Chords for Les mignons -Barbara- (avec sous-titres)
Tempo:
140.55 bpm
Chords used:
Am
E
Dm
C
G
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
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[Em]
[G] Avec des yeux [Am]
plus grands que le cœur, avec des mots plus grands que [Dm] le cœur,
[G] ils entrent dans notre [C] existence, côté [E] tangrès, côté [Am] cœur.
Ils nous racontent leur [Dm] enfance en se cachant sur [C] nos genoux,
et je ne [Dm] crois pas qu'ils [A] [Am] plaisantent quand ils [Em] disent « j'ai [Am] peur de vous ».
Ils nous [F#m]
découvrent, ils nous [Bm] adorent, ils nous [E] bercent avec des [A] chansons.
Quelquefois ils font [Bm] pire encore, moi je [E] les trouve assez [Am] mignons,
avec une belle assurance, une fois par mois, avec des [F]
fleurs.
[G] Ils nous proposent une [C] existence, côté [E] coin du feu, côté [Am] cœur.
Ils ronronnent dans nos corbeilles [G] et viennent manger dans [C] nos mains,
puis [Dm] de bonne heure ils s'en [Am] sommeillent.
Ça nous fait [E] de joyeux matins, ils nous [F#] embrassent mais nous [B] ignorent.
Ils [E] chantent faux sur nos [A]
chansons, [F#m] quelquefois ils font [B] pire encore,
mais [E] je les trouve assez [Am] mignons.
Un jour ils refument la pipe qu'ils avaient jetée aux [Dm] orties,
et voilà [G] qu'ils prennent en [C] grippe la cage qu [Em]'ils s'étaient [Am] choisie.
On se dit que l'on s'aime [Dm] encore en pensant [G] que rien ne va [C] plus,
ce [Dm] monsieur près de qui [Am] l'on dort, pourquoi [Em] donc nous avait-il [Am] plus ?
On le [F#m] roupe, on tout craint [Bm] la porte, on [E] n'a plus le cœur aux [A] chansons.
[F#] Bêtement, la vie les [Bm] emporte, [E] dommage, ils étaient bien [Am] mignons.
Avec des nuits de [C] solitude, [Em] avec des jours de fin de [Dm] mois,
on [G] se refait des [C]
habitudes à vivre [E] seul, on vit [Am] pour soi.
Et voilà qu'il pense qu'ils reviennent.
[Dm] [G] Bonjour, tu vas bien ?
[C] Me voilà, cette [Dm] maison qui est la [Am] mienne,
tu [E] vois que je ne l [Am]'oublie pas.
Ah, on ne dit [F#m] rien, mais on [Bm] s'étonne.
[Em] On a beau savoir [A] la chanson, [F#m] on la trouve assez [Bm] polissonne,
la [E] dernière de nos [A] mignons.
Avec des yeux plus grands [B] que le [Am] ventre, avec des mots plus grands que [Dm] le cœur,
[G] ils reviennent dans notre [C]
existence, [E] côté à [G] côté du [Am] cœur.
Et bien qu'on connaisse leur [Dm] enfance, et bien qu'on [G] connaisse la [C] chanson,
ça ne [E] fait rien, [Dm] on [C] recommence, c'est vrai [E] qu'ils sont [C] mignons.
[G] Avec des yeux [Am]
plus grands que le cœur, avec des mots plus grands que [Dm] le cœur,
[G] ils entrent dans notre [C] existence, côté [E] tangrès, côté [Am] cœur.
Ils nous racontent leur [Dm] enfance en se cachant sur [C] nos genoux,
et je ne [Dm] crois pas qu'ils [A] [Am] plaisantent quand ils [Em] disent « j'ai [Am] peur de vous ».
Ils nous [F#m]
découvrent, ils nous [Bm] adorent, ils nous [E] bercent avec des [A] chansons.
Quelquefois ils font [Bm] pire encore, moi je [E] les trouve assez [Am] mignons,
avec une belle assurance, une fois par mois, avec des [F]
fleurs.
[G] Ils nous proposent une [C] existence, côté [E] coin du feu, côté [Am] cœur.
Ils ronronnent dans nos corbeilles [G] et viennent manger dans [C] nos mains,
puis [Dm] de bonne heure ils s'en [Am] sommeillent.
Ça nous fait [E] de joyeux matins, ils nous [F#] embrassent mais nous [B] ignorent.
Ils [E] chantent faux sur nos [A]
chansons, [F#m] quelquefois ils font [B] pire encore,
mais [E] je les trouve assez [Am] mignons.
Un jour ils refument la pipe qu'ils avaient jetée aux [Dm] orties,
et voilà [G] qu'ils prennent en [C] grippe la cage qu [Em]'ils s'étaient [Am] choisie.
On se dit que l'on s'aime [Dm] encore en pensant [G] que rien ne va [C] plus,
ce [Dm] monsieur près de qui [Am] l'on dort, pourquoi [Em] donc nous avait-il [Am] plus ?
On le [F#m] roupe, on tout craint [Bm] la porte, on [E] n'a plus le cœur aux [A] chansons.
[F#] Bêtement, la vie les [Bm] emporte, [E] dommage, ils étaient bien [Am] mignons.
Avec des nuits de [C] solitude, [Em] avec des jours de fin de [Dm] mois,
on [G] se refait des [C]
habitudes à vivre [E] seul, on vit [Am] pour soi.
Et voilà qu'il pense qu'ils reviennent.
[Dm] [G] Bonjour, tu vas bien ?
[C] Me voilà, cette [Dm] maison qui est la [Am] mienne,
tu [E] vois que je ne l [Am]'oublie pas.
Ah, on ne dit [F#m] rien, mais on [Bm] s'étonne.
[Em] On a beau savoir [A] la chanson, [F#m] on la trouve assez [Bm] polissonne,
la [E] dernière de nos [A] mignons.
Avec des yeux plus grands [B] que le [Am] ventre, avec des mots plus grands que [Dm] le cœur,
[G] ils reviennent dans notre [C]
existence, [E] côté à [G] côté du [Am] cœur.
Et bien qu'on connaisse leur [Dm] enfance, et bien qu'on [G] connaisse la [C] chanson,
ça ne [E] fait rien, [Dm] on [C] recommence, c'est vrai [E] qu'ils sont [C] mignons.
Key:
Am
E
Dm
C
G
Am
E
Dm
_ _ _ _ _ _ _ [Em] _
_ _ _ [G] Avec des yeux [Am]
plus grands que le cœur, avec des mots plus grands que [Dm] le cœur,
[G] ils entrent dans notre [C] existence, côté [E] tangrès, côté [Am] cœur.
Ils nous racontent leur [Dm] enfance en se cachant sur [C] nos genoux,
et je ne [Dm] crois pas qu'ils [A] [Am] plaisantent quand ils [Em] disent « j'ai [Am] peur de vous ».
Ils nous [F#m]
découvrent, ils nous [Bm] adorent, ils nous [E] bercent avec des [A] chansons.
_ Quelquefois ils font [Bm] pire encore, moi je [E] les trouve assez [Am] mignons,
avec une belle assurance, une fois par mois, avec des [F]
fleurs.
[G] Ils nous proposent une [C] existence, côté [E] coin du feu, côté [Am] cœur.
Ils ronronnent dans nos corbeilles [G] et viennent manger dans [C] nos mains,
puis [Dm] de bonne heure ils s'en [Am] sommeillent.
Ça nous fait [E] de joyeux matins, ils nous [F#] embrassent mais nous [B] ignorent.
Ils [E] chantent faux sur nos [A]
chansons, _ [F#m] quelquefois ils font [B] pire encore,
mais [E] je les trouve assez [Am] mignons.
Un jour ils refument la pipe qu'ils avaient jetée aux [Dm] orties,
et voilà [G] qu'ils prennent en [C] grippe la cage qu [Em]'ils s'étaient [Am] choisie.
On se dit que l'on s'aime [Dm] encore en pensant [G] que rien ne va [C] plus,
ce [Dm] monsieur près de qui [Am] l'on dort, _ pourquoi [Em] donc nous avait-il [Am] plus ?
On le [F#m] roupe, on tout craint [Bm] la porte, on [E] n'a plus le cœur aux [A] chansons.
[F#] Bêtement, la vie les [Bm] emporte, [E] dommage, ils étaient bien [Am] mignons.
_ Avec des nuits de [C] solitude, [Em] avec des jours de fin de [Dm] mois,
on [G] se refait des [C]
habitudes à vivre [E] seul, on vit [Am] pour soi.
_ _ Et voilà qu'il pense qu'ils reviennent.
[Dm] _ [G] Bonjour, tu vas bien ?
[C] Me voilà, cette _ [Dm] maison qui est la [Am] mienne,
tu [E] vois que je ne l [Am]'oublie pas.
Ah, on ne dit [F#m] rien, mais on [Bm] s'étonne.
[Em] On a beau savoir [A] la chanson, [F#m] on la trouve assez [Bm] polissonne,
la [E] dernière de nos [A] mignons.
Avec des yeux plus grands [B] que le [Am] ventre, avec des mots plus grands que [Dm] le cœur,
[G] ils reviennent dans notre [C]
existence, [E] côté à _ [G] côté du [Am] cœur.
Et bien qu'on connaisse leur [Dm] enfance, et bien qu'on [G] connaisse la [C] chanson,
ça ne [E] fait rien, _ [Dm] on _ [C] recommence, c'est vrai _ [E] qu'ils sont [C] mignons. _ _
_ _ _ [G] Avec des yeux [Am]
plus grands que le cœur, avec des mots plus grands que [Dm] le cœur,
[G] ils entrent dans notre [C] existence, côté [E] tangrès, côté [Am] cœur.
Ils nous racontent leur [Dm] enfance en se cachant sur [C] nos genoux,
et je ne [Dm] crois pas qu'ils [A] [Am] plaisantent quand ils [Em] disent « j'ai [Am] peur de vous ».
Ils nous [F#m]
découvrent, ils nous [Bm] adorent, ils nous [E] bercent avec des [A] chansons.
_ Quelquefois ils font [Bm] pire encore, moi je [E] les trouve assez [Am] mignons,
avec une belle assurance, une fois par mois, avec des [F]
fleurs.
[G] Ils nous proposent une [C] existence, côté [E] coin du feu, côté [Am] cœur.
Ils ronronnent dans nos corbeilles [G] et viennent manger dans [C] nos mains,
puis [Dm] de bonne heure ils s'en [Am] sommeillent.
Ça nous fait [E] de joyeux matins, ils nous [F#] embrassent mais nous [B] ignorent.
Ils [E] chantent faux sur nos [A]
chansons, _ [F#m] quelquefois ils font [B] pire encore,
mais [E] je les trouve assez [Am] mignons.
Un jour ils refument la pipe qu'ils avaient jetée aux [Dm] orties,
et voilà [G] qu'ils prennent en [C] grippe la cage qu [Em]'ils s'étaient [Am] choisie.
On se dit que l'on s'aime [Dm] encore en pensant [G] que rien ne va [C] plus,
ce [Dm] monsieur près de qui [Am] l'on dort, _ pourquoi [Em] donc nous avait-il [Am] plus ?
On le [F#m] roupe, on tout craint [Bm] la porte, on [E] n'a plus le cœur aux [A] chansons.
[F#] Bêtement, la vie les [Bm] emporte, [E] dommage, ils étaient bien [Am] mignons.
_ Avec des nuits de [C] solitude, [Em] avec des jours de fin de [Dm] mois,
on [G] se refait des [C]
habitudes à vivre [E] seul, on vit [Am] pour soi.
_ _ Et voilà qu'il pense qu'ils reviennent.
[Dm] _ [G] Bonjour, tu vas bien ?
[C] Me voilà, cette _ [Dm] maison qui est la [Am] mienne,
tu [E] vois que je ne l [Am]'oublie pas.
Ah, on ne dit [F#m] rien, mais on [Bm] s'étonne.
[Em] On a beau savoir [A] la chanson, [F#m] on la trouve assez [Bm] polissonne,
la [E] dernière de nos [A] mignons.
Avec des yeux plus grands [B] que le [Am] ventre, avec des mots plus grands que [Dm] le cœur,
[G] ils reviennent dans notre [C]
existence, [E] côté à _ [G] côté du [Am] cœur.
Et bien qu'on connaisse leur [Dm] enfance, et bien qu'on [G] connaisse la [C] chanson,
ça ne [E] fait rien, _ [Dm] on _ [C] recommence, c'est vrai _ [E] qu'ils sont [C] mignons. _ _