Chords for L'Horloge - Les cowboys fringants - 04
Tempo:
114.55 bpm
Chords used:
D
Em
G
C
Bm
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
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[Em]
[Bm]
[Em]
[Bm]
[Em] L'homme ordinaire fut jeuné et insouciant, à l'abri des affres des années [D] qui passent,
invulnérable porté par le vent, de cette jeunesse qui croyait, [C] s'il est lasse, aller
se poursuivre [G] éternellement, comme si le temps s'arrêtait [D] ce frélas.
[Em] Fort de l'enthousiasme de ses vingt ans, il était certain de [D] mener sa barque, différemment
de celle de ses parents, moi vous verrez je vais [C] laisser ma marque, qu'il leur disait
un [G] peu arrogant, alors qu'il avait toute la vie [D] devant.
[G] Mais les aiguilles tout au fond de l'horloge, battent la mesure et jamais [D] ne dérogent,
elles nous rattrapaient sans dents leur sillage, les rêves que l'on a pas [Em] réalisé, qui s'essouffla
la façon d'un mirage, c'est dans le pas la [D] réalité, c'est la vie, c'est la vie, c'est la vie.
[Em]
[Bm]
[Em] Et l'homme ordinaire, mais ça montre alors, car soudainement le temps vient [D] à manquer,
si jadis il n'était pas un facteur, ce dernier devient [C] précieux et compté, et au milieu
de cette [G] veine de poursuite, il se dit que la vie [D] passe trop vite.
[Em] La grosse télé, la petite vision, le voyage dans le sud à la [D] relâche, accepter de vivre
comme un mouton, suivre la masse s'atteler à [C] la tâche, à la remorque du temps qui [G] s'enfuit,
l'homme se rend compte qu'il a peu [D] à conflit.
[G] Car les aiguilles tout au fond de l'horloge, battent la mesure et [D] jamais ne dérogent,
elles nous rattrapaient sans dents leur sillage, les rêves que l'on a pas [Em] réalisé, qui s'essouffla
la façon d'un mirage, c'est dans le pas la [D] réalité, c'est la vie, c'est la vie, c'est la vie.
[Em]
[B]
[Em]
[D] Puis [B]
[Am] [D]
[B] [Em]
[C] [D]
[Em]
l'homme ordinaire se dit qu'il vivote, il sait bien qu'il est à côté [D] de la plaque,
tous les matins le jour de la marmotte, et sa vie qui va droit dans [C] un cul de sac, comme
il aimerait en [G] changer le cours, avoir l'audace de [D] faire demi-tour.
[Em] C'est le courage de nos décisions, qui se veut le moteur [D] de nos actions, c'est lui qui
nous pousse à franchir le pont et le fossé de [C] la résignation, fait qu'on soit immobile
ou en [G] mouvement, une chose est sûre, rien n'arrête [D] le temps.
[G] Car les aiguilles tout au fond de l'horloge, battent la mesure et jamais [D] ne dérogent,
elles nous rattrapent laissant dans leur sillage, les rêves que l'on n'a pas [Em] réalisés, qui
s'essoufflent à la façon d'un mirage, c'est dans le pas la [D] réalité, c'est la vie, c'est
la vie, c'est la vie.
[G] Car les aiguilles tout au fond de l'horloge, battent la mesure et jamais ne [D] dérogent.
[Em]
[D]
[Em]
[Bm]
[Em]
[Bm]
[Em] L'homme ordinaire fut jeuné et insouciant, à l'abri des affres des années [D] qui passent,
invulnérable porté par le vent, de cette jeunesse qui croyait, [C] s'il est lasse, aller
se poursuivre [G] éternellement, comme si le temps s'arrêtait [D] ce frélas.
[Em] Fort de l'enthousiasme de ses vingt ans, il était certain de [D] mener sa barque, différemment
de celle de ses parents, moi vous verrez je vais [C] laisser ma marque, qu'il leur disait
un [G] peu arrogant, alors qu'il avait toute la vie [D] devant.
[G] Mais les aiguilles tout au fond de l'horloge, battent la mesure et jamais [D] ne dérogent,
elles nous rattrapaient sans dents leur sillage, les rêves que l'on a pas [Em] réalisé, qui s'essouffla
la façon d'un mirage, c'est dans le pas la [D] réalité, c'est la vie, c'est la vie, c'est la vie.
[Em]
[Bm]
[Em] Et l'homme ordinaire, mais ça montre alors, car soudainement le temps vient [D] à manquer,
si jadis il n'était pas un facteur, ce dernier devient [C] précieux et compté, et au milieu
de cette [G] veine de poursuite, il se dit que la vie [D] passe trop vite.
[Em] La grosse télé, la petite vision, le voyage dans le sud à la [D] relâche, accepter de vivre
comme un mouton, suivre la masse s'atteler à [C] la tâche, à la remorque du temps qui [G] s'enfuit,
l'homme se rend compte qu'il a peu [D] à conflit.
[G] Car les aiguilles tout au fond de l'horloge, battent la mesure et [D] jamais ne dérogent,
elles nous rattrapaient sans dents leur sillage, les rêves que l'on a pas [Em] réalisé, qui s'essouffla
la façon d'un mirage, c'est dans le pas la [D] réalité, c'est la vie, c'est la vie, c'est la vie.
[Em]
[B]
[Em]
[D] Puis [B]
[Am] [D]
[B] [Em]
[C] [D]
[Em]
l'homme ordinaire se dit qu'il vivote, il sait bien qu'il est à côté [D] de la plaque,
tous les matins le jour de la marmotte, et sa vie qui va droit dans [C] un cul de sac, comme
il aimerait en [G] changer le cours, avoir l'audace de [D] faire demi-tour.
[Em] C'est le courage de nos décisions, qui se veut le moteur [D] de nos actions, c'est lui qui
nous pousse à franchir le pont et le fossé de [C] la résignation, fait qu'on soit immobile
ou en [G] mouvement, une chose est sûre, rien n'arrête [D] le temps.
[G] Car les aiguilles tout au fond de l'horloge, battent la mesure et jamais [D] ne dérogent,
elles nous rattrapent laissant dans leur sillage, les rêves que l'on n'a pas [Em] réalisés, qui
s'essoufflent à la façon d'un mirage, c'est dans le pas la [D] réalité, c'est la vie, c'est
la vie, c'est la vie.
[G] Car les aiguilles tout au fond de l'horloge, battent la mesure et jamais ne [D] dérogent.
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Key:
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G
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invulnérable porté par le vent, de cette jeunesse qui croyait, [C] s'il est lasse, aller
se poursuivre [G] éternellement, comme si le temps s'arrêtait [D] ce frélas.
_ _ [Em] Fort de l'enthousiasme de ses vingt ans, il était certain de [D] mener sa barque, différemment
de celle de ses parents, moi vous verrez je vais [C] laisser ma marque, qu'il leur disait
un [G] peu arrogant, alors qu'il avait toute la vie [D] devant. _
_ [G] Mais les aiguilles tout au fond de l'horloge, battent la mesure et jamais [D] ne dérogent,
elles nous rattrapaient sans dents leur sillage, les rêves que l'on a pas [Em] réalisé, qui s'essouffla
la façon d'un mirage, c'est dans le pas la [D] réalité, c'est la vie, c'est la vie, c'est la vie.
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_ [Em] Et l'homme ordinaire, mais ça montre alors, car soudainement le temps vient [D] à manquer,
si jadis il n'était pas un facteur, ce dernier devient [C] précieux et compté, et au milieu
de cette [G] veine de poursuite, il se dit que la vie [D] passe trop vite.
_ [Em] La grosse télé, la petite vision, le voyage dans le sud à la [D] relâche, accepter de vivre
comme un mouton, suivre la masse s'atteler à [C] la tâche, à la remorque du temps qui [G] s'enfuit,
l'homme se rend compte qu'il a peu [D] à conflit. _
[G] Car les aiguilles tout au fond de l'horloge, battent la mesure et [D] jamais ne dérogent,
elles nous rattrapaient sans dents leur sillage, les rêves que l'on a pas [Em] réalisé, qui s'essouffla
la façon d'un mirage, c'est dans le pas la [D] réalité, c'est la vie, c'est la vie, c'est la vie.
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_ _ l'homme ordinaire se dit qu'il vivote, il sait bien qu'il est à côté [D] de la plaque,
tous les matins le jour de la marmotte, et sa vie qui va droit dans [C] un cul de sac, comme
il aimerait en [G] changer le cours, avoir l'audace de [D] faire demi-tour.
_ [Em] C'est le courage de nos décisions, qui se veut le moteur [D] de nos actions, c'est lui qui
nous pousse à franchir le pont et le fossé de [C] la résignation, fait qu'on soit immobile
ou en [G] mouvement, une chose est sûre, rien n'arrête [D] le temps.
_ [G] Car les aiguilles tout au fond de l'horloge, battent la mesure et jamais [D] ne dérogent,
elles nous rattrapent laissant dans leur sillage, les rêves que l'on n'a pas [Em] réalisés, qui
s'essoufflent à la façon d'un mirage, c'est dans le pas la [D] réalité, c'est la vie, c'est
la vie, c'est la vie.
_ [G] Car les aiguilles tout au fond de l'horloge, battent la mesure et jamais ne [D] dérogent. _ _ _ _ _
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invulnérable porté par le vent, de cette jeunesse qui croyait, [C] s'il est lasse, aller
se poursuivre [G] éternellement, comme si le temps s'arrêtait [D] ce frélas.
_ _ [Em] Fort de l'enthousiasme de ses vingt ans, il était certain de [D] mener sa barque, différemment
de celle de ses parents, moi vous verrez je vais [C] laisser ma marque, qu'il leur disait
un [G] peu arrogant, alors qu'il avait toute la vie [D] devant. _
_ [G] Mais les aiguilles tout au fond de l'horloge, battent la mesure et jamais [D] ne dérogent,
elles nous rattrapaient sans dents leur sillage, les rêves que l'on a pas [Em] réalisé, qui s'essouffla
la façon d'un mirage, c'est dans le pas la [D] réalité, c'est la vie, c'est la vie, c'est la vie.
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_ [Em] Et l'homme ordinaire, mais ça montre alors, car soudainement le temps vient [D] à manquer,
si jadis il n'était pas un facteur, ce dernier devient [C] précieux et compté, et au milieu
de cette [G] veine de poursuite, il se dit que la vie [D] passe trop vite.
_ [Em] La grosse télé, la petite vision, le voyage dans le sud à la [D] relâche, accepter de vivre
comme un mouton, suivre la masse s'atteler à [C] la tâche, à la remorque du temps qui [G] s'enfuit,
l'homme se rend compte qu'il a peu [D] à conflit. _
[G] Car les aiguilles tout au fond de l'horloge, battent la mesure et [D] jamais ne dérogent,
elles nous rattrapaient sans dents leur sillage, les rêves que l'on a pas [Em] réalisé, qui s'essouffla
la façon d'un mirage, c'est dans le pas la [D] réalité, c'est la vie, c'est la vie, c'est la vie.
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_ _ l'homme ordinaire se dit qu'il vivote, il sait bien qu'il est à côté [D] de la plaque,
tous les matins le jour de la marmotte, et sa vie qui va droit dans [C] un cul de sac, comme
il aimerait en [G] changer le cours, avoir l'audace de [D] faire demi-tour.
_ [Em] C'est le courage de nos décisions, qui se veut le moteur [D] de nos actions, c'est lui qui
nous pousse à franchir le pont et le fossé de [C] la résignation, fait qu'on soit immobile
ou en [G] mouvement, une chose est sûre, rien n'arrête [D] le temps.
_ [G] Car les aiguilles tout au fond de l'horloge, battent la mesure et jamais [D] ne dérogent,
elles nous rattrapent laissant dans leur sillage, les rêves que l'on n'a pas [Em] réalisés, qui
s'essoufflent à la façon d'un mirage, c'est dans le pas la [D] réalité, c'est la vie, c'est
la vie, c'est la vie.
_ [G] Car les aiguilles tout au fond de l'horloge, battent la mesure et jamais ne [D] dérogent. _ _ _ _ _
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