Les Oiseaux De Passage Chords by Georges Brassens
Tempo:
133.15 bpm
Chords used:
Dm
C
Bb
A
D
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
Start Jamming...
[Dm] Ô vie heureuse des bourgeois, qu [C]'Avril bourgeonne,
Ou que [Bb] décembre gèle, ils sont [A] fiers et contents.
Ce [Dm] pigeon est aimé, droit jour, par [C] sa pigeonne,
Ça lui [Bb] suffit, il sait [A] que l'amour [Dm] n'a qu'un temps.
Ce dindon a toujours béni sa [C] destinée,
Et quand [Bb] vient le moment de mourir, [A] il faut voir
Cette genouille [Dm] en pleurs, c'est là que je [C] suis né.
Je meurs près [Bb] de ma mère, [A] et j'ai fait mon [Dm] devoir,
Elle a fait son devoir, c'est-à [G]-dire [C] que honque.
Elle eut de [Bb] souhaits [A] impossibles, elle eut aucun [Dm] rêve de lune,
Aucun [C] désir de jonque, l'emportant [Bb] sans rameur
[Dm] Sur un fleuve inconnu, et tous sont ainsi faits,
Vivre la [C] même vie, toujours pour [Bb] ces gens-là,
Cela n'est [A] point hideux, ce canard n'a qu [Dm]'un bec,
Et n'eut jamais [C] envie, ou de n [Bb]'en plus avoir,
[Am] Ou bien d'en [Dm] avoir deux.
Ils n'ont aucun besoin de baiser [C] sur les lèvres,
Et loin des [Bb] songevins, loin des [A] soucis cuisants,
[Gm] Possèdent [D] pour tout cœur un [Gm] viscère [C] sans fièvre,
Un coucou [Bb] régulier [E] et garantie [A] disant,
Oh, les gens [D] bien heureux, tout à coup dans [C] l'espace,
Si haut [Bb] qu'ils semblent aller, lentement [A] un grand vol,
En [Dm] forme de triangle, [G] arrive, [C] plane et passe,
Où vont-ils, [Bb] qui sont-ils, [Am] comme ils sont [Dm] loin du sol [D] ?
Regardez les [Dm] passés, eux, ce sont les [C] sauvages,
Ils vont tout leur désir, [Bb] le vœu, par [A]-dessus mon,
Et [Dm] bois, et mer, et vent, et loin [C] des esclavages,
L'air qu'ils [Bb] boivent ferait [A] éclater vos [Dm] poumons.
Regardez les avants d'atteindre [C] sa chimère,
Plus d'un l'aile [Bb] rompue et du sang [A] plein les yeux,
Mourras ces [Dm] pauvres gens, ont aussi [C] femme et mère,
Et savent [Bb] les aimer [A] aussi bien que [D] vous mieux,
Pour choyer cette [Dm] femme et nourrir [C] cette mère,
Ils [Bb] pouvaient devenir [A] volailles comme vous,
Mais [Dm] ils sont avant tout des fils de la [C] chimère,
Des [Bb] assoiffés d'azur, [A] des [D] poètes, des fous.
[G] [E] Regardez les vieux coques, [Dm] genois et [C] diffiantes,
Rien de vous [Bb] ne pourra monter [A] aussi haut que,
Et le [Dm] peu qui viendra, de zabousser leur [C] fiente,
Les bourgeois sont [Bb] troublés [A] de voir [Gm] passer les [Am] gueux.
[D] Regardez les vieux [Dm] coques, [C] genois et diffiantes,
Rien [Bb] de vous ne pourra monter aussi [A] haut que,
Et le peu [Dm] qui viendra, de [C] zabousser leur fiente,
Les bourgeois [Bb] sont troublés [A] de voir passer [Dm] les gueux.
[G] [N]
Ou que [Bb] décembre gèle, ils sont [A] fiers et contents.
Ce [Dm] pigeon est aimé, droit jour, par [C] sa pigeonne,
Ça lui [Bb] suffit, il sait [A] que l'amour [Dm] n'a qu'un temps.
Ce dindon a toujours béni sa [C] destinée,
Et quand [Bb] vient le moment de mourir, [A] il faut voir
Cette genouille [Dm] en pleurs, c'est là que je [C] suis né.
Je meurs près [Bb] de ma mère, [A] et j'ai fait mon [Dm] devoir,
Elle a fait son devoir, c'est-à [G]-dire [C] que honque.
Elle eut de [Bb] souhaits [A] impossibles, elle eut aucun [Dm] rêve de lune,
Aucun [C] désir de jonque, l'emportant [Bb] sans rameur
[Dm] Sur un fleuve inconnu, et tous sont ainsi faits,
Vivre la [C] même vie, toujours pour [Bb] ces gens-là,
Cela n'est [A] point hideux, ce canard n'a qu [Dm]'un bec,
Et n'eut jamais [C] envie, ou de n [Bb]'en plus avoir,
[Am] Ou bien d'en [Dm] avoir deux.
Ils n'ont aucun besoin de baiser [C] sur les lèvres,
Et loin des [Bb] songevins, loin des [A] soucis cuisants,
[Gm] Possèdent [D] pour tout cœur un [Gm] viscère [C] sans fièvre,
Un coucou [Bb] régulier [E] et garantie [A] disant,
Oh, les gens [D] bien heureux, tout à coup dans [C] l'espace,
Si haut [Bb] qu'ils semblent aller, lentement [A] un grand vol,
En [Dm] forme de triangle, [G] arrive, [C] plane et passe,
Où vont-ils, [Bb] qui sont-ils, [Am] comme ils sont [Dm] loin du sol [D] ?
Regardez les [Dm] passés, eux, ce sont les [C] sauvages,
Ils vont tout leur désir, [Bb] le vœu, par [A]-dessus mon,
Et [Dm] bois, et mer, et vent, et loin [C] des esclavages,
L'air qu'ils [Bb] boivent ferait [A] éclater vos [Dm] poumons.
Regardez les avants d'atteindre [C] sa chimère,
Plus d'un l'aile [Bb] rompue et du sang [A] plein les yeux,
Mourras ces [Dm] pauvres gens, ont aussi [C] femme et mère,
Et savent [Bb] les aimer [A] aussi bien que [D] vous mieux,
Pour choyer cette [Dm] femme et nourrir [C] cette mère,
Ils [Bb] pouvaient devenir [A] volailles comme vous,
Mais [Dm] ils sont avant tout des fils de la [C] chimère,
Des [Bb] assoiffés d'azur, [A] des [D] poètes, des fous.
[G] [E] Regardez les vieux coques, [Dm] genois et [C] diffiantes,
Rien de vous [Bb] ne pourra monter [A] aussi haut que,
Et le [Dm] peu qui viendra, de zabousser leur [C] fiente,
Les bourgeois sont [Bb] troublés [A] de voir [Gm] passer les [Am] gueux.
[D] Regardez les vieux [Dm] coques, [C] genois et diffiantes,
Rien [Bb] de vous ne pourra monter aussi [A] haut que,
Et le peu [Dm] qui viendra, de [C] zabousser leur fiente,
Les bourgeois [Bb] sont troublés [A] de voir passer [Dm] les gueux.
[G] [N]
Key:
Dm
C
Bb
A
D
Dm
C
Bb
[Dm] _ _ _ _ Ô vie heureuse des bourgeois, qu [C]'Avril _ bourgeonne,
Ou que [Bb] décembre gèle, ils sont [A] fiers et contents.
Ce [Dm] pigeon est aimé, droit jour, par [C] sa pigeonne,
Ça lui [Bb] suffit, il sait [A] que l'amour [Dm] n'a qu'un temps.
Ce dindon a toujours _ béni sa [C] _ destinée,
Et quand [Bb] vient le moment de mourir, [A] il faut voir
Cette genouille [Dm] en pleurs, c'est là que je [C] suis né.
Je meurs près [Bb] de ma mère, [A] et j'ai fait mon [Dm] devoir,
Elle a fait son devoir, c'est-à [G]-dire [C] que honque.
Elle eut de [Bb] souhaits _ [A] impossibles, elle eut aucun [Dm] rêve de lune,
Aucun [C] désir de jonque, l'emportant [Bb] sans rameur
[Dm] Sur un fleuve inconnu, et tous sont ainsi _ faits,
Vivre la [C] même vie, toujours pour [Bb] ces gens-là,
Cela n'est [A] point hideux, ce canard n'a qu [Dm]'un bec,
Et n'eut jamais [C] envie, ou de n [Bb]'en plus avoir,
[Am] Ou bien d'en [Dm] avoir deux.
Ils n'ont aucun besoin de baiser [C] sur les lèvres,
Et loin des [Bb] songevins, loin des [A] soucis cuisants,
[Gm] Possèdent [D] pour tout cœur un [Gm] viscère [C] sans fièvre,
Un coucou [Bb] régulier [E] et garantie [A] disant,
Oh, les gens [D] bien heureux, tout à coup dans [C] l'espace,
Si haut [Bb] qu'ils semblent aller, lentement [A] un grand vol,
En [Dm] forme de triangle, [G] arrive, [C] plane et passe,
Où vont-ils, [Bb] qui sont-ils, [Am] comme ils sont [Dm] loin du sol [D] ?
Regardez les [Dm] passés, eux, ce sont les [C] sauvages,
_ Ils vont tout leur désir, [Bb] le vœu, par [A]-dessus mon,
Et [Dm] bois, et mer, et vent, et loin [C] des esclavages,
L'air qu'ils [Bb] boivent ferait _ [A] éclater vos [Dm] poumons.
_ _ Regardez les avants d'atteindre [C] sa chimère,
Plus d'un l'aile [Bb] rompue et du sang [A] plein les yeux,
_ Mourras ces [Dm] pauvres gens, ont aussi [C] femme et mère,
Et savent [Bb] les aimer [A] aussi bien que [D] vous mieux,
Pour choyer cette [Dm] femme et nourrir [C] cette mère,
Ils [Bb] pouvaient devenir [A] volailles comme vous,
Mais [Dm] ils sont avant tout des fils de la [C] chimère,
Des [Bb] assoiffés d'azur, [A] des [D] poètes, des fous.
[G] _ [E] Regardez les vieux coques, [Dm] _ genois et [C] diffiantes,
Rien de vous [Bb] ne pourra monter [A] aussi haut que,
Et le [Dm] peu qui _ viendra, de zabousser leur [C] fiente,
Les bourgeois sont [Bb] troublés [A] de voir [Gm] passer les [Am] gueux.
[D] _ Regardez les vieux [Dm] coques, _ [C] genois et diffiantes,
Rien [Bb] de vous ne pourra monter aussi [A] haut que,
Et le peu [Dm] qui viendra, de _ [C] zabousser leur fiente,
Les bourgeois [Bb] sont troublés [A] de voir passer [Dm] les gueux. _ _
_ _ _ [G] _ _ _ [N] _ _
Ou que [Bb] décembre gèle, ils sont [A] fiers et contents.
Ce [Dm] pigeon est aimé, droit jour, par [C] sa pigeonne,
Ça lui [Bb] suffit, il sait [A] que l'amour [Dm] n'a qu'un temps.
Ce dindon a toujours _ béni sa [C] _ destinée,
Et quand [Bb] vient le moment de mourir, [A] il faut voir
Cette genouille [Dm] en pleurs, c'est là que je [C] suis né.
Je meurs près [Bb] de ma mère, [A] et j'ai fait mon [Dm] devoir,
Elle a fait son devoir, c'est-à [G]-dire [C] que honque.
Elle eut de [Bb] souhaits _ [A] impossibles, elle eut aucun [Dm] rêve de lune,
Aucun [C] désir de jonque, l'emportant [Bb] sans rameur
[Dm] Sur un fleuve inconnu, et tous sont ainsi _ faits,
Vivre la [C] même vie, toujours pour [Bb] ces gens-là,
Cela n'est [A] point hideux, ce canard n'a qu [Dm]'un bec,
Et n'eut jamais [C] envie, ou de n [Bb]'en plus avoir,
[Am] Ou bien d'en [Dm] avoir deux.
Ils n'ont aucun besoin de baiser [C] sur les lèvres,
Et loin des [Bb] songevins, loin des [A] soucis cuisants,
[Gm] Possèdent [D] pour tout cœur un [Gm] viscère [C] sans fièvre,
Un coucou [Bb] régulier [E] et garantie [A] disant,
Oh, les gens [D] bien heureux, tout à coup dans [C] l'espace,
Si haut [Bb] qu'ils semblent aller, lentement [A] un grand vol,
En [Dm] forme de triangle, [G] arrive, [C] plane et passe,
Où vont-ils, [Bb] qui sont-ils, [Am] comme ils sont [Dm] loin du sol [D] ?
Regardez les [Dm] passés, eux, ce sont les [C] sauvages,
_ Ils vont tout leur désir, [Bb] le vœu, par [A]-dessus mon,
Et [Dm] bois, et mer, et vent, et loin [C] des esclavages,
L'air qu'ils [Bb] boivent ferait _ [A] éclater vos [Dm] poumons.
_ _ Regardez les avants d'atteindre [C] sa chimère,
Plus d'un l'aile [Bb] rompue et du sang [A] plein les yeux,
_ Mourras ces [Dm] pauvres gens, ont aussi [C] femme et mère,
Et savent [Bb] les aimer [A] aussi bien que [D] vous mieux,
Pour choyer cette [Dm] femme et nourrir [C] cette mère,
Ils [Bb] pouvaient devenir [A] volailles comme vous,
Mais [Dm] ils sont avant tout des fils de la [C] chimère,
Des [Bb] assoiffés d'azur, [A] des [D] poètes, des fous.
[G] _ [E] Regardez les vieux coques, [Dm] _ genois et [C] diffiantes,
Rien de vous [Bb] ne pourra monter [A] aussi haut que,
Et le [Dm] peu qui _ viendra, de zabousser leur [C] fiente,
Les bourgeois sont [Bb] troublés [A] de voir [Gm] passer les [Am] gueux.
[D] _ Regardez les vieux [Dm] coques, _ [C] genois et diffiantes,
Rien [Bb] de vous ne pourra monter aussi [A] haut que,
Et le peu [Dm] qui viendra, de _ [C] zabousser leur fiente,
Les bourgeois [Bb] sont troublés [A] de voir passer [Dm] les gueux. _ _
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