Chords for plus rien paroles
Tempo:
160.2 bpm
Chords used:
C
Dm
Bb
Gm
A
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret

Start Jamming...
Il ne reste que quelques minutes à ma vie, [F] au plus quelques heures je sens que je faiblis.
[C] Mon frère est mort hier au milieu du désert, [Gm] je suis maintenant le dernier humain [C] de [Dm] la terre.
On m'a décrit jadis quand j'étais un enfant, [Gm] ce qu'avait l'air le monde il y a très très
longtemps, [C] quand vivaient les parents de mon arrière-grand-père, [Bb] et qu'il tombait encore
de [A] la neige en hiver.
[D] Dans ces temps [Dm] on vivait au rythme des saisons, [Gm] et la fin des étés apportait la moisson.
[C] Une eau pure et limpide coulait dans les ruisseaux, [Bb] où venait s'abreuver [A] Chevroyer en Rignaud.
[Dm] Et moi je n'ai vu qu'une planète désolante, [Bb] paysages lunaires et chaleurs suffocantes,
[A] et tous mes amis mourir par la soif ou la faim, [C] comme tombent les mouches jusqu'à ce
qu'il n'y ait [Dm] plus rien.
[Gm] Plus rien.
[C] Plus rien.
[Bb]
[C] [Dm] Ne reste que quelques minutes à ma vie, [F] d'au plus quelques heures je sens que je faiblis.
[C] Mon frère est mort hier au milieu du désert, [Gm] je suis maintenant le dernier humain [C] de [Dm] la terre.
Tout ça a commencé il y a plusieurs années, [Gm] alors que mes ancêtres étaient obnubilés
[C] par des bouts de papier que l'on appelait argent, [Bb] qui rendaient certains hommes [A] vraiment
riches et puissants.
[Dm] Ces nouveaux dieux neuns reculant devant rien, [Gm] étaient prêts à tout pour arriver à leur fin.
[C] Pour s'enrichir encore ils ont rasé la terre, [Bb] pollué l'air ambiant [A] et tarié les rivières.
[Dm] Et au bout de cent ans des gens se sont levés, [Gm] et les ont avertis qu'il fallait tout stopper.
[C] Mais ils n'ont pas compris cette sage prophétie, [Bb] ces hommes-là ne parlaient qu [A]'en termes de profit.
[Dm] C'est des années plus tard qu'ils ont vu le non [Bb]-sens, dans la pandémie qu'on déclarait
l'état d'urgence, [F] quand tous les océans ont tombé outillés, [C] et que les inondations
ont frappé les grandes [Dm] villes.
Et par la suite, pendant plus d'une décennie, [Bb] se furent les ouragans et puis les incendies,
[F] les tremblements de terre et la grande séchette.
[C] Parfois sur les visages on y sait la détresse, [Dm] les gens ont dû se battre contre les pandémies,
[Bb] décimées par millions par d'atroces maladies.
[Dm] Puis les autres sont morts par la soif [F] ou la faim, [C] comme tombent les mouches, jusqu'à
ce qu'il n'y ait plus [Dm] rien.
[Gm] Plus rien.
[C] Plus rien.
[Bb]
[A] [Dm] Mon frère est mort hier au milieu du désert, [Gm] je suis maintenant le dernier humain de la [C] terre.
Au fond l'intelligence qu'on nous avait donnée, [Bb] n'aura été qu'un beau [A] cadeau empoisonné,
[Dm] car il ne resta que quelques minutes à la vie.
[F] Au plus quelques heures je sens que je faiblis, [C] je ne peux plus marcher, j'ai peine à [Gm] respirer.
Adieu l'humanité, [Bb] adieu [C] l [Dm]'humanité.
[C] Mon frère est mort hier au milieu du désert, [Gm] je suis maintenant le dernier humain [C] de [Dm] la terre.
On m'a décrit jadis quand j'étais un enfant, [Gm] ce qu'avait l'air le monde il y a très très
longtemps, [C] quand vivaient les parents de mon arrière-grand-père, [Bb] et qu'il tombait encore
de [A] la neige en hiver.
[D] Dans ces temps [Dm] on vivait au rythme des saisons, [Gm] et la fin des étés apportait la moisson.
[C] Une eau pure et limpide coulait dans les ruisseaux, [Bb] où venait s'abreuver [A] Chevroyer en Rignaud.
[Dm] Et moi je n'ai vu qu'une planète désolante, [Bb] paysages lunaires et chaleurs suffocantes,
[A] et tous mes amis mourir par la soif ou la faim, [C] comme tombent les mouches jusqu'à ce
qu'il n'y ait [Dm] plus rien.
[Gm] Plus rien.
[C] Plus rien.
[Bb]
[C] [Dm] Ne reste que quelques minutes à ma vie, [F] d'au plus quelques heures je sens que je faiblis.
[C] Mon frère est mort hier au milieu du désert, [Gm] je suis maintenant le dernier humain [C] de [Dm] la terre.
Tout ça a commencé il y a plusieurs années, [Gm] alors que mes ancêtres étaient obnubilés
[C] par des bouts de papier que l'on appelait argent, [Bb] qui rendaient certains hommes [A] vraiment
riches et puissants.
[Dm] Ces nouveaux dieux neuns reculant devant rien, [Gm] étaient prêts à tout pour arriver à leur fin.
[C] Pour s'enrichir encore ils ont rasé la terre, [Bb] pollué l'air ambiant [A] et tarié les rivières.
[Dm] Et au bout de cent ans des gens se sont levés, [Gm] et les ont avertis qu'il fallait tout stopper.
[C] Mais ils n'ont pas compris cette sage prophétie, [Bb] ces hommes-là ne parlaient qu [A]'en termes de profit.
[Dm] C'est des années plus tard qu'ils ont vu le non [Bb]-sens, dans la pandémie qu'on déclarait
l'état d'urgence, [F] quand tous les océans ont tombé outillés, [C] et que les inondations
ont frappé les grandes [Dm] villes.
Et par la suite, pendant plus d'une décennie, [Bb] se furent les ouragans et puis les incendies,
[F] les tremblements de terre et la grande séchette.
[C] Parfois sur les visages on y sait la détresse, [Dm] les gens ont dû se battre contre les pandémies,
[Bb] décimées par millions par d'atroces maladies.
[Dm] Puis les autres sont morts par la soif [F] ou la faim, [C] comme tombent les mouches, jusqu'à
ce qu'il n'y ait plus [Dm] rien.
[Gm] Plus rien.
[C] Plus rien.
[Bb]
[A] [Dm] Mon frère est mort hier au milieu du désert, [Gm] je suis maintenant le dernier humain de la [C] terre.
Au fond l'intelligence qu'on nous avait donnée, [Bb] n'aura été qu'un beau [A] cadeau empoisonné,
[Dm] car il ne resta que quelques minutes à la vie.
[F] Au plus quelques heures je sens que je faiblis, [C] je ne peux plus marcher, j'ai peine à [Gm] respirer.
Adieu l'humanité, [Bb] adieu [C] l [Dm]'humanité.
Key:
C
Dm
Bb
Gm
A
C
Dm
Bb
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[C] Mon frère est mort hier au milieu du désert, [Gm] je suis maintenant le dernier humain [C] de [Dm] la terre.
_ _ _ _ On m'a décrit jadis quand j'étais un enfant, [Gm] ce qu'avait l'air le monde il y a très très
longtemps, [C] quand vivaient les parents de mon arrière-grand-père, [Bb] et qu'il tombait encore
de [A] la neige en hiver.
[D] Dans ces temps [Dm] on vivait au rythme des saisons, [Gm] et la fin des étés apportait la moisson.
[C] Une eau pure et limpide coulait dans les ruisseaux, [Bb] où venait s'abreuver [A] Chevroyer en Rignaud.
[Dm] Et moi je n'ai vu qu'une planète désolante, [Bb] paysages lunaires et chaleurs suffocantes,
[A] et tous mes amis mourir par la soif ou la faim, [C] comme tombent les mouches jusqu'à ce
qu'il n'y ait [Dm] plus rien. _
_ _ _ _ [Gm] Plus rien. _
_ _ _ _ [C] Plus rien. _
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[C] Mon frère est mort hier au milieu du désert, [Gm] je suis maintenant le dernier humain [C] de [Dm] la terre.
_ _ _ _ Tout ça a commencé il y a plusieurs années, [Gm] alors que mes ancêtres étaient _ obnubilés
[C] par des bouts de papier que l'on appelait argent, [Bb] qui rendaient certains hommes [A] vraiment
riches et puissants.
[Dm] Ces nouveaux dieux neuns reculant devant rien, [Gm] étaient prêts à tout pour arriver à leur fin.
[C] Pour s'enrichir encore ils ont rasé la terre, [Bb] pollué l'air ambiant [A] et tarié les rivières.
[Dm] Et au bout de cent ans des gens se sont levés, [Gm] et les ont avertis qu'il fallait tout stopper.
[C] Mais ils n'ont pas compris cette sage prophétie, [Bb] ces hommes-là ne parlaient qu [A]'en termes de profit.
[Dm] C'est des années plus tard qu'ils ont vu le non [Bb]-sens, dans la pandémie qu'on déclarait
l'état d'urgence, [F] quand tous les océans ont tombé outillés, [C] et que les inondations
ont frappé les grandes [Dm] villes.
Et par la suite, pendant plus d'une décennie, [Bb] se furent les ouragans et puis les incendies,
[F] les tremblements de terre et la grande séchette.
[C] Parfois sur les visages on y sait la détresse, [Dm] les gens ont dû se battre contre les pandémies,
[Bb] décimées par millions par d'atroces maladies.
[Dm] Puis les autres sont morts par la soif [F] ou la faim, [C] comme tombent les mouches, jusqu'à
ce qu'il n'y ait plus [Dm] rien. _
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Au fond l'intelligence qu'on nous avait donnée, [Bb] n'aura été qu'un beau [A] cadeau empoisonné,
[Dm] car il ne resta que quelques minutes à la vie.
[F] Au plus quelques heures je sens que je faiblis, [C] je ne peux plus marcher, j'ai peine à [Gm] respirer.
Adieu l'humanité, [Bb] adieu [C] l _ [Dm]'humanité. _
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[C] Mon frère est mort hier au milieu du désert, [Gm] je suis maintenant le dernier humain [C] de [Dm] la terre.
_ _ _ _ On m'a décrit jadis quand j'étais un enfant, [Gm] ce qu'avait l'air le monde il y a très très
longtemps, [C] quand vivaient les parents de mon arrière-grand-père, [Bb] et qu'il tombait encore
de [A] la neige en hiver.
[D] Dans ces temps [Dm] on vivait au rythme des saisons, [Gm] et la fin des étés apportait la moisson.
[C] Une eau pure et limpide coulait dans les ruisseaux, [Bb] où venait s'abreuver [A] Chevroyer en Rignaud.
[Dm] Et moi je n'ai vu qu'une planète désolante, [Bb] paysages lunaires et chaleurs suffocantes,
[A] et tous mes amis mourir par la soif ou la faim, [C] comme tombent les mouches jusqu'à ce
qu'il n'y ait [Dm] plus rien. _
_ _ _ _ [Gm] Plus rien. _
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[C] Mon frère est mort hier au milieu du désert, [Gm] je suis maintenant le dernier humain [C] de [Dm] la terre.
_ _ _ _ Tout ça a commencé il y a plusieurs années, [Gm] alors que mes ancêtres étaient _ obnubilés
[C] par des bouts de papier que l'on appelait argent, [Bb] qui rendaient certains hommes [A] vraiment
riches et puissants.
[Dm] Ces nouveaux dieux neuns reculant devant rien, [Gm] étaient prêts à tout pour arriver à leur fin.
[C] Pour s'enrichir encore ils ont rasé la terre, [Bb] pollué l'air ambiant [A] et tarié les rivières.
[Dm] Et au bout de cent ans des gens se sont levés, [Gm] et les ont avertis qu'il fallait tout stopper.
[C] Mais ils n'ont pas compris cette sage prophétie, [Bb] ces hommes-là ne parlaient qu [A]'en termes de profit.
[Dm] C'est des années plus tard qu'ils ont vu le non [Bb]-sens, dans la pandémie qu'on déclarait
l'état d'urgence, [F] quand tous les océans ont tombé outillés, [C] et que les inondations
ont frappé les grandes [Dm] villes.
Et par la suite, pendant plus d'une décennie, [Bb] se furent les ouragans et puis les incendies,
[F] les tremblements de terre et la grande séchette.
[C] Parfois sur les visages on y sait la détresse, [Dm] les gens ont dû se battre contre les pandémies,
[Bb] décimées par millions par d'atroces maladies.
[Dm] Puis les autres sont morts par la soif [F] ou la faim, [C] comme tombent les mouches, jusqu'à
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Au fond l'intelligence qu'on nous avait donnée, [Bb] n'aura été qu'un beau [A] cadeau empoisonné,
[Dm] car il ne resta que quelques minutes à la vie.
[F] Au plus quelques heures je sens que je faiblis, [C] je ne peux plus marcher, j'ai peine à [Gm] respirer.
Adieu l'humanité, [Bb] adieu [C] l _ [Dm]'humanité. _
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