Chords for Mal aux mains
Tempo:
64.1 bpm
Chords used:
Bm
B
A
F#m
G
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
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[B]
[Bm] J'ai mal aux mains, monsieur, parce que je travaille depuis trente ans.
Je suis à mon poste, monsieur, huit heures par jour et 47 semaines par an.
Je serre des boulons sur des machines qui fabriqueront les voitures de demain.
Je suis un homme de douleur, fabricant des robots qui n'auront jamais mal aux mains.
[B] [Bm]
[B] [Bm] Ouvrier depuis toujours, j'ai le secteur et le moral [B] en crise.
J'ai les mains rouges, les ongles noirs et les tempes grises.
Je suis une force de travail qui a perdu toute sa force.
Qui a plus de force dans les rêves et plus [F#m] de sève sous l'écorce.
[B] J'ai mal aux doigts, j'ai mal aux mains, j'ai mal aux années qui m'attendent.
Je ne peux pas montrer l'avenir au loin tellement je souffre quand mes doigts se tendent.
Regardez-les, ils sont rigides et rouillés comme des clous de cercueil.
Je suis un Edouard aux mains de rouille et au sourire en trompe l'œil.
[Bm] [B] [Bm]
[B]
[Bm] Moi tout ce que je veux quand vient le soir c'est faire l'amour avec ma femme.
[G] Sous des doigts lisses sentir son poux sans que mon désir se [Bm] désquame.
Je veux plus souffrir lorsque ma peau m'épouse la courbe de son sein.
[B] Je veux plus sentir que chaque atome de son corps saigne sous mes [Bm] mains.
Mais je suis coincé, je ne peux rien dans cette carcasse d'instruments.
[B] Ce corps-machine qui appartient aux [Bm] bénéfices et au rendement.
Il faut produire alors je produis, c'est ma condition d'homme de chaîne.
[B] Petit maillon du grand profit, qu'est-ce que je travaille à la [Bm] peine ?
Faut produire alors je produis, je serre les dents et des boulons.
Il faut [B] produire alors je produis, je ne serre à rien mais je serre à [Bm] fond.
Faut produire alors je produis, faut produire alors je [B] produis, alors je produis, alors je produis, alors je produis.
[Bm] [B]
[Bm] [F#]
[Bm] [B]
[Bm] [B] [A]
[Bm] J'ai mal aux mains, monsieur, parce que je travaille pour ma survie.
Je serai à mon poste, monsieur, [B] huit heures par jour et quarante-quatre années de ma vie.
[Bm] Je suis en colère, monsieur, mais cette colère, elle ne me sert à rien.
Parce que j'ai serré tant de boulons, monsieur, [A] que je ne peux même plus serrer les poings.
[N] [A#]
[Bm] J'ai mal aux mains, monsieur, parce que je travaille depuis trente ans.
Je suis à mon poste, monsieur, huit heures par jour et 47 semaines par an.
Je serre des boulons sur des machines qui fabriqueront les voitures de demain.
Je suis un homme de douleur, fabricant des robots qui n'auront jamais mal aux mains.
[B] [Bm]
[B] [Bm] Ouvrier depuis toujours, j'ai le secteur et le moral [B] en crise.
J'ai les mains rouges, les ongles noirs et les tempes grises.
Je suis une force de travail qui a perdu toute sa force.
Qui a plus de force dans les rêves et plus [F#m] de sève sous l'écorce.
[B] J'ai mal aux doigts, j'ai mal aux mains, j'ai mal aux années qui m'attendent.
Je ne peux pas montrer l'avenir au loin tellement je souffre quand mes doigts se tendent.
Regardez-les, ils sont rigides et rouillés comme des clous de cercueil.
Je suis un Edouard aux mains de rouille et au sourire en trompe l'œil.
[Bm] [B] [Bm]
[B]
[Bm] Moi tout ce que je veux quand vient le soir c'est faire l'amour avec ma femme.
[G] Sous des doigts lisses sentir son poux sans que mon désir se [Bm] désquame.
Je veux plus souffrir lorsque ma peau m'épouse la courbe de son sein.
[B] Je veux plus sentir que chaque atome de son corps saigne sous mes [Bm] mains.
Mais je suis coincé, je ne peux rien dans cette carcasse d'instruments.
[B] Ce corps-machine qui appartient aux [Bm] bénéfices et au rendement.
Il faut produire alors je produis, c'est ma condition d'homme de chaîne.
[B] Petit maillon du grand profit, qu'est-ce que je travaille à la [Bm] peine ?
Faut produire alors je produis, je serre les dents et des boulons.
Il faut [B] produire alors je produis, je ne serre à rien mais je serre à [Bm] fond.
Faut produire alors je produis, faut produire alors je [B] produis, alors je produis, alors je produis, alors je produis.
[Bm] [B]
[Bm] [F#]
[Bm] [B]
[Bm] [B] [A]
[Bm] J'ai mal aux mains, monsieur, parce que je travaille pour ma survie.
Je serai à mon poste, monsieur, [B] huit heures par jour et quarante-quatre années de ma vie.
[Bm] Je suis en colère, monsieur, mais cette colère, elle ne me sert à rien.
Parce que j'ai serré tant de boulons, monsieur, [A] que je ne peux même plus serrer les poings.
[N] [A#]
Key:
Bm
B
A
F#m
G
Bm
B
A
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_ _ _ _ _ _ _ _
_ _ _ _ _ _ [B] _ _
_ _ _ [Bm] J'ai mal aux mains, monsieur, parce que je travaille depuis trente ans.
Je suis à mon poste, monsieur, huit heures par jour et 47 semaines par an.
Je serre des boulons sur des machines qui fabriqueront les voitures de demain.
Je suis un homme de douleur, fabricant des robots qui n'auront jamais mal aux mains. _ _
_ _ [B] _ _ [Bm] _ _ _ _
_ _ [B] _ _ _ [Bm] Ouvrier depuis toujours, j'ai le secteur et le moral [B] en crise.
J'ai les mains rouges, les ongles noirs et les tempes grises.
Je suis une force de travail qui a perdu toute sa force.
Qui a plus de force dans les rêves et plus [F#m] de sève sous l'écorce.
[B] J'ai mal aux doigts, j'ai mal aux mains, j'ai mal aux années qui m'attendent.
Je ne peux pas montrer l'avenir au loin tellement je souffre quand mes doigts se tendent.
Regardez-les, ils sont rigides et rouillés comme des clous de cercueil.
Je suis un Edouard aux mains de rouille et au sourire en trompe l'œil.
[Bm] _ _ _ _ [B] _ _ _ [Bm] _
_ _ _ _ [B] _ _ _
[Bm] Moi tout ce que je veux quand vient le soir c'est faire l'amour avec ma femme.
[G] Sous des doigts lisses sentir son poux sans que mon désir se [Bm] désquame.
Je veux plus souffrir lorsque ma peau m'épouse la courbe de son sein.
[B] Je veux plus sentir que chaque atome de son corps saigne sous mes [Bm] mains.
Mais je suis coincé, je ne peux rien dans cette carcasse d'instruments.
[B] Ce corps-machine qui appartient aux [Bm] bénéfices et au rendement.
Il faut produire alors je produis, c'est ma condition d'homme de chaîne.
[B] Petit maillon du grand profit, qu'est-ce que je travaille à la [Bm] peine ?
Faut produire alors je produis, je serre les dents et des boulons.
Il faut [B] produire alors je produis, je ne serre à rien mais je serre à [Bm] fond.
Faut produire alors je produis, faut produire alors je [B] produis, alors je produis, alors je produis, alors je produis.
[Bm] _ _ _ _ [B] _ _ _ _
[Bm] _ _ _ _ [F#] _ _ _ _
[Bm] _ _ _ _ [B] _ _ _ _
[Bm] _ _ _ _ [B] _ _ [A] _ _
_ _ _ _ [Bm] J'ai mal aux mains, monsieur, parce que je travaille pour ma survie.
Je serai à mon poste, monsieur, [B] huit heures par jour et quarante-quatre années de ma vie.
[Bm] Je suis en colère, monsieur, mais cette colère, elle ne me sert à rien.
Parce que j'ai serré tant de boulons, monsieur, [A] que je ne peux même plus serrer les poings.
_ _ _ [N] _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ [A#] _
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_ _ _ _ _ _ _ _
_ _ _ _ _ _ [B] _ _
_ _ _ [Bm] J'ai mal aux mains, monsieur, parce que je travaille depuis trente ans.
Je suis à mon poste, monsieur, huit heures par jour et 47 semaines par an.
Je serre des boulons sur des machines qui fabriqueront les voitures de demain.
Je suis un homme de douleur, fabricant des robots qui n'auront jamais mal aux mains. _ _
_ _ [B] _ _ [Bm] _ _ _ _
_ _ [B] _ _ _ [Bm] Ouvrier depuis toujours, j'ai le secteur et le moral [B] en crise.
J'ai les mains rouges, les ongles noirs et les tempes grises.
Je suis une force de travail qui a perdu toute sa force.
Qui a plus de force dans les rêves et plus [F#m] de sève sous l'écorce.
[B] J'ai mal aux doigts, j'ai mal aux mains, j'ai mal aux années qui m'attendent.
Je ne peux pas montrer l'avenir au loin tellement je souffre quand mes doigts se tendent.
Regardez-les, ils sont rigides et rouillés comme des clous de cercueil.
Je suis un Edouard aux mains de rouille et au sourire en trompe l'œil.
[Bm] _ _ _ _ [B] _ _ _ [Bm] _
_ _ _ _ [B] _ _ _
[Bm] Moi tout ce que je veux quand vient le soir c'est faire l'amour avec ma femme.
[G] Sous des doigts lisses sentir son poux sans que mon désir se [Bm] désquame.
Je veux plus souffrir lorsque ma peau m'épouse la courbe de son sein.
[B] Je veux plus sentir que chaque atome de son corps saigne sous mes [Bm] mains.
Mais je suis coincé, je ne peux rien dans cette carcasse d'instruments.
[B] Ce corps-machine qui appartient aux [Bm] bénéfices et au rendement.
Il faut produire alors je produis, c'est ma condition d'homme de chaîne.
[B] Petit maillon du grand profit, qu'est-ce que je travaille à la [Bm] peine ?
Faut produire alors je produis, je serre les dents et des boulons.
Il faut [B] produire alors je produis, je ne serre à rien mais je serre à [Bm] fond.
Faut produire alors je produis, faut produire alors je [B] produis, alors je produis, alors je produis, alors je produis.
[Bm] _ _ _ _ [B] _ _ _ _
[Bm] _ _ _ _ [F#] _ _ _ _
[Bm] _ _ _ _ [B] _ _ _ _
[Bm] _ _ _ _ [B] _ _ [A] _ _
_ _ _ _ [Bm] J'ai mal aux mains, monsieur, parce que je travaille pour ma survie.
Je serai à mon poste, monsieur, [B] huit heures par jour et quarante-quatre années de ma vie.
[Bm] Je suis en colère, monsieur, mais cette colère, elle ne me sert à rien.
Parce que j'ai serré tant de boulons, monsieur, [A] que je ne peux même plus serrer les poings.
_ _ _ [N] _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ [A#] _
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