Chords for La plus belle chanson du monde
Tempo:
105.5 bpm
Chords used:
G
Em
C
Bm
D
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
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[Em]
[Bm] La [Em] marée, je l'ai dans le cœur, qui me remonte comme [D] un signe, je meurs, de ma petite sœur, de mon [G] enfant et de mon cygne, un bateau, ça dépend comment, [C] la rime au port, de justesse, il [D] pleure, de mon firme [Bm] amant, des années-lumières et j'en [C] laisse.
Je suis le fantôme gerzé, celui qui vient les soirs de [Bm] frime, de lancer [G] la brume en baisers et de ramasser dans [A] ses rimes comme le trémaille de [Am] juillet, où lisait le loup [G] solitaire, celui que je voyais [Bm] [F#] briller [Bm] aux doigts du sable de [Em] la terre.
[G] Rappelle-toi le chien [Em] de mer, que nous libérions sur parole, et qui [F#m] gueule dans le [D] désert, des toits morts de [Em] nécropole, je suis sûr que la [C] vie est là, avec ses poumons de [D] flanel, quand il pleure [Bm] de ces temps-là, le froid tout gris qui nous appelle.
Je me souviens des [F#] soirs là-bas et des sprints gagnés, [Bm] sur l'écume, cette bave des [G] chevaux rats, au ras des rocs, [C] qui se consument au lange des plaisirs [Am] perdus, aux rumeurs d'une autre [G] habitude.
Mes désirs d'élore [C] ne sont plus [F#] qu [E]'un chagrin [B] de ma [Em] solitude.
[G] Et le diable des soirs, conquis [Em] avec ses pâleurs de [F#m] rescousse et le squal, des [D] paradis dans le matin mouillé [G] de mousse, revient, fille verte des fjords, revient, [Am] violon, des [D] violonnades dans le porc, fanfare les corps [G] pour le retour des camarades, [Am] au parfum rare des salants, dans le poivre-feu des [G] gersures.
[Em] Quand j'allais, géométrisant mon âme au creux de ta [Am] blessure, dans le désordre de ton cul poissé, dans les draps d [G]'ombre fine, je voyais [Am] un vitrail de [G] pluie.
[F#]
Et toi, fille [C] verte, [Bm] mon [Em] spline, les coquillages figurants, sous les sunlights [F#m] cassés, liquide, [D] joues de la castagnette, tant qu'on dirait l [G]'Espagne livide, oh, dieu des granites, [C] ayez pitié de leur vocation de parure.
Quand le [D] couteau vient [G] s'immiscer dans leur [Bm] castagnette figure, et [C] je voyais ce qu'on pressant quand on pressant l'entrevoyure [D] entre les [G] persiennes du sang, et que les globules [C] figurent une mathématique bleue, dont cette mer [F#] jamais [G] étale d'eau, nous remonte peu à [F#] peu, [C] cette mémoire [B] des [E] [B] [Em] étoiles,
[G] cette rumeur qui [Em] vient de là, sous l'arc copain, où [F#m] je m'aveugle, ces mains qui me [D] font du flafla, ces mers ruminantes [G] qui meuglent, cette rumeur me [C] suit longtemps comme un mendiant, sous l [D]'anathème comme l'ombre qui perd [Bm] son temps à dessiner mon [C] théorème.
Sur mon maquillage roussin vient battre comme une porte [Bm] cette rumeur qui va [G] debout dans la rue, aux [C] musiques mortes c'est fini, la mer c'est fini, [Am] sur la plage le [G] sable bêle, comme des moutons [Em] d [F#m]'infini, [F#] [Em] quand la mer bergère m'appelle.
[F#] Ouh, [D]
[Em] [C]
[Bm]
ouh, quand la mer bergère m [E]'appelle.
[Am] [F#]
[Bm] [E]
[Bm] La [Em] marée, je l'ai dans le cœur, qui me remonte comme [D] un signe, je meurs, de ma petite sœur, de mon [G] enfant et de mon cygne, un bateau, ça dépend comment, [C] la rime au port, de justesse, il [D] pleure, de mon firme [Bm] amant, des années-lumières et j'en [C] laisse.
Je suis le fantôme gerzé, celui qui vient les soirs de [Bm] frime, de lancer [G] la brume en baisers et de ramasser dans [A] ses rimes comme le trémaille de [Am] juillet, où lisait le loup [G] solitaire, celui que je voyais [Bm] [F#] briller [Bm] aux doigts du sable de [Em] la terre.
[G] Rappelle-toi le chien [Em] de mer, que nous libérions sur parole, et qui [F#m] gueule dans le [D] désert, des toits morts de [Em] nécropole, je suis sûr que la [C] vie est là, avec ses poumons de [D] flanel, quand il pleure [Bm] de ces temps-là, le froid tout gris qui nous appelle.
Je me souviens des [F#] soirs là-bas et des sprints gagnés, [Bm] sur l'écume, cette bave des [G] chevaux rats, au ras des rocs, [C] qui se consument au lange des plaisirs [Am] perdus, aux rumeurs d'une autre [G] habitude.
Mes désirs d'élore [C] ne sont plus [F#] qu [E]'un chagrin [B] de ma [Em] solitude.
[G] Et le diable des soirs, conquis [Em] avec ses pâleurs de [F#m] rescousse et le squal, des [D] paradis dans le matin mouillé [G] de mousse, revient, fille verte des fjords, revient, [Am] violon, des [D] violonnades dans le porc, fanfare les corps [G] pour le retour des camarades, [Am] au parfum rare des salants, dans le poivre-feu des [G] gersures.
[Em] Quand j'allais, géométrisant mon âme au creux de ta [Am] blessure, dans le désordre de ton cul poissé, dans les draps d [G]'ombre fine, je voyais [Am] un vitrail de [G] pluie.
[F#]
Et toi, fille [C] verte, [Bm] mon [Em] spline, les coquillages figurants, sous les sunlights [F#m] cassés, liquide, [D] joues de la castagnette, tant qu'on dirait l [G]'Espagne livide, oh, dieu des granites, [C] ayez pitié de leur vocation de parure.
Quand le [D] couteau vient [G] s'immiscer dans leur [Bm] castagnette figure, et [C] je voyais ce qu'on pressant quand on pressant l'entrevoyure [D] entre les [G] persiennes du sang, et que les globules [C] figurent une mathématique bleue, dont cette mer [F#] jamais [G] étale d'eau, nous remonte peu à [F#] peu, [C] cette mémoire [B] des [E] [B] [Em] étoiles,
[G] cette rumeur qui [Em] vient de là, sous l'arc copain, où [F#m] je m'aveugle, ces mains qui me [D] font du flafla, ces mers ruminantes [G] qui meuglent, cette rumeur me [C] suit longtemps comme un mendiant, sous l [D]'anathème comme l'ombre qui perd [Bm] son temps à dessiner mon [C] théorème.
Sur mon maquillage roussin vient battre comme une porte [Bm] cette rumeur qui va [G] debout dans la rue, aux [C] musiques mortes c'est fini, la mer c'est fini, [Am] sur la plage le [G] sable bêle, comme des moutons [Em] d [F#m]'infini, [F#] [Em] quand la mer bergère m'appelle.
[F#] Ouh, [D]
[Em] [C]
[Bm]
ouh, quand la mer bergère m [E]'appelle.
[Am] [F#]
[Bm] [E]
Key:
G
Em
C
Bm
D
G
Em
C
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_ _ _ _ _ _ [Em] _ _
_ _ _ _ [Bm] La [Em] marée, je l'ai dans le cœur, qui me remonte comme [D] un signe, je meurs, de ma petite sœur, de mon [G] enfant et de mon cygne, un bateau, ça dépend comment, [C] la rime au port, de justesse, il [D] pleure, de mon firme [Bm] amant, des années-lumières et j'en [C] laisse.
Je suis le fantôme gerzé, celui qui vient les soirs de [Bm] frime, de lancer [G] la brume en baisers et de ramasser dans [A] ses rimes comme le trémaille de [Am] juillet, où lisait le loup [G] solitaire, celui que je voyais _ [Bm] [F#] briller _ [Bm] aux doigts du sable de [Em] la terre. _ _ _
_ [G] _ _ Rappelle-toi le chien [Em] de mer, que nous libérions sur parole, et qui [F#m] gueule dans le [D] désert, des toits morts de [Em] nécropole, je suis sûr que la [C] vie est là, avec ses poumons de [D] flanel, quand il pleure [Bm] de ces temps-là, le froid tout gris qui nous appelle.
Je me souviens des [F#] soirs là-bas et des sprints gagnés, [Bm] sur l'écume, cette bave des [G] chevaux rats, au ras des rocs, [C] qui se consument au lange des plaisirs [Am] perdus, aux rumeurs d'une autre [G] habitude.
Mes désirs d'élore _ [C] ne sont plus [F#] _ qu [E]'un chagrin [B] de ma _ [Em] solitude.
_ _ _ [G] _ _ Et le diable des soirs, conquis [Em] avec ses pâleurs de [F#m] rescousse et le squal, des [D] paradis dans le matin mouillé [G] de mousse, revient, fille verte des fjords, revient, [Am] violon, des [D] violonnades dans le porc, fanfare les corps [G] pour le retour des camarades, [Am] au parfum rare des salants, dans le poivre-feu des [G] gersures.
[Em] Quand j'allais, géométrisant mon âme au creux de ta [Am] blessure, dans le désordre de ton cul poissé, dans les draps d [G]'ombre fine, je voyais [Am] un vitrail de [G] pluie.
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Et toi, fille [C] verte, [Bm] _ _ mon [Em] spline, _ _ _ _ _ _ les coquillages figurants, sous les sunlights [F#m] cassés, liquide, [D] joues de la castagnette, tant qu'on dirait l [G]'Espagne livide, oh, dieu des granites, [C] ayez pitié de leur vocation de parure.
Quand le [D] couteau vient [G] s'immiscer dans leur [Bm] castagnette figure, et [C] je voyais ce qu'on pressant quand on pressant l'entrevoyure [D] entre les [G] persiennes du sang, et que les globules [C] figurent une mathématique bleue, dont cette mer [F#] jamais [G] étale d'eau, nous remonte peu à [F#] peu, _ _ _ [C] cette mémoire [B] des [E] _ [B] _ [Em] étoiles, _ _ _ _
_ [G] _ cette rumeur qui [Em] vient de là, sous l'arc copain, où [F#m] je m'aveugle, ces mains qui me [D] font du flafla, ces mers ruminantes [G] qui meuglent, cette rumeur me [C] suit longtemps comme un mendiant, sous l [D]'anathème comme l'ombre qui perd [Bm] son temps à dessiner mon [C] théorème.
Sur mon maquillage roussin vient battre comme une porte [Bm] cette rumeur qui va [G] debout dans la rue, aux [C] musiques mortes c'est fini, la mer c'est fini, [Am] sur la plage le [G] sable bêle, comme des moutons [Em] d [F#m]'infini, [F#] _ _ _ [Em] _ _ quand la mer bergère m'appelle. _ _ _
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_ [F#] _ _ _ Ouh, [D] _ _
_ _ _ [Em] _ _ _ _ [C] _
_ _ _ _ [Bm] _ _ _
ouh, quand la mer bergère _ _ _ m [E]'appelle.
_ _ _ [Am] _ _ _ _ _ _ _ _ _ _
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_ _ [Bm] _ [E] _ _ _ _ _
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Je suis le fantôme gerzé, celui qui vient les soirs de [Bm] frime, de lancer [G] la brume en baisers et de ramasser dans [A] ses rimes comme le trémaille de [Am] juillet, où lisait le loup [G] solitaire, celui que je voyais _ [Bm] [F#] briller _ [Bm] aux doigts du sable de [Em] la terre. _ _ _
_ [G] _ _ Rappelle-toi le chien [Em] de mer, que nous libérions sur parole, et qui [F#m] gueule dans le [D] désert, des toits morts de [Em] nécropole, je suis sûr que la [C] vie est là, avec ses poumons de [D] flanel, quand il pleure [Bm] de ces temps-là, le froid tout gris qui nous appelle.
Je me souviens des [F#] soirs là-bas et des sprints gagnés, [Bm] sur l'écume, cette bave des [G] chevaux rats, au ras des rocs, [C] qui se consument au lange des plaisirs [Am] perdus, aux rumeurs d'une autre [G] habitude.
Mes désirs d'élore _ [C] ne sont plus [F#] _ qu [E]'un chagrin [B] de ma _ [Em] solitude.
_ _ _ [G] _ _ Et le diable des soirs, conquis [Em] avec ses pâleurs de [F#m] rescousse et le squal, des [D] paradis dans le matin mouillé [G] de mousse, revient, fille verte des fjords, revient, [Am] violon, des [D] violonnades dans le porc, fanfare les corps [G] pour le retour des camarades, [Am] au parfum rare des salants, dans le poivre-feu des [G] gersures.
[Em] Quand j'allais, géométrisant mon âme au creux de ta [Am] blessure, dans le désordre de ton cul poissé, dans les draps d [G]'ombre fine, je voyais [Am] un vitrail de [G] pluie.
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Et toi, fille [C] verte, [Bm] _ _ mon [Em] spline, _ _ _ _ _ _ les coquillages figurants, sous les sunlights [F#m] cassés, liquide, [D] joues de la castagnette, tant qu'on dirait l [G]'Espagne livide, oh, dieu des granites, [C] ayez pitié de leur vocation de parure.
Quand le [D] couteau vient [G] s'immiscer dans leur [Bm] castagnette figure, et [C] je voyais ce qu'on pressant quand on pressant l'entrevoyure [D] entre les [G] persiennes du sang, et que les globules [C] figurent une mathématique bleue, dont cette mer [F#] jamais [G] étale d'eau, nous remonte peu à [F#] peu, _ _ _ [C] cette mémoire [B] des [E] _ [B] _ [Em] étoiles, _ _ _ _
_ [G] _ cette rumeur qui [Em] vient de là, sous l'arc copain, où [F#m] je m'aveugle, ces mains qui me [D] font du flafla, ces mers ruminantes [G] qui meuglent, cette rumeur me [C] suit longtemps comme un mendiant, sous l [D]'anathème comme l'ombre qui perd [Bm] son temps à dessiner mon [C] théorème.
Sur mon maquillage roussin vient battre comme une porte [Bm] cette rumeur qui va [G] debout dans la rue, aux [C] musiques mortes c'est fini, la mer c'est fini, [Am] sur la plage le [G] sable bêle, comme des moutons [Em] d [F#m]'infini, [F#] _ _ _ [Em] _ _ quand la mer bergère m'appelle. _ _ _
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