Chords for Mylène Farmer - Tour 1996 - Toulon (Rushs HQ - Le 6 Minutes)
Tempo:
69.85 bpm
Chords used:
G
A
D
F
E
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
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Depuis la sortie d [G]'Anamorphosé, il y a sans doute des milliers de vos fans qui se sont plongés sur un dictionnaire
pour découvrir la définition d'anamorphose.
[F] Nous, on a regardé [E] également dans un dictionnaire, on a vu que c'était une [F] image déformée par un miroir courbe.
Est-ce que cette [Gm] notion d'anamorphose concerne, [D] selon vous, votre propre image ou plutôt le regard que vous avez sur le monde ?
Ce n'est [G] pas l'idée de la déformation, mais plus l'idée d'un rassemblement.
Pour moi, c'était une vision qui s'est [Ab] élargie et après pour [A] n'en faire plus qu'une image épure.
Une façon de rassembler toutes mes [G] choses et de me concentrer.
Vous venez de passer [D] pratiquement un an à Los Angeles, est-ce que cette [G] expérience a changé beaucoup de choses dans votre vie d'artiste ?
Dans ma vie [A] personnelle, dans ma vie d'artiste également, oui.
J'ai changé moi-même.
Le voyage m'a apporté beaucoup de choses.
Rencontre de certaines personnes, rencontre d'un pays.
Je crois surtout une notion de liberté.
[G] C'est un sentiment que vous avez découvert là-bas, qui est propre aux Etats-Unis ?
Aux Etats-Unis, pendant cette période précisément, oui.
Est-ce que vous avez assisté à des shows aux Etats-Unis qui vous auront peut-être permis de vous inspirer de certaines expériences pour votre propre show ici ? Non.
Vous n'êtes pas sortie, vous n'avez pas assisté à des concerts là-bas ?
Non, je suis très peu sortie.
Je suis allée là-bas également pour enregistrer [D] l'album, donc il y a eu quand même une période de travail assez longue.
[A]
Quant aux sorties, non, j'en [G] effectue très très peu.
Et j'avoue que je n'ai pas eu l'occasion d'aller à un concert.
Est-ce que vous aviez besoin de cette coupure géographique aussi pour, disons, vous ressourcer et repartir dans cette tournée ?
Oui, j'en ai eu besoin [A] juste après le tournage du film.
J [A]'avais un vrai besoin de voyage, de presque perte d'identité, j'aurais à dire.
[G] Et encore, l'envie de s'oublier [D] soi-même un peu, oublier l'identité artiste.
Et à nouveau, pour découvrir [G] des personnes, des univers différents.
Alors, c'est sans doute la question qu'on vous a déjà [G] beaucoup posée et qu'on va encore vous poser.
Remonter sur scène après sept ans d'absence, est-ce que ça procure cette fameuse sensation de vertige que l'on retrouve dans votre album ?
Oui, totalement.
Mais là, c'est un vrai vertige qui vous porte vers le haut.
C'est peut-être pour la première fois de ma vie où j'ai eu une vraie sensation, là encore, de liberté et de vrai plaisir.
Alors, est-ce que cette sensation de liberté, de plaisir, de sérénité, ça se sent aussi ?
Est-ce qu'on la retrouve sur scène ?
Est-ce que c'est une Mylène Farmer totalement différente qu'on retrouve sur scène ?
Je ne sais pas, totalement différente.
Je pense que c'est un peu excessif.
Mais la dominante de ce spectacle sera le blanc.
Donc, c'est quelque chose d'assez nouveau pour moi.
Ma foi, après, quant à envisager ce show, je l'ai envisagé à peu près [D] de la même façon que le précédent.
J'ai eu envie de danseur, j'ai eu envie de musicien, bien évidemment, et d'un vrai spectacle.
[G] 19 dates en à peine plus d'un mois, c'est vraiment un rythme XXL, là ?
C'est rapide et à la fois c'est peu, 22 dates c'est peu pour une tournée.
C'est un désir que j'ai eu.
C'est plus l'idée d'avoir des émotions qui sont violentes.
La répétition me fait toujours un petit peu peur.
L'idée de se lasser des choses ou qu'on puisse se lasser de moi aussi.
C'est pour ça que j'ai souhaité une tournée assez courte.
Vous cherchez toujours à vous mettre un petit peu en danger, comme ça ?
[Am] C'est presque le sens de ma vie, oui.
J'aime le danger, j'aime les challenges, j'aime cette mission.
Alors, Abel Ferrara pour réaliser California, Airbrits pour la pochette de votre album.
Vous avez pris de très grosses pointures.
Est-ce qu'on retrouve des grosses pointures comme ça sur scène à vos côtés ?
Il y a d'excellents musiciens qui m'entourent.
J'ai de très très bons danseurs.
Ils viennent tous des [Gm] Etats-Unis, non pas parce que les danseurs français ne sont pas bons, [G] mais tout simplement j'avais envie d'un maquissage.
Donc c'est plus facile aux Etats-Unis de trouver ce maquissage, ces différences de couleurs de peau.
Je suis bien entourée.
Est-ce que ce spectacle va être un spectacle standard ?
Est-ce qu'on va retrouver, de par les contraintes technologiques qu'il y a sur scène, les mêmes enchaînements, les mêmes mouvements sur scène, que ce soit à Toulon, à Bercy ou à Bruxelles ?
Ou est-ce que vous gardez une petite part à l'impro ?
Il y a fatalement de l'improvisation, si ce n'est qu'il y a effectivement cet écran qui est derrière moi.
Et c'est malheureusement ou heureusement des choses qui sont time-credées, donc on est obligé d'avoir quand même une structure qui est très établie.
Maintenant l'improvisation sera là, bien évidemment.
Quant au spectacle, il sera le même à Paris, [A] en province.
C'est vraiment un souhait que j'ai également, de présenter le même spectacle [G] aux Parisiens comme aux provinciaux.
De quelle façon est-ce que vous avez participé à la construction de ce show ?
Investissement total.
Tous les départements.
Je m'intéresse à tout.
Je suis unementourée de talent.
C'est ce qui s'est passé pour la musique, pour les danseurs, pour l'écran, pour les images, la conception d'images.
La mise en scène m'intéresse également.
Mais j'ai toujours à mes côtés Laurent Boutonnat.
Vous êtes le boss sur scène ou vous vous laissez guider par des gens qui ont une expérience de la scène ?
Les gens certainement pas.
Moi je peux me laisser guider par Laurent Boutonnat.
Mais j'avoue que j'ai besoin de discuter, j'ai besoin de donner mon opinion, j'ai besoin de toutes ces choses.
Le fait que vous commenciez cette tournée à Toulon, c'est une ville qui a fait couler beaucoup d'encre, notamment dans le milieu de la chanson.
Certains artistes acceptent de se produire ici, d'autres non.
Est-ce que ça change quelque chose pour vous ou pas ?
Non, puisque j'y suis.
Vous y avez pensé un petit peu ?
Pas réellement, mais je connais effectivement ces anecdotes, ces choses réelles.
Maintenant le spectacle est le spectacle, [D] c'est pas à moi de déterminer si [G] je
Mon [B] devoir, enfin mon devoir, ça vient de Randon, en tout cas mon plaisir c'est d'être là, à Toulon comme ailleurs.
Cette tournée, qu'est-ce qui pourra vous donner la sensation que c'était une réussite à son issue ?
Est-ce qu'il y a des révélateurs comme ça ?
Quand les choses se
J'ai trouvé l'idée du puzzle, par exemple, quand tous les départements commencent à se former et bien se former.
Et puis je crois que c'est surtout une ambiance également.
Et là j'avoue que j'ai une chance énorme d'avoir réuni des personnes qui sont encore de talent, mais aussi de qualité humaine très importante.
Comment est-ce que vous vous sentez à quelques jours du début de cette [E] tournée ?
[G] Traquise.
Traquise.
Mais heureuse de le faire.
Ok, ben bonne chance.
Merci beaucoup.
Merci beaucoup.
Éventuellement, je suis prêt avec Mylène.
Oui.
[A] On voit.
Aujourd'hui, [G] on est là.
Oui.
On est là.
Ça fait du bien.
C'est bon.
C'est bon.
On voit.
[A] [G]
On voit.
[A]
On voit.
[G]
[A]
pour découvrir la définition d'anamorphose.
[F] Nous, on a regardé [E] également dans un dictionnaire, on a vu que c'était une [F] image déformée par un miroir courbe.
Est-ce que cette [Gm] notion d'anamorphose concerne, [D] selon vous, votre propre image ou plutôt le regard que vous avez sur le monde ?
Ce n'est [G] pas l'idée de la déformation, mais plus l'idée d'un rassemblement.
Pour moi, c'était une vision qui s'est [Ab] élargie et après pour [A] n'en faire plus qu'une image épure.
Une façon de rassembler toutes mes [G] choses et de me concentrer.
Vous venez de passer [D] pratiquement un an à Los Angeles, est-ce que cette [G] expérience a changé beaucoup de choses dans votre vie d'artiste ?
Dans ma vie [A] personnelle, dans ma vie d'artiste également, oui.
J'ai changé moi-même.
Le voyage m'a apporté beaucoup de choses.
Rencontre de certaines personnes, rencontre d'un pays.
Je crois surtout une notion de liberté.
[G] C'est un sentiment que vous avez découvert là-bas, qui est propre aux Etats-Unis ?
Aux Etats-Unis, pendant cette période précisément, oui.
Est-ce que vous avez assisté à des shows aux Etats-Unis qui vous auront peut-être permis de vous inspirer de certaines expériences pour votre propre show ici ? Non.
Vous n'êtes pas sortie, vous n'avez pas assisté à des concerts là-bas ?
Non, je suis très peu sortie.
Je suis allée là-bas également pour enregistrer [D] l'album, donc il y a eu quand même une période de travail assez longue.
[A]
Quant aux sorties, non, j'en [G] effectue très très peu.
Et j'avoue que je n'ai pas eu l'occasion d'aller à un concert.
Est-ce que vous aviez besoin de cette coupure géographique aussi pour, disons, vous ressourcer et repartir dans cette tournée ?
Oui, j'en ai eu besoin [A] juste après le tournage du film.
J [A]'avais un vrai besoin de voyage, de presque perte d'identité, j'aurais à dire.
[G] Et encore, l'envie de s'oublier [D] soi-même un peu, oublier l'identité artiste.
Et à nouveau, pour découvrir [G] des personnes, des univers différents.
Alors, c'est sans doute la question qu'on vous a déjà [G] beaucoup posée et qu'on va encore vous poser.
Remonter sur scène après sept ans d'absence, est-ce que ça procure cette fameuse sensation de vertige que l'on retrouve dans votre album ?
Oui, totalement.
Mais là, c'est un vrai vertige qui vous porte vers le haut.
C'est peut-être pour la première fois de ma vie où j'ai eu une vraie sensation, là encore, de liberté et de vrai plaisir.
Alors, est-ce que cette sensation de liberté, de plaisir, de sérénité, ça se sent aussi ?
Est-ce qu'on la retrouve sur scène ?
Est-ce que c'est une Mylène Farmer totalement différente qu'on retrouve sur scène ?
Je ne sais pas, totalement différente.
Je pense que c'est un peu excessif.
Mais la dominante de ce spectacle sera le blanc.
Donc, c'est quelque chose d'assez nouveau pour moi.
Ma foi, après, quant à envisager ce show, je l'ai envisagé à peu près [D] de la même façon que le précédent.
J'ai eu envie de danseur, j'ai eu envie de musicien, bien évidemment, et d'un vrai spectacle.
[G] 19 dates en à peine plus d'un mois, c'est vraiment un rythme XXL, là ?
C'est rapide et à la fois c'est peu, 22 dates c'est peu pour une tournée.
C'est un désir que j'ai eu.
C'est plus l'idée d'avoir des émotions qui sont violentes.
La répétition me fait toujours un petit peu peur.
L'idée de se lasser des choses ou qu'on puisse se lasser de moi aussi.
C'est pour ça que j'ai souhaité une tournée assez courte.
Vous cherchez toujours à vous mettre un petit peu en danger, comme ça ?
[Am] C'est presque le sens de ma vie, oui.
J'aime le danger, j'aime les challenges, j'aime cette mission.
Alors, Abel Ferrara pour réaliser California, Airbrits pour la pochette de votre album.
Vous avez pris de très grosses pointures.
Est-ce qu'on retrouve des grosses pointures comme ça sur scène à vos côtés ?
Il y a d'excellents musiciens qui m'entourent.
J'ai de très très bons danseurs.
Ils viennent tous des [Gm] Etats-Unis, non pas parce que les danseurs français ne sont pas bons, [G] mais tout simplement j'avais envie d'un maquissage.
Donc c'est plus facile aux Etats-Unis de trouver ce maquissage, ces différences de couleurs de peau.
Je suis bien entourée.
Est-ce que ce spectacle va être un spectacle standard ?
Est-ce qu'on va retrouver, de par les contraintes technologiques qu'il y a sur scène, les mêmes enchaînements, les mêmes mouvements sur scène, que ce soit à Toulon, à Bercy ou à Bruxelles ?
Ou est-ce que vous gardez une petite part à l'impro ?
Il y a fatalement de l'improvisation, si ce n'est qu'il y a effectivement cet écran qui est derrière moi.
Et c'est malheureusement ou heureusement des choses qui sont time-credées, donc on est obligé d'avoir quand même une structure qui est très établie.
Maintenant l'improvisation sera là, bien évidemment.
Quant au spectacle, il sera le même à Paris, [A] en province.
C'est vraiment un souhait que j'ai également, de présenter le même spectacle [G] aux Parisiens comme aux provinciaux.
De quelle façon est-ce que vous avez participé à la construction de ce show ?
Investissement total.
Tous les départements.
Je m'intéresse à tout.
Je suis unementourée de talent.
C'est ce qui s'est passé pour la musique, pour les danseurs, pour l'écran, pour les images, la conception d'images.
La mise en scène m'intéresse également.
Mais j'ai toujours à mes côtés Laurent Boutonnat.
Vous êtes le boss sur scène ou vous vous laissez guider par des gens qui ont une expérience de la scène ?
Les gens certainement pas.
Moi je peux me laisser guider par Laurent Boutonnat.
Mais j'avoue que j'ai besoin de discuter, j'ai besoin de donner mon opinion, j'ai besoin de toutes ces choses.
Le fait que vous commenciez cette tournée à Toulon, c'est une ville qui a fait couler beaucoup d'encre, notamment dans le milieu de la chanson.
Certains artistes acceptent de se produire ici, d'autres non.
Est-ce que ça change quelque chose pour vous ou pas ?
Non, puisque j'y suis.
Vous y avez pensé un petit peu ?
Pas réellement, mais je connais effectivement ces anecdotes, ces choses réelles.
Maintenant le spectacle est le spectacle, [D] c'est pas à moi de déterminer si [G] je
Mon [B] devoir, enfin mon devoir, ça vient de Randon, en tout cas mon plaisir c'est d'être là, à Toulon comme ailleurs.
Cette tournée, qu'est-ce qui pourra vous donner la sensation que c'était une réussite à son issue ?
Est-ce qu'il y a des révélateurs comme ça ?
Quand les choses se
J'ai trouvé l'idée du puzzle, par exemple, quand tous les départements commencent à se former et bien se former.
Et puis je crois que c'est surtout une ambiance également.
Et là j'avoue que j'ai une chance énorme d'avoir réuni des personnes qui sont encore de talent, mais aussi de qualité humaine très importante.
Comment est-ce que vous vous sentez à quelques jours du début de cette [E] tournée ?
[G] Traquise.
Traquise.
Mais heureuse de le faire.
Ok, ben bonne chance.
Merci beaucoup.
Merci beaucoup.
Éventuellement, je suis prêt avec Mylène.
Oui.
[A] On voit.
Aujourd'hui, [G] on est là.
Oui.
On est là.
Ça fait du bien.
C'est bon.
C'est bon.
On voit.
[A] [G]
On voit.
[A]
On voit.
[G]
[A]
Key:
G
A
D
F
E
G
A
D
Depuis la sortie d [G]'Anamorphosé, il y a sans doute des milliers de vos fans qui se sont plongés sur un dictionnaire
pour découvrir la définition d'anamorphose.
[F] Nous, on a regardé [E] également dans un dictionnaire, on a vu que c'était une [F] image déformée par un miroir courbe.
Est-ce que cette [Gm] notion d'anamorphose concerne, [D] selon vous, votre propre image ou plutôt le regard que vous avez sur le monde ?
Ce n'est [G] pas l'idée de la déformation, mais plus l'idée d'un rassemblement.
Pour moi, c'était une vision qui s'est [Ab] élargie et après pour [A] n'en faire plus qu'une image épure.
Une façon de rassembler toutes mes [G] choses et de me concentrer.
Vous venez de passer [D] pratiquement un an à Los Angeles, est-ce que cette [G] expérience a changé beaucoup de choses dans votre vie d'artiste ?
Dans ma vie [A] personnelle, dans ma vie d'artiste également, oui.
J'ai changé moi-même.
Le voyage m'a apporté beaucoup de choses.
Rencontre de certaines personnes, rencontre d'un pays.
_ Je crois surtout une notion de liberté.
[G] C'est un sentiment que vous avez découvert là-bas, qui est propre aux Etats-Unis ?
Aux Etats-Unis, pendant cette période précisément, oui.
Est-ce que vous avez assisté à des shows aux Etats-Unis qui vous auront peut-être permis de vous inspirer de certaines expériences pour votre propre show ici ? Non.
_ Vous n'êtes pas sortie, vous n'avez pas assisté à des concerts là-bas ?
Non, je suis très peu sortie.
Je suis allée là-bas également pour enregistrer [D] l'album, donc il y a eu quand même une période de travail assez longue.
[A] _
Quant aux sorties, non, j'en [G] effectue très très peu.
Et j'avoue que je n'ai pas eu l'occasion d'aller à un concert.
Est-ce que vous aviez besoin de cette coupure géographique aussi pour, disons, vous ressourcer et repartir dans cette tournée ?
Oui, j'en ai eu besoin [A] juste après le tournage du film.
J [A]'avais un vrai besoin de voyage, de presque perte d'identité, j'aurais à dire.
[G] _ Et encore, l'envie de s'oublier [D] soi-même un peu, oublier l'identité artiste.
Et à nouveau, pour découvrir [G] des personnes, des univers différents.
Alors, c'est sans doute la question qu'on vous a déjà [G] beaucoup posée et qu'on va encore vous poser.
Remonter sur scène après sept ans d'absence, est-ce que ça procure cette fameuse sensation de vertige que l'on retrouve dans votre album ?
Oui, totalement.
Mais là, c'est un vrai vertige qui vous porte vers le haut.
C'est peut-être pour la première fois de ma vie où j'ai eu une vraie sensation, là encore, de liberté et de vrai plaisir.
Alors, est-ce que cette sensation de liberté, de plaisir, de sérénité, ça se sent aussi ?
Est-ce qu'on la retrouve sur scène ?
Est-ce que c'est une Mylène Farmer totalement différente qu'on retrouve sur scène ?
Je ne sais pas, totalement différente.
Je pense que c'est un peu excessif.
Mais la dominante de ce spectacle sera le blanc.
Donc, c'est quelque chose d'assez nouveau pour moi.
_ Ma foi, après, quant à envisager ce show, je l'ai envisagé à peu près [D] de la même façon que le précédent.
J'ai eu envie de danseur, j'ai eu envie de musicien, bien évidemment, et d'un vrai spectacle.
[G] 19 dates en à peine plus d'un mois, c'est vraiment un rythme XXL, là ?
C'est rapide et à la fois c'est peu, 22 dates c'est peu pour une tournée.
C'est un désir que j'ai eu.
_ _ C'est plus l'idée d'avoir des émotions qui sont violentes.
_ La répétition me fait toujours un petit peu peur.
L'idée de se lasser des choses ou qu'on puisse se lasser de moi aussi.
C'est pour ça que j'ai souhaité une tournée assez courte. _
Vous cherchez toujours à vous mettre un petit peu en danger, comme ça ?
[Am] C'est presque le sens de ma vie, oui.
J'aime le danger, j'aime les challenges, j'aime cette mission. _
Alors, Abel Ferrara pour réaliser California, Airbrits pour la pochette de votre album.
Vous avez pris de très grosses pointures.
Est-ce qu'on retrouve des grosses pointures comme ça sur scène à vos côtés ?
Il y a d'excellents musiciens qui m'entourent.
J'ai de très très bons danseurs.
Ils viennent tous des [Gm] Etats-Unis, non pas parce que les danseurs français ne sont pas bons, [G] mais tout simplement j'avais envie d'un maquissage.
Donc c'est plus facile aux Etats-Unis de trouver ce maquissage, ces différences de couleurs de peau.
_ Je suis bien entourée.
Est-ce que ce spectacle va être un spectacle standard ?
Est-ce qu'on va retrouver, de par les contraintes technologiques qu'il y a sur scène, les mêmes enchaînements, les mêmes mouvements sur scène, que ce soit à Toulon, à Bercy ou à Bruxelles ?
Ou est-ce que vous gardez une petite part à l'impro ?
Il y a fatalement de l'improvisation, si ce n'est qu'il y a effectivement cet écran qui est derrière moi.
Et c'est malheureusement ou heureusement des choses qui sont time-credées, donc on est obligé d'avoir quand même une structure qui est très établie.
Maintenant l'improvisation sera là, bien évidemment.
Quant au spectacle, il sera le même à Paris, [A] en province.
C'est vraiment un souhait que j'ai également, de présenter le même spectacle [G] aux Parisiens comme aux provinciaux.
De quelle façon est-ce que vous avez participé à la construction de ce show ?
Investissement total.
_ _ Tous les départements.
Je m'intéresse à tout.
Je suis unementourée de talent.
C'est ce qui s'est passé pour la musique, pour les danseurs, pour l'écran, pour les images, la conception d'images.
La mise en scène m'intéresse également.
Mais j'ai toujours à mes côtés Laurent Boutonnat.
Vous êtes le boss sur scène ou vous vous laissez guider par des gens qui ont une expérience de la scène ?
Les gens certainement pas.
Moi je peux me laisser guider par Laurent Boutonnat.
Mais j'avoue que j'ai besoin de discuter, j'ai besoin de donner mon opinion, j'ai besoin de toutes ces choses. _
Le fait que vous commenciez cette tournée à Toulon, c'est une ville qui a fait couler beaucoup d'encre, notamment dans le milieu de la chanson.
Certains artistes acceptent de se produire ici, d'autres non.
Est-ce que ça change quelque chose pour vous ou pas ?
Non, puisque j'y suis.
Vous y avez pensé un petit peu ?
Pas réellement, mais je connais effectivement ces anecdotes, ces choses réelles.
Maintenant le spectacle est le spectacle, [D] c'est pas à moi de déterminer si [G] je_
_ Mon [B] devoir, enfin mon devoir, ça vient de Randon, en tout cas mon plaisir c'est d'être là, à Toulon comme ailleurs.
_ Cette tournée, qu'est-ce qui pourra vous donner la sensation que c'était une réussite à son issue ?
Est-ce qu'il y a des révélateurs comme ça ?
_ Quand les choses se_
J'ai trouvé l'idée du puzzle, par exemple, quand tous les départements _ commencent à se former et bien se former.
Et puis je crois que c'est surtout une ambiance également.
Et là j'avoue que j'ai une chance énorme d'avoir réuni des personnes qui sont encore de talent, mais aussi de qualité humaine très importante.
Comment est-ce que vous vous sentez à quelques jours du début de cette [E] tournée ?
[G] Traquise.
Traquise.
Mais heureuse de le faire.
Ok, ben bonne chance.
Merci beaucoup.
Merci beaucoup. _
Éventuellement, je suis prêt avec Mylène.
Oui. _ _ _
[A] On voit.
Aujourd'hui, [G] on est là.
Oui.
On est là. _ _ _
_ _ _ _ _ _ _ _
_ _ Ça fait du bien.
C'est bon.
C'est bon. _
_ _ _ _ _ _ _ _
_ _ _ On voit.
[A] _ _ [G]
On voit. _ _ _ _ _ _ _
[A] _ _ _ _ _ _ _ _
_ _ _ _ _ _ On voit.
_ _ [G] _ _ _ _ _ _
_ _ _ _ _ _ _ _
_ _ _ _ _ _ _ _
_ _ _ _ _ _ _ _
_ _ _ _ [A] _ _ _ _
_ _ _ _ _ _ _ _
_ _ _ _ _ _ _ _
_ _ _ _ _ _ _ _
pour découvrir la définition d'anamorphose.
[F] Nous, on a regardé [E] également dans un dictionnaire, on a vu que c'était une [F] image déformée par un miroir courbe.
Est-ce que cette [Gm] notion d'anamorphose concerne, [D] selon vous, votre propre image ou plutôt le regard que vous avez sur le monde ?
Ce n'est [G] pas l'idée de la déformation, mais plus l'idée d'un rassemblement.
Pour moi, c'était une vision qui s'est [Ab] élargie et après pour [A] n'en faire plus qu'une image épure.
Une façon de rassembler toutes mes [G] choses et de me concentrer.
Vous venez de passer [D] pratiquement un an à Los Angeles, est-ce que cette [G] expérience a changé beaucoup de choses dans votre vie d'artiste ?
Dans ma vie [A] personnelle, dans ma vie d'artiste également, oui.
J'ai changé moi-même.
Le voyage m'a apporté beaucoup de choses.
Rencontre de certaines personnes, rencontre d'un pays.
_ Je crois surtout une notion de liberté.
[G] C'est un sentiment que vous avez découvert là-bas, qui est propre aux Etats-Unis ?
Aux Etats-Unis, pendant cette période précisément, oui.
Est-ce que vous avez assisté à des shows aux Etats-Unis qui vous auront peut-être permis de vous inspirer de certaines expériences pour votre propre show ici ? Non.
_ Vous n'êtes pas sortie, vous n'avez pas assisté à des concerts là-bas ?
Non, je suis très peu sortie.
Je suis allée là-bas également pour enregistrer [D] l'album, donc il y a eu quand même une période de travail assez longue.
[A] _
Quant aux sorties, non, j'en [G] effectue très très peu.
Et j'avoue que je n'ai pas eu l'occasion d'aller à un concert.
Est-ce que vous aviez besoin de cette coupure géographique aussi pour, disons, vous ressourcer et repartir dans cette tournée ?
Oui, j'en ai eu besoin [A] juste après le tournage du film.
J [A]'avais un vrai besoin de voyage, de presque perte d'identité, j'aurais à dire.
[G] _ Et encore, l'envie de s'oublier [D] soi-même un peu, oublier l'identité artiste.
Et à nouveau, pour découvrir [G] des personnes, des univers différents.
Alors, c'est sans doute la question qu'on vous a déjà [G] beaucoup posée et qu'on va encore vous poser.
Remonter sur scène après sept ans d'absence, est-ce que ça procure cette fameuse sensation de vertige que l'on retrouve dans votre album ?
Oui, totalement.
Mais là, c'est un vrai vertige qui vous porte vers le haut.
C'est peut-être pour la première fois de ma vie où j'ai eu une vraie sensation, là encore, de liberté et de vrai plaisir.
Alors, est-ce que cette sensation de liberté, de plaisir, de sérénité, ça se sent aussi ?
Est-ce qu'on la retrouve sur scène ?
Est-ce que c'est une Mylène Farmer totalement différente qu'on retrouve sur scène ?
Je ne sais pas, totalement différente.
Je pense que c'est un peu excessif.
Mais la dominante de ce spectacle sera le blanc.
Donc, c'est quelque chose d'assez nouveau pour moi.
_ Ma foi, après, quant à envisager ce show, je l'ai envisagé à peu près [D] de la même façon que le précédent.
J'ai eu envie de danseur, j'ai eu envie de musicien, bien évidemment, et d'un vrai spectacle.
[G] 19 dates en à peine plus d'un mois, c'est vraiment un rythme XXL, là ?
C'est rapide et à la fois c'est peu, 22 dates c'est peu pour une tournée.
C'est un désir que j'ai eu.
_ _ C'est plus l'idée d'avoir des émotions qui sont violentes.
_ La répétition me fait toujours un petit peu peur.
L'idée de se lasser des choses ou qu'on puisse se lasser de moi aussi.
C'est pour ça que j'ai souhaité une tournée assez courte. _
Vous cherchez toujours à vous mettre un petit peu en danger, comme ça ?
[Am] C'est presque le sens de ma vie, oui.
J'aime le danger, j'aime les challenges, j'aime cette mission. _
Alors, Abel Ferrara pour réaliser California, Airbrits pour la pochette de votre album.
Vous avez pris de très grosses pointures.
Est-ce qu'on retrouve des grosses pointures comme ça sur scène à vos côtés ?
Il y a d'excellents musiciens qui m'entourent.
J'ai de très très bons danseurs.
Ils viennent tous des [Gm] Etats-Unis, non pas parce que les danseurs français ne sont pas bons, [G] mais tout simplement j'avais envie d'un maquissage.
Donc c'est plus facile aux Etats-Unis de trouver ce maquissage, ces différences de couleurs de peau.
_ Je suis bien entourée.
Est-ce que ce spectacle va être un spectacle standard ?
Est-ce qu'on va retrouver, de par les contraintes technologiques qu'il y a sur scène, les mêmes enchaînements, les mêmes mouvements sur scène, que ce soit à Toulon, à Bercy ou à Bruxelles ?
Ou est-ce que vous gardez une petite part à l'impro ?
Il y a fatalement de l'improvisation, si ce n'est qu'il y a effectivement cet écran qui est derrière moi.
Et c'est malheureusement ou heureusement des choses qui sont time-credées, donc on est obligé d'avoir quand même une structure qui est très établie.
Maintenant l'improvisation sera là, bien évidemment.
Quant au spectacle, il sera le même à Paris, [A] en province.
C'est vraiment un souhait que j'ai également, de présenter le même spectacle [G] aux Parisiens comme aux provinciaux.
De quelle façon est-ce que vous avez participé à la construction de ce show ?
Investissement total.
_ _ Tous les départements.
Je m'intéresse à tout.
Je suis unementourée de talent.
C'est ce qui s'est passé pour la musique, pour les danseurs, pour l'écran, pour les images, la conception d'images.
La mise en scène m'intéresse également.
Mais j'ai toujours à mes côtés Laurent Boutonnat.
Vous êtes le boss sur scène ou vous vous laissez guider par des gens qui ont une expérience de la scène ?
Les gens certainement pas.
Moi je peux me laisser guider par Laurent Boutonnat.
Mais j'avoue que j'ai besoin de discuter, j'ai besoin de donner mon opinion, j'ai besoin de toutes ces choses. _
Le fait que vous commenciez cette tournée à Toulon, c'est une ville qui a fait couler beaucoup d'encre, notamment dans le milieu de la chanson.
Certains artistes acceptent de se produire ici, d'autres non.
Est-ce que ça change quelque chose pour vous ou pas ?
Non, puisque j'y suis.
Vous y avez pensé un petit peu ?
Pas réellement, mais je connais effectivement ces anecdotes, ces choses réelles.
Maintenant le spectacle est le spectacle, [D] c'est pas à moi de déterminer si [G] je_
_ Mon [B] devoir, enfin mon devoir, ça vient de Randon, en tout cas mon plaisir c'est d'être là, à Toulon comme ailleurs.
_ Cette tournée, qu'est-ce qui pourra vous donner la sensation que c'était une réussite à son issue ?
Est-ce qu'il y a des révélateurs comme ça ?
_ Quand les choses se_
J'ai trouvé l'idée du puzzle, par exemple, quand tous les départements _ commencent à se former et bien se former.
Et puis je crois que c'est surtout une ambiance également.
Et là j'avoue que j'ai une chance énorme d'avoir réuni des personnes qui sont encore de talent, mais aussi de qualité humaine très importante.
Comment est-ce que vous vous sentez à quelques jours du début de cette [E] tournée ?
[G] Traquise.
Traquise.
Mais heureuse de le faire.
Ok, ben bonne chance.
Merci beaucoup.
Merci beaucoup. _
Éventuellement, je suis prêt avec Mylène.
Oui. _ _ _
[A] On voit.
Aujourd'hui, [G] on est là.
Oui.
On est là. _ _ _
_ _ _ _ _ _ _ _
_ _ Ça fait du bien.
C'est bon.
C'est bon. _
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_ _ _ On voit.
[A] _ _ [G]
On voit. _ _ _ _ _ _ _
[A] _ _ _ _ _ _ _ _
_ _ _ _ _ _ On voit.
_ _ [G] _ _ _ _ _ _
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_ _ _ _ [A] _ _ _ _
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