Chords for La mémoire et la mer par Hubert-Félix Thiéfaine
Tempo:
126.25 bpm
Chords used:
Am
Em
Bm
D
G
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
Start Jamming...
On va rester avec cette chanson de Ferré sur un côté maritime, c'est La mémoire et la mer, mais là rien à voir les paroles, on est très loin des coquillages et crustacés sur la plage abandonnée.
C'est vraiment de la poésie pure.
C'est une autre vision disons.
La mémoire et la mer c'est unique, c'est une révolution, pour moi c'est une révolution dans la chanson, c'est-à-dire c'est une application directe de la poésie surréaliste.
Dans ses meilleurs côtés, quand elle est retravaillée, quand elle est onirique.
On t'écoute alors ?
On a créé des guitaristes aujourd'hui sur le placo de Shabada, on est gâtés.
Patrick aussi d'ailleurs, qui va se rentrer à la guitare peut-être tout à l'heure.
On va en [Bm]
[Em]
[Bm]
[Em]
[Am]
[D]
[G] [Em]
[Am]
[Bm] [Am]
[D] [Bm] reprendre.
Elle a ramassé dans [Am] ses rimes comme le trémaille de juillet, où lusait le loup [Em]
solitaire, celui que je voyais briller, [Am]
aux doigts du sable de [Bm] la terre.
[Em]
Rappelle-toi ce chien de mer, que nous libérions [Am] sur parole, et qui gueule [D] dans le désert, des goémons de [G] nécropoles, je suis sûr que la [Em] vie est là, avec ses poumons [Am] de planèles, quand ils pleurent de [Bm] ces temps-là.
Le froid tout gris qui [Am] nous appelle, je me souviens des soirs là-bas, et l'esprit de gagné [D] sur l'écume, cette pave des chevaux rats, au ras des rocs qui se [Am] consument, au lange des plaisirs perdus, aux rumeurs d [Em]'une autre habitude, mes désirs dès lors ne sont plus qu [Am]
'un chagrin de [Bm] ma solitude.
[Em]
[N]
Patrick, je t'ai senti très concentré, j'avais l'impression que tu ne voulais pas rater un seul mot de cette chanson, et très sensible.
J'aime beaucoup cette chanson, et c'est surtout que très peu de gens peuvent interpréter Ferré avec une telle intensité.
Moi j'ai beaucoup d'admiration pour Hubert-Félix Tiefen, et je crois que quand quelqu'un a vu Hubert-Félix Tiefen sur une scène une fois, [Ab] il ira à chaque fois.
C'est ça, je crois que c'est vraiment
C'est gentil.
[N] C'est vrai.
C'est superbe.
C'est vrai que c'est la troisième ou la quatrième fois que tu viens [G] dans Shabada, et à chaque fois tu es d'une constance absolument extraordinaire.
C'est toujours Ferré, c'est vraiment le maître.
C'est celui qui en France m'a bousculé vraiment.
Au point de ne pas pouvoir écrire après d'ailleurs, tellement tu avais l'impression que Ferré
J'écrivais, mais j'écrivais du Ferré, enfin du sous-Ferré.
Il a fallu vraiment que je travaille en me faisant beaucoup de mal pour aller vers ce que j'avais envie de réaliser en fait.
[N]
C'est vraiment de la poésie pure.
C'est une autre vision disons.
La mémoire et la mer c'est unique, c'est une révolution, pour moi c'est une révolution dans la chanson, c'est-à-dire c'est une application directe de la poésie surréaliste.
Dans ses meilleurs côtés, quand elle est retravaillée, quand elle est onirique.
On t'écoute alors ?
On a créé des guitaristes aujourd'hui sur le placo de Shabada, on est gâtés.
Patrick aussi d'ailleurs, qui va se rentrer à la guitare peut-être tout à l'heure.
On va en [Bm]
[Em]
[Bm]
[Em]
[Am]
[D]
[G] [Em]
[Am]
[Bm] [Am]
[D] [Bm] reprendre.
Elle a ramassé dans [Am] ses rimes comme le trémaille de juillet, où lusait le loup [Em]
solitaire, celui que je voyais briller, [Am]
aux doigts du sable de [Bm] la terre.
[Em]
Rappelle-toi ce chien de mer, que nous libérions [Am] sur parole, et qui gueule [D] dans le désert, des goémons de [G] nécropoles, je suis sûr que la [Em] vie est là, avec ses poumons [Am] de planèles, quand ils pleurent de [Bm] ces temps-là.
Le froid tout gris qui [Am] nous appelle, je me souviens des soirs là-bas, et l'esprit de gagné [D] sur l'écume, cette pave des chevaux rats, au ras des rocs qui se [Am] consument, au lange des plaisirs perdus, aux rumeurs d [Em]'une autre habitude, mes désirs dès lors ne sont plus qu [Am]
'un chagrin de [Bm] ma solitude.
[Em]
[N]
Patrick, je t'ai senti très concentré, j'avais l'impression que tu ne voulais pas rater un seul mot de cette chanson, et très sensible.
J'aime beaucoup cette chanson, et c'est surtout que très peu de gens peuvent interpréter Ferré avec une telle intensité.
Moi j'ai beaucoup d'admiration pour Hubert-Félix Tiefen, et je crois que quand quelqu'un a vu Hubert-Félix Tiefen sur une scène une fois, [Ab] il ira à chaque fois.
C'est ça, je crois que c'est vraiment
C'est gentil.
[N] C'est vrai.
C'est superbe.
C'est vrai que c'est la troisième ou la quatrième fois que tu viens [G] dans Shabada, et à chaque fois tu es d'une constance absolument extraordinaire.
C'est toujours Ferré, c'est vraiment le maître.
C'est celui qui en France m'a bousculé vraiment.
Au point de ne pas pouvoir écrire après d'ailleurs, tellement tu avais l'impression que Ferré
J'écrivais, mais j'écrivais du Ferré, enfin du sous-Ferré.
Il a fallu vraiment que je travaille en me faisant beaucoup de mal pour aller vers ce que j'avais envie de réaliser en fait.
[N]
Key:
Am
Em
Bm
D
G
Am
Em
Bm
_ On va rester _ avec cette chanson de Ferré sur un côté maritime, c'est La mémoire et la mer, mais là rien à voir les paroles, on est très loin des coquillages et crustacés sur la plage abandonnée.
C'est vraiment de la poésie pure.
C'est une autre vision disons.
_ La mémoire et la mer c'est unique, c'est une révolution, _ pour moi c'est une révolution dans la chanson, c'est-à-dire c'est une application directe _ de la poésie surréaliste.
_ _ _ Dans ses meilleurs côtés, quand elle est retravaillée, quand elle est onirique.
On t'écoute alors ?
On a créé des guitaristes aujourd'hui sur le placo de Shabada, on est gâtés. _
Patrick aussi d'ailleurs, qui va se rentrer à la guitare peut-être tout à l'heure.
On va en _ _ _ _ _ [Bm] _ _ _
_ _ _ _ _ _ _ [Em] _
_ _ _ _ _ _ _ _
_ _ [Bm] _ _ _ _ _ _
_ _ _ _ [Em] _ _ _ _
_ _ _ _ _ _ _ [Am] _
_ _ _ _ [D] _ _ _ _
_ [G] _ _ _ _ _ [Em] _ _
_ _ _ _ [Am] _ _ _ _
[Bm] _ _ _ _ _ _ [Am] _ _
_ _ _ _ _ _ _ _
_ [D] _ _ [Bm] _ _ _ reprendre.
Elle a ramassé dans [Am] ses rimes comme le trémaille de juillet, où lusait le loup [Em]
solitaire, celui que je voyais _ briller, _ _ [Am] _ _ _ _ _ _
aux doigts du sable de [Bm] la terre. _
_ _ _ _ _ _ _ [Em] _
_ Rappelle-toi ce chien de mer, que nous libérions [Am] sur parole, et qui gueule [D] dans le désert, des goémons de [G] nécropoles, je suis sûr que la [Em] vie est là, avec ses poumons [Am] de planèles, quand ils pleurent de [Bm] ces temps-là.
Le froid tout gris qui [Am] nous appelle, je me souviens des soirs là-bas, et l'esprit de gagné [D] sur l'écume, cette pave des chevaux rats, au ras des rocs qui se [Am] consument, au lange des plaisirs perdus, aux rumeurs d [Em]'une autre habitude, mes désirs dès lors ne sont plus qu _ [Am] _ _
_ _ _ _ 'un chagrin de [Bm] ma _ solitude. _ _ _ _
_ _ _ [Em] _ _ _ _ _
_ [N] _ _ _ _ _ _ _
_ _ _ _ _ _ _
Patrick, je t'ai senti très concentré, j'avais l'impression que tu ne voulais pas rater un seul mot de cette chanson, et très sensible.
J'aime beaucoup cette chanson, et c'est surtout que très peu de gens peuvent interpréter Ferré avec une telle intensité. _
Moi j'ai beaucoup d'admiration pour Hubert-Félix Tiefen, et je crois que quand quelqu'un a vu Hubert-Félix Tiefen sur une scène une fois, _ [Ab] il ira à chaque fois.
C'est ça, je crois que c'est _ vraiment_
C'est gentil.
_ [N] C'est vrai.
C'est superbe. _
_ _ _ _ C'est vrai que c'est la troisième ou la quatrième fois que tu viens [G] dans Shabada, et à chaque fois tu es d'une constance absolument extraordinaire.
C'est toujours Ferré, c'est vraiment le maître. _
C'est celui qui en France m'a bousculé vraiment.
Au point de ne pas pouvoir écrire après d'ailleurs, tellement tu avais l'impression que Ferré_
J'écrivais, mais j'écrivais du Ferré, enfin du sous-Ferré.
Il a fallu vraiment que je travaille en me faisant beaucoup de mal pour aller vers ce que j'avais envie _ de réaliser en fait.
[N] _
C'est vraiment de la poésie pure.
C'est une autre vision disons.
_ La mémoire et la mer c'est unique, c'est une révolution, _ pour moi c'est une révolution dans la chanson, c'est-à-dire c'est une application directe _ de la poésie surréaliste.
_ _ _ Dans ses meilleurs côtés, quand elle est retravaillée, quand elle est onirique.
On t'écoute alors ?
On a créé des guitaristes aujourd'hui sur le placo de Shabada, on est gâtés. _
Patrick aussi d'ailleurs, qui va se rentrer à la guitare peut-être tout à l'heure.
On va en _ _ _ _ _ [Bm] _ _ _
_ _ _ _ _ _ _ [Em] _
_ _ _ _ _ _ _ _
_ _ [Bm] _ _ _ _ _ _
_ _ _ _ [Em] _ _ _ _
_ _ _ _ _ _ _ [Am] _
_ _ _ _ [D] _ _ _ _
_ [G] _ _ _ _ _ [Em] _ _
_ _ _ _ [Am] _ _ _ _
[Bm] _ _ _ _ _ _ [Am] _ _
_ _ _ _ _ _ _ _
_ [D] _ _ [Bm] _ _ _ reprendre.
Elle a ramassé dans [Am] ses rimes comme le trémaille de juillet, où lusait le loup [Em]
solitaire, celui que je voyais _ briller, _ _ [Am] _ _ _ _ _ _
aux doigts du sable de [Bm] la terre. _
_ _ _ _ _ _ _ [Em] _
_ Rappelle-toi ce chien de mer, que nous libérions [Am] sur parole, et qui gueule [D] dans le désert, des goémons de [G] nécropoles, je suis sûr que la [Em] vie est là, avec ses poumons [Am] de planèles, quand ils pleurent de [Bm] ces temps-là.
Le froid tout gris qui [Am] nous appelle, je me souviens des soirs là-bas, et l'esprit de gagné [D] sur l'écume, cette pave des chevaux rats, au ras des rocs qui se [Am] consument, au lange des plaisirs perdus, aux rumeurs d [Em]'une autre habitude, mes désirs dès lors ne sont plus qu _ [Am] _ _
_ _ _ _ 'un chagrin de [Bm] ma _ solitude. _ _ _ _
_ _ _ [Em] _ _ _ _ _
_ [N] _ _ _ _ _ _ _
_ _ _ _ _ _ _
Patrick, je t'ai senti très concentré, j'avais l'impression que tu ne voulais pas rater un seul mot de cette chanson, et très sensible.
J'aime beaucoup cette chanson, et c'est surtout que très peu de gens peuvent interpréter Ferré avec une telle intensité. _
Moi j'ai beaucoup d'admiration pour Hubert-Félix Tiefen, et je crois que quand quelqu'un a vu Hubert-Félix Tiefen sur une scène une fois, _ [Ab] il ira à chaque fois.
C'est ça, je crois que c'est _ vraiment_
C'est gentil.
_ [N] C'est vrai.
C'est superbe. _
_ _ _ _ C'est vrai que c'est la troisième ou la quatrième fois que tu viens [G] dans Shabada, et à chaque fois tu es d'une constance absolument extraordinaire.
C'est toujours Ferré, c'est vraiment le maître. _
C'est celui qui en France m'a bousculé vraiment.
Au point de ne pas pouvoir écrire après d'ailleurs, tellement tu avais l'impression que Ferré_
J'écrivais, mais j'écrivais du Ferré, enfin du sous-Ferré.
Il a fallu vraiment que je travaille en me faisant beaucoup de mal pour aller vers ce que j'avais envie _ de réaliser en fait.
[N] _