Chords for merci pour la douleur
Tempo:
89.1 bpm
Chords used:
C#
B
A
Bm
F#m
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
Start Jamming...
Depuis enfant, [Bm] j'ai pas compris [F#m] souvent.
A chaque balade, à chaque coin de rue, j'ai calculé le prix du temps.
[C#] Au point que cet enfoiré m'en a pris du temps.
Du coup maintenant je vois plus l'amour dans un grain de sable,
je le croise dans des tout petits [F#m] mouvements,
dans des phares de voiture, dans un battement de cils,
dans la fumée s'élevant d'un café bien noir, sec, chaud, brûlant,
[F#m] sans sucre s'il [B] vous plaît.
Et chez moi les gens ils pleurent pas.
[A] Ils disent c'est la poussière s'il y a des écoulements.
Je les crois pas.
[Bm] Les gens ont l'air de s'aimer pourtant.
[F#m]
Je les crois pas.
Je trouve moi dans le fin fond en train de faire danser les braises,
[C#] et on s'emmerde tellement je crois même l'ennui s'ennuie.
Et je pense qu'à chercher ce qui finira mon [C#m] texte,
regarde mes [C#] yeux quand on vit, regarde mon coeur quand on [Bm] baise.
Dimanche [A] 10h je me badgeais avec le soleil,
et il me met le rouge au jou.
Moi enfant je rêvais tout beaucoup
[B] qu'il serait le premier à avoir ce qu'il avait tout au bout.
[C#] Et papa il me disait il faut [F#] prendre du recul.
À [B] 9 ans j'ai tiré avec un des fusils de l'armoire et j'en ai pris trop du recul.
[A] J'ai fini à un mètre derrière [Bm] sur le cul ouais j'en ai pris trop du recul.
[A] C'est comme ça ici.
[B] La réalité elle fait pousser le blé,
[C#] la réalité elle fait bouffer les hommes,
la réalité elle a un drapeau élevé en titubant,
elle attend juste un coup de téléphone.
[F#m] Mais y'a pas de réseau.
[Bm] Donc on squatte les rues, les champs, les [A] arrêts de cars.
J'étudie les pavés de la ferme de mon grand-père,
l'odeur de la haïte framboise entre le bruit du [E] silence et le bruit des motocross.
7h25 [F#m] mercredi 15 juin, je suis encore déçu.
[F#]
Et le pire c'est que ça m [Bm]'étonne même plus.
Elle me dit oui [A] mais, oui mais,
un truc où je [B] dois capter le rébut.
[C#] Merci pour la douleur,
merci pour les couleurs,
merci pour la douceur,
[A] et de rien [Bm] pour tout.
J'avais comme un pic.
[A] Donc ce que j'ai fait c'est que
[C#] j'ai pris le soleil avec lequel je me suis battu juste avant
et je l'ai [B] serré tellement fort contre ma poitrine que la nuit allait tomber.
[C#] Et je me suis dit merde je l'ai éteint.
[F#] Comme une pauvre cigarette.
[B] Mais là on parle du soleil frérot.
C'est pas rien.
[F#] [B]
A chaque balade, à chaque coin de rue, j'ai calculé le prix du temps.
[C#] Au point que cet enfoiré m'en a pris du temps.
Du coup maintenant je vois plus l'amour dans un grain de sable,
je le croise dans des tout petits [F#m] mouvements,
dans des phares de voiture, dans un battement de cils,
dans la fumée s'élevant d'un café bien noir, sec, chaud, brûlant,
[F#m] sans sucre s'il [B] vous plaît.
Et chez moi les gens ils pleurent pas.
[A] Ils disent c'est la poussière s'il y a des écoulements.
Je les crois pas.
[Bm] Les gens ont l'air de s'aimer pourtant.
[F#m]
Je les crois pas.
Je trouve moi dans le fin fond en train de faire danser les braises,
[C#] et on s'emmerde tellement je crois même l'ennui s'ennuie.
Et je pense qu'à chercher ce qui finira mon [C#m] texte,
regarde mes [C#] yeux quand on vit, regarde mon coeur quand on [Bm] baise.
Dimanche [A] 10h je me badgeais avec le soleil,
et il me met le rouge au jou.
Moi enfant je rêvais tout beaucoup
[B] qu'il serait le premier à avoir ce qu'il avait tout au bout.
[C#] Et papa il me disait il faut [F#] prendre du recul.
À [B] 9 ans j'ai tiré avec un des fusils de l'armoire et j'en ai pris trop du recul.
[A] J'ai fini à un mètre derrière [Bm] sur le cul ouais j'en ai pris trop du recul.
[A] C'est comme ça ici.
[B] La réalité elle fait pousser le blé,
[C#] la réalité elle fait bouffer les hommes,
la réalité elle a un drapeau élevé en titubant,
elle attend juste un coup de téléphone.
[F#m] Mais y'a pas de réseau.
[Bm] Donc on squatte les rues, les champs, les [A] arrêts de cars.
J'étudie les pavés de la ferme de mon grand-père,
l'odeur de la haïte framboise entre le bruit du [E] silence et le bruit des motocross.
7h25 [F#m] mercredi 15 juin, je suis encore déçu.
[F#]
Et le pire c'est que ça m [Bm]'étonne même plus.
Elle me dit oui [A] mais, oui mais,
un truc où je [B] dois capter le rébut.
[C#] Merci pour la douleur,
merci pour les couleurs,
merci pour la douceur,
[A] et de rien [Bm] pour tout.
J'avais comme un pic.
[A] Donc ce que j'ai fait c'est que
[C#] j'ai pris le soleil avec lequel je me suis battu juste avant
et je l'ai [B] serré tellement fort contre ma poitrine que la nuit allait tomber.
[C#] Et je me suis dit merde je l'ai éteint.
[F#] Comme une pauvre cigarette.
[B] Mais là on parle du soleil frérot.
C'est pas rien.
[F#] [B]
Key:
C#
B
A
Bm
F#m
C#
B
A
_ _ _ _ _ Depuis enfant, [Bm] j'ai pas compris [F#m] souvent.
A chaque balade, à chaque coin de rue, j'ai calculé le prix du temps.
[C#] Au point que cet enfoiré m'en a pris du temps.
Du coup maintenant je vois plus l'amour dans un grain de sable,
je le croise dans des tout petits [F#m] mouvements,
dans des phares de voiture, dans un battement de cils,
dans la fumée s'élevant d'un café bien noir, sec, chaud, brûlant,
[F#m] sans sucre s'il [B] vous plaît.
Et chez moi les gens ils pleurent pas.
[A] Ils disent c'est la poussière s'il y a des écoulements.
Je les crois pas.
[Bm] Les gens ont l'air de s'aimer pourtant.
[F#m]
Je les crois pas.
_ Je trouve moi dans le fin fond en train de faire danser les braises,
[C#] et on s'emmerde tellement je crois même l'ennui s'ennuie.
Et je pense qu'à chercher ce qui finira mon [C#m] texte,
regarde mes [C#] yeux quand on vit, regarde mon coeur quand on [Bm] baise.
Dimanche [A] 10h je me badgeais avec le soleil,
et il me met le rouge au jou.
Moi enfant je rêvais tout beaucoup
[B] qu'il serait le premier à avoir ce qu'il avait tout au bout.
[C#] Et papa il me disait il faut [F#] prendre du recul.
À [B] 9 ans j'ai tiré avec un des fusils de l'armoire et j'en ai pris trop du recul.
[A] J'ai fini à un mètre derrière [Bm] sur le cul ouais j'en ai pris trop du recul.
[A] C'est comme ça ici.
[B] La réalité elle fait pousser le blé,
[C#] la réalité elle fait bouffer les hommes,
la réalité elle a un drapeau élevé en titubant,
elle attend juste un coup de téléphone.
[F#m] Mais y'a pas de réseau.
[Bm] Donc on squatte les rues, les champs, les [A] arrêts de cars.
J'étudie les pavés de la ferme de mon grand-père,
l'odeur de la haïte framboise entre le bruit du [E] silence et le bruit des motocross.
_ 7h25 [F#m] mercredi 15 juin, je suis encore déçu.
[F#]
Et le pire c'est que ça m [Bm]'étonne même plus.
Elle me dit oui [A] mais, oui mais,
un truc où je [B] dois capter le rébut.
_ [C#] Merci pour la douleur, _
merci pour les couleurs,
merci pour la douceur,
[A] et de rien [Bm] pour tout.
J'avais comme un pic.
[A] Donc ce que j'ai fait c'est que
[C#] j'ai pris le soleil avec lequel je me suis battu juste avant
et je l'ai [B] serré tellement fort contre ma poitrine que la nuit allait tomber.
[C#] Et je me suis dit merde je l'ai éteint.
[F#] Comme une pauvre cigarette.
[B] Mais là on parle du soleil frérot.
C'est pas rien.
[F#] _ _ [B] _ _ _ _
A chaque balade, à chaque coin de rue, j'ai calculé le prix du temps.
[C#] Au point que cet enfoiré m'en a pris du temps.
Du coup maintenant je vois plus l'amour dans un grain de sable,
je le croise dans des tout petits [F#m] mouvements,
dans des phares de voiture, dans un battement de cils,
dans la fumée s'élevant d'un café bien noir, sec, chaud, brûlant,
[F#m] sans sucre s'il [B] vous plaît.
Et chez moi les gens ils pleurent pas.
[A] Ils disent c'est la poussière s'il y a des écoulements.
Je les crois pas.
[Bm] Les gens ont l'air de s'aimer pourtant.
[F#m]
Je les crois pas.
_ Je trouve moi dans le fin fond en train de faire danser les braises,
[C#] et on s'emmerde tellement je crois même l'ennui s'ennuie.
Et je pense qu'à chercher ce qui finira mon [C#m] texte,
regarde mes [C#] yeux quand on vit, regarde mon coeur quand on [Bm] baise.
Dimanche [A] 10h je me badgeais avec le soleil,
et il me met le rouge au jou.
Moi enfant je rêvais tout beaucoup
[B] qu'il serait le premier à avoir ce qu'il avait tout au bout.
[C#] Et papa il me disait il faut [F#] prendre du recul.
À [B] 9 ans j'ai tiré avec un des fusils de l'armoire et j'en ai pris trop du recul.
[A] J'ai fini à un mètre derrière [Bm] sur le cul ouais j'en ai pris trop du recul.
[A] C'est comme ça ici.
[B] La réalité elle fait pousser le blé,
[C#] la réalité elle fait bouffer les hommes,
la réalité elle a un drapeau élevé en titubant,
elle attend juste un coup de téléphone.
[F#m] Mais y'a pas de réseau.
[Bm] Donc on squatte les rues, les champs, les [A] arrêts de cars.
J'étudie les pavés de la ferme de mon grand-père,
l'odeur de la haïte framboise entre le bruit du [E] silence et le bruit des motocross.
_ 7h25 [F#m] mercredi 15 juin, je suis encore déçu.
[F#]
Et le pire c'est que ça m [Bm]'étonne même plus.
Elle me dit oui [A] mais, oui mais,
un truc où je [B] dois capter le rébut.
_ [C#] Merci pour la douleur, _
merci pour les couleurs,
merci pour la douceur,
[A] et de rien [Bm] pour tout.
J'avais comme un pic.
[A] Donc ce que j'ai fait c'est que
[C#] j'ai pris le soleil avec lequel je me suis battu juste avant
et je l'ai [B] serré tellement fort contre ma poitrine que la nuit allait tomber.
[C#] Et je me suis dit merde je l'ai éteint.
[F#] Comme une pauvre cigarette.
[B] Mais là on parle du soleil frérot.
C'est pas rien.
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