Chords for Médicinalma - Nuit - Extrait de les médecines de l'âme

Tempo:
65.15 bpm
Chords used:

Em

E

B

D

Bm

Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
Show Tuner
Médicinalma - Nuit - Extrait de les médecines de l'âme chords
Start Jamming...
[Em] [E]
[Bb] [Em]
[B]
Nuit.
[E] Regardez les lettres de feu que dessinent les étoiles dans le grand noir.
Sentir que l'encre coule dans nos veines et que tout reste à écrire.
[Em] Nuit.
La nuit nous prête ses mots.
La nuit aiguise nos lames.
C'est notre histoire.
[B] Nuit.
Les mots sont toutes ces vies qui vivent dans nous et [Gb] contre lesquelles la mort physique
ne [Em] peut rien.
Nuit.
Verser [E] l'encre alimentant le vaste [Abm] incendie de la pensée humaine quand elle n'est plus
qu'une [Em] immense machine à produire et à [E] obéir.
Nuit.
Sentir que nous gardons l'empreinte de ce jour mais aussi les marques d'une autre [Em] mémoire.
Nuit.
L'écriture est le lin [E] de cette corde tendue dont parle Nietzsche.
Cette corde se pond au [Em]-dessus de l'abîme.
Cette transition se lien comme une bouche ouverte reliant à force de mots et de gestes
la douleur à l'espoir et l'homme à l'étoile.
Nuit.
Étranges sont les sentiers qu'on coule parfois dans le ciel dès le début.
Frisson, intuition, flèche [E] sensuelle qui pèsent les puraces.
Regarde là-bas.
Voie ce que tu veux voir.
Voie les mots qui te sont calices.
Crache ceux qui te sont poisons.
Les mots sont d'étonnantes rencontres obscures, tremblantes, farouches, fugitives.
Leur écho se cogne au ciel et vient rebondir dans les cœurs.
Divin météore.
L'écriture est le [Dbm] fleuve, l'écriture est le ciel.
Le noir et le [D] bleu des visions de l'imagination, les [Bm] dessins d'un langage à la fois mystérieux
et familier d'un [Abm] au-delà qui est en nous.
Ça parle [Em] plein de langues, ça parle plein de sons [C] à l'intérieur.
Des multitudes de jeux qui sont lui ou elle qui sont [E] nous.
[Em]
[B] Les [Em] mots sont le lien, le lien entre les hommes, [B] entre les hommes et les [Em] âges.
Aie poète celui qui entend le chant des [D] magies anciennes et guérisseuses.
Le mot, écrire.
Un [Em] trait, une note, un cri.
Instinct de survie.
L'écriture aide tout le monde, elle aide à tout le monde.
[Gb] Faisceau de vie et de couleurs, de mémoires et de [Em] blessures, de rêves et d'espoirs.
L'écriture est [E] un appel.
Répondre ou [Em] ne pas répondre à l'appel, elle est la question.
Répondre à l'appel c'est ouvrir des portes secrètes sur le moi et le monde.
L'écriture comme [B] l'histoire d'un théâtre.
Un [Em] théâtre en friche que l'on se doit de laisser à l'air libre.
Un théâtre que l'on se doit de brûler à chaque mot.
Un théâtre abreuvé de feu.
[D] Violent et par l'orage caressé par l'étoile.
[E] Un théâtre [Em] ambulant, un cœur grand pour propager notre rage de vivre et fuir la sagesse grouillante des rues.
Lever les yeux et regarder le ciel.
Nietzsche ou l'histoire de l'homme libéré, seul et [Bm] tenant l'univers au bout d'un [Em] rêve.
Théâtre avons-nous dit, [D] mais quelle pièce y ont-nous ?
Celle de l'arbre, du fleuve écriture, de l [A]'anarchie comme battement d'aile, de [E] la vie comme elle vient.
D'une génération minuscule et perdue dans l'immensité astrale.
Et tout ça sur les mêmes planches, la même scène, la même prairie, les mêmes steps immenses et éternels.
Des [Em] fous de nos âmes et nos cœurs, depuis le premier souffle.
[E] Nous sommes les loups d'un autre temps.
Chaque chanson, chaque poème est un petit théâtre.
Une pièce liant les sources souterraines du fleuve qui, depuis l'origine, depuis le chaos des mots,
[Ab] abreuvent les fièvres écrits qui nous tiennent dans vie.
[Em] [Bm]
Key:  
Em
121
E
2311
B
12341112
D
1321
Bm
13421112
Em
121
E
2311
B
12341112
Show All Diagrams
Chords
NotesBeta
Download PDF
Download Midi
Edit This Version
Hide Lyrics Hint
_ _ _ _ _ [Em] _ _ [E] _
_ _ _ _ _ [Bb] _ _ [Em] _
_ _ _ [B] _ _ _ _ _
_ _ _ Nuit.
[E] Regardez les lettres de feu que dessinent les étoiles dans le grand noir.
Sentir que l'encre coule dans nos veines et que tout reste à écrire.
[Em] Nuit.
La nuit nous prête ses mots.
La nuit aiguise nos lames.
C'est notre histoire. _ _ _ _ _ _ _
[B] Nuit.
Les mots sont toutes ces vies qui vivent dans nous et [Gb] contre lesquelles la mort physique
ne [Em] peut rien.
Nuit.
Verser [E] l'encre alimentant le vaste [Abm] incendie de la pensée humaine quand elle n'est plus
qu'une [Em] immense machine à produire et à [E] obéir.
Nuit.
Sentir que nous gardons l'empreinte de ce jour mais aussi les marques d'une autre [Em] mémoire.
Nuit.
_ L'écriture est le lin [E] de cette corde tendue dont parle Nietzsche.
Cette corde se pond au [Em]-dessus de l'abîme.
Cette transition se lien comme une bouche ouverte reliant à force de mots et de gestes
la douleur à l'espoir et l'homme à l'étoile.
Nuit.
Étranges sont les sentiers qu'on coule parfois dans le ciel dès le début.
_ Frisson, intuition, flèche [E] sensuelle qui pèsent les puraces.
Regarde là-bas.
Voie ce que tu veux voir.
Voie les mots qui te sont calices.
Crache ceux qui te sont poisons.
Les mots sont d'étonnantes rencontres obscures, tremblantes, farouches, fugitives.
Leur écho se cogne au ciel et vient rebondir dans les cœurs.
Divin météore.
L'écriture est le [Dbm] fleuve, l'écriture est le ciel.
Le noir et le [D] bleu des visions de l'imagination, les [Bm] dessins d'un langage à la fois mystérieux
et familier d'un [Abm] au-delà qui est en nous.
Ça parle [Em] plein de langues, ça parle plein de sons [C] à l'intérieur.
Des multitudes de jeux qui sont lui ou elle qui sont [E] nous.
_ [Em] _
_ _ _ _ _ [B] Les [Em] mots sont le lien, le lien entre les hommes, [B] entre les hommes et les [Em] âges.
Aie poète celui qui entend le chant des [D] magies anciennes et guérisseuses.
Le mot, écrire.
Un [Em] trait, une note, un cri.
Instinct de survie.
L'écriture aide tout le monde, elle aide à tout le monde.
[Gb] Faisceau de vie et de couleurs, de mémoires et de [Em] blessures, de rêves et d'espoirs.
L'écriture est [E] un appel.
Répondre ou [Em] ne pas répondre à l'appel, elle est la question.
_ _ Répondre à l'appel c'est ouvrir des portes secrètes sur le moi et le monde.
L'écriture comme [B] l'histoire d'un théâtre.
Un [Em] théâtre en friche que l'on se doit de laisser à l'air libre.
Un théâtre que l'on se doit de brûler à chaque mot.
Un théâtre abreuvé de feu.
[D] Violent et par l'orage caressé par l'étoile.
[E] Un théâtre [Em] ambulant, un cœur grand pour propager notre rage de vivre et fuir la sagesse grouillante des rues.
Lever les yeux et regarder le ciel.
Nietzsche ou l'histoire de l'homme libéré, seul et [Bm] tenant l'univers au bout d'un [Em] rêve.
Théâtre avons-nous dit, [D] mais quelle pièce y ont-nous ?
Celle de l'arbre, du fleuve écriture, de l [A]'anarchie comme battement d'aile, de [E] la vie comme elle vient.
D'une génération minuscule et perdue dans l'immensité astrale.
Et tout ça sur les mêmes planches, la même scène, la même prairie, les mêmes steps immenses et éternels.
Des [Em] fous de nos âmes et nos cœurs, depuis le premier souffle.
_ _ _ [E] Nous sommes les loups d'un autre temps.
Chaque chanson, chaque poème est un petit théâtre.
Une pièce liant les sources souterraines du fleuve qui, depuis l'origine, depuis le chaos des mots,
[Ab] abreuvent les fièvres écrits qui nous tiennent dans vie.
[Em] _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _
_ _ _ _ _ _ _ _
_ _ [Bm] _ _ _ _ _ _