Chords for Pierre Lapointe - Tel un seul homme (officiel)
Tempo:
42.8 bpm
Chords used:
Am
G
Em
A
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
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[Am]
Et si je vous disais que, au milieu d'une foule,
Chacun par sa solitude a le cœur qui [G] s'écroule,
Que m'amènent non déparler, regarde ceux qui nous aiment,
On ne récolte pas toujours [Am] les rêves que l'on sème.
Déjà quand la vie vient pour habiter
Ses corps aussi petits [G] qu'inanimés,
Elle est là, telle une déesse gardienne,
Attropant les solitudes [Am] par centaines.
Cette mère Marie, mère Chimère de Patrie,
Celle qui viendra nous arracher [G] la vie,
Celle qui, comme l'enfant, nous tend la main
Pour mieux tordre le coup [Am] du destin.
Et on pleure, oui, on pleure la destinée de l'homme,
Sachant combien même géants nous sommes.
La main de l'autre, emmêlée dans l'anneau,
Le bœuf du ciel plus bleu que [G] celui des autres,
Où s'écroule le plus fidèle des apôtres,
Finira par mourir un [Am] jour.
Et même amitié pour toujours trouver,
Et même après une ou [G] plusieurs portées,
Elle est là, qui a coup de nous rappeler
Que si les hommes s'unissent, c'est pour mieux se [Am] séparer.
Cette mère Marie, mère Chimère de Patrie,
Celle qui viendra nous arracher la [G] vie,
Celle qui, comme l'enfant, nous tend la main
Pour mieux tordre le coup [Am] du destin.
Et on pleure, oui, on pleure la destinée de l'homme,
Sachant combien même géants tout petits nous sommes.
Car tel un seul homme nous avance
Vers [G] la même lumière, [Am] vers la même frontière.
[G] Toujours elle viendra nous arracher la vie,
Comme si chaque bonheur [Am] devait être pénible.
[G]
[Am] [G]
[Am] Et on pleure, oui, on pleure la destinée de l'homme,
Sachant combien même géants [Em] tout petits [Am] nous sommes.
[Em] [Am]
[A]
Et si je vous disais que, au milieu d'une foule,
Chacun par sa solitude a le cœur qui [G] s'écroule,
Que m'amènent non déparler, regarde ceux qui nous aiment,
On ne récolte pas toujours [Am] les rêves que l'on sème.
Déjà quand la vie vient pour habiter
Ses corps aussi petits [G] qu'inanimés,
Elle est là, telle une déesse gardienne,
Attropant les solitudes [Am] par centaines.
Cette mère Marie, mère Chimère de Patrie,
Celle qui viendra nous arracher [G] la vie,
Celle qui, comme l'enfant, nous tend la main
Pour mieux tordre le coup [Am] du destin.
Et on pleure, oui, on pleure la destinée de l'homme,
Sachant combien même géants nous sommes.
La main de l'autre, emmêlée dans l'anneau,
Le bœuf du ciel plus bleu que [G] celui des autres,
Où s'écroule le plus fidèle des apôtres,
Finira par mourir un [Am] jour.
Et même amitié pour toujours trouver,
Et même après une ou [G] plusieurs portées,
Elle est là, qui a coup de nous rappeler
Que si les hommes s'unissent, c'est pour mieux se [Am] séparer.
Cette mère Marie, mère Chimère de Patrie,
Celle qui viendra nous arracher la [G] vie,
Celle qui, comme l'enfant, nous tend la main
Pour mieux tordre le coup [Am] du destin.
Et on pleure, oui, on pleure la destinée de l'homme,
Sachant combien même géants tout petits nous sommes.
Car tel un seul homme nous avance
Vers [G] la même lumière, [Am] vers la même frontière.
[G] Toujours elle viendra nous arracher la vie,
Comme si chaque bonheur [Am] devait être pénible.
[G]
[Am] [G]
[Am] Et on pleure, oui, on pleure la destinée de l'homme,
Sachant combien même géants [Em] tout petits [Am] nous sommes.
[Em] [Am]
[A]
Key:
Am
G
Em
A
Am
G
Em
A
_ _ _ _ _ _ _ _
_ [Am] _ _ _ _ _ _
Et si je vous disais que, au milieu d'une foule,
Chacun par sa solitude a le cœur qui [G] s'écroule,
Que m'amènent non déparler, regarde ceux qui nous aiment,
On ne récolte pas toujours [Am] les rêves que l'on sème.
_ Déjà quand la vie vient pour habiter
Ses corps aussi petits [G] qu'inanimés,
Elle est là, telle une déesse gardienne,
Attropant les solitudes [Am] par centaines.
_ Cette mère Marie, mère Chimère de Patrie,
Celle qui viendra nous arracher [G] la vie,
Celle qui, comme l'enfant, nous tend la main
Pour mieux tordre le coup [Am] du destin.
_ Et on pleure, oui, on pleure la destinée de l'homme,
Sachant combien même géants nous sommes. _
La main de l'autre, emmêlée dans l'anneau,
Le bœuf du ciel plus bleu que [G] celui des autres,
Où s'écroule le plus fidèle des apôtres,
Finira par mourir un [Am] jour.
_ Et même amitié pour toujours trouver,
Et même après une ou [G] plusieurs portées,
Elle est là, qui a coup de nous rappeler
Que si les hommes s'unissent, c'est pour mieux se [Am] séparer.
_ Cette mère Marie, mère Chimère de Patrie,
Celle qui viendra nous arracher la [G] vie,
Celle qui, comme l'enfant, nous tend la main
Pour mieux tordre le coup [Am] du destin.
_ Et on pleure, oui, on pleure la destinée de l'homme,
Sachant combien même géants tout petits nous sommes.
Car tel un seul homme nous avance
Vers [G] la même lumière, [Am] vers la même frontière.
[G] Toujours elle viendra nous arracher la vie,
Comme si chaque bonheur [Am] devait être pénible.
_ [G] _
_ [Am] _ _ _ _ _ [G] _ _
_ _ _ [Am] _ _ Et on pleure, oui, on pleure la destinée de l'homme,
Sachant combien même géants [Em] tout petits [Am] nous sommes. _ _
_ [Em] _ _ [Am] _ _ _ _ _
[A] _ _ _ _ _ _ _ _
_ [Am] _ _ _ _ _ _
Et si je vous disais que, au milieu d'une foule,
Chacun par sa solitude a le cœur qui [G] s'écroule,
Que m'amènent non déparler, regarde ceux qui nous aiment,
On ne récolte pas toujours [Am] les rêves que l'on sème.
_ Déjà quand la vie vient pour habiter
Ses corps aussi petits [G] qu'inanimés,
Elle est là, telle une déesse gardienne,
Attropant les solitudes [Am] par centaines.
_ Cette mère Marie, mère Chimère de Patrie,
Celle qui viendra nous arracher [G] la vie,
Celle qui, comme l'enfant, nous tend la main
Pour mieux tordre le coup [Am] du destin.
_ Et on pleure, oui, on pleure la destinée de l'homme,
Sachant combien même géants nous sommes. _
La main de l'autre, emmêlée dans l'anneau,
Le bœuf du ciel plus bleu que [G] celui des autres,
Où s'écroule le plus fidèle des apôtres,
Finira par mourir un [Am] jour.
_ Et même amitié pour toujours trouver,
Et même après une ou [G] plusieurs portées,
Elle est là, qui a coup de nous rappeler
Que si les hommes s'unissent, c'est pour mieux se [Am] séparer.
_ Cette mère Marie, mère Chimère de Patrie,
Celle qui viendra nous arracher la [G] vie,
Celle qui, comme l'enfant, nous tend la main
Pour mieux tordre le coup [Am] du destin.
_ Et on pleure, oui, on pleure la destinée de l'homme,
Sachant combien même géants tout petits nous sommes.
Car tel un seul homme nous avance
Vers [G] la même lumière, [Am] vers la même frontière.
[G] Toujours elle viendra nous arracher la vie,
Comme si chaque bonheur [Am] devait être pénible.
_ [G] _
_ [Am] _ _ _ _ _ [G] _ _
_ _ _ [Am] _ _ Et on pleure, oui, on pleure la destinée de l'homme,
Sachant combien même géants [Em] tout petits [Am] nous sommes. _ _
_ [Em] _ _ [Am] _ _ _ _ _
[A] _ _ _ _ _ _ _ _