A La Vibe & Mektoub Chords by Keny Arkana

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Merci.
[Gbm] Au revoir.
Tu me [Ab] trouveras pas au bout du fil, ni derrière ma [E] boîte mail, encore moins sur [Gb] des forums à écrire un tas de merde.
[Ab] Tu me verras jamais dans les boîtes ou les [E] soirées, j'ai jamais mis [Gb] les pieds dans ton vie alpi enfoirée.
[Ab] Tu me trouveras plus qu'au quartier avec les [Abm] frères ou en bâtrouille avec les [Gb] cystas à pirater leur [Ab] système.
Sur la route, c'est ce chez qui j'y [E] grandestime, chez les RG on [B] est crou, tout le temps de réunir, grandestime.
[Ab] Pourquoi se moquer dans un coin d [E]'ailleurs, dans la chaîne de [Gb] Palenque, ou tout simplement dans [Ab] ma zone ?
Europe, chaîne de guerre, là où cela rue nous [E] éduque, c'est toi, sans soin [Dbm] de politique, en train de faire la [Ab] récue.
Tous les endroits où on s'embarque, je m'appelle [E] Arkana, dans le sud de la [Gb] France, sur les chemins de [Ab] Mastala.
Dans une groppe, une rivière, chez les Qatar, sous [E] les c'est toi, j'en place une [Dbm] pour les miens qui savent où me trouver.
[Ab] On est un effet [Db] Mecque, nous, ne rends personne [E] au bout du vide.
Toujours [Db] là où me porte la bague, la ville on n'est pas ma vie, non.
Tu me rencontreras dans ces [Abm] endroits que l'on oublie, [Db] toujours suivant les signes, car je suis né [Abm] sous une étoile filante.
Les joignacs, les joignacs, [E] mental du pied, [Gb] rien à battre [Abm] à la vague de Mecque, nous.
[Bb] Les joignacs, [Abm] les joignacs, [E] mental du pied, rien à battre [B] à la vague de [Ab] Mecque.
Tu me trouveras pas dans les radios, en train de dire des trucs au [E] pire, ni sur les [Abm] plateaux télé [Gbm] avec les amis du show.
[Ab] Ni aux victoires de la musique, ni aux victoires du [E] rap, pas dans la course, dans mon coin, [Gb] on dit fâcheur, les deux là, [Ab] aïe.
Tu me trouveras plutôt avec les potes au [E] cou, les gros à la [Gb] plaine, en mode, allez, venez, on [Ab] bouge, on vient de train, abouffe ma bande.
Sous la vague que nous avons, [E] nous poussons l [Abm]'air dans un bled, où on caisse musique à [Ab] fond.
Du chemin pour mon âme qui [E] trésore toujours à peine, où on [Gb] se loue quelque part en Amérique [Ab] du Sud.
Chez les chamans, nos coeurs ne font pas de chaman [E] mal, dans les vagues à la hama, [Db] où on est en train de [Ab] réveiller la masse.
Tout le monde a le coup, on bouge dans le bordel à la sème, avec Truc et les proches, mais quand même, [Gbm] ça, ça, ça, ça, vienne de [Ab] Marseille.
Tu vois dans les coins, trop bas, dans le camp des [E] bannis, où on [Db] fait fous, où les étoiles avec la famille.
[Abm] Mentalité Mecque, nous, ne rends personne au bout du pied, toujours là où [Db] le fort, la bague, la ville, on n'est pas la vie, non.
Tu me prônes pas [Abm] dans ces impas que l'on nous dit, toujours [Db] suivant les signes, car je suis né sous une [Abm] étoile, filant.
Les joignards, les joignards, [Db] mentalité, rien n'a pas à faire à la [Abm] vague des Mecques, nous.
[Db] Les joignards, [Abm] les joignards, [E] mentalité, rien n'a [B] pas à faire à la vague des Mecques.
[Abm] Je me bats, ça craint, tout le monde, je [Dbm] me bats, [Abm] je m'en vais respirer au poids.
_ _ [E] _ Je me [Abm] bats, ça craint, tout le monde, je [E] me bats, [Abm] je m'en vais respirer au poids.
Je me bats, [E] ça craint, tout le monde, je me bats, [Abm] je m'en vais respirer au poids.
Dans le bois, dans ces contes, sans Babylone, [E] effronté, à faire [Db] fondre, à l [Ebm]'empire ou à exclure les combés.
[Ab] Ici, quand [Db] nous, c'est compté, [Abm] pas de rame se laisser plomber, [E] nous, c'est trop [Gb] flambe, c'est froid, il faut glisser, soi [Abm]-même, laisse tomber.
Quand la tension est montée, liberté nous a manqué, pis du [Db] vent, depuis que tu es [Abm] de plus classe, il m'attendait, j'ai décidé [Db] de pas rentrer.
[Abm] Vive ma vie comme je l'entendais, [E] sur ce jour, on est à compter, [Db] mi-chemin.
[Abm] Car je tiens quand on place, en la route, je m'emboise.
Voilà l'effronté, faisons [Bb] fondre à l'empire, où exclure [Ab] les combés.
Ici, quand [Bb] nous, c'est compté, [E] pas de rame se laisser plomber, [Bb] nous, c'est trop flambe, c'est froid, il faut [Abm] glisser, soi-même, laisse tomber.
Quand la tension [Bbm] est montée, [Abm] liberté nous a manqué, [Dbm] pis du vent, [Bbm] depuis que tu es [Abm] de plus classe, il m'attendait, j'ai décidé [Ebm] de pas rentrer.
Vive ma vie comme [E] je l'entendais, [Dbm] sur ce jour, on est à compter, [Abm] mi-chemin.
Car je tiens quand [Ab] on place,