Chords for Marc Robine "La mémoire et la mer" de Léo Ferré
Tempo:
103.5 bpm
Chords used:
Em
D
Am
C
Bm
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
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[Em]
La marée gelée dans le cœur qui me remonte comme [D] un signe,
Je meurs de ma petite sœur, de mon enfant et de [C] mon cygne,
Un bateau ça dépend comment, on l'arrime au port de [D] justesse,
Ils pleurent de mon [Bm] fier maman, des années [E]-lumière [Am] et j'en laisse,
Je suis le fantôme jersey, celui qui vient les [G] soirs de frime,
Te lancer la brume en baiser et te ramasser [Am] dans ses rimes,
Comme le trémaille de juillet où luisait le loup [Em] solitaire,
Celui que je voyais [D] briller [Em] aux [C] doigts du [Em] sable de la terre,
Rappelle-toi ce chien de mer que nous libérions sur [Bm] parole,
Et qui gueule dans le désert [D] des goémons de [C] Nécropole,
Je suis sûr que la vie est là, avec ses poumons de [Bm] flanel,
Quand il pleure de ces temps-là, le froid tout [Am] gris qui nous appelle,
Je me souviens des soirs là-bas et des springs gagnés [G] sur l'écume,
Cette bave des chevaux rats, aux rats des rocs qui [Am] se consument,
Aux langes des plaisirs perdus, aux rumeurs d [Em]'une autre habitude,
Mes désirs dès lors [Bm] ne sont plus [Em] qu [C] [Bm]'un chagrin de ma [E] solitude,
[B] [Em]
Et le diable des soirs conquis, avec ses pâleurs de [Bm] rescousse,
Et le squale des [D] paradis, dans le milieu [C] mouillé de mousse,
Revient fille verte des fjords, revient violent des [Bm] violonades,
Dans le port fanfare les corps pour le retour des [Am] camarades,
Aux parfums rares des salants, dans le poivre-feu des [G] gersures,
Quand j'allais géométrisant mon âme au creux [Em] de [Am] ta blessure,
Dans le désordre de ton cul, poissé dans les draps [Em] d'aube fine,
Je voyais un vitrail [D] de pluie, [F#] et toi fille verte [Em] mon spleen,
Les coquillages figurants, sous les sunlights cassés,
Les liquides joues de la [D] castagnette, tant qu'on dirait l'Espagne [C] livide,
Dieu des granites, ayez pitié de leur vocation de [D] parure,
Quand le couteau vient [Bm] s'immiscer dans leur castagnette [Am] figure,
Et je voyais ce qu'on pressent, quand on pressent l [G]'entrevoyure,
Entre les persiennes du sang, et que les [Em] globules [Am] figurent,
Une mathématique bleue, dans cette mer jamais [Em] étale,
D'où nous remonte [D] peu à peu,
[C] cette mémoire [Em] des étoiles,
Cette rumeur qui vient de là, sous la copain où [D] je m'aveugle,
Ces mains qui me font du flafla, ces mains [C] ruminantes qui meuglent,
Cette rumeur me suit longtemps, comme un mendiant sous [Bm] l'anathème,
Comme l'ombre qui perd son temps, a dessiné mon [Am] théorème,
Et sous mon maquillage roux, s'en vient battre comme [G] une porte,
Cette rumeur qui va debout, dans la rue aux [Am] musiques mortes,
C'est fini, la mer c'est fini, sur la plage le [Em] sable bêle,
Comme des moutons d'infini,
[C] quand la mer Bergère m'appelle.
[Em]
Sous-titres par Juanfrance
La marée gelée dans le cœur qui me remonte comme [D] un signe,
Je meurs de ma petite sœur, de mon enfant et de [C] mon cygne,
Un bateau ça dépend comment, on l'arrime au port de [D] justesse,
Ils pleurent de mon [Bm] fier maman, des années [E]-lumière [Am] et j'en laisse,
Je suis le fantôme jersey, celui qui vient les [G] soirs de frime,
Te lancer la brume en baiser et te ramasser [Am] dans ses rimes,
Comme le trémaille de juillet où luisait le loup [Em] solitaire,
Celui que je voyais [D] briller [Em] aux [C] doigts du [Em] sable de la terre,
Rappelle-toi ce chien de mer que nous libérions sur [Bm] parole,
Et qui gueule dans le désert [D] des goémons de [C] Nécropole,
Je suis sûr que la vie est là, avec ses poumons de [Bm] flanel,
Quand il pleure de ces temps-là, le froid tout [Am] gris qui nous appelle,
Je me souviens des soirs là-bas et des springs gagnés [G] sur l'écume,
Cette bave des chevaux rats, aux rats des rocs qui [Am] se consument,
Aux langes des plaisirs perdus, aux rumeurs d [Em]'une autre habitude,
Mes désirs dès lors [Bm] ne sont plus [Em] qu [C] [Bm]'un chagrin de ma [E] solitude,
[B] [Em]
Et le diable des soirs conquis, avec ses pâleurs de [Bm] rescousse,
Et le squale des [D] paradis, dans le milieu [C] mouillé de mousse,
Revient fille verte des fjords, revient violent des [Bm] violonades,
Dans le port fanfare les corps pour le retour des [Am] camarades,
Aux parfums rares des salants, dans le poivre-feu des [G] gersures,
Quand j'allais géométrisant mon âme au creux [Em] de [Am] ta blessure,
Dans le désordre de ton cul, poissé dans les draps [Em] d'aube fine,
Je voyais un vitrail [D] de pluie, [F#] et toi fille verte [Em] mon spleen,
Les coquillages figurants, sous les sunlights cassés,
Les liquides joues de la [D] castagnette, tant qu'on dirait l'Espagne [C] livide,
Dieu des granites, ayez pitié de leur vocation de [D] parure,
Quand le couteau vient [Bm] s'immiscer dans leur castagnette [Am] figure,
Et je voyais ce qu'on pressent, quand on pressent l [G]'entrevoyure,
Entre les persiennes du sang, et que les [Em] globules [Am] figurent,
Une mathématique bleue, dans cette mer jamais [Em] étale,
D'où nous remonte [D] peu à peu,
[C] cette mémoire [Em] des étoiles,
Cette rumeur qui vient de là, sous la copain où [D] je m'aveugle,
Ces mains qui me font du flafla, ces mains [C] ruminantes qui meuglent,
Cette rumeur me suit longtemps, comme un mendiant sous [Bm] l'anathème,
Comme l'ombre qui perd son temps, a dessiné mon [Am] théorème,
Et sous mon maquillage roux, s'en vient battre comme [G] une porte,
Cette rumeur qui va debout, dans la rue aux [Am] musiques mortes,
C'est fini, la mer c'est fini, sur la plage le [Em] sable bêle,
Comme des moutons d'infini,
[C] quand la mer Bergère m'appelle.
[Em]
Sous-titres par Juanfrance
Key:
Em
D
Am
C
Bm
Em
D
Am
[Em] _ _ _ _ _ _
_ _ _ La marée gelée dans le cœur qui me remonte comme [D] un signe,
Je meurs de ma petite sœur, de mon enfant et de [C] mon cygne,
Un bateau ça dépend comment, on l'arrime au port de [D] justesse,
Ils pleurent de mon [Bm] fier maman, des années [E]-lumière [Am] et j'en laisse,
Je suis le fantôme jersey, celui qui vient les [G] soirs de frime,
Te lancer la brume en baiser et te ramasser [Am] dans ses rimes,
Comme le trémaille de juillet où luisait le loup [Em] solitaire, _ _ _
Celui que je voyais [D] briller [Em] aux [C] _ doigts du [Em] sable de la terre, _ _ _ _
_ _ _ _ Rappelle-toi ce chien de mer que nous libérions sur [Bm] parole,
Et qui gueule dans le désert [D] des goémons de [C] Nécropole,
Je suis sûr que la vie est là, avec ses poumons de [Bm] flanel,
Quand il pleure de ces temps-là, le froid tout [Am] gris qui nous appelle,
Je me souviens des soirs là-bas et des springs gagnés [G] sur l'écume,
Cette bave des chevaux rats, aux rats des rocs qui [Am] se consument,
Aux langes des plaisirs perdus, aux rumeurs d [Em]'une autre habitude, _ _ _
Mes désirs dès lors [Bm] ne sont plus [Em] qu [C] _ [Bm]'un chagrin de ma [E] solitude,
_ [B] _ _ [Em] _
_ _ _ Et le diable des soirs conquis, avec ses pâleurs de [Bm] rescousse,
Et le squale des [D] paradis, dans le milieu [C] mouillé de mousse,
Revient fille verte des fjords, revient violent des [Bm] violonades,
Dans le port fanfare les corps pour le retour des [Am] camarades,
Aux parfums rares des salants, dans le poivre-feu des [G] gersures,
Quand j'allais _ géométrisant mon âme au creux [Em] de [Am] ta blessure,
Dans le désordre de ton cul, poissé dans les draps [Em] d'aube fine, _ _ _
Je voyais un vitrail [D] de pluie, _ [F#] _ et toi fille verte [Em] mon spleen, _ _ _ _
_ _ _ Les coquillages figurants, sous les sunlights cassés,
Les liquides joues de la [D] castagnette, tant qu'on dirait l'Espagne [C] livide,
Dieu des granites, ayez pitié de leur vocation de [D] parure,
Quand le couteau vient [Bm] s'immiscer dans leur castagnette [Am] figure,
Et je voyais ce qu'on pressent, quand on pressent l [G]'entrevoyure,
Entre les persiennes du sang, et que les [Em] globules [Am] _ figurent,
Une mathématique bleue, dans cette mer jamais [Em] étale, _ _ _
D'où nous remonte [D] peu à peu, _
_ [C] _ cette mémoire [Em] des étoiles, _ _ _ _
_ _ _ _ Cette rumeur qui vient de là, sous la copain où [D] je m'aveugle,
Ces mains qui me font du flafla, ces mains [C] ruminantes qui meuglent,
Cette rumeur me suit longtemps, comme un mendiant sous [Bm] l'anathème,
Comme l'ombre qui perd son temps, a dessiné mon [Am] théorème,
Et sous mon maquillage roux, s'en vient battre comme [G] une porte,
Cette rumeur qui va debout, dans la rue aux [Am] musiques mortes,
C'est fini, la mer c'est fini, sur la plage le [Em] sable bêle, _ _ _
Comme des moutons d'infini, _
_ [C] _ quand la mer Bergère m'appelle.
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Sous-titres par Juanfrance _ _ _ _
_ _ _ La marée gelée dans le cœur qui me remonte comme [D] un signe,
Je meurs de ma petite sœur, de mon enfant et de [C] mon cygne,
Un bateau ça dépend comment, on l'arrime au port de [D] justesse,
Ils pleurent de mon [Bm] fier maman, des années [E]-lumière [Am] et j'en laisse,
Je suis le fantôme jersey, celui qui vient les [G] soirs de frime,
Te lancer la brume en baiser et te ramasser [Am] dans ses rimes,
Comme le trémaille de juillet où luisait le loup [Em] solitaire, _ _ _
Celui que je voyais [D] briller [Em] aux [C] _ doigts du [Em] sable de la terre, _ _ _ _
_ _ _ _ Rappelle-toi ce chien de mer que nous libérions sur [Bm] parole,
Et qui gueule dans le désert [D] des goémons de [C] Nécropole,
Je suis sûr que la vie est là, avec ses poumons de [Bm] flanel,
Quand il pleure de ces temps-là, le froid tout [Am] gris qui nous appelle,
Je me souviens des soirs là-bas et des springs gagnés [G] sur l'écume,
Cette bave des chevaux rats, aux rats des rocs qui [Am] se consument,
Aux langes des plaisirs perdus, aux rumeurs d [Em]'une autre habitude, _ _ _
Mes désirs dès lors [Bm] ne sont plus [Em] qu [C] _ [Bm]'un chagrin de ma [E] solitude,
_ [B] _ _ [Em] _
_ _ _ Et le diable des soirs conquis, avec ses pâleurs de [Bm] rescousse,
Et le squale des [D] paradis, dans le milieu [C] mouillé de mousse,
Revient fille verte des fjords, revient violent des [Bm] violonades,
Dans le port fanfare les corps pour le retour des [Am] camarades,
Aux parfums rares des salants, dans le poivre-feu des [G] gersures,
Quand j'allais _ géométrisant mon âme au creux [Em] de [Am] ta blessure,
Dans le désordre de ton cul, poissé dans les draps [Em] d'aube fine, _ _ _
Je voyais un vitrail [D] de pluie, _ [F#] _ et toi fille verte [Em] mon spleen, _ _ _ _
_ _ _ Les coquillages figurants, sous les sunlights cassés,
Les liquides joues de la [D] castagnette, tant qu'on dirait l'Espagne [C] livide,
Dieu des granites, ayez pitié de leur vocation de [D] parure,
Quand le couteau vient [Bm] s'immiscer dans leur castagnette [Am] figure,
Et je voyais ce qu'on pressent, quand on pressent l [G]'entrevoyure,
Entre les persiennes du sang, et que les [Em] globules [Am] _ figurent,
Une mathématique bleue, dans cette mer jamais [Em] étale, _ _ _
D'où nous remonte [D] peu à peu, _
_ [C] _ cette mémoire [Em] des étoiles, _ _ _ _
_ _ _ _ Cette rumeur qui vient de là, sous la copain où [D] je m'aveugle,
Ces mains qui me font du flafla, ces mains [C] ruminantes qui meuglent,
Cette rumeur me suit longtemps, comme un mendiant sous [Bm] l'anathème,
Comme l'ombre qui perd son temps, a dessiné mon [Am] théorème,
Et sous mon maquillage roux, s'en vient battre comme [G] une porte,
Cette rumeur qui va debout, dans la rue aux [Am] musiques mortes,
C'est fini, la mer c'est fini, sur la plage le [Em] sable bêle, _ _ _
Comme des moutons d'infini, _
_ [C] _ quand la mer Bergère m'appelle.
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Sous-titres par Juanfrance _ _ _ _