Chords for Keny Arkana - Entre les lignes : Clouée au sol
Tempo:
77.1 bpm
Chords used:
Em
C
Am
A
D
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
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[Em]
[C] [Am] [E]
[Em]
[C] [Am] [D]
[Em] Les ailes brûlées, clouées au sol et la [C] tête vers le ciel, vers la splendeur de l'éternel [Am] ailleurs
Cherchant l'étoile qui fait tourner la roue, [A] loin de ce cadréage où même l'air ne [Em] peut être libre comme l'art
Comme la pureté d'un geste, la [C] profondeur d'une pensée illimitée quand l'opinion est [Am] hachée, sans mâcher mes mots, voir l'argès
[E] Bargesse, la frontière si fine [Em] entre folie et sagesse, réflexion pesante
[C] Cheminement infini en quête de l'archétype, mais mon âme est [Am] souffrante, mémoire passée, qui voudrait voir mon espoir [D] cassé ?
Où est la berge ?
Où est la perche ?
[Em] Maintenant j'en ai assez, je me noie
J'ai perdu ma barque [C] quand j'ai vu que celui qui la conduisait n'était autre que [Am] mon ennemi
Mais comme quand la nuit tombe, l'océan et [A] le ciel ne forment qu'un, alors j'ai pu voir l'espace [Em] infini aux libertés
Ma chère amie, ta [C] présence est abstraite vu que c'est dans ma tête que j'ai appris à te [Am] connaître aux [A] libertés
Imbibe mon encre et ne quitte plus mes pensées, bulles d'oxygène dans un monde [Am] limité où la vérité se cache en nous
[D] Clairvoyance, intuition, mais avons-nous idée de tout ce qui [Am] se cache en nous ?
Ce rire contre l'arme, l'ego [D] contre l'âme et à plus haute échelle je dirais illuminati [E] contre l'homme
Époque cruelle, dénuée de [C] sens, dur de voir clair derrière les mascarades et [Am] les buées de sang
Je me sens comme perdu au cœur d [D]'une immense machine qui n'en a jamais eu et qui [Em] nous dénature
Mauvais pressentiment quand je pense [C] au futur, les yeux ouverts, l'horreur tente de me les crever
[Em] Mais le plus dur [E] reste à venir le jour où ce sera trop tard, où la surveillance sera absolue et nos prénoms seront [Em] des codes-barres
Tout va de plus en plus vite, car pour [C] eux le temps c'est de l'argent, alors on oublie de vivre, c'est [A] navrant
Nous, ce crème-vite, que rien [G] ne comblera car l'ombre s'est emparée de notre monde
Mais on croit [Em] que ce qu'on voit ou ce qu'on veut bien nous laisser voir, donc ouais on [C] est aveugle
Ca me fait mal au cœur, mais regarde, même nos [A] âmes bug, au front de nous c'est tourment
[G] Car dehors c'est tourment, soumis à notre sort, on oublie que [Em] la vie est mouvement
Que la force issue d'un idéal ou d'une volonté transcende où les schémas est appliqué
Les barrières sont dans nos crânes, [G] qu'on est seul à pouvoir les virer, se libérer en laissant [Em] notre cœur fait mouvoir
Trop porté sur l'extérieur [C] et à force de vouloir être comme tout le monde, peut-on quelqu'un en [Am] fin de compte
On devient ce qu'on nous montre, au lieu d'être ce qu'on est, [G] pourtant ce mode de vie fait mal
Mais on se [Em] laisse cogner et on s'y pie, un monde qui nous dépasse et [C] qui nous replie sur nous-mêmes
En nous laissant des traces, [Am] alors je ferme les yeux, pour ressentir la lueur
[Bm] Pouvoir faire le vide en moi, afin d'être [Em] réceptive au bonheur
Car changer le monde commence par se changer [C] soi-même
[Am] [A]
[Em] [C]
[Am] [D]
[Em] [C]
[E] [A]
[Em] [C]
[Am] [A]
[Em] [C]
[Am] [A]
[Em] [C]
[Am] [A] [D]
[Em]
[C] [Am] [E]
[Em]
[C] [Am] [D]
[Em] Les ailes brûlées, clouées au sol et la [C] tête vers le ciel, vers la splendeur de l'éternel [Am] ailleurs
Cherchant l'étoile qui fait tourner la roue, [A] loin de ce cadréage où même l'air ne [Em] peut être libre comme l'art
Comme la pureté d'un geste, la [C] profondeur d'une pensée illimitée quand l'opinion est [Am] hachée, sans mâcher mes mots, voir l'argès
[E] Bargesse, la frontière si fine [Em] entre folie et sagesse, réflexion pesante
[C] Cheminement infini en quête de l'archétype, mais mon âme est [Am] souffrante, mémoire passée, qui voudrait voir mon espoir [D] cassé ?
Où est la berge ?
Où est la perche ?
[Em] Maintenant j'en ai assez, je me noie
J'ai perdu ma barque [C] quand j'ai vu que celui qui la conduisait n'était autre que [Am] mon ennemi
Mais comme quand la nuit tombe, l'océan et [A] le ciel ne forment qu'un, alors j'ai pu voir l'espace [Em] infini aux libertés
Ma chère amie, ta [C] présence est abstraite vu que c'est dans ma tête que j'ai appris à te [Am] connaître aux [A] libertés
Imbibe mon encre et ne quitte plus mes pensées, bulles d'oxygène dans un monde [Am] limité où la vérité se cache en nous
[D] Clairvoyance, intuition, mais avons-nous idée de tout ce qui [Am] se cache en nous ?
Ce rire contre l'arme, l'ego [D] contre l'âme et à plus haute échelle je dirais illuminati [E] contre l'homme
Époque cruelle, dénuée de [C] sens, dur de voir clair derrière les mascarades et [Am] les buées de sang
Je me sens comme perdu au cœur d [D]'une immense machine qui n'en a jamais eu et qui [Em] nous dénature
Mauvais pressentiment quand je pense [C] au futur, les yeux ouverts, l'horreur tente de me les crever
[Em] Mais le plus dur [E] reste à venir le jour où ce sera trop tard, où la surveillance sera absolue et nos prénoms seront [Em] des codes-barres
Tout va de plus en plus vite, car pour [C] eux le temps c'est de l'argent, alors on oublie de vivre, c'est [A] navrant
Nous, ce crème-vite, que rien [G] ne comblera car l'ombre s'est emparée de notre monde
Mais on croit [Em] que ce qu'on voit ou ce qu'on veut bien nous laisser voir, donc ouais on [C] est aveugle
Ca me fait mal au cœur, mais regarde, même nos [A] âmes bug, au front de nous c'est tourment
[G] Car dehors c'est tourment, soumis à notre sort, on oublie que [Em] la vie est mouvement
Que la force issue d'un idéal ou d'une volonté transcende où les schémas est appliqué
Les barrières sont dans nos crânes, [G] qu'on est seul à pouvoir les virer, se libérer en laissant [Em] notre cœur fait mouvoir
Trop porté sur l'extérieur [C] et à force de vouloir être comme tout le monde, peut-on quelqu'un en [Am] fin de compte
On devient ce qu'on nous montre, au lieu d'être ce qu'on est, [G] pourtant ce mode de vie fait mal
Mais on se [Em] laisse cogner et on s'y pie, un monde qui nous dépasse et [C] qui nous replie sur nous-mêmes
En nous laissant des traces, [Am] alors je ferme les yeux, pour ressentir la lueur
[Bm] Pouvoir faire le vide en moi, afin d'être [Em] réceptive au bonheur
Car changer le monde commence par se changer [C] soi-même
[Am] [A]
[Em] [C]
[Am] [D]
[Em] [C]
[E] [A]
[Em] [C]
[Am] [A]
[Em] [C]
[Am] [A]
[Em] [C]
[Am] [A] [D]
[Em]
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[C] _ _ _ [Am] _ _ [D] _
_ _ [Em] Les ailes brûlées, clouées au sol et la [C] tête vers le ciel, vers la splendeur de l'éternel [Am] ailleurs
Cherchant l'étoile qui fait tourner la roue, [A] loin de ce cadréage où même l'air ne [Em] peut être libre comme l'art
Comme la pureté d'un geste, la [C] profondeur d'une pensée illimitée quand l'opinion est [Am] hachée, sans mâcher mes mots, voir l'argès
[E] Bargesse, la frontière si fine [Em] entre folie et sagesse, réflexion pesante
[C] Cheminement infini en quête de l'archétype, mais mon âme est [Am] souffrante, mémoire passée, qui voudrait voir mon espoir [D] cassé ?
Où est la berge ?
Où est la perche ?
[Em] Maintenant j'en ai assez, je me noie
J'ai perdu ma barque [C] quand j'ai vu que celui qui la conduisait n'était autre que [Am] mon ennemi
Mais comme quand la nuit tombe, l'océan et [A] le ciel ne forment qu'un, alors j'ai pu voir l'espace [Em] infini aux libertés
Ma chère amie, ta [C] présence est abstraite vu que c'est dans ma tête que j'ai appris à te [Am] connaître aux [A] libertés
Imbibe mon encre et ne quitte plus mes pensées, bulles d'oxygène dans un monde [Am] limité où la vérité se cache en nous
[D] Clairvoyance, intuition, mais avons-nous idée de tout ce qui [Am] se cache en nous ?
Ce rire contre l'arme, l'ego [D] contre l'âme et à plus haute échelle je dirais illuminati [E] contre l'homme
Époque cruelle, dénuée de [C] sens, dur de voir clair derrière les mascarades et [Am] les buées de sang
Je me sens comme perdu au cœur d [D]'une immense machine qui n'en a jamais eu et qui [Em] nous dénature
Mauvais pressentiment quand je pense [C] au futur, les yeux ouverts, l'horreur tente de me les crever
[Em] Mais le plus dur [E] reste à venir le jour où ce sera trop tard, où la surveillance sera absolue et nos prénoms seront [Em] des codes-barres
Tout va de plus en plus vite, car pour [C] eux le temps c'est de l'argent, alors on oublie de vivre, c'est [A] navrant
Nous, ce crème-vite, que rien [G] ne comblera car l'ombre s'est emparée de notre monde
Mais on croit [Em] que ce qu'on voit ou ce qu'on veut bien nous laisser voir, donc ouais on [C] est aveugle
Ca me fait mal au cœur, mais regarde, même nos [A] âmes bug, au front de nous c'est tourment
[G] Car dehors c'est tourment, soumis à notre sort, on oublie que [Em] la vie est mouvement
Que la force issue d'un idéal ou d'une volonté transcende où les schémas est appliqué
Les barrières sont dans nos crânes, [G] qu'on est seul à pouvoir les virer, se libérer en laissant [Em] notre cœur fait mouvoir
Trop porté sur l'extérieur [C] et à force de vouloir être comme tout le monde, peut-on quelqu'un en [Am] fin de compte
On devient ce qu'on nous montre, au lieu d'être ce qu'on est, [G] pourtant ce mode de vie fait mal
Mais on se [Em] laisse cogner et on s'y pie, un monde qui nous dépasse et [C] qui nous replie sur nous-mêmes
En nous laissant des traces, [Am] alors je ferme les yeux, pour ressentir la lueur
[Bm] Pouvoir faire le vide en moi, afin d'être [Em] réceptive au bonheur
Car changer le monde commence par se changer [C] soi-même _ _
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Cherchant l'étoile qui fait tourner la roue, [A] loin de ce cadréage où même l'air ne [Em] peut être libre comme l'art
Comme la pureté d'un geste, la [C] profondeur d'une pensée illimitée quand l'opinion est [Am] hachée, sans mâcher mes mots, voir l'argès
[E] Bargesse, la frontière si fine [Em] entre folie et sagesse, réflexion pesante
[C] Cheminement infini en quête de l'archétype, mais mon âme est [Am] souffrante, mémoire passée, qui voudrait voir mon espoir [D] cassé ?
Où est la berge ?
Où est la perche ?
[Em] Maintenant j'en ai assez, je me noie
J'ai perdu ma barque [C] quand j'ai vu que celui qui la conduisait n'était autre que [Am] mon ennemi
Mais comme quand la nuit tombe, l'océan et [A] le ciel ne forment qu'un, alors j'ai pu voir l'espace [Em] infini aux libertés
Ma chère amie, ta [C] présence est abstraite vu que c'est dans ma tête que j'ai appris à te [Am] connaître aux [A] libertés
Imbibe mon encre et ne quitte plus mes pensées, bulles d'oxygène dans un monde [Am] limité où la vérité se cache en nous
[D] Clairvoyance, intuition, mais avons-nous idée de tout ce qui [Am] se cache en nous ?
Ce rire contre l'arme, l'ego [D] contre l'âme et à plus haute échelle je dirais illuminati [E] contre l'homme
Époque cruelle, dénuée de [C] sens, dur de voir clair derrière les mascarades et [Am] les buées de sang
Je me sens comme perdu au cœur d [D]'une immense machine qui n'en a jamais eu et qui [Em] nous dénature
Mauvais pressentiment quand je pense [C] au futur, les yeux ouverts, l'horreur tente de me les crever
[Em] Mais le plus dur [E] reste à venir le jour où ce sera trop tard, où la surveillance sera absolue et nos prénoms seront [Em] des codes-barres
Tout va de plus en plus vite, car pour [C] eux le temps c'est de l'argent, alors on oublie de vivre, c'est [A] navrant
Nous, ce crème-vite, que rien [G] ne comblera car l'ombre s'est emparée de notre monde
Mais on croit [Em] que ce qu'on voit ou ce qu'on veut bien nous laisser voir, donc ouais on [C] est aveugle
Ca me fait mal au cœur, mais regarde, même nos [A] âmes bug, au front de nous c'est tourment
[G] Car dehors c'est tourment, soumis à notre sort, on oublie que [Em] la vie est mouvement
Que la force issue d'un idéal ou d'une volonté transcende où les schémas est appliqué
Les barrières sont dans nos crânes, [G] qu'on est seul à pouvoir les virer, se libérer en laissant [Em] notre cœur fait mouvoir
Trop porté sur l'extérieur [C] et à force de vouloir être comme tout le monde, peut-on quelqu'un en [Am] fin de compte
On devient ce qu'on nous montre, au lieu d'être ce qu'on est, [G] pourtant ce mode de vie fait mal
Mais on se [Em] laisse cogner et on s'y pie, un monde qui nous dépasse et [C] qui nous replie sur nous-mêmes
En nous laissant des traces, [Am] alors je ferme les yeux, pour ressentir la lueur
[Bm] Pouvoir faire le vide en moi, afin d'être [Em] réceptive au bonheur
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