Chords for Léo Ferré - Est-ce ainsi que les hommes vivent ? (Version rare, live avec chœur à l'Alhambra)
Tempo:
103.05 bpm
Chords used:
Fm
C
Db
Bbm
Bb
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
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[G] [C] [Fm]
[C] [Fm]
[Db] Tout est affaire de décors, changer de [Fm] lit, [Cm] changer de [Fm] corps, à quoi bon
[Bbm] ?
Puisque c'est encore moi qui, moi-même, me trahis, moi qui me [Fm] traîne et m [Db]'éparpille,
et mon ombre se [Eb] déshabille dans les bras [C] semblables des [Dbm] filles où j'ai cru [Cm] trouver [Fm] un pays.
[Db]
[Fm] Coeur léger, coeur sans jambes, coeur lourd, le temps de rêver [Bbm] est bien court.
Que faut-il faire de mes jours ?
Que faut-il faire de mes [Fm] nuits ?
Je n'avais amour ni [Bbm] demeure, nulle [G] part où je vivais ou meure,
je [C] passais comme la [Fm] rumeur, je m'endormais comme le bruit.
[C] Laisse ainsi que les hommes [D]
vivent, [C] dès leur [Bb] baiser au loin [F] les suive.
[Fm]
C'était un temps d 'irrésonance.
On avait mis les morts à table, on faisait des châteaux de sable,
[Bbm] on prenait les loups pour des chiens, tout changeait de pôle et d'épaule,
[Fm] la [Db] pièce était telle où mon rôle, moi, si j'y tenais mal, mon rôle, c'était [C] de n'y comprendre rien.
[F]
Dans le [Db] quartier Ohenzollern, entre la [Fm] Sarre et les casernes,
[A] comme les [Cm] fleurs de la [Bbm] luzerne fleurissaient, saints de l'aula,
elle avait un [Fm] coeur d'hirondelle, [Db] sur le [G] canapé du bordel,
je [F] venais m'allonger [Fm] près d'elle dans les hoquets du Pianolla.
[C] Laisse ainsi que les hommes [Fm] vivent, [Db] dès [C] leur [G]
baiser au loin [C] les suive.
[Fm]
[Db] Le ciel était [Fm] gris de nuages,
il y volait des oies sauvages qui criaient [Bbm] la mort au passage, au-dessus des maisons, des [Fm] quais.
Je les voyais par la fenêtre, leur chant [Bbm] triste entrait dans mon être,
et je croyais y [Bb] reconnaître du renne [C] Maria [F] Rinté.
[Fm] [Db] [Ab] Elle était [Fm] brune et [Db] pourtant blanche, ses cheveux tombaient [Cm] sur [Fm] ses hanches,
et la [Bbm] semelle et le piment, elle l'offrait à tous ses [Fm] bras nus.
[Db] Elle avait des yeux de faïence et [Bb] travaillait avec [C] vaillance
[Fm] pour un artilleur de maïence [F] qui n'en est jamais revenu.
[Cm] Laisse [Bb] ainsi [C] que les [Bb] hommes [Fm] vivent, dès [Eb] leur baiser au loin [C] les suive.
[Fm]
[Db] Il est d'autres soldats en ville, et la [Fm] nuit monte les civils.
Remets du [Bbm] rimel [Fm] à tes cils, [Bbm] Lola, qui t'en iras [Fm] bientôt.
Encore un verre de [Db] liqueur.
[C] Ce [Bb] fut en avril, [C] à cinq [Fm] heures, au [D] petit jour que dans ton cœur, un dragon plongea son couteau.
[C] Laisse ainsi [Bb] que les hommes [Db] [C] vivent, dès [Bb] leur baiser [Fm] au loin les suive.
[C] [Db]
[C] [Dbm] [G] [Fm]
[N]
[C] [Fm]
[Db] Tout est affaire de décors, changer de [Fm] lit, [Cm] changer de [Fm] corps, à quoi bon
[Bbm] ?
Puisque c'est encore moi qui, moi-même, me trahis, moi qui me [Fm] traîne et m [Db]'éparpille,
et mon ombre se [Eb] déshabille dans les bras [C] semblables des [Dbm] filles où j'ai cru [Cm] trouver [Fm] un pays.
[Db]
[Fm] Coeur léger, coeur sans jambes, coeur lourd, le temps de rêver [Bbm] est bien court.
Que faut-il faire de mes jours ?
Que faut-il faire de mes [Fm] nuits ?
Je n'avais amour ni [Bbm] demeure, nulle [G] part où je vivais ou meure,
je [C] passais comme la [Fm] rumeur, je m'endormais comme le bruit.
[C] Laisse ainsi que les hommes [D]
vivent, [C] dès leur [Bb] baiser au loin [F] les suive.
[Fm]
C'était un temps d 'irrésonance.
On avait mis les morts à table, on faisait des châteaux de sable,
[Bbm] on prenait les loups pour des chiens, tout changeait de pôle et d'épaule,
[Fm] la [Db] pièce était telle où mon rôle, moi, si j'y tenais mal, mon rôle, c'était [C] de n'y comprendre rien.
[F]
Dans le [Db] quartier Ohenzollern, entre la [Fm] Sarre et les casernes,
[A] comme les [Cm] fleurs de la [Bbm] luzerne fleurissaient, saints de l'aula,
elle avait un [Fm] coeur d'hirondelle, [Db] sur le [G] canapé du bordel,
je [F] venais m'allonger [Fm] près d'elle dans les hoquets du Pianolla.
[C] Laisse ainsi que les hommes [Fm] vivent, [Db] dès [C] leur [G]
baiser au loin [C] les suive.
[Fm]
[Db] Le ciel était [Fm] gris de nuages,
il y volait des oies sauvages qui criaient [Bbm] la mort au passage, au-dessus des maisons, des [Fm] quais.
Je les voyais par la fenêtre, leur chant [Bbm] triste entrait dans mon être,
et je croyais y [Bb] reconnaître du renne [C] Maria [F] Rinté.
[Fm] [Db] [Ab] Elle était [Fm] brune et [Db] pourtant blanche, ses cheveux tombaient [Cm] sur [Fm] ses hanches,
et la [Bbm] semelle et le piment, elle l'offrait à tous ses [Fm] bras nus.
[Db] Elle avait des yeux de faïence et [Bb] travaillait avec [C] vaillance
[Fm] pour un artilleur de maïence [F] qui n'en est jamais revenu.
[Cm] Laisse [Bb] ainsi [C] que les [Bb] hommes [Fm] vivent, dès [Eb] leur baiser au loin [C] les suive.
[Fm]
[Db] Il est d'autres soldats en ville, et la [Fm] nuit monte les civils.
Remets du [Bbm] rimel [Fm] à tes cils, [Bbm] Lola, qui t'en iras [Fm] bientôt.
Encore un verre de [Db] liqueur.
[C] Ce [Bb] fut en avril, [C] à cinq [Fm] heures, au [D] petit jour que dans ton cœur, un dragon plongea son couteau.
[C] Laisse ainsi [Bb] que les hommes [Db] [C] vivent, dès [Bb] leur baiser [Fm] au loin les suive.
[C] [Db]
[C] [Dbm] [G] [Fm]
[N]
Key:
Fm
C
Db
Bbm
Bb
Fm
C
Db
[G] _ _ _ [C] _ _ _ [Fm] _ _
_ [C] _ _ _ [Fm] _ _ _
[Db] Tout est affaire de décors, changer de [Fm] lit, _ [Cm] changer de [Fm] corps, à quoi bon _
_ [Bbm] ?
Puisque c'est encore moi qui, moi-même, me trahis, moi qui me [Fm] traîne et m [Db]'éparpille,
et mon ombre se [Eb] déshabille dans les bras [C] semblables des [Dbm] filles où j'ai cru [Cm] trouver [Fm] un pays.
[Db] _ _
[Fm] Coeur léger, _ coeur sans jambes, coeur lourd, _ le temps de rêver [Bbm] est bien court.
Que faut-il faire de mes jours ?
Que faut-il faire de mes [Fm] nuits ?
Je n'avais amour ni [Bbm] demeure, nulle [G] part où je vivais ou meure,
je [C] passais comme la [Fm] rumeur, je m'endormais comme le bruit. _ _ _
[C] _ Laisse ainsi que les hommes _ [D] _
_ vivent, [C] dès leur [Bb] baiser au loin [F] les suive.
[Fm] _ _ _ _
_ C'était un temps d _ 'irrésonance.
On avait mis les morts à table, on faisait des châteaux de sable,
[Bbm] on prenait les loups pour des chiens, tout changeait de pôle et d'épaule,
[Fm] la [Db] pièce était telle où mon rôle, moi, si j'y tenais mal, mon rôle, c'était [C] de n'y comprendre rien.
[F] _
_ Dans le [Db] quartier _ Ohenzollern, _ entre la [Fm] Sarre et les casernes,
[A] comme les [Cm] fleurs de la [Bbm] luzerne _ _ fleurissaient, saints de l'aula,
elle avait un [Fm] coeur d'hirondelle, [Db] sur le [G] canapé du bordel,
je [F] venais m'allonger [Fm] près d'elle dans les hoquets du Pianolla. _
_ [C] Laisse ainsi que les hommes [Fm] _ _ vivent, [Db] dès [C] leur [G]
baiser au loin [C] les suive.
[Fm] _ _ _
_ _ _ [Db] _ Le ciel était [Fm] gris de nuages,
il y volait des oies sauvages qui criaient [Bbm] la mort au passage, au-dessus des maisons, des [Fm] quais.
Je les voyais par la fenêtre, leur chant [Bbm] triste entrait dans mon être,
et je croyais y [Bb] reconnaître du renne _ [C] Maria [F] Rinté.
[Fm] _ [Db] [Ab] Elle était [Fm] brune et [Db] pourtant blanche, ses cheveux tombaient [Cm] sur [Fm] ses hanches,
et la _ [Bbm] semelle et le piment, elle l'offrait à tous ses [Fm] bras nus.
[Db] Elle avait des yeux de faïence et [Bb] travaillait avec [C] vaillance
[Fm] pour un artilleur de maïence [F] qui n'en est jamais revenu.
_ _ [Cm] Laisse [Bb] ainsi [C] que les [Bb] hommes _ _ [Fm] vivent, dès [Eb] leur baiser au loin [C] les suive.
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_ _ _ _ [Db] _ _ Il est d'autres soldats en ville, et la [Fm] nuit monte les civils.
_ Remets du [Bbm] rimel [Fm] à tes cils, [Bbm] Lola, qui t'en iras [Fm] bientôt. _ _
Encore un verre de [Db] liqueur. _ _
[C] Ce [Bb] fut en avril, [C] à cinq [Fm] heures, au [D] petit jour que dans ton cœur, un dragon plongea son couteau.
[C] _ Laisse _ _ ainsi _ [Bb] que les hommes _ [Db] _ [C] vivent, _ dès [Bb] leur baiser [Fm] au loin les suive. _
[C] _ _ _ _ [Db] _ _ _ _
[C] _ [Dbm] _ _ _ [G] _ [Fm] _ _ _
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_ [C] _ _ _ [Fm] _ _ _
[Db] Tout est affaire de décors, changer de [Fm] lit, _ [Cm] changer de [Fm] corps, à quoi bon _
_ [Bbm] ?
Puisque c'est encore moi qui, moi-même, me trahis, moi qui me [Fm] traîne et m [Db]'éparpille,
et mon ombre se [Eb] déshabille dans les bras [C] semblables des [Dbm] filles où j'ai cru [Cm] trouver [Fm] un pays.
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[Fm] Coeur léger, _ coeur sans jambes, coeur lourd, _ le temps de rêver [Bbm] est bien court.
Que faut-il faire de mes jours ?
Que faut-il faire de mes [Fm] nuits ?
Je n'avais amour ni [Bbm] demeure, nulle [G] part où je vivais ou meure,
je [C] passais comme la [Fm] rumeur, je m'endormais comme le bruit. _ _ _
[C] _ Laisse ainsi que les hommes _ [D] _
_ vivent, [C] dès leur [Bb] baiser au loin [F] les suive.
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_ C'était un temps d _ 'irrésonance.
On avait mis les morts à table, on faisait des châteaux de sable,
[Bbm] on prenait les loups pour des chiens, tout changeait de pôle et d'épaule,
[Fm] la [Db] pièce était telle où mon rôle, moi, si j'y tenais mal, mon rôle, c'était [C] de n'y comprendre rien.
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_ Dans le [Db] quartier _ Ohenzollern, _ entre la [Fm] Sarre et les casernes,
[A] comme les [Cm] fleurs de la [Bbm] luzerne _ _ fleurissaient, saints de l'aula,
elle avait un [Fm] coeur d'hirondelle, [Db] sur le [G] canapé du bordel,
je [F] venais m'allonger [Fm] près d'elle dans les hoquets du Pianolla. _
_ [C] Laisse ainsi que les hommes [Fm] _ _ vivent, [Db] dès [C] leur [G]
baiser au loin [C] les suive.
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_ _ _ [Db] _ Le ciel était [Fm] gris de nuages,
il y volait des oies sauvages qui criaient [Bbm] la mort au passage, au-dessus des maisons, des [Fm] quais.
Je les voyais par la fenêtre, leur chant [Bbm] triste entrait dans mon être,
et je croyais y [Bb] reconnaître du renne _ [C] Maria [F] Rinté.
[Fm] _ [Db] [Ab] Elle était [Fm] brune et [Db] pourtant blanche, ses cheveux tombaient [Cm] sur [Fm] ses hanches,
et la _ [Bbm] semelle et le piment, elle l'offrait à tous ses [Fm] bras nus.
[Db] Elle avait des yeux de faïence et [Bb] travaillait avec [C] vaillance
[Fm] pour un artilleur de maïence [F] qui n'en est jamais revenu.
_ _ [Cm] Laisse [Bb] ainsi [C] que les [Bb] hommes _ _ [Fm] vivent, dès [Eb] leur baiser au loin [C] les suive.
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_ _ _ _ [Db] _ _ Il est d'autres soldats en ville, et la [Fm] nuit monte les civils.
_ Remets du [Bbm] rimel [Fm] à tes cils, [Bbm] Lola, qui t'en iras [Fm] bientôt. _ _
Encore un verre de [Db] liqueur. _ _
[C] Ce [Bb] fut en avril, [C] à cinq [Fm] heures, au [D] petit jour que dans ton cœur, un dragon plongea son couteau.
[C] _ Laisse _ _ ainsi _ [Bb] que les hommes _ [Db] _ [C] vivent, _ dès [Bb] leur baiser [Fm] au loin les suive. _
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[C] _ [Dbm] _ _ _ [G] _ [Fm] _ _ _
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