Chords for Lucio Bukowski & Mani Deïz - Psaumes Métropolitains (réa : Overcom Pictures)
Tempo:
89.7 bpm
Chords used:
C#m
F#m
C#
Dm
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
Start Jamming...
[C#m] [F#m]
[C#m] [F#m]
[C#m] J'ai de l'hiver dans les veines et d'ici-des dans [F#m] les terres, tout décimé dans les terres,
rêve d'une cité dans [C#m] les brests et d'ici-des en effet, j'ai dessiné sans [F#m] les traits, j'ai
lésiné sur les faits, quand j'ai rimé je me [C#m] tais, la mailleur en train de commander
un café noir [F#m] sans crème, lisant des poèmes de François Vion et [C#m] Ronsantem, tous ont confondu
l'homme libre et les [F#m] slaves sans chaînes, dans un monde médiocre, l'art est vu [C#m] comme
un sans-gêne, et ça en jette, décors parfaits [F#m] pour l'esprit vide, malgré l'anticerne, ce
début de siècle [C#m] reste livide, plus que des écrans pour [F#m] camoufler l'abîme, quand la
vie est triste j'y dessine un beau [C#m] sourire cabyle, au fond j'ai toujours aimé [F#m] ça, j'ai
squatté dans les bars, écrivant dans des [C#m] gares, j'ai jamais traîné tard, des poèmes
j'en [F#m] grattais des tas, j'en rappelais des parts, tandis que mes gars [C#m] sortaient les soirs,
la chose essentielle est celle qu'on [F#m] ne dit pas, chaque histoire est un paradis qu'on
[C#m] ne vit pas, avance au ralenti, vu les [F#m] chinières qu'on traîne, je meurs de soif auprès de
[C#m] la fontaine, la chose essentielle est celle qu'on [F#m] ne dit pas, chaque histoire est un paradis
qu'on [C#m] ne vit pas, avance au ralenti, vu les [F#m] chinières qu'on traîne, je meurs de soif
auprès de la fontaine, j'irai jamais [C#m] plus loin que mes foutues idées noires, donc je
[F#m] demeure en paix, déplouillé d'illusions, donc je [C#m] demeure entier, chaque seconde jusqu'à
ce jour fut d [F#m]'un miracle, me dis-je, surplombant la vie nocturne de mon [C#m] pinacle, la création
est la seule [F#m] forme de lutte, elle apaise mon âme, d'ici que le [C#m] sort me bute, sans elle
à coup sûr j'aurais [F#m] plongé, être sière, jamais je n'y aurais [C#m] songé, encore quelques
rap et puis [F#m] tchao, somme métropolitain extirpée de mon [C#m] chaos, j'ai toujours un carnet pour
quand je [F#m] rate mon bus, inspire un bout de ville et puis [C#m] recrache mon blues, il y a Dieu et
des [F#m] cuisses de femmes, il y a mieux mais des [C#m] risques de flammes, peu d'ambition comme un
cristal c'est [F#m] d'aider, mon havre de paix tient dans ses [C#] 30 mètres [C#m] carrés, la chose essentielle
est celle qu'on ne [F#m] dit pas, chaque espoir est un paradis qu'on ne [C#m] vit pas, avance au
ralenti puisque les chimères [F#m] contentent, je meurs de soif auprès de la [C#m] fontaine, la
chose essentielle est celle qu'on ne dit [F#m] pas, chaque espoir est un paradis qu'on ne vit [C#m] pas,
avance au ralenti puisque les chimères [F#m] contrent, je meurs de soif auprès de la [C#m] fontaine.
[F#m] [C#m] [F#m] [Dm]
[C#m] [F#m]
[C#m] [F#m]
[C#m] [F#m]
[C#m] J'ai de l'hiver dans les veines et d'ici-des dans [F#m] les terres, tout décimé dans les terres,
rêve d'une cité dans [C#m] les brests et d'ici-des en effet, j'ai dessiné sans [F#m] les traits, j'ai
lésiné sur les faits, quand j'ai rimé je me [C#m] tais, la mailleur en train de commander
un café noir [F#m] sans crème, lisant des poèmes de François Vion et [C#m] Ronsantem, tous ont confondu
l'homme libre et les [F#m] slaves sans chaînes, dans un monde médiocre, l'art est vu [C#m] comme
un sans-gêne, et ça en jette, décors parfaits [F#m] pour l'esprit vide, malgré l'anticerne, ce
début de siècle [C#m] reste livide, plus que des écrans pour [F#m] camoufler l'abîme, quand la
vie est triste j'y dessine un beau [C#m] sourire cabyle, au fond j'ai toujours aimé [F#m] ça, j'ai
squatté dans les bars, écrivant dans des [C#m] gares, j'ai jamais traîné tard, des poèmes
j'en [F#m] grattais des tas, j'en rappelais des parts, tandis que mes gars [C#m] sortaient les soirs,
la chose essentielle est celle qu'on [F#m] ne dit pas, chaque histoire est un paradis qu'on
[C#m] ne vit pas, avance au ralenti, vu les [F#m] chinières qu'on traîne, je meurs de soif auprès de
[C#m] la fontaine, la chose essentielle est celle qu'on [F#m] ne dit pas, chaque histoire est un paradis
qu'on [C#m] ne vit pas, avance au ralenti, vu les [F#m] chinières qu'on traîne, je meurs de soif
auprès de la fontaine, j'irai jamais [C#m] plus loin que mes foutues idées noires, donc je
[F#m] demeure en paix, déplouillé d'illusions, donc je [C#m] demeure entier, chaque seconde jusqu'à
ce jour fut d [F#m]'un miracle, me dis-je, surplombant la vie nocturne de mon [C#m] pinacle, la création
est la seule [F#m] forme de lutte, elle apaise mon âme, d'ici que le [C#m] sort me bute, sans elle
à coup sûr j'aurais [F#m] plongé, être sière, jamais je n'y aurais [C#m] songé, encore quelques
rap et puis [F#m] tchao, somme métropolitain extirpée de mon [C#m] chaos, j'ai toujours un carnet pour
quand je [F#m] rate mon bus, inspire un bout de ville et puis [C#m] recrache mon blues, il y a Dieu et
des [F#m] cuisses de femmes, il y a mieux mais des [C#m] risques de flammes, peu d'ambition comme un
cristal c'est [F#m] d'aider, mon havre de paix tient dans ses [C#] 30 mètres [C#m] carrés, la chose essentielle
est celle qu'on ne [F#m] dit pas, chaque espoir est un paradis qu'on ne [C#m] vit pas, avance au
ralenti puisque les chimères [F#m] contentent, je meurs de soif auprès de la [C#m] fontaine, la
chose essentielle est celle qu'on ne dit [F#m] pas, chaque espoir est un paradis qu'on ne vit [C#m] pas,
avance au ralenti puisque les chimères [F#m] contrent, je meurs de soif auprès de la [C#m] fontaine.
[F#m] [C#m] [F#m] [Dm]
[C#m] [F#m]
[C#m] [F#m]
Key:
C#m
F#m
C#
Dm
C#m
F#m
C#
Dm
[C#m] _ _ _ _ [F#m] _ _ _ _
[C#m] _ _ _ _ [F#m] _ _ _
[C#m] J'ai de l'hiver dans les veines et d'ici-des dans [F#m] les terres, tout décimé dans les terres,
rêve d'une cité dans [C#m] les brests et d'ici-des en effet, j'ai dessiné sans [F#m] les traits, j'ai
lésiné sur les faits, quand j'ai rimé je me [C#m] tais, la mailleur en train de commander
un café noir [F#m] sans crème, lisant des poèmes de François Vion et [C#m] Ronsantem, tous ont confondu
l'homme libre et les [F#m] slaves sans chaînes, dans un monde médiocre, l'art est vu [C#m] comme
un sans-gêne, et ça en jette, décors parfaits [F#m] pour l'esprit vide, malgré l'anticerne, ce
début de siècle [C#m] reste livide, plus que des écrans pour [F#m] camoufler l'abîme, quand la
vie est triste j'y dessine un beau [C#m] sourire cabyle, au fond j'ai toujours aimé [F#m] ça, j'ai
squatté dans les bars, écrivant dans des [C#m] gares, j'ai jamais traîné tard, des poèmes
j'en [F#m] grattais des tas, j'en rappelais des parts, tandis que mes gars [C#m] sortaient les soirs,
la chose essentielle est celle qu'on [F#m] ne dit pas, chaque histoire est un paradis qu'on
[C#m] ne vit pas, avance au ralenti, vu les [F#m] chinières qu'on traîne, je meurs de soif auprès de
[C#m] la fontaine, la chose essentielle est celle qu'on [F#m] ne dit pas, chaque histoire est un paradis
qu'on [C#m] ne vit pas, avance au ralenti, vu les [F#m] chinières qu'on traîne, je meurs de soif
auprès de la fontaine, j'irai jamais [C#m] plus loin que mes foutues idées noires, donc je
[F#m] demeure en paix, déplouillé d'illusions, donc je [C#m] demeure entier, chaque seconde jusqu'à
ce jour fut d [F#m]'un miracle, me dis-je, surplombant la vie nocturne de mon [C#m] pinacle, la création
est la seule [F#m] forme de lutte, elle apaise mon âme, d'ici que le [C#m] sort me bute, sans elle
à coup sûr j'aurais [F#m] plongé, être sière, jamais je n'y aurais [C#m] songé, encore quelques
rap et puis [F#m] tchao, somme métropolitain extirpée de mon [C#m] chaos, j'ai toujours un carnet pour
quand je [F#m] rate mon bus, inspire un bout de ville et puis [C#m] recrache mon blues, il y a Dieu et
des [F#m] cuisses de femmes, il y a mieux mais des [C#m] risques de flammes, peu d'ambition comme un
cristal c'est [F#m] d'aider, mon havre de paix tient dans ses [C#] 30 mètres [C#m] carrés, la chose essentielle
est celle qu'on ne [F#m] dit pas, chaque espoir est un paradis qu'on ne [C#m] vit pas, avance au
ralenti puisque les chimères [F#m] contentent, je meurs de soif auprès de la [C#m] fontaine, la
chose essentielle est celle qu'on ne dit [F#m] pas, chaque espoir est un paradis qu'on ne vit [C#m] pas,
avance au ralenti puisque les chimères [F#m] contrent, je meurs de soif auprès de la [C#m] fontaine.
_ _ _ [F#m] _ _ _ _ [C#m] _ _ _ _ [F#m] _ _ _ [Dm] _
[C#m] _ _ _ _ [F#m] _ _ _ _
[C#m] _ _ _ _ [F#m] _ _ _ _
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[C#m] _ _ _ _ [F#m] _ _ _
[C#m] J'ai de l'hiver dans les veines et d'ici-des dans [F#m] les terres, tout décimé dans les terres,
rêve d'une cité dans [C#m] les brests et d'ici-des en effet, j'ai dessiné sans [F#m] les traits, j'ai
lésiné sur les faits, quand j'ai rimé je me [C#m] tais, la mailleur en train de commander
un café noir [F#m] sans crème, lisant des poèmes de François Vion et [C#m] Ronsantem, tous ont confondu
l'homme libre et les [F#m] slaves sans chaînes, dans un monde médiocre, l'art est vu [C#m] comme
un sans-gêne, et ça en jette, décors parfaits [F#m] pour l'esprit vide, malgré l'anticerne, ce
début de siècle [C#m] reste livide, plus que des écrans pour [F#m] camoufler l'abîme, quand la
vie est triste j'y dessine un beau [C#m] sourire cabyle, au fond j'ai toujours aimé [F#m] ça, j'ai
squatté dans les bars, écrivant dans des [C#m] gares, j'ai jamais traîné tard, des poèmes
j'en [F#m] grattais des tas, j'en rappelais des parts, tandis que mes gars [C#m] sortaient les soirs,
la chose essentielle est celle qu'on [F#m] ne dit pas, chaque histoire est un paradis qu'on
[C#m] ne vit pas, avance au ralenti, vu les [F#m] chinières qu'on traîne, je meurs de soif auprès de
[C#m] la fontaine, la chose essentielle est celle qu'on [F#m] ne dit pas, chaque histoire est un paradis
qu'on [C#m] ne vit pas, avance au ralenti, vu les [F#m] chinières qu'on traîne, je meurs de soif
auprès de la fontaine, j'irai jamais [C#m] plus loin que mes foutues idées noires, donc je
[F#m] demeure en paix, déplouillé d'illusions, donc je [C#m] demeure entier, chaque seconde jusqu'à
ce jour fut d [F#m]'un miracle, me dis-je, surplombant la vie nocturne de mon [C#m] pinacle, la création
est la seule [F#m] forme de lutte, elle apaise mon âme, d'ici que le [C#m] sort me bute, sans elle
à coup sûr j'aurais [F#m] plongé, être sière, jamais je n'y aurais [C#m] songé, encore quelques
rap et puis [F#m] tchao, somme métropolitain extirpée de mon [C#m] chaos, j'ai toujours un carnet pour
quand je [F#m] rate mon bus, inspire un bout de ville et puis [C#m] recrache mon blues, il y a Dieu et
des [F#m] cuisses de femmes, il y a mieux mais des [C#m] risques de flammes, peu d'ambition comme un
cristal c'est [F#m] d'aider, mon havre de paix tient dans ses [C#] 30 mètres [C#m] carrés, la chose essentielle
est celle qu'on ne [F#m] dit pas, chaque espoir est un paradis qu'on ne [C#m] vit pas, avance au
ralenti puisque les chimères [F#m] contentent, je meurs de soif auprès de la [C#m] fontaine, la
chose essentielle est celle qu'on ne dit [F#m] pas, chaque espoir est un paradis qu'on ne vit [C#m] pas,
avance au ralenti puisque les chimères [F#m] contrent, je meurs de soif auprès de la [C#m] fontaine.
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[C#m] _ _ _ _ [F#m] _ _ _ _
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