Chords for La Cosca
Tempo:
78.5 bpm
Chords used:
F#m
F#
C#
A
F
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
Start Jamming...
Ma [G] famille est cette fois spéculaire, ancienne et insulaire, empourrée de mystères comme le Saint [A#]-Suères à l'aube du troisième millénaire encore on dit
La légende des trois cavaliers espagnols qui débarquèrent au large de Trapani, les usages d'une secte dans leur tête et leur bagage amené de Tolède
Et tout ceci n'est pas un mythe fou, l'ignores [C#]-tu ?
Le jour où mon sang [A] a boulé sur un fil, je fus [F#m] perdu
Je suis né en 1903 au milieu des vents d'Etat, dans les environs de Calzadice et Tartre
Où seul on meurt et la famille décide, les pommes de mon école s'appellent les raquettes et les missiles
J'étais un pauvre paysan gardien de la dipendole pour la criminalité, oui la Sicile abandonne mais quand même
Comment expliquer que les cuttereux ont régi l'économie d'un pays entier ?
J'ai envoyé des tas de types au claveau, ainsi je fus soldat dans la puissante Cosca de Calvo
Puis j'ai loué mes services un peu plus au nord, en 22 j'étais à Bagueria dans la Côte d'Or
Pour appeler à l'ordre ceux qui ne payaient rien et taxer leur bien aux propriétaires terriens
On peut trouver ça monstrueux mais [C#] tout ce que j'ai fait je l'ai [A] fait pour être [F#m] heureux
Je [F#]
[F#m] [F#] m'en rappartiens à la [F#m] Cosca, les [F#]
[F#m] [F#]
[F#m] fascistes sont arrivés au pouvoir pour les deux décennies noires
A toutes les désirs envoyés aux placards, les membres de l'honorable société
Les hommes de ma tradition furent chassés, arrêtés et enfermés
J'ai vite décidé de m'exiler en Tunisie pour cuire la répression du préfet Cesare Mori à Tunis
Il y avait déjà beaucoup d'italiens donc, plus en rien j'ai dû m'accaparer les biens
Les familles s'étaient reconstituées, les [C#] clandestins de Sicile [G#] réclamaient des pécadilles pour [F#m] tuer
J'ai vécu sous mes ordres une armée, mes affaires ont prospéré jusqu'à ce que le gouvernement français
Eussinait mon acte d'extradition de Tunis, j'ai fui vers le Havre puis vers les Etats-Unis
Là-bas en 43 j'ai lutté contre les sabotages des agents philonazis
On a collaboré avec le gouvernement pendant quelques années jusqu'au jour du débarquement
J'ai ensuite envoyé l'ascenseur après quelques mois en attendant dans les mairies des gens de Cosa Nostra
La collusion entre mafia et partis politiques et d'Etats-Unis, sans qu'on le replie c'était une logique
Ceci marqua d'une pierre blanche [C#] ainsi, cinquante ans d'emprise [A] totale de la mafia sur l [F#m]'Italie
[F#]
[F#m] [F#]
[F#m] [F#]
[F#m] [F#]
[F#m] Dans les sphères de l'Etat je fus acquitté pour un contrat par un certain magistrat
En 57 j'étais incarcéré à Louchard [C#]-Cornet, en 58 je [A] travaillais dehors à [F#m] Corleone-les-Naïfs
Combien y a-t-il quand un an de prison ou dix ans de liberté, on a les mêmes connexions
C'est dans ces années-là que l'économie a changé, l'honorable société s'est vite adaptée
D'abord de tafus de drogue, la saffina de femmes, aujourd'hui ils vendent même des organes
Et comme pour éviter tous les délits impunis, en 70 la criminalité s'est réunie
Il y avait là des types de campagnes libres, la Camorra, ces putains de balles, la force cruelle de la tringueta
De Paris, la sacra corona unita, et je faisais partie des gars venus de Cosa Nostra
Peu à peu se creusait un vide entre eux, leurs objectifs, et moi et mes principes
Cinq mois après j'avais tout raccroché, m'étais paré dans la montagne pour me cacher
Et voilà dans vingt ans qui sont passés, je suis resté discret et je n'ai jamais balancé
J'ai quatre-vingt-dix piges et des nouveaux changements politiques
Me font comprendre que mon âge est critique, dehors cette moto m'inquiète
Ce soi-disant postier porte des lettres, il y a encore moins de respect que je pensais
Peut-être des nouveaux cas d'organisation à policiter
C'est terminé alors pourquoi ne pas en grire sortir
Cette tête qui vaut six cent mille, laisser des risoirs
À dix mètres ce tapis, une armée de cohabits, tout ça afin d'éliminer un papy
Dernier mot, dernière lueur dans mes [C#] yeux, je me suis trompé, [A] je n'ai jamais été heureux, je dois sortir
Salut
[N] [F#m]
[F] [F]
[N]
La légende des trois cavaliers espagnols qui débarquèrent au large de Trapani, les usages d'une secte dans leur tête et leur bagage amené de Tolède
Et tout ceci n'est pas un mythe fou, l'ignores [C#]-tu ?
Le jour où mon sang [A] a boulé sur un fil, je fus [F#m] perdu
Je suis né en 1903 au milieu des vents d'Etat, dans les environs de Calzadice et Tartre
Où seul on meurt et la famille décide, les pommes de mon école s'appellent les raquettes et les missiles
J'étais un pauvre paysan gardien de la dipendole pour la criminalité, oui la Sicile abandonne mais quand même
Comment expliquer que les cuttereux ont régi l'économie d'un pays entier ?
J'ai envoyé des tas de types au claveau, ainsi je fus soldat dans la puissante Cosca de Calvo
Puis j'ai loué mes services un peu plus au nord, en 22 j'étais à Bagueria dans la Côte d'Or
Pour appeler à l'ordre ceux qui ne payaient rien et taxer leur bien aux propriétaires terriens
On peut trouver ça monstrueux mais [C#] tout ce que j'ai fait je l'ai [A] fait pour être [F#m] heureux
Je [F#]
[F#m] [F#] m'en rappartiens à la [F#m] Cosca, les [F#]
[F#m] [F#]
[F#m] fascistes sont arrivés au pouvoir pour les deux décennies noires
A toutes les désirs envoyés aux placards, les membres de l'honorable société
Les hommes de ma tradition furent chassés, arrêtés et enfermés
J'ai vite décidé de m'exiler en Tunisie pour cuire la répression du préfet Cesare Mori à Tunis
Il y avait déjà beaucoup d'italiens donc, plus en rien j'ai dû m'accaparer les biens
Les familles s'étaient reconstituées, les [C#] clandestins de Sicile [G#] réclamaient des pécadilles pour [F#m] tuer
J'ai vécu sous mes ordres une armée, mes affaires ont prospéré jusqu'à ce que le gouvernement français
Eussinait mon acte d'extradition de Tunis, j'ai fui vers le Havre puis vers les Etats-Unis
Là-bas en 43 j'ai lutté contre les sabotages des agents philonazis
On a collaboré avec le gouvernement pendant quelques années jusqu'au jour du débarquement
J'ai ensuite envoyé l'ascenseur après quelques mois en attendant dans les mairies des gens de Cosa Nostra
La collusion entre mafia et partis politiques et d'Etats-Unis, sans qu'on le replie c'était une logique
Ceci marqua d'une pierre blanche [C#] ainsi, cinquante ans d'emprise [A] totale de la mafia sur l [F#m]'Italie
[F#]
[F#m] [F#]
[F#m] [F#]
[F#m] [F#]
[F#m] Dans les sphères de l'Etat je fus acquitté pour un contrat par un certain magistrat
En 57 j'étais incarcéré à Louchard [C#]-Cornet, en 58 je [A] travaillais dehors à [F#m] Corleone-les-Naïfs
Combien y a-t-il quand un an de prison ou dix ans de liberté, on a les mêmes connexions
C'est dans ces années-là que l'économie a changé, l'honorable société s'est vite adaptée
D'abord de tafus de drogue, la saffina de femmes, aujourd'hui ils vendent même des organes
Et comme pour éviter tous les délits impunis, en 70 la criminalité s'est réunie
Il y avait là des types de campagnes libres, la Camorra, ces putains de balles, la force cruelle de la tringueta
De Paris, la sacra corona unita, et je faisais partie des gars venus de Cosa Nostra
Peu à peu se creusait un vide entre eux, leurs objectifs, et moi et mes principes
Cinq mois après j'avais tout raccroché, m'étais paré dans la montagne pour me cacher
Et voilà dans vingt ans qui sont passés, je suis resté discret et je n'ai jamais balancé
J'ai quatre-vingt-dix piges et des nouveaux changements politiques
Me font comprendre que mon âge est critique, dehors cette moto m'inquiète
Ce soi-disant postier porte des lettres, il y a encore moins de respect que je pensais
Peut-être des nouveaux cas d'organisation à policiter
C'est terminé alors pourquoi ne pas en grire sortir
Cette tête qui vaut six cent mille, laisser des risoirs
À dix mètres ce tapis, une armée de cohabits, tout ça afin d'éliminer un papy
Dernier mot, dernière lueur dans mes [C#] yeux, je me suis trompé, [A] je n'ai jamais été heureux, je dois sortir
Salut
[N] [F#m]
[F] [F]
[N]
Key:
F#m
F#
C#
A
F
F#m
F#
C#
Ma [G] famille est cette fois spéculaire, ancienne et insulaire, empourrée de mystères comme le Saint [A#]-Suères à l'aube du troisième millénaire encore on dit
La légende des trois cavaliers espagnols qui débarquèrent au large de Trapani, les usages d'une secte dans leur tête et leur bagage amené de Tolède
Et tout ceci n'est pas un mythe fou, l'ignores [C#]-tu ?
Le jour où mon sang [A] a boulé sur un fil, je fus [F#m] perdu
Je suis né en 1903 au milieu des vents d'Etat, dans les environs de Calzadice et Tartre
Où seul on meurt et la famille décide, les pommes de mon école s'appellent les raquettes et les missiles
J'étais un pauvre paysan gardien de la dipendole pour la criminalité, oui la Sicile abandonne mais quand même
Comment expliquer que les cuttereux ont régi l'économie d'un pays entier ?
J'ai envoyé des tas de types au claveau, ainsi je fus soldat dans la puissante Cosca de Calvo
Puis j'ai loué mes services un peu plus au nord, en 22 j'étais à Bagueria dans la Côte d'Or
Pour appeler à l'ordre ceux qui ne payaient rien et taxer leur bien aux propriétaires terriens
On peut trouver ça monstrueux mais [C#] tout ce que j'ai fait je l'ai [A] fait pour être [F#m] heureux
Je _ [F#] _ _ _
_ _ [F#m] _ _ _ [F#] _ m'en rappartiens à la [F#m] Cosca, les _ _ [F#] _ _ _
_ [F#m] _ _ _ _ [F#] _ _ _
_ [F#m] fascistes sont arrivés au pouvoir pour les deux décennies noires
A toutes les désirs envoyés aux placards, les membres de l'honorable société
Les hommes de ma tradition furent chassés, arrêtés et enfermés
J'ai vite décidé de m'exiler en Tunisie pour cuire la répression du préfet Cesare Mori à Tunis
Il y avait déjà beaucoup d'italiens donc, plus en rien j'ai dû m'accaparer les biens
Les familles s'étaient reconstituées, les [C#] clandestins de Sicile [G#] réclamaient des pécadilles pour [F#m] tuer
J'ai vécu sous mes ordres une armée, mes affaires ont prospéré jusqu'à ce que le gouvernement français
Eussinait mon acte d'extradition de Tunis, j'ai fui vers le Havre puis vers les Etats-Unis
Là-bas en 43 j'ai lutté contre les sabotages des agents philonazis
On a collaboré avec le gouvernement pendant quelques années jusqu'au jour du débarquement
J'ai ensuite envoyé l'ascenseur après quelques mois en attendant dans les mairies des gens de Cosa Nostra
La collusion entre mafia et partis politiques et d'Etats-Unis, sans qu'on le replie c'était une logique
Ceci marqua d'une pierre blanche [C#] ainsi, cinquante ans d'emprise [A] totale de la mafia sur l [F#m]'Italie
_ _ _ [F#] _ _ _
_ [F#m] _ _ _ _ [F#] _ _ _
_ [F#m] _ _ _ _ [F#] _ _ _
_ _ [F#m] _ _ _ [F#] _ _ _
_ [F#m] _ Dans les sphères de l'Etat je fus acquitté pour un contrat par un certain magistrat
En 57 j'étais incarcéré à Louchard [C#]-Cornet, en 58 je [A] travaillais dehors à [F#m] Corleone-les-Naïfs
Combien y a-t-il quand un an de prison ou dix ans de liberté, on a les mêmes connexions
C'est dans ces années-là que l'économie a changé, l'honorable société s'est vite adaptée
D'abord de tafus de drogue, la saffina de femmes, aujourd'hui ils vendent même des organes
Et comme pour éviter tous les délits impunis, en 70 la criminalité s'est réunie
Il y avait là des types de campagnes libres, la Camorra, ces putains de balles, la force cruelle de la tringueta
De Paris, la sacra corona unita, et je faisais partie des gars venus de Cosa Nostra
Peu à peu se creusait un vide entre eux, leurs objectifs, et moi et mes principes
Cinq mois après j'avais tout raccroché, m'étais paré dans la montagne pour me cacher
Et voilà dans vingt ans qui sont passés, je suis resté discret et je n'ai jamais balancé
J'ai quatre-vingt-dix piges et des nouveaux changements politiques
Me font comprendre que mon âge est critique, dehors cette moto m'inquiète
Ce soi-disant postier porte des lettres, il y a encore moins de respect que je pensais
Peut-être des nouveaux cas d'organisation à policiter
C'est terminé alors pourquoi ne pas en grire sortir
Cette tête qui vaut six cent mille, laisser des risoirs
À dix mètres ce tapis, une armée de cohabits, tout ça afin d'éliminer un papy
Dernier mot, dernière lueur dans mes [C#] yeux, je me suis trompé, [A] je n'ai jamais été heureux, je dois sortir
_ Salut
[N] _ _ _ _ _ _ _ _ _ _
_ _ _ _ _ _ _ _
_ _ _ _ [F#m] _ _ _ _
_ _ _ _ _ _ _ _
_ _ _ _ _ _ _ _
_ _ _ _ _ _ _ _
_ _ _ _ _ _ _ _
_ _ _ _ _ _ _ _
_ _ _ _ _ _ _ _
_ _ _ _ _ _ _ _
_ _ _ _ [F] _ _ _ [F] _
_ _ _ _ _ _ [N] _ _
La légende des trois cavaliers espagnols qui débarquèrent au large de Trapani, les usages d'une secte dans leur tête et leur bagage amené de Tolède
Et tout ceci n'est pas un mythe fou, l'ignores [C#]-tu ?
Le jour où mon sang [A] a boulé sur un fil, je fus [F#m] perdu
Je suis né en 1903 au milieu des vents d'Etat, dans les environs de Calzadice et Tartre
Où seul on meurt et la famille décide, les pommes de mon école s'appellent les raquettes et les missiles
J'étais un pauvre paysan gardien de la dipendole pour la criminalité, oui la Sicile abandonne mais quand même
Comment expliquer que les cuttereux ont régi l'économie d'un pays entier ?
J'ai envoyé des tas de types au claveau, ainsi je fus soldat dans la puissante Cosca de Calvo
Puis j'ai loué mes services un peu plus au nord, en 22 j'étais à Bagueria dans la Côte d'Or
Pour appeler à l'ordre ceux qui ne payaient rien et taxer leur bien aux propriétaires terriens
On peut trouver ça monstrueux mais [C#] tout ce que j'ai fait je l'ai [A] fait pour être [F#m] heureux
Je _ [F#] _ _ _
_ _ [F#m] _ _ _ [F#] _ m'en rappartiens à la [F#m] Cosca, les _ _ [F#] _ _ _
_ [F#m] _ _ _ _ [F#] _ _ _
_ [F#m] fascistes sont arrivés au pouvoir pour les deux décennies noires
A toutes les désirs envoyés aux placards, les membres de l'honorable société
Les hommes de ma tradition furent chassés, arrêtés et enfermés
J'ai vite décidé de m'exiler en Tunisie pour cuire la répression du préfet Cesare Mori à Tunis
Il y avait déjà beaucoup d'italiens donc, plus en rien j'ai dû m'accaparer les biens
Les familles s'étaient reconstituées, les [C#] clandestins de Sicile [G#] réclamaient des pécadilles pour [F#m] tuer
J'ai vécu sous mes ordres une armée, mes affaires ont prospéré jusqu'à ce que le gouvernement français
Eussinait mon acte d'extradition de Tunis, j'ai fui vers le Havre puis vers les Etats-Unis
Là-bas en 43 j'ai lutté contre les sabotages des agents philonazis
On a collaboré avec le gouvernement pendant quelques années jusqu'au jour du débarquement
J'ai ensuite envoyé l'ascenseur après quelques mois en attendant dans les mairies des gens de Cosa Nostra
La collusion entre mafia et partis politiques et d'Etats-Unis, sans qu'on le replie c'était une logique
Ceci marqua d'une pierre blanche [C#] ainsi, cinquante ans d'emprise [A] totale de la mafia sur l [F#m]'Italie
_ _ _ [F#] _ _ _
_ [F#m] _ _ _ _ [F#] _ _ _
_ [F#m] _ _ _ _ [F#] _ _ _
_ _ [F#m] _ _ _ [F#] _ _ _
_ [F#m] _ Dans les sphères de l'Etat je fus acquitté pour un contrat par un certain magistrat
En 57 j'étais incarcéré à Louchard [C#]-Cornet, en 58 je [A] travaillais dehors à [F#m] Corleone-les-Naïfs
Combien y a-t-il quand un an de prison ou dix ans de liberté, on a les mêmes connexions
C'est dans ces années-là que l'économie a changé, l'honorable société s'est vite adaptée
D'abord de tafus de drogue, la saffina de femmes, aujourd'hui ils vendent même des organes
Et comme pour éviter tous les délits impunis, en 70 la criminalité s'est réunie
Il y avait là des types de campagnes libres, la Camorra, ces putains de balles, la force cruelle de la tringueta
De Paris, la sacra corona unita, et je faisais partie des gars venus de Cosa Nostra
Peu à peu se creusait un vide entre eux, leurs objectifs, et moi et mes principes
Cinq mois après j'avais tout raccroché, m'étais paré dans la montagne pour me cacher
Et voilà dans vingt ans qui sont passés, je suis resté discret et je n'ai jamais balancé
J'ai quatre-vingt-dix piges et des nouveaux changements politiques
Me font comprendre que mon âge est critique, dehors cette moto m'inquiète
Ce soi-disant postier porte des lettres, il y a encore moins de respect que je pensais
Peut-être des nouveaux cas d'organisation à policiter
C'est terminé alors pourquoi ne pas en grire sortir
Cette tête qui vaut six cent mille, laisser des risoirs
À dix mètres ce tapis, une armée de cohabits, tout ça afin d'éliminer un papy
Dernier mot, dernière lueur dans mes [C#] yeux, je me suis trompé, [A] je n'ai jamais été heureux, je dois sortir
_ Salut
[N] _ _ _ _ _ _ _ _ _ _
_ _ _ _ _ _ _ _
_ _ _ _ [F#m] _ _ _ _
_ _ _ _ _ _ _ _
_ _ _ _ _ _ _ _
_ _ _ _ _ _ _ _
_ _ _ _ _ _ _ _
_ _ _ _ _ _ _ _
_ _ _ _ _ _ _ _
_ _ _ _ _ _ _ _
_ _ _ _ [F] _ _ _ [F] _
_ _ _ _ _ _ [N] _ _