Chords for Les Magnifiques - Damien Saez (Paroles)
Tempo:
112.7 bpm
Chords used:
E
C
F
Am
A
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
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Ils sont les yeux des funéraires, toujours prêts à sauter d'un pont,
[Em] On dirait que [E] toujours misère et la tristesse sont leurs prénoms,
Ils sont [Am] écorchés dans l'écorce, et toujours un amour perdu,
[F] Gravés au couteau dans la sève, de leurs yeux qui ne comprennent plus,
[C] Ils sont les yeux des mortuaires et le balor de procession,
On [E] dirait que toujours l'enfer sera toujours dans leurs chansons,
Ils sont [A] les yeux des trop avides et puis la force des fragiles,
[E] Ils ont [F] le partage cupide de ceux qui se partagent trop,
[C] Dans les cafés pour les corbeaux de l'amour,
Quand ils jouent la pauvre, [E] les magnifiques, ils parlent trop,
Et même quand ils ont l'air stupides, c [Am]'est d'un pudard qu'ils sont beaux,
Et de partage qu'ils sont cupides, [F] quand ils se déversent en sanglots,
Les mots sont souvent inutiles, bien [C] sûr qu'ils mentent comme ils respirent,
Quand ils se jurent des avenirs, [E] car ils savent trop bien,
Ce que la mort essaie, [Am] et à ceux qui s'aiment,
En séparant les corps, [F] elle leur donne pas la mort,
Elle leur reprend la [C] vie, oui, les navires chouettes,
Se ramassent à la [E]
pelle, et toi tu leur ressembles,
Quand tu dis que tu m [Am]'aimes, tu finiras bientôt,
Déchirés par [F] les flots, qui noieront d'ouragan,
Dans tes yeux les [C] sanglots, quand ils s'unissent sur les cieux,
Quand ils se bavent par les [E] yeux, ils se parlent de ces amours,
Qu'ils font faire les tristes chansons, ils [Am] ont des airs de religieux,
Quand ils se disent leurs vrais noms, ils [F] se disent qu'ils seront éternels,
Et pire encore, ils le croient, qu'ils [C] s'emporteront dans la tombe,
Leur cathédrale sera le monde, et [E] ils finiront comme tout le monde,
L'un d'eux revient seul à pleurer pour l'autre,
Dans [Am] le brouillon des fleurantes, dans le tourbillon des fleurantes,
Dans [F] le mourant des amours mortes, au [C] gré du temps qu'ils s [C]'escorent,
Ils se déversent, ils me dégoûtent, et pourtant putain qu'ils sont beaux,
Que [E] même leur bêtise fait bien, oui qu'elle fait bien sonner les mots,
Qu [Am]'on dirait les musiques, que j'ai jamais su faire,
Qu [F]'on dirait que Paris a été fait pour eux,
Les [C] magnifiques sont magnifiques, quand ils se chantent leur cantique,
Au [E] pont des arts, y'a des regards, qui font que la vie semble belle,
Mais la vie est [Am] cruelle, et elle pour fera [A] bientôt,
Les promesses aux [F] promesses, par dessus le bateau,
Et [C]
les navires des chouettes, se ramassent à [E] la pelle,
Et toi tu leur ressembles, quand tu dis que tu m [Am]'aimes,
Tu finiras bientôt, déchiré par [F] les flots,
Qui noieront d'ouragan, dans tes yeux les [C] sanglots,
Les navires des chouettes, se ramassent à [E] la pelle,
Ils sont beaux, ils sont très, quand ils suggèrent le [Am] ciel,
Alors ne jure rien, ne dis rien mon [Dm] amour,
[F] Et laissons faire la nuit, jusqu'au le [C] beau jour,
Quand soudain l'un d'entre eux, décide d'en finir,
[Abm] Car toujours dans [E] la vie, l'un doit [E] partir avant l'autre,
[Am] Que ce soit par la mort, ou par la guillotine du coeur,
[C] Ou pour aller voir [F] au port, quelques marins sans coeur,
[C] Ou pour un lieu dans mon corps, pour quelques filles de joie,
[E]
Juste parce que c'est bon, d'être toute seule parfois,
[Am] Et il crucifie l'autre, à qui ils [A] ont juré,
Bon Dieu, [F] quand il s'acharne sur son corps,
Comme s'acharnerait la mort,
Mais il [C] est déjà mort, ça y est, ça y est, tu peux partir,
[E] À d'autres bras tendés, aller vendre ton sorire,
[A] Les magnifiques [E] meurent, comme [Am] un sanglot perdu,
Au [F] fond des océans, les corps des diasporés,
[C]
Les navires des chouettes, se ramassent [E] à la pelle,
Et toi tu leur ressembles, quand tu dis que tu [A] m'aimes,
[Am] Tu finiras bientôt, déchiré [F] par les fleurs,
Qui nous rendent auragans, dans tes [C] yeux, les sanglots,
Les navires des chouettes, se ramassent à la [E]
pelle,
Ils sont beaux, ils sont prêts, quand ils se gèrent le [Am]
ciel,
Alors ne jure rien, ne dis rien mon [F] amour,
Et ne sont pas rennues, jusqu'au lever [C] du jour.
[Em] On dirait que [E] toujours misère et la tristesse sont leurs prénoms,
Ils sont [Am] écorchés dans l'écorce, et toujours un amour perdu,
[F] Gravés au couteau dans la sève, de leurs yeux qui ne comprennent plus,
[C] Ils sont les yeux des mortuaires et le balor de procession,
On [E] dirait que toujours l'enfer sera toujours dans leurs chansons,
Ils sont [A] les yeux des trop avides et puis la force des fragiles,
[E] Ils ont [F] le partage cupide de ceux qui se partagent trop,
[C] Dans les cafés pour les corbeaux de l'amour,
Quand ils jouent la pauvre, [E] les magnifiques, ils parlent trop,
Et même quand ils ont l'air stupides, c [Am]'est d'un pudard qu'ils sont beaux,
Et de partage qu'ils sont cupides, [F] quand ils se déversent en sanglots,
Les mots sont souvent inutiles, bien [C] sûr qu'ils mentent comme ils respirent,
Quand ils se jurent des avenirs, [E] car ils savent trop bien,
Ce que la mort essaie, [Am] et à ceux qui s'aiment,
En séparant les corps, [F] elle leur donne pas la mort,
Elle leur reprend la [C] vie, oui, les navires chouettes,
Se ramassent à la [E]
pelle, et toi tu leur ressembles,
Quand tu dis que tu m [Am]'aimes, tu finiras bientôt,
Déchirés par [F] les flots, qui noieront d'ouragan,
Dans tes yeux les [C] sanglots, quand ils s'unissent sur les cieux,
Quand ils se bavent par les [E] yeux, ils se parlent de ces amours,
Qu'ils font faire les tristes chansons, ils [Am] ont des airs de religieux,
Quand ils se disent leurs vrais noms, ils [F] se disent qu'ils seront éternels,
Et pire encore, ils le croient, qu'ils [C] s'emporteront dans la tombe,
Leur cathédrale sera le monde, et [E] ils finiront comme tout le monde,
L'un d'eux revient seul à pleurer pour l'autre,
Dans [Am] le brouillon des fleurantes, dans le tourbillon des fleurantes,
Dans [F] le mourant des amours mortes, au [C] gré du temps qu'ils s [C]'escorent,
Ils se déversent, ils me dégoûtent, et pourtant putain qu'ils sont beaux,
Que [E] même leur bêtise fait bien, oui qu'elle fait bien sonner les mots,
Qu [Am]'on dirait les musiques, que j'ai jamais su faire,
Qu [F]'on dirait que Paris a été fait pour eux,
Les [C] magnifiques sont magnifiques, quand ils se chantent leur cantique,
Au [E] pont des arts, y'a des regards, qui font que la vie semble belle,
Mais la vie est [Am] cruelle, et elle pour fera [A] bientôt,
Les promesses aux [F] promesses, par dessus le bateau,
Et [C]
les navires des chouettes, se ramassent à [E] la pelle,
Et toi tu leur ressembles, quand tu dis que tu m [Am]'aimes,
Tu finiras bientôt, déchiré par [F] les flots,
Qui noieront d'ouragan, dans tes yeux les [C] sanglots,
Les navires des chouettes, se ramassent à [E] la pelle,
Ils sont beaux, ils sont très, quand ils suggèrent le [Am] ciel,
Alors ne jure rien, ne dis rien mon [Dm] amour,
[F] Et laissons faire la nuit, jusqu'au le [C] beau jour,
Quand soudain l'un d'entre eux, décide d'en finir,
[Abm] Car toujours dans [E] la vie, l'un doit [E] partir avant l'autre,
[Am] Que ce soit par la mort, ou par la guillotine du coeur,
[C] Ou pour aller voir [F] au port, quelques marins sans coeur,
[C] Ou pour un lieu dans mon corps, pour quelques filles de joie,
[E]
Juste parce que c'est bon, d'être toute seule parfois,
[Am] Et il crucifie l'autre, à qui ils [A] ont juré,
Bon Dieu, [F] quand il s'acharne sur son corps,
Comme s'acharnerait la mort,
Mais il [C] est déjà mort, ça y est, ça y est, tu peux partir,
[E] À d'autres bras tendés, aller vendre ton sorire,
[A] Les magnifiques [E] meurent, comme [Am] un sanglot perdu,
Au [F] fond des océans, les corps des diasporés,
[C]
Les navires des chouettes, se ramassent [E] à la pelle,
Et toi tu leur ressembles, quand tu dis que tu [A] m'aimes,
[Am] Tu finiras bientôt, déchiré [F] par les fleurs,
Qui nous rendent auragans, dans tes [C] yeux, les sanglots,
Les navires des chouettes, se ramassent à la [E]
pelle,
Ils sont beaux, ils sont prêts, quand ils se gèrent le [Am]
ciel,
Alors ne jure rien, ne dis rien mon [F] amour,
Et ne sont pas rennues, jusqu'au lever [C] du jour.
Key:
E
C
F
Am
A
E
C
F
_ _ _ _ _ _ Ils sont les yeux des funéraires, toujours prêts à sauter d'un pont,
[Em] On dirait que [E] toujours misère et la tristesse sont leurs prénoms,
Ils sont [Am] écorchés dans l'écorce, et toujours un amour perdu,
[F] Gravés au couteau dans la sève, de leurs yeux qui ne comprennent plus,
[C] Ils sont les yeux des mortuaires et le balor de procession,
On [E] dirait que toujours l'enfer sera toujours dans leurs chansons,
Ils sont [A] les yeux des trop avides et puis la force des fragiles,
[E] Ils ont [F] le partage cupide de ceux qui se partagent trop,
[C] Dans les cafés pour les corbeaux de l'amour,
Quand ils jouent la pauvre, [E] les magnifiques, ils parlent trop,
Et même quand ils ont l'air stupides, c [Am]'est d'un pudard qu'ils sont beaux,
Et de partage qu'ils sont cupides, [F] quand ils se déversent en sanglots,
Les mots sont souvent inutiles, bien [C] sûr qu'ils mentent comme ils respirent,
Quand ils se jurent des avenirs, [E] car ils savent trop bien,
Ce que la mort essaie, [Am] et à ceux qui s'aiment,
En séparant les corps, [F] elle leur donne pas la mort,
Elle leur reprend la [C] vie, oui, _ les navires chouettes,
Se ramassent à la [E]
pelle, et toi tu leur ressembles,
Quand tu dis que tu m [Am]'aimes, tu finiras bientôt,
_ Déchirés par [F] les flots, qui noieront d'ouragan,
Dans tes yeux les [C] sanglots, quand ils s'unissent sur les cieux,
Quand ils se bavent par les [E] yeux, ils se parlent de ces amours,
Qu'ils font faire les tristes chansons, ils [Am] ont des airs de religieux,
Quand ils se disent leurs vrais noms, ils [F] se disent qu'ils seront éternels,
Et pire encore, ils le croient, qu'ils [C] s'emporteront dans la tombe,
Leur cathédrale sera le monde, et [E] ils finiront comme tout le monde,
L'un d'eux revient seul à pleurer pour l'autre,
Dans [Am] le brouillon des fleurantes, dans le tourbillon des fleurantes,
Dans [F] le mourant des amours mortes, au [C] gré du temps qu'ils s [C]'escorent,
Ils se déversent, ils me dégoûtent, et pourtant putain qu'ils sont beaux,
Que [E] même leur bêtise fait bien, oui qu'elle fait bien sonner les mots,
Qu [Am]'on dirait les musiques, que j'ai jamais su faire,
Qu [F]'on dirait que Paris a été fait pour eux,
Les [C] magnifiques sont magnifiques, quand ils se chantent leur cantique,
Au [E] pont des arts, y'a des regards, qui font que la vie semble belle,
Mais la vie est [Am] cruelle, et elle pour fera [A] bientôt,
Les promesses aux [F] promesses, par dessus le bateau,
Et [C] _
les navires des chouettes, se ramassent à [E] la pelle,
Et toi tu leur ressembles, quand tu dis que tu m [Am]'aimes,
Tu finiras bientôt, déchiré par [F] les flots,
Qui noieront d'ouragan, dans tes yeux les [C] sanglots,
Les navires des chouettes, se ramassent à [E] la pelle,
Ils sont beaux, ils sont très, quand ils suggèrent le [Am] ciel,
Alors ne jure rien, ne dis rien mon [Dm] amour,
[F] Et laissons faire la nuit, jusqu'au le [C] beau jour,
Quand soudain l'un d'entre eux, décide d'en finir,
[Abm] Car toujours dans [E] la vie, l'un doit [E] partir avant l'autre,
[Am] Que ce soit par la mort, ou par la guillotine du coeur,
[C] Ou pour aller voir [F] au port, quelques marins sans coeur,
[C] Ou pour un lieu dans mon corps, pour quelques filles de joie,
[E]
Juste parce que c'est bon, d'être toute seule parfois,
[Am] Et il crucifie l'autre, à qui ils [A] ont juré,
Bon Dieu, [F] quand il s'acharne sur son corps,
Comme s'acharnerait la mort,
Mais il [C] est déjà mort, ça y est, ça y est, tu peux partir,
[E] À d'autres bras tendés, aller vendre ton sorire,
[A] Les magnifiques [E] meurent, comme [Am] un sanglot perdu,
Au [F] fond des océans, les corps des diasporés,
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Les navires des chouettes, se ramassent [E] à la pelle,
Et toi tu leur ressembles, quand tu dis que tu [A] m'aimes,
[Am] Tu finiras bientôt, déchiré [F] par les fleurs,
Qui nous rendent auragans, dans tes [C] yeux, les sanglots,
Les navires des chouettes, se ramassent à la [E]
pelle,
Ils sont beaux, ils sont prêts, quand ils se gèrent le [Am]
ciel,
Alors ne jure rien, ne dis rien mon [F] amour,
Et ne sont pas rennues, jusqu'au lever [C] du jour.
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[Em] On dirait que [E] toujours misère et la tristesse sont leurs prénoms,
Ils sont [Am] écorchés dans l'écorce, et toujours un amour perdu,
[F] Gravés au couteau dans la sève, de leurs yeux qui ne comprennent plus,
[C] Ils sont les yeux des mortuaires et le balor de procession,
On [E] dirait que toujours l'enfer sera toujours dans leurs chansons,
Ils sont [A] les yeux des trop avides et puis la force des fragiles,
[E] Ils ont [F] le partage cupide de ceux qui se partagent trop,
[C] Dans les cafés pour les corbeaux de l'amour,
Quand ils jouent la pauvre, [E] les magnifiques, ils parlent trop,
Et même quand ils ont l'air stupides, c [Am]'est d'un pudard qu'ils sont beaux,
Et de partage qu'ils sont cupides, [F] quand ils se déversent en sanglots,
Les mots sont souvent inutiles, bien [C] sûr qu'ils mentent comme ils respirent,
Quand ils se jurent des avenirs, [E] car ils savent trop bien,
Ce que la mort essaie, [Am] et à ceux qui s'aiment,
En séparant les corps, [F] elle leur donne pas la mort,
Elle leur reprend la [C] vie, oui, _ les navires chouettes,
Se ramassent à la [E]
pelle, et toi tu leur ressembles,
Quand tu dis que tu m [Am]'aimes, tu finiras bientôt,
_ Déchirés par [F] les flots, qui noieront d'ouragan,
Dans tes yeux les [C] sanglots, quand ils s'unissent sur les cieux,
Quand ils se bavent par les [E] yeux, ils se parlent de ces amours,
Qu'ils font faire les tristes chansons, ils [Am] ont des airs de religieux,
Quand ils se disent leurs vrais noms, ils [F] se disent qu'ils seront éternels,
Et pire encore, ils le croient, qu'ils [C] s'emporteront dans la tombe,
Leur cathédrale sera le monde, et [E] ils finiront comme tout le monde,
L'un d'eux revient seul à pleurer pour l'autre,
Dans [Am] le brouillon des fleurantes, dans le tourbillon des fleurantes,
Dans [F] le mourant des amours mortes, au [C] gré du temps qu'ils s [C]'escorent,
Ils se déversent, ils me dégoûtent, et pourtant putain qu'ils sont beaux,
Que [E] même leur bêtise fait bien, oui qu'elle fait bien sonner les mots,
Qu [Am]'on dirait les musiques, que j'ai jamais su faire,
Qu [F]'on dirait que Paris a été fait pour eux,
Les [C] magnifiques sont magnifiques, quand ils se chantent leur cantique,
Au [E] pont des arts, y'a des regards, qui font que la vie semble belle,
Mais la vie est [Am] cruelle, et elle pour fera [A] bientôt,
Les promesses aux [F] promesses, par dessus le bateau,
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les navires des chouettes, se ramassent à [E] la pelle,
Et toi tu leur ressembles, quand tu dis que tu m [Am]'aimes,
Tu finiras bientôt, déchiré par [F] les flots,
Qui noieront d'ouragan, dans tes yeux les [C] sanglots,
Les navires des chouettes, se ramassent à [E] la pelle,
Ils sont beaux, ils sont très, quand ils suggèrent le [Am] ciel,
Alors ne jure rien, ne dis rien mon [Dm] amour,
[F] Et laissons faire la nuit, jusqu'au le [C] beau jour,
Quand soudain l'un d'entre eux, décide d'en finir,
[Abm] Car toujours dans [E] la vie, l'un doit [E] partir avant l'autre,
[Am] Que ce soit par la mort, ou par la guillotine du coeur,
[C] Ou pour aller voir [F] au port, quelques marins sans coeur,
[C] Ou pour un lieu dans mon corps, pour quelques filles de joie,
[E]
Juste parce que c'est bon, d'être toute seule parfois,
[Am] Et il crucifie l'autre, à qui ils [A] ont juré,
Bon Dieu, [F] quand il s'acharne sur son corps,
Comme s'acharnerait la mort,
Mais il [C] est déjà mort, ça y est, ça y est, tu peux partir,
[E] À d'autres bras tendés, aller vendre ton sorire,
[A] Les magnifiques [E] meurent, comme [Am] un sanglot perdu,
Au [F] fond des océans, les corps des diasporés,
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Les navires des chouettes, se ramassent [E] à la pelle,
Et toi tu leur ressembles, quand tu dis que tu [A] m'aimes,
[Am] Tu finiras bientôt, déchiré [F] par les fleurs,
Qui nous rendent auragans, dans tes [C] yeux, les sanglots,
Les navires des chouettes, se ramassent à la [E]
pelle,
Ils sont beaux, ils sont prêts, quand ils se gèrent le [Am]
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Alors ne jure rien, ne dis rien mon [F] amour,
Et ne sont pas rennues, jusqu'au lever [C] du jour.
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