « mais personne ne vient, non personne
ne [Bb] vient ».
Dans le noir un [Fm] éclair, une ombre qui se [Eb] glisse au bout d'un grand fusil,
une [Fm] voix qui lui dit « passe [Ab] ton chemin, [Eb] nous te [Bbm] connaissons bien, et meurs [Ab] parmi
les pierres, [Eb] nous ferons [Fm] tes prières ».
Le mépris est puissant, il nourrit l [Ab]'indigent, se replie dans la terre, sera mon lit gelé,
[Bbm] ce matelas de fougère, sur les ronces [Gm] mouillées, baldaquin de l [Fm]'enfer, sous les clous de tonnerre.
Si demain je [Gm] survis, je deviendrai [Db] voleur, l [Fm]'hypocrisie jurée sur mon honneur, [Bbm] Dieu
décide du temps, moi je claque des dents, [Eb] soyons directs et [Fm] francs, donne-moi ton argent.
[Bbm] Passe [Ab] ton chemin, [Eb] nous te connaissons [Bbm] bien, et meurs parmi [Ab] les pierres, nous ferons [F] tes prières.
[Gm]
[Fm] [Fm]
Le matin qui se [Eb] tisse dans un long grognement, un immense bâtard, moitié chien, moitié
loup, rempli de cicatrices et de tiques et de poux, d'or à [Fm] griffes fermées sur l'homme
et sa guitare.
Mon héros, mon ami, [Eb] que fais-tu donc ici ?
[Db] Tu m'as sauvé la vie, [Ab] tu m'as sauvé la vie.
[Bbm] Je t'ai vu dans ce trou, [Fm] et j'ai pitié des fous, [Gm] gratte-moi donc le coup, je t'ai vu
et c'est tout.
Nous [Bbm] irons vers le nord, [Ab] libérer les esclaves, [Eb] nous irons sur le bord [Bbm] des volcans de la mort,
où les restes des braves [Ab] sont l'unique trésor [Eb] sur les falaises d [Bbm]'or.
Nous irons vers le nord, [Ab] libérer les esclaves, [Eb] nous irons sur le bord [Bbm] des volcans de la mort,
où les restes des braves [Abm] sont l'unique trésor [Eb] sur les falaises d [Bbm]'or.
Et quand viendra le soir, [Ab] tu prendras ta guitare [Eb] en l'honneur de ce jour [Bbm] où tu quittes la cour.
Et quand viendra le soir, [Ab] tu prendras ta guitare [Eb] en l'honneur de l'amour.
[Bbm] Passe [Ab] ton chemin, [Eb] nous te [Bbm] connaissons bien, et meurs [Ab] parmi les pierres, [Eb] nous ferons [F] des prières.
[Eb] [F]
[Gm] [F]
[Fm] [Eb] [G]
C'est la nuit, l'ouragan, [Eb] dans le glacial [Fm] rage, sur la plaine sans [Eb] nom, le vent foire
en baillon, un homme sans [Gm] visage, recouvert de [Db] haillons, se déplace à grands [Fm] pas vers
l'unique maison.
Il arrive à la [Gm] porte, frappe un coup et puis [Ab] dit « mais personne ne vient, non personne
ne [Bb] vient ».
Dans le noir un [Fm] éclair, une ombre qui se [Eb] glisse au bout d'un grand fusil,
une [Fm] voix qui lui dit « passe [Ab] ton chemin, [Eb] nous te [Bbm] connaissons bien, et meurs [Ab] parmi
les pierres, [Eb] nous ferons [Fm] tes prières ».
Le mépris est puissant, il nourrit l [Ab]'indigent, se replie dans la terre, sera mon lit gelé,
[Bbm] ce matelas de fougère, sur les ronces [Gm] mouillées, baldaquin de l [Fm]'enfer, sous les clous de tonnerre.
Si demain je [Gm] survis, je deviendrai [Db] voleur, l [Fm]'hypocrisie jurée sur mon honneur, [Bbm] Dieu
décide du temps, moi je claque des dents, [Eb] soyons directs et [Fm] francs, donne-moi ton argent.
[Bbm] Passe [Ab] ton chemin, [Eb] nous te connaissons [Bbm] bien, et meurs parmi [Ab] les pierres, nous ferons [F] tes prières.
[Gm]
[Fm] [Fm]
Le matin qui se [Eb] tisse dans un long grognement, un immense bâtard, moitié chien, moitié
loup, rempli de cicatrices et de tiques et de poux, d'or à [Fm] griffes fermées sur l'homme
et sa guitare.
Mon héros, mon ami, [Eb] que fais-tu donc ici ?
[Db] Tu m'as sauvé la vie, [Ab] tu m'as sauvé la vie.
[Bbm] Je t'ai vu dans ce trou, [Fm] et j'ai pitié des fous, [Gm] gratte-moi donc le coup, je t'ai vu
et c'est tout.
Nous [Bbm] irons vers le nord, [Ab] libérer les esclaves, [Eb] nous irons sur le bord [Bbm] des volcans de la mort,
où les restes des braves [Ab] sont l'unique trésor [Eb] sur les falaises d [Bbm]'or.
Nous irons vers le nord, [Ab] libérer les esclaves, [Eb] nous irons sur le bord [Bbm] des volcans de la mort,
où les restes des braves [Abm] sont l'unique trésor [Eb] sur les falaises d [Bbm]'or.
Et quand viendra le soir, [Ab] tu prendras ta guitare [Eb] en l'honneur de ce jour [Bbm] où tu quittes la cour.
Et quand viendra le soir, [Ab] tu prendras ta guitare [Eb] en l'honneur de l'amour.
[Bbm] Passe [Ab] ton chemin, [Eb] nous te [Bbm] connaissons bien, et meurs [Ab] parmi les pierres, [Eb] nous ferons [F] des prières.
[Eb] [F]
[Gm] [F]
Key:
Eb
Fm
Ab
Bbm
Gm
Eb
Fm
Ab
_ _ [Eb] _ _ [Fm] _ _ [Eb] _ _
[Fm] _ _ [Eb] _ _ _ _ [G] _
C'est la nuit, l'ouragan, [Eb] dans le glacial [Fm] rage, sur la plaine sans [Eb] nom, le vent foire
en baillon, un homme sans [Gm] visage, recouvert de [Db] haillons, se déplace à grands [Fm] pas vers
l'unique maison.
Il arrive à la [Gm] porte, frappe un coup et puis [Ab] dit « mais personne ne vient, non personne
ne [Bb] vient ».
Dans le noir un [Fm] éclair, une ombre qui se [Eb] glisse au bout d'un grand fusil,
une [Fm] voix qui lui dit « passe [Ab] ton chemin, [Eb] nous te [Bbm] connaissons bien, et meurs [Ab] parmi
les pierres, [Eb] nous ferons [Fm] tes prières ».
_ _ _ _ Le mépris est puissant, il nourrit l [Ab]'indigent, se replie dans la terre, sera mon lit gelé,
[Bbm] ce matelas de fougère, sur les ronces [Gm] mouillées, baldaquin de l [Fm]'enfer, sous les clous de tonnerre.
Si demain je [Gm] survis, je deviendrai [Db] voleur, l [Fm]'hypocrisie jurée sur mon honneur, [Bbm] Dieu
décide du temps, moi je claque des dents, [Eb] soyons directs et [Fm] francs, donne-moi ton argent.
[Bbm] Passe [Ab] ton chemin, [Eb] nous te connaissons [Bbm] bien, et meurs parmi [Ab] les pierres, nous ferons [F] tes prières.
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[Fm] _ _ _ [Fm] _ _ _ _
Le matin qui se [Eb] tisse dans un long grognement, un immense bâtard, moitié chien, moitié
loup, rempli de cicatrices et de tiques et de poux, d'or à [Fm] griffes fermées sur l'homme
et sa guitare.
Mon héros, mon ami, [Eb] que fais-tu donc ici ?
[Db] Tu m'as sauvé la vie, [Ab] tu m'as sauvé la vie.
[Bbm] Je t'ai vu dans ce trou, [Fm] et j'ai pitié des fous, [Gm] gratte-moi donc le coup, je t'ai vu
et c'est tout.
Nous [Bbm] irons vers le nord, [Ab] libérer les esclaves, [Eb] nous irons sur le bord [Bbm] des volcans de la mort,
où les restes des braves [Ab] sont l'unique trésor [Eb] sur les falaises d [Bbm]'or.
Nous irons vers le nord, [Ab] libérer les esclaves, [Eb] nous irons sur le bord [Bbm] des volcans de la mort,
où les restes des braves [Abm] sont l'unique trésor [Eb] sur les falaises d [Bbm]'or.
Et quand viendra le soir, [Ab] tu prendras ta guitare [Eb] en l'honneur de ce jour [Bbm] où tu quittes la cour.
Et quand viendra le soir, [Ab] tu prendras ta guitare [Eb] en l'honneur de l'amour. _ _
[Bbm] Passe [Ab] ton chemin, [Eb] nous te [Bbm] connaissons bien, et meurs [Ab] parmi les pierres, [Eb] nous ferons [F] des prières.
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C'est la nuit, l'ouragan, [Eb] dans le glacial [Fm] rage, sur la plaine sans [Eb] nom, le vent foire
en baillon, un homme sans [Gm] visage, recouvert de [Db] haillons, se déplace à grands [Fm] pas vers
l'unique maison.
Il arrive à la [Gm] porte, frappe un coup et puis [Ab] dit « mais personne ne vient, non personne
ne [Bb] vient ».
Dans le noir un [Fm] éclair, une ombre qui se [Eb] glisse au bout d'un grand fusil,
une [Fm] voix qui lui dit « passe [Ab] ton chemin, [Eb] nous te [Bbm] connaissons bien, et meurs [Ab] parmi
les pierres, [Eb] nous ferons [Fm] tes prières ».
_ _ _ _ Le mépris est puissant, il nourrit l [Ab]'indigent, se replie dans la terre, sera mon lit gelé,
[Bbm] ce matelas de fougère, sur les ronces [Gm] mouillées, baldaquin de l [Fm]'enfer, sous les clous de tonnerre.
Si demain je [Gm] survis, je deviendrai [Db] voleur, l [Fm]'hypocrisie jurée sur mon honneur, [Bbm] Dieu
décide du temps, moi je claque des dents, [Eb] soyons directs et [Fm] francs, donne-moi ton argent.
[Bbm] Passe [Ab] ton chemin, [Eb] nous te connaissons [Bbm] bien, et meurs parmi [Ab] les pierres, nous ferons [F] tes prières.
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Le matin qui se [Eb] tisse dans un long grognement, un immense bâtard, moitié chien, moitié
loup, rempli de cicatrices et de tiques et de poux, d'or à [Fm] griffes fermées sur l'homme
et sa guitare.
Mon héros, mon ami, [Eb] que fais-tu donc ici ?
[Db] Tu m'as sauvé la vie, [Ab] tu m'as sauvé la vie.
[Bbm] Je t'ai vu dans ce trou, [Fm] et j'ai pitié des fous, [Gm] gratte-moi donc le coup, je t'ai vu
et c'est tout.
Nous [Bbm] irons vers le nord, [Ab] libérer les esclaves, [Eb] nous irons sur le bord [Bbm] des volcans de la mort,
où les restes des braves [Ab] sont l'unique trésor [Eb] sur les falaises d [Bbm]'or.
Nous irons vers le nord, [Ab] libérer les esclaves, [Eb] nous irons sur le bord [Bbm] des volcans de la mort,
où les restes des braves [Abm] sont l'unique trésor [Eb] sur les falaises d [Bbm]'or.
Et quand viendra le soir, [Ab] tu prendras ta guitare [Eb] en l'honneur de ce jour [Bbm] où tu quittes la cour.
Et quand viendra le soir, [Ab] tu prendras ta guitare [Eb] en l'honneur de l'amour. _ _
[Bbm] Passe [Ab] ton chemin, [Eb] nous te [Bbm] connaissons bien, et meurs [Ab] parmi les pierres, [Eb] nous ferons [F] des prières.
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