Chords for Léo Ferré Marseille
Tempo:
119.75 bpm
Chords used:
Ab
Eb
Fm
Bb
Bbm
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
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[Eb]
[Eb]
[Bb] [Ab] Oh Marseille, on dirait que ta voix a changé, On dirait que la carte vous partait d'Auchine,
En se prenant pour toi dans le riz [Eb] délavé, Te [Bbm] pleure avec du sang et du lâme marine.
Oh Marseille, on dirait que la mer a pleuré tes mots,
Qui dans la rue se prenaient par la taille, Et [Eb] qui n'ont plus la même ardeur à [Ab] se percher
Aux lèvres de tes gens que la [Fm] tristesse empaille.
Oh Marseille, on dirait que notre dame [Db] en fleurs s'est penchée dans le port,
Pour [C] boire un tonneau vert, [Bbm] qu'elle voyait briller comme brille les [Eb]
pleurs.
Aux yeux de tes marins que l [Ab]'absinthe déserte, Oh Marseille, on dirait que le vent t'a vaincu,
Dans la miséricorde [Bb] où la vallée ne [Ab] traîne Que de ce mistral qui [Ab] glace ta vertu,
[Bb] Il ne reste qu'un peu d'accent qui se promène.
Oh Marseille, la vie a porté sur ton dos Ce nord qui proteste en moquant la musique
Qui monte de ta gorge accrochée à tes mots, Les [Ab] mêmes que là-haut dans les [Fm] steppes plastiques.
Oh Marseille, on dirait que flottent [Db] des drapeaux, Qu'une toile impudique affauchée dans des
[Fm] voiles, Et ces bateaux perdus qui croisent sous ta
peau se souviennent de toi, Dans la gorge des [F] squales.
Oh Marseille, on dirait [Ab] que les saisons se noient Dans ton ciel portuaire où la lune
s'affaire, A compter les bateaux [Ab] qui lui parlent [Bb] de toi,
Jusqu'au gaillon [Bbm] perdu qui se croit nucléaire.
Oh Marseille, on dirait que le peuple et le roi Ne savaient plus quoi dire [Db] et ne savaient
que faire, Quand bouillait la colère, et quatre-vingt-neuf
fois Ils ont mis sur ton nom [Ab] une chanson misère.
[Fm] Oh Marseille, on dirait que Shakespeare a l'accent, [Db] Qu'il a quitté son Angleterre,
Et ces manières qu'il t'apporte, une rose et joliette dedans,
Avec des Roméo grimpant des [Eb] cannebières.
[Ab] Oh Marseille, on dirait que le cœur te va bien, Comme t'écrivait Guillaume Apollinaire.
Oh Marseille, on dirait que le ciel est clair, En Geoffray débarqué à Marseille hier matin,
[Bbm] On débarque toujours les amours passagères.
Mais qu'importe ton ciel qui se prend pour l'Orient,
Qu'importe ton [Eb] parler avec ces mots épiques, Ces mots qui sortent faire [Bbm] un tour,
[Ab] Avec l'accent, ces mots qui ne sortent pas de [Fm] polytechnique.
Oui, mais quel mot Marseille !
[Db] Oui, mais quel mot Marseille !
[Fm] Oui, mais quel mot Marseille !
Quand tu mets ta musique [Eb]
!
[Ab] Oh [Ab]
[Fm]
[Ab] [F]
Marseille, on dirait que le cœur te va bien, Comme t'écrivait Guillaume Apollinaire.
Oh Marseille, on dirait que le ciel est clair, En Geoffray débarqué [Bb] à Marseille hier matin,
J'entends mourir et remourir [Ab] le chant intérieur.
[Eb]
[Bb] [Ab] Oh Marseille, on dirait que ta voix a changé, On dirait que la carte vous partait d'Auchine,
En se prenant pour toi dans le riz [Eb] délavé, Te [Bbm] pleure avec du sang et du lâme marine.
Oh Marseille, on dirait que la mer a pleuré tes mots,
Qui dans la rue se prenaient par la taille, Et [Eb] qui n'ont plus la même ardeur à [Ab] se percher
Aux lèvres de tes gens que la [Fm] tristesse empaille.
Oh Marseille, on dirait que notre dame [Db] en fleurs s'est penchée dans le port,
Pour [C] boire un tonneau vert, [Bbm] qu'elle voyait briller comme brille les [Eb]
pleurs.
Aux yeux de tes marins que l [Ab]'absinthe déserte, Oh Marseille, on dirait que le vent t'a vaincu,
Dans la miséricorde [Bb] où la vallée ne [Ab] traîne Que de ce mistral qui [Ab] glace ta vertu,
[Bb] Il ne reste qu'un peu d'accent qui se promène.
Oh Marseille, la vie a porté sur ton dos Ce nord qui proteste en moquant la musique
Qui monte de ta gorge accrochée à tes mots, Les [Ab] mêmes que là-haut dans les [Fm] steppes plastiques.
Oh Marseille, on dirait que flottent [Db] des drapeaux, Qu'une toile impudique affauchée dans des
[Fm] voiles, Et ces bateaux perdus qui croisent sous ta
peau se souviennent de toi, Dans la gorge des [F] squales.
Oh Marseille, on dirait [Ab] que les saisons se noient Dans ton ciel portuaire où la lune
s'affaire, A compter les bateaux [Ab] qui lui parlent [Bb] de toi,
Jusqu'au gaillon [Bbm] perdu qui se croit nucléaire.
Oh Marseille, on dirait que le peuple et le roi Ne savaient plus quoi dire [Db] et ne savaient
que faire, Quand bouillait la colère, et quatre-vingt-neuf
fois Ils ont mis sur ton nom [Ab] une chanson misère.
[Fm] Oh Marseille, on dirait que Shakespeare a l'accent, [Db] Qu'il a quitté son Angleterre,
Et ces manières qu'il t'apporte, une rose et joliette dedans,
Avec des Roméo grimpant des [Eb] cannebières.
[Ab] Oh Marseille, on dirait que le cœur te va bien, Comme t'écrivait Guillaume Apollinaire.
Oh Marseille, on dirait que le ciel est clair, En Geoffray débarqué à Marseille hier matin,
[Bbm] On débarque toujours les amours passagères.
Mais qu'importe ton ciel qui se prend pour l'Orient,
Qu'importe ton [Eb] parler avec ces mots épiques, Ces mots qui sortent faire [Bbm] un tour,
[Ab] Avec l'accent, ces mots qui ne sortent pas de [Fm] polytechnique.
Oui, mais quel mot Marseille !
[Db] Oui, mais quel mot Marseille !
[Fm] Oui, mais quel mot Marseille !
Quand tu mets ta musique [Eb]
!
[Ab] Oh [Ab]
[Fm]
[Ab] [F]
Marseille, on dirait que le cœur te va bien, Comme t'écrivait Guillaume Apollinaire.
Oh Marseille, on dirait que le ciel est clair, En Geoffray débarqué [Bb] à Marseille hier matin,
J'entends mourir et remourir [Ab] le chant intérieur.
Key:
Ab
Eb
Fm
Bb
Bbm
Ab
Eb
Fm
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_ _ [Eb] _ _ _ _ _ _
_ _ [Eb] _ _ _ _ _ _
_ [Bb] _ _ [Ab] Oh Marseille, on dirait que ta voix a changé, On dirait que la carte vous partait d'Auchine,
En se prenant pour toi dans le riz [Eb] délavé, Te [Bbm] pleure avec du sang et du lâme marine.
Oh Marseille, on dirait que la mer a pleuré tes mots,
Qui dans la rue se prenaient par la taille, Et [Eb] qui n'ont plus la même ardeur à [Ab] se percher
Aux lèvres de tes gens que la [Fm] tristesse empaille.
Oh Marseille, on dirait que notre dame [Db] en fleurs s'est penchée dans le port,
Pour [C] boire un tonneau vert, [Bbm] qu'elle voyait briller comme brille les [Eb]
pleurs.
Aux yeux de tes marins que l [Ab]'absinthe déserte, Oh Marseille, on dirait que le vent t'a vaincu,
Dans la miséricorde [Bb] où la vallée ne [Ab] traîne Que de ce mistral qui [Ab] glace ta vertu,
[Bb] Il ne reste qu'un peu d'accent qui se promène.
Oh Marseille, la vie a porté sur ton dos Ce nord qui proteste en moquant la musique
Qui monte de ta gorge accrochée à tes mots, Les [Ab] mêmes que là-haut dans les [Fm] steppes plastiques.
Oh Marseille, on dirait que flottent [Db] des drapeaux, Qu'une toile impudique affauchée dans des
[Fm] voiles, Et ces bateaux perdus qui croisent sous ta
peau se souviennent de toi, Dans la gorge des [F] squales.
Oh Marseille, on dirait [Ab] que les saisons se noient Dans ton ciel portuaire où la lune
s'affaire, A compter les bateaux [Ab] qui lui parlent [Bb] de toi,
Jusqu'au gaillon [Bbm] perdu qui se croit nucléaire.
Oh Marseille, on dirait que le peuple et le roi Ne savaient plus quoi dire [Db] et ne savaient
que faire, Quand bouillait la colère, et quatre-vingt-neuf
fois Ils ont mis sur ton nom [Ab] une chanson misère.
[Fm] Oh Marseille, on dirait que Shakespeare a l'accent, [Db] Qu'il a quitté son Angleterre,
Et ces manières qu'il t'apporte, une rose et joliette dedans,
Avec des Roméo grimpant des [Eb] cannebières.
[Ab] Oh Marseille, on dirait que le cœur te va bien, Comme t'écrivait Guillaume Apollinaire.
Oh Marseille, on dirait que le ciel est clair, En Geoffray débarqué à Marseille hier matin,
[Bbm] On débarque toujours les amours passagères.
Mais qu'importe ton ciel qui se prend pour l'Orient,
Qu'importe ton [Eb] parler avec ces mots épiques, Ces mots qui sortent faire [Bbm] un tour,
[Ab] Avec l'accent, ces mots qui ne sortent pas de [Fm] polytechnique.
Oui, mais quel mot Marseille !
[Db] Oui, mais quel mot Marseille !
_ [Fm] Oui, mais quel mot Marseille !
Quand tu mets ta musique _ [Eb] _
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[Ab] Oh _ [Ab] _ _ _
_ _ _ _ _ _ _ [Fm] _
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_ _ _ Marseille, _ on dirait que le cœur te va bien, Comme t'écrivait Guillaume Apollinaire. _
Oh Marseille, on dirait que le ciel est clair, En Geoffray débarqué [Bb] à Marseille hier matin,
J'entends mourir et remourir [Ab] le chant intérieur. _ _ _
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En se prenant pour toi dans le riz [Eb] délavé, Te [Bbm] pleure avec du sang et du lâme marine.
Oh Marseille, on dirait que la mer a pleuré tes mots,
Qui dans la rue se prenaient par la taille, Et [Eb] qui n'ont plus la même ardeur à [Ab] se percher
Aux lèvres de tes gens que la [Fm] tristesse empaille.
Oh Marseille, on dirait que notre dame [Db] en fleurs s'est penchée dans le port,
Pour [C] boire un tonneau vert, [Bbm] qu'elle voyait briller comme brille les [Eb]
pleurs.
Aux yeux de tes marins que l [Ab]'absinthe déserte, Oh Marseille, on dirait que le vent t'a vaincu,
Dans la miséricorde [Bb] où la vallée ne [Ab] traîne Que de ce mistral qui [Ab] glace ta vertu,
[Bb] Il ne reste qu'un peu d'accent qui se promène.
Oh Marseille, la vie a porté sur ton dos Ce nord qui proteste en moquant la musique
Qui monte de ta gorge accrochée à tes mots, Les [Ab] mêmes que là-haut dans les [Fm] steppes plastiques.
Oh Marseille, on dirait que flottent [Db] des drapeaux, Qu'une toile impudique affauchée dans des
[Fm] voiles, Et ces bateaux perdus qui croisent sous ta
peau se souviennent de toi, Dans la gorge des [F] squales.
Oh Marseille, on dirait [Ab] que les saisons se noient Dans ton ciel portuaire où la lune
s'affaire, A compter les bateaux [Ab] qui lui parlent [Bb] de toi,
Jusqu'au gaillon [Bbm] perdu qui se croit nucléaire.
Oh Marseille, on dirait que le peuple et le roi Ne savaient plus quoi dire [Db] et ne savaient
que faire, Quand bouillait la colère, et quatre-vingt-neuf
fois Ils ont mis sur ton nom [Ab] une chanson misère.
[Fm] Oh Marseille, on dirait que Shakespeare a l'accent, [Db] Qu'il a quitté son Angleterre,
Et ces manières qu'il t'apporte, une rose et joliette dedans,
Avec des Roméo grimpant des [Eb] cannebières.
[Ab] Oh Marseille, on dirait que le cœur te va bien, Comme t'écrivait Guillaume Apollinaire.
Oh Marseille, on dirait que le ciel est clair, En Geoffray débarqué à Marseille hier matin,
[Bbm] On débarque toujours les amours passagères.
Mais qu'importe ton ciel qui se prend pour l'Orient,
Qu'importe ton [Eb] parler avec ces mots épiques, Ces mots qui sortent faire [Bbm] un tour,
[Ab] Avec l'accent, ces mots qui ne sortent pas de [Fm] polytechnique.
Oui, mais quel mot Marseille !
[Db] Oui, mais quel mot Marseille !
_ [Fm] Oui, mais quel mot Marseille !
Quand tu mets ta musique _ [Eb] _
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[Ab] Oh _ [Ab] _ _ _
_ _ _ _ _ _ _ [Fm] _
_ _ [Ab] _ _ _ [F] _ _ _
_ _ _ Marseille, _ on dirait que le cœur te va bien, Comme t'écrivait Guillaume Apollinaire. _
Oh Marseille, on dirait que le ciel est clair, En Geoffray débarqué [Bb] à Marseille hier matin,
J'entends mourir et remourir [Ab] le chant intérieur. _ _ _
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