Chords for Juliette "Sur l'oreiller" | Archive INA
Tempo:
109.525 bpm
Chords used:
E
Am
A
Dm
Ab
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret

Jam Along & Learn...
On va se quitter en chanson.
Alors Bernadette Lafon vous attendiez, Juliette la voici, la voilà.
Elle va nous interpréter sur l'oreiller.
C'est une chanson pour l'heure, tordive.
Ben oui, c'est l'heure à laquelle on se couche à des mois de minuit.
On vous écoute.
J [A]
[G] [E] [Am]
[Dm] [E]
[A] 'aurai beaucoup [E] trop chaud peut-être, il [Dm] fera [Am] sombre, que m'importe.
Je n [Dm]'ouvrirai pas la [E] fenêtre, il laisserait [Am] fermer ma porte.
Je veux garder [Em] pour en mourir [E]
ce que vous [Am] avez oublié.
Sur les [Dm] décombres de nos [E] désirs, votre parfum [A] sur l'oreiller.
[E] Laissez-moi deviner ces [Am] subtiles odeurs, et pour emmener [B] mon nez [E] par vos [Am] inquisiteurs.
Il y a [E] des fleurs en vous que je ne [Am] connais pas, et que [Dm] gardent jaloux [Am] les [E] replis de mes [Am] draps.
Oh la [Dm] si fragile prison, [F] il [Am] suffirait d'un peu de vent, pour que les [E] chères émanations quittent ma vie [Ab] et mon divan.
[A] [Em] Tenez, voici, j'ai découvert, [Am] dissimulé sous l'évidence, de votre [Dm] Chanel [Am] ordinaire, [E] de plus secrètes [Am]
fulgurances.
Il me [E] faudrait les retenir, pour [Am] donner corps à l [Dm]'éphémère.
[Am] Recomposer votre élixir, pour en habiller mes [A] chimères.
Sans [B] doute, il y eut des rois, [E] pour vous fêter [Am] enfant.
[E] En vous disant reçois, et [Am] admirer l'ensemble, les faits de [Abm] la légende.
[Ab]
[A] Penchez sur [Am] le berceau, on [E] fleurit de la vente, vos yeux [Am] et votre peau.
[D] J'ai deviné tous [B] vos effets, ici l [Am]'empreinte du jasmin, par là [E] la trace de l'œillet.
Et là le [Am] soupçon [Ab] de bain-joint.
[A]
[E] Je pourrais dire ton enfance, elle est dans l [A]'essence des choses.
Je sais le [Dm] parfum des [E] vacances, dans les [Am] jardins couverts de roses.
Une grand [Dm]-mère au [E] confiture, un bon goûter dans [Am] la besace.
Piquante [E] ronce, douce mur, l'enfance est [Am] un parfum tenace.
Tout [E] ce sucre c'est vous, tout ce sucre et ce miel.
[Am] Le doux [E] du roudoudou, [Am] d'eau caramel.
Les [E] filles à la vanille, les [Am] garçons aux citrons.
L'été sous la [E]
charmille, et l'hiver [A] au marron.
Je [Dm] reprendrai bien [B] volontiers, des [Am] miniardises que tu recèles.
Et [Ab] retrouverai dans [E] mon soulier, ma [Am] mandarine de [Ab]
Noël.
[Em] [Ab] [Am]
[F] [Dm] [Am]
Voici qu [E]'au milieu des bouquets, de douces [Am] fleurs et de bonbons.
S'offre [E] à mon nez soudain, qui est une [A] troublante exhalaison.
C'est l [E]'odeur [Em] animale, de l'humaine condition.
[E] De la sueur et du sale, [C] et du mauvais [A] coton.
[E] Et voici qu'ils [Fm]
[Em] affleurent, les fluves [Am] du trépas.
L'odeur d'un [E] corps [Fm] qui [E] meurt, entre ses derniers [A] draps.
Que le [Dm] temps souverain, et sa [B] cruelle [Am] taquinerie.
N'emporte [B] votre [E] amour ou le mien, vers d'autres [A] cieux ou d'autres lits.
Je veux garder [Dm] pour en mourir, ce que vous avez [Am] oublié.
[Cm] Sur les décombres [E] de nos désirs, [G] [E]
sur l [A]'oreiller.
[Ab]
[G] Merci
Alors Bernadette Lafon vous attendiez, Juliette la voici, la voilà.
Elle va nous interpréter sur l'oreiller.
C'est une chanson pour l'heure, tordive.
Ben oui, c'est l'heure à laquelle on se couche à des mois de minuit.
On vous écoute.
J [A]
[G] [E] [Am]
[Dm] [E]
[A] 'aurai beaucoup [E] trop chaud peut-être, il [Dm] fera [Am] sombre, que m'importe.
Je n [Dm]'ouvrirai pas la [E] fenêtre, il laisserait [Am] fermer ma porte.
Je veux garder [Em] pour en mourir [E]
ce que vous [Am] avez oublié.
Sur les [Dm] décombres de nos [E] désirs, votre parfum [A] sur l'oreiller.
[E] Laissez-moi deviner ces [Am] subtiles odeurs, et pour emmener [B] mon nez [E] par vos [Am] inquisiteurs.
Il y a [E] des fleurs en vous que je ne [Am] connais pas, et que [Dm] gardent jaloux [Am] les [E] replis de mes [Am] draps.
Oh la [Dm] si fragile prison, [F] il [Am] suffirait d'un peu de vent, pour que les [E] chères émanations quittent ma vie [Ab] et mon divan.
[A] [Em] Tenez, voici, j'ai découvert, [Am] dissimulé sous l'évidence, de votre [Dm] Chanel [Am] ordinaire, [E] de plus secrètes [Am]
fulgurances.
Il me [E] faudrait les retenir, pour [Am] donner corps à l [Dm]'éphémère.
[Am] Recomposer votre élixir, pour en habiller mes [A] chimères.
Sans [B] doute, il y eut des rois, [E] pour vous fêter [Am] enfant.
[E] En vous disant reçois, et [Am] admirer l'ensemble, les faits de [Abm] la légende.
[Ab]
[A] Penchez sur [Am] le berceau, on [E] fleurit de la vente, vos yeux [Am] et votre peau.
[D] J'ai deviné tous [B] vos effets, ici l [Am]'empreinte du jasmin, par là [E] la trace de l'œillet.
Et là le [Am] soupçon [Ab] de bain-joint.
[A]
[E] Je pourrais dire ton enfance, elle est dans l [A]'essence des choses.
Je sais le [Dm] parfum des [E] vacances, dans les [Am] jardins couverts de roses.
Une grand [Dm]-mère au [E] confiture, un bon goûter dans [Am] la besace.
Piquante [E] ronce, douce mur, l'enfance est [Am] un parfum tenace.
Tout [E] ce sucre c'est vous, tout ce sucre et ce miel.
[Am] Le doux [E] du roudoudou, [Am] d'eau caramel.
Les [E] filles à la vanille, les [Am] garçons aux citrons.
L'été sous la [E]
charmille, et l'hiver [A] au marron.
Je [Dm] reprendrai bien [B] volontiers, des [Am] miniardises que tu recèles.
Et [Ab] retrouverai dans [E] mon soulier, ma [Am] mandarine de [Ab]
Noël.
[Em] [Ab] [Am]
[F] [Dm] [Am]
Voici qu [E]'au milieu des bouquets, de douces [Am] fleurs et de bonbons.
S'offre [E] à mon nez soudain, qui est une [A] troublante exhalaison.
C'est l [E]'odeur [Em] animale, de l'humaine condition.
[E] De la sueur et du sale, [C] et du mauvais [A] coton.
[E] Et voici qu'ils [Fm]
[Em] affleurent, les fluves [Am] du trépas.
L'odeur d'un [E] corps [Fm] qui [E] meurt, entre ses derniers [A] draps.
Que le [Dm] temps souverain, et sa [B] cruelle [Am] taquinerie.
N'emporte [B] votre [E] amour ou le mien, vers d'autres [A] cieux ou d'autres lits.
Je veux garder [Dm] pour en mourir, ce que vous avez [Am] oublié.
[Cm] Sur les décombres [E] de nos désirs, [G] [E]
sur l [A]'oreiller.
[Ab]
[G] Merci
100% ➙ 110BPM
E
Am
A
Dm
Ab
E
Am
A
On va se quitter en chanson.
Alors Bernadette Lafon vous attendiez, Juliette la voici, la voilà.
Elle va nous interpréter sur l'oreiller.
C'est une chanson pour l'heure, tordive.
Ben oui, c'est l'heure à laquelle on se couche à des mois de minuit.
_ _ _ _ On vous écoute. _
_ _ J _ [A] _ _ _
_ _ [G] _ [E] _ _ _ _ [Am] _
_ _ _ [Dm] _ _ _ [E] _ _
[A] _ _ _ _ _ _ 'aurai beaucoup [E] trop chaud peut-être, il [Dm] fera [Am] sombre, que m'importe.
Je n [Dm]'ouvrirai pas la [E] fenêtre, il laisserait [Am] fermer ma porte.
Je veux garder [Em] pour en mourir [E]
ce que vous [Am] avez oublié.
Sur les [Dm] décombres de nos [E] désirs, votre parfum [A] sur l'oreiller. _
[E] Laissez-moi deviner _ ces [Am] subtiles odeurs, et pour emmener [B] mon nez [E] par vos [Am] _ inquisiteurs.
Il y a [E] des fleurs en vous que je ne [Am] connais pas, et que [Dm] gardent jaloux [Am] les [E] replis de mes [Am] _ draps.
Oh la [Dm] si fragile prison, [F] il [Am] suffirait d'un peu de vent, pour que les [E] chères émanations quittent ma vie [Ab] et mon divan.
[A] _ [Em] Tenez, voici, j'ai découvert, _ _ [Am] dissimulé sous l'évidence, de votre [Dm] Chanel [Am] ordinaire, [E] de plus secrètes [Am] _
fulgurances.
Il me [E] faudrait les retenir, pour [Am] donner corps à l [Dm]'éphémère.
[Am] Recomposer votre élixir, pour en habiller mes [A] chimères.
Sans [B] doute, il y eut des rois, _ [E] pour vous fêter [Am] enfant. _
[E] En vous disant reçois, et [Am] admirer l'ensemble, les faits de [Abm] la légende.
[Ab]
[A] Penchez sur [Am] le berceau, on [E] fleurit de la vente, vos yeux [Am] et votre peau.
[D] J'ai deviné tous [B] vos effets, ici l [Am]'empreinte du jasmin, par là [E] la trace de l'œillet.
Et là le [Am] soupçon [Ab] de bain-joint.
[A] _
[E] Je pourrais dire ton enfance, elle est dans l [A]'essence des choses.
Je sais le [Dm] parfum des [E] vacances, dans les [Am] jardins couverts de roses.
Une grand [Dm]-mère au [E] confiture, un bon goûter dans [Am] la besace.
Piquante [E] ronce, douce mur, l'enfance est [Am] un parfum _ tenace.
Tout [E] ce sucre c'est vous, _ tout ce sucre et ce miel.
[Am] Le doux [E] du roudoudou, _ [Am] d'eau caramel.
_ Les [E] filles à la vanille, les [Am] garçons aux citrons.
L'été sous la [E]
charmille, et l'hiver [A] au marron.
_ Je [Dm] reprendrai bien [B] volontiers, des [Am] miniardises que tu recèles.
Et [Ab] retrouverai dans [E] mon soulier, ma [Am] mandarine de [Ab] _
Noël.
[Em] _ _ [Ab] _ _ _ [Am] _
[F] _ _ _ [Dm] _ _ [Am] _ _ _
_ _ Voici qu [E]'au milieu des bouquets, de douces [Am] fleurs et de bonbons.
S'offre [E] à mon nez soudain, qui est une [A] troublante exhalaison.
C'est l [E]'odeur [Em] animale, de l'humaine condition.
[E] De la sueur et du sale, [C] et du mauvais [A] coton.
[E] Et voici qu'ils _ [Fm] _
[Em] affleurent, les fluves [Am] du trépas.
L'odeur d'un [E] corps [Fm] qui [E] meurt, entre ses derniers [A] draps.
_ _ _ _ _ _ _
Que le [Dm] temps _ souverain, et sa [B] cruelle [Am] taquinerie.
N'emporte [B] votre [E] amour ou le mien, vers d'autres [A] cieux ou d'autres lits.
Je veux garder [Dm] pour en mourir, ce que vous avez [Am] oublié.
_ [Cm] Sur les décombres [E] de nos _ _ désirs, _ [G] _ _ _ _ _ [E] _ _
_ _ _ _ _ _ sur l _ _ [A]'oreiller. _ _ _ _
_ _ _ _ _ _ [Ab] _ _
_ _ _ _ [G] _ _ Merci
Alors Bernadette Lafon vous attendiez, Juliette la voici, la voilà.
Elle va nous interpréter sur l'oreiller.
C'est une chanson pour l'heure, tordive.
Ben oui, c'est l'heure à laquelle on se couche à des mois de minuit.
_ _ _ _ On vous écoute. _
_ _ J _ [A] _ _ _
_ _ [G] _ [E] _ _ _ _ [Am] _
_ _ _ [Dm] _ _ _ [E] _ _
[A] _ _ _ _ _ _ 'aurai beaucoup [E] trop chaud peut-être, il [Dm] fera [Am] sombre, que m'importe.
Je n [Dm]'ouvrirai pas la [E] fenêtre, il laisserait [Am] fermer ma porte.
Je veux garder [Em] pour en mourir [E]
ce que vous [Am] avez oublié.
Sur les [Dm] décombres de nos [E] désirs, votre parfum [A] sur l'oreiller. _
[E] Laissez-moi deviner _ ces [Am] subtiles odeurs, et pour emmener [B] mon nez [E] par vos [Am] _ inquisiteurs.
Il y a [E] des fleurs en vous que je ne [Am] connais pas, et que [Dm] gardent jaloux [Am] les [E] replis de mes [Am] _ draps.
Oh la [Dm] si fragile prison, [F] il [Am] suffirait d'un peu de vent, pour que les [E] chères émanations quittent ma vie [Ab] et mon divan.
[A] _ [Em] Tenez, voici, j'ai découvert, _ _ [Am] dissimulé sous l'évidence, de votre [Dm] Chanel [Am] ordinaire, [E] de plus secrètes [Am] _
fulgurances.
Il me [E] faudrait les retenir, pour [Am] donner corps à l [Dm]'éphémère.
[Am] Recomposer votre élixir, pour en habiller mes [A] chimères.
Sans [B] doute, il y eut des rois, _ [E] pour vous fêter [Am] enfant. _
[E] En vous disant reçois, et [Am] admirer l'ensemble, les faits de [Abm] la légende.
[Ab]
[A] Penchez sur [Am] le berceau, on [E] fleurit de la vente, vos yeux [Am] et votre peau.
[D] J'ai deviné tous [B] vos effets, ici l [Am]'empreinte du jasmin, par là [E] la trace de l'œillet.
Et là le [Am] soupçon [Ab] de bain-joint.
[A] _
[E] Je pourrais dire ton enfance, elle est dans l [A]'essence des choses.
Je sais le [Dm] parfum des [E] vacances, dans les [Am] jardins couverts de roses.
Une grand [Dm]-mère au [E] confiture, un bon goûter dans [Am] la besace.
Piquante [E] ronce, douce mur, l'enfance est [Am] un parfum _ tenace.
Tout [E] ce sucre c'est vous, _ tout ce sucre et ce miel.
[Am] Le doux [E] du roudoudou, _ [Am] d'eau caramel.
_ Les [E] filles à la vanille, les [Am] garçons aux citrons.
L'été sous la [E]
charmille, et l'hiver [A] au marron.
_ Je [Dm] reprendrai bien [B] volontiers, des [Am] miniardises que tu recèles.
Et [Ab] retrouverai dans [E] mon soulier, ma [Am] mandarine de [Ab] _
Noël.
[Em] _ _ [Ab] _ _ _ [Am] _
[F] _ _ _ [Dm] _ _ [Am] _ _ _
_ _ Voici qu [E]'au milieu des bouquets, de douces [Am] fleurs et de bonbons.
S'offre [E] à mon nez soudain, qui est une [A] troublante exhalaison.
C'est l [E]'odeur [Em] animale, de l'humaine condition.
[E] De la sueur et du sale, [C] et du mauvais [A] coton.
[E] Et voici qu'ils _ [Fm] _
[Em] affleurent, les fluves [Am] du trépas.
L'odeur d'un [E] corps [Fm] qui [E] meurt, entre ses derniers [A] draps.
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Que le [Dm] temps _ souverain, et sa [B] cruelle [Am] taquinerie.
N'emporte [B] votre [E] amour ou le mien, vers d'autres [A] cieux ou d'autres lits.
Je veux garder [Dm] pour en mourir, ce que vous avez [Am] oublié.
_ [Cm] Sur les décombres [E] de nos _ _ désirs, _ [G] _ _ _ _ _ [E] _ _
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