Chords for Les Inconnus - Maîtresses et patients
Tempo:
78.275 bpm
Chords used:
G
Gb
Db
Ebm
F
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret

Jam Along & Learn...
Maîtresse [Bm] et passion, [A] quand il n'y a rien d [G]'autre à voir à la [A] télévision.
[Gb] Rien ne va plus entre le professeur Bouvier-Leduc, [Db] directeur de la [Ebm] Clinique de la Forêt Blanche,
aime toujours en secret le professeur Bouvier-Leduc.
Catherine avait offert des fleurs
[Gb] dissiper lorsqu'ils fêtent ensemble la première [Bbm] opération de l'appendicite,
professeur et toute [Db] son équipe.
[E] Vous savez Catherine, depuis [Em] que ma femme est partie, je ne suis plus le même homme.
un désenchantement.
[Gb] Rien ne va plus entre le professeur Bouvier-Leduc, [Db] directeur de la [Ebm] Clinique de la Forêt Blanche,
aime toujours en secret le professeur Bouvier-Leduc.
Catherine avait offert des fleurs
[Gb] dissiper lorsqu'ils fêtent ensemble la première [Bbm] opération de l'appendicite,
professeur et toute [Db] son équipe.
[E] Vous savez Catherine, depuis [Em] que ma femme est partie, je ne suis plus le même homme.
un désenchantement.
100% ➙ 78BPM
G
Gb
Db
Ebm
F
G
Gb
Db
_ _ Maîtresse [Bm] et passion, [A] quand il n'y a rien d [G]'autre à voir à la [A] télévision.
_ [Gb] _ Rien ne va plus entre le professeur Bouvier-Leduc, [Db] directeur de la [Ebm] Clinique de la Forêt Blanche,
et Jean-Marc, le jeune interne qui depuis quelques mois [Bbm] entretient une [Gb] liaison avec Catherine,
l'infirmière qui, elle, aime toujours en secret le professeur Bouvier-Leduc.
[Ebm] Jean-Marc laisse exposer sa [F] jalousie lorsqu'il apprend que Catherine avait offert des fleurs
[Abm] pour saluer le troisième divorce [Ab] du professeur.
[Fm] Pourtant, tout semble se [Gb] dissiper lorsqu'ils fêtent ensemble la première [Bbm] opération de l'appendicite,
réussie avec succès [Abm] par le professeur et toute [Db] son équipe.
_ _ _ [B] _ _ _
[E] _ Vous savez Catherine, _ depuis [Em] que ma femme est partie, je ne suis plus le même homme.
Quelque chose s'est brisé dans moi, comme une désillusion, un désenchantement.
_ La vie m'apparaît soudain comme un désert de sable, où chaque dune rechante une autre dune.
Et dans ce désert, je cherche désespérément l'oasis qui pourrait m [Gb]'apporter le réconfort.
_ [Db] Peut-être une femme, qui sait.
Enfin [Eb] Catherine, vous savez, les déserts, [Db] les oasis, sont [Ab] souvent des mirages, et je le sais.
_ Heureusement, il me [Ebm] reste la clinique.
C'est ma famille, ma [G] vocation, mon port d'attache.
[Abm] Vous savez Catherine, je noie mon chagrin [Fm] dans le travail.
[Ebm] C'est devenu ma raison d'être, ma bouée.
[Fm] C'est devenu ma raison d'être, [Abm] ma bouée de sauvetage.
[Fm] J'ai enfin compris que l'amour ne serait jamais au rendez [B]-vous.
Et puis, il y a mon travail.
[Ab] N'y a-t-il rien de plus [Db] beau au monde que de sauver des vies [Gb] humaines ?
C'est vrai, c'est ma vocation.
[Ebm] Ma vie entière est ici.
Quel beau [Eb] métier.
[Gb] Vous ne trouvez pas ?
_ [Db] _
_ [Eb] _ _ [Ab] _ [F] Oui ?
Vous m'avez fait demander, monsieur Bouvier-le-Duc ?
Ah, Jean-Marc.
Vous tombez bien.
Allons dans mon bureau.
D'accord.
A tout à l'heure, [Gb] Catherine.
_ _ _ [Db] _ _ [Ebm] _ _
_ [N] _ Ah, venez dans mon bureau. _ _
_ _ Venez dans mon bureau.
Nous serons plus tranquilles.
Tout à fait, oui.
Vous savez, Jean-Marc, je vais tâcher d'être franc et direct avec vous.
Vous savez, une clinique, [B] c'est avant tout des responsabilités.
Et parfois des décisions à prendre à contre-coeur.
Je vous fais confiance, monsieur Bouvier-le-Duc.
C'est quand même grâce à vous que je suis rentré dans cette clinique.
Vous savez, Jean-Marc, une clinique, [Em] c'est avant tout des responsabilités.
Et parfois [N] des décisions à prendre à contre-coeur.
Je vous fais confiance, monsieur Bouvier-le-Duc.
C'est quand même grâce à vous que je suis rentré dans cette clinique.
Vous savez, Jean-Marc, une clinique, c'est_
Justement, Jean-Marc, j'ai agi à la légère et vous n'avez pas mérité ma confiance.
Mais je_
Laissez-moi parler.
Aujourd'hui, j'ai pris une décision grave.
Quoi ?
À l'hôpital Vellepot [G] ?
J'ai décidé de vous muter à l [N]'hôpital Vellepot. _
Quoi ?
À l'hôpital Vellepot ? Oui.
Vous avez bien entendu.
Mais pourquoi ?
Qu'ai-je donc fait ?
Une erreur professionnelle.
Ça vous suffira ?
Erreur professionnelle ?
Je ne comprends pas.
Madame Lorigan ne devait recevoir des soins qu'à base de paracétamol.
Et non pas d'acide acétyl_
d'acide acé_
d'acide acétyl salicylique
qui est rigoureusement contre-indiqué comme tout médecin sait.
Voyons.
Mais c'est injuste.
On ne m'avait pas prévenu.
Sinon, vous pensez bien, jamais je n'aurais prescrit de l'acétyl_ l'acé_ l'acé_ ce médicament.
Non.
Une faute est une faute.
Et je ne puis l'admettre.
Vous pouvez y aller.
C'est trop injuste.
Le prétexte est facile.
Je vois que vous n'avez toujours pas supporté ma liaison avec Suzanne.
Mais je_
Ne m'interrompez pas.
Je suis le directeur.
Ne l'oubliez pas.
Vous pouvez y aller.
C'est trop injuste.
_ _ _ _ _ _ [Gm] _
_ _ _ [C] Sortez !
J'ai été dur.
[Am] Mais c'est pour toi que je le fais.
[G] Que se passe-t-il [F] ?
Je dois _ _ prendre [G] une décision grave.
J'ai décidé_
À l [Gbm]'hôpital Vellepot ?
[Em] J'ai décidé de muter Jean-Marc à l'hôpital [G] Vellepot.
À l'hôpital Vellepot [C] ? Oui.
[Am] Et [A] tout ça à cause d [F]'une histoire d'acide_ d [Dm]'acide_ d [Am]'acidicil_ d'acidicil_
[G] d [F]'acidicil_
_ _ [G] _ _
_ [Gb] _ Rien ne va plus entre le professeur Bouvier-Leduc, [Db] directeur de la [Ebm] Clinique de la Forêt Blanche,
et Jean-Marc, le jeune interne qui depuis quelques mois [Bbm] entretient une [Gb] liaison avec Catherine,
l'infirmière qui, elle, aime toujours en secret le professeur Bouvier-Leduc.
[Ebm] Jean-Marc laisse exposer sa [F] jalousie lorsqu'il apprend que Catherine avait offert des fleurs
[Abm] pour saluer le troisième divorce [Ab] du professeur.
[Fm] Pourtant, tout semble se [Gb] dissiper lorsqu'ils fêtent ensemble la première [Bbm] opération de l'appendicite,
réussie avec succès [Abm] par le professeur et toute [Db] son équipe.
_ _ _ [B] _ _ _
[E] _ Vous savez Catherine, _ depuis [Em] que ma femme est partie, je ne suis plus le même homme.
Quelque chose s'est brisé dans moi, comme une désillusion, un désenchantement.
_ La vie m'apparaît soudain comme un désert de sable, où chaque dune rechante une autre dune.
Et dans ce désert, je cherche désespérément l'oasis qui pourrait m [Gb]'apporter le réconfort.
_ [Db] Peut-être une femme, qui sait.
Enfin [Eb] Catherine, vous savez, les déserts, [Db] les oasis, sont [Ab] souvent des mirages, et je le sais.
_ Heureusement, il me [Ebm] reste la clinique.
C'est ma famille, ma [G] vocation, mon port d'attache.
[Abm] Vous savez Catherine, je noie mon chagrin [Fm] dans le travail.
[Ebm] C'est devenu ma raison d'être, ma bouée.
[Fm] C'est devenu ma raison d'être, [Abm] ma bouée de sauvetage.
[Fm] J'ai enfin compris que l'amour ne serait jamais au rendez [B]-vous.
Et puis, il y a mon travail.
[Ab] N'y a-t-il rien de plus [Db] beau au monde que de sauver des vies [Gb] humaines ?
C'est vrai, c'est ma vocation.
[Ebm] Ma vie entière est ici.
Quel beau [Eb] métier.
[Gb] Vous ne trouvez pas ?
_ [Db] _
_ [Eb] _ _ [Ab] _ [F] Oui ?
Vous m'avez fait demander, monsieur Bouvier-le-Duc ?
Ah, Jean-Marc.
Vous tombez bien.
Allons dans mon bureau.
D'accord.
A tout à l'heure, [Gb] Catherine.
_ _ _ [Db] _ _ [Ebm] _ _
_ [N] _ Ah, venez dans mon bureau. _ _
_ _ Venez dans mon bureau.
Nous serons plus tranquilles.
Tout à fait, oui.
Vous savez, Jean-Marc, je vais tâcher d'être franc et direct avec vous.
Vous savez, une clinique, [B] c'est avant tout des responsabilités.
Et parfois des décisions à prendre à contre-coeur.
Je vous fais confiance, monsieur Bouvier-le-Duc.
C'est quand même grâce à vous que je suis rentré dans cette clinique.
Vous savez, Jean-Marc, une clinique, [Em] c'est avant tout des responsabilités.
Et parfois [N] des décisions à prendre à contre-coeur.
Je vous fais confiance, monsieur Bouvier-le-Duc.
C'est quand même grâce à vous que je suis rentré dans cette clinique.
Vous savez, Jean-Marc, une clinique, c'est_
Justement, Jean-Marc, j'ai agi à la légère et vous n'avez pas mérité ma confiance.
Mais je_
Laissez-moi parler.
Aujourd'hui, j'ai pris une décision grave.
Quoi ?
À l'hôpital Vellepot [G] ?
J'ai décidé de vous muter à l [N]'hôpital Vellepot. _
Quoi ?
À l'hôpital Vellepot ? Oui.
Vous avez bien entendu.
Mais pourquoi ?
Qu'ai-je donc fait ?
Une erreur professionnelle.
Ça vous suffira ?
Erreur professionnelle ?
Je ne comprends pas.
Madame Lorigan ne devait recevoir des soins qu'à base de paracétamol.
Et non pas d'acide acétyl_
d'acide acé_
d'acide acétyl salicylique
qui est rigoureusement contre-indiqué comme tout médecin sait.
Voyons.
Mais c'est injuste.
On ne m'avait pas prévenu.
Sinon, vous pensez bien, jamais je n'aurais prescrit de l'acétyl_ l'acé_ l'acé_ ce médicament.
Non.
Une faute est une faute.
Et je ne puis l'admettre.
Vous pouvez y aller.
C'est trop injuste.
Le prétexte est facile.
Je vois que vous n'avez toujours pas supporté ma liaison avec Suzanne.
Mais je_
Ne m'interrompez pas.
Je suis le directeur.
Ne l'oubliez pas.
Vous pouvez y aller.
C'est trop injuste.
_ _ _ _ _ _ [Gm] _
_ _ _ [C] Sortez !
J'ai été dur.
[Am] Mais c'est pour toi que je le fais.
[G] Que se passe-t-il [F] ?
Je dois _ _ prendre [G] une décision grave.
J'ai décidé_
À l [Gbm]'hôpital Vellepot ?
[Em] J'ai décidé de muter Jean-Marc à l'hôpital [G] Vellepot.
À l'hôpital Vellepot [C] ? Oui.
[Am] Et [A] tout ça à cause d [F]'une histoire d'acide_ d [Dm]'acide_ d [Am]'acidicil_ d'acidicil_
[G] d [F]'acidicil_
_ _ [G] _ _