Chords for Raconte-moi une chanson: Ingrid St-Pierre - «Ficelles»
Tempo:
123.9 bpm
Chords used:
A
Gm
Cm
B
Ab
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
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[Gm] [Ab] [Cm]
[Gm] [C] [Cm]
[Gm] [C] [Cm]
Avec Ingrid St [B]-Pierre, on va raconter l'histoire de la chanson Ficelle.
C'est une chanson
qui est magnifique et qui [N] évoque vraiment quelque chose, une maladie qui est très
présente aujourd'hui, la maladie d'Alzheimer.
Comment c'est venu ce sujet-là?
Tu sais, au départ, ce n'était pas une chanson pour moi.
C'était un moment que
j'avais le goût d'exprimer.
Je ne comprenais pas pourquoi, je ne comprenais pas d'où
ça venait.
Cette journée-là, où ma mère m'appelle le matin et me dit « Écoute,
on découvre pourquoi grand-mère, elle allait plus ou moins bien, c'est parce que le
diagnostic est tombé, c'est la maladie d'Alzheimer.
»
Puis, j'ai passé la journée à vaquer à mes occupations et à ne pas trop comprendre
ce qui se passait.
Le soir, je me suis assise au piano.
Il était 4 heures le soir, la fin
de journée.
Et à 4h10, la chanson était composée, texte, piano.
[Bm] Je me suis juste assise.
Ça, [A] c'est le mystère des fois des chansons, la [N] rapidité avec laquelle on peut les faire.
C'est d'un jet que c'est sorti.
Tu savais ce que c'était que la maladie d [A]'Alzheimer?
Oui, je savais ce que c'était.
On l'appréhendait, on savait.
Vous le voyiez?
Oui.
Mais là, c'était tombé, c'était ça.
Je ne l'ai pas écrit, je l'ai chantée.
Donc, je n'ai pas [N] compris d'où ça venait.
Je suis besoin d 'extérioriser quelque chose.
C'est comme ça que c'est sorti.
Je me suis assise au piano, je l'ai jouée et
je l'ai [Eb] chantée.
C'est pour ça [A] que c'est très, très simple.
Les [Ab] accords, je les ai
laissés comme ça.
[B] Je trouvais que c'était ça.
C'était le message qui sorti de cette
émotion-là et je l'ai gardée telle qu'elle.
Mais la principale intéressée, elle?
Ma grand-mère, oui.
[E] Ça, c'était spécial [Gb] parce qu'elle n'était pas tout à fait
consciente que je parlais de ça, que je parlais d'elle.
Elle n'était pas du tout consciente.
Mais ce qui est plus drôle, c'est qu'à l'époque, elle parlait un peu plus et [A] elle
chantait.
Et ça, ça reste la musique.
C'est vraiment ce qu'on perd à la toute fin.
Les gens se remémorent des chansons.
Ma grand-mère, elle chante mes tunes.
Mais elle les chante
au [N] complet.
Et entre autres, celle-là.
Donc, j'arrive chez elle des fois et je [B] l'entends
et je sais qu'elle chante ça.
C'est [Bb]
particulier.
C'est un beau moment.
La [E] musique va toujours
rester super importante pour elle et [N] moi.
Évidemment, il y a des associations qui s'occupent des gens qui sont atteints de cette maladie.
Ils ont été sensibles à cette chanson?
Oui, c'est ça.
Ça a été une super belle rencontre.
Un beau mariage.
Je suis contente
de m'être affiliée.
Je suis la marraine de la Fédération des sociétés pour la maladie
d'Alzheimer.
Et puis, pour moi, je voulais une cause.
Je voulais embrasser une seule
cause, être là, m'investir.
Puis, ça a été celle-là.
Je pense qu'écrire une
chanson comme ça, ça m'a aussi beaucoup rapprochée de certaines personnes qui m'ont
raconté.
On termine les spectacles et les gens viennent me voir pour me raconter leur
histoire qui sont [A] très extraordinaires.
C'est très personnel.
Ils viennent me raconter
que leurs mères sont atteintes.
Des fois, c'est eux-mêmes.
Un soir, après un spectacle,
la dame vient me voir entourée de ses amis et me dit « Écoute, c'est [Am] une chanson
qui fait écho, [A] qui est vraiment importante pour moi parce que je suis atteinte de la
maladie.
» Ça crée des liens, ça crée des contacts.
La musique, j'y crois [N] beaucoup.
L'espèce de lien qui se crée entre les gens par la musique.
Et ça, cette chanson-là
me permet de créer des liens comme ça.
Imagine, tu l'avais gardée pour toi.
Oui, ça aurait été un peu triste finalement, peut-être.
Mais en tout cas, j'ose croire
que ça fait du [D] bien à des gens.
[G] Merci.
Merci.
Je nourris des [A] ficelles à tes souvenirs qui s [D]'étirent et [A] le jour où ils s [Bm]'envoleront,
moi j [A]'en ferai des [G] cerfs
[Gm] [C] [Cm]
[Gm] [C] [Cm]
Avec Ingrid St [B]-Pierre, on va raconter l'histoire de la chanson Ficelle.
C'est une chanson
qui est magnifique et qui [N] évoque vraiment quelque chose, une maladie qui est très
présente aujourd'hui, la maladie d'Alzheimer.
Comment c'est venu ce sujet-là?
Tu sais, au départ, ce n'était pas une chanson pour moi.
C'était un moment que
j'avais le goût d'exprimer.
Je ne comprenais pas pourquoi, je ne comprenais pas d'où
ça venait.
Cette journée-là, où ma mère m'appelle le matin et me dit « Écoute,
on découvre pourquoi grand-mère, elle allait plus ou moins bien, c'est parce que le
diagnostic est tombé, c'est la maladie d'Alzheimer.
»
Puis, j'ai passé la journée à vaquer à mes occupations et à ne pas trop comprendre
ce qui se passait.
Le soir, je me suis assise au piano.
Il était 4 heures le soir, la fin
de journée.
Et à 4h10, la chanson était composée, texte, piano.
[Bm] Je me suis juste assise.
Ça, [A] c'est le mystère des fois des chansons, la [N] rapidité avec laquelle on peut les faire.
C'est d'un jet que c'est sorti.
Tu savais ce que c'était que la maladie d [A]'Alzheimer?
Oui, je savais ce que c'était.
On l'appréhendait, on savait.
Vous le voyiez?
Oui.
Mais là, c'était tombé, c'était ça.
Je ne l'ai pas écrit, je l'ai chantée.
Donc, je n'ai pas [N] compris d'où ça venait.
Je suis besoin d 'extérioriser quelque chose.
C'est comme ça que c'est sorti.
Je me suis assise au piano, je l'ai jouée et
je l'ai [Eb] chantée.
C'est pour ça [A] que c'est très, très simple.
Les [Ab] accords, je les ai
laissés comme ça.
[B] Je trouvais que c'était ça.
C'était le message qui sorti de cette
émotion-là et je l'ai gardée telle qu'elle.
Mais la principale intéressée, elle?
Ma grand-mère, oui.
[E] Ça, c'était spécial [Gb] parce qu'elle n'était pas tout à fait
consciente que je parlais de ça, que je parlais d'elle.
Elle n'était pas du tout consciente.
Mais ce qui est plus drôle, c'est qu'à l'époque, elle parlait un peu plus et [A] elle
chantait.
Et ça, ça reste la musique.
C'est vraiment ce qu'on perd à la toute fin.
Les gens se remémorent des chansons.
Ma grand-mère, elle chante mes tunes.
Mais elle les chante
au [N] complet.
Et entre autres, celle-là.
Donc, j'arrive chez elle des fois et je [B] l'entends
et je sais qu'elle chante ça.
C'est [Bb]
particulier.
C'est un beau moment.
La [E] musique va toujours
rester super importante pour elle et [N] moi.
Évidemment, il y a des associations qui s'occupent des gens qui sont atteints de cette maladie.
Ils ont été sensibles à cette chanson?
Oui, c'est ça.
Ça a été une super belle rencontre.
Un beau mariage.
Je suis contente
de m'être affiliée.
Je suis la marraine de la Fédération des sociétés pour la maladie
d'Alzheimer.
Et puis, pour moi, je voulais une cause.
Je voulais embrasser une seule
cause, être là, m'investir.
Puis, ça a été celle-là.
Je pense qu'écrire une
chanson comme ça, ça m'a aussi beaucoup rapprochée de certaines personnes qui m'ont
raconté.
On termine les spectacles et les gens viennent me voir pour me raconter leur
histoire qui sont [A] très extraordinaires.
C'est très personnel.
Ils viennent me raconter
que leurs mères sont atteintes.
Des fois, c'est eux-mêmes.
Un soir, après un spectacle,
la dame vient me voir entourée de ses amis et me dit « Écoute, c'est [Am] une chanson
qui fait écho, [A] qui est vraiment importante pour moi parce que je suis atteinte de la
maladie.
» Ça crée des liens, ça crée des contacts.
La musique, j'y crois [N] beaucoup.
L'espèce de lien qui se crée entre les gens par la musique.
Et ça, cette chanson-là
me permet de créer des liens comme ça.
Imagine, tu l'avais gardée pour toi.
Oui, ça aurait été un peu triste finalement, peut-être.
Mais en tout cas, j'ose croire
que ça fait du [D] bien à des gens.
[G] Merci.
Merci.
Je nourris des [A] ficelles à tes souvenirs qui s [D]'étirent et [A] le jour où ils s [Bm]'envoleront,
moi j [A]'en ferai des [G] cerfs
Key:
A
Gm
Cm
B
Ab
A
Gm
Cm
_ _ _ _ _ _ _ _
[Gm] _ _ [Ab] _ _ _ _ [Cm] _ _
[Gm] _ _ _ [C] _ _ _ _ [Cm] _
_ [Gm] _ _ [C] _ _ _ _ [Cm] _
_ _ _ _ _ _ _ _
_ _ _ _ _ Avec Ingrid St [B]-Pierre, on va raconter l'histoire de la chanson Ficelle.
C'est une chanson
qui est magnifique et qui [N] évoque _ vraiment quelque chose, une maladie qui est très
présente aujourd'hui, la maladie d'Alzheimer.
Comment c'est venu ce sujet-là?
Tu sais, au départ, ce n'était pas une chanson pour moi.
C'était un moment que
j'avais le goût d'exprimer.
Je ne comprenais pas pourquoi, je ne comprenais pas d'où
ça venait.
Cette journée-là, où ma mère m'appelle le matin et me dit « Écoute,
on découvre pourquoi grand-mère, elle allait plus ou moins bien, c'est parce que le
diagnostic est tombé, c'est la maladie d'Alzheimer.
»
Puis, j'ai passé la journée à vaquer à mes occupations et à ne pas trop comprendre
ce qui se passait.
Le soir, je me suis assise au piano.
Il était 4 heures le soir, la fin
de journée.
Et à 4h10, la chanson était composée, texte, piano.
[Bm] Je me suis juste assise.
Ça, [A] c'est le mystère des fois des chansons, la [N] rapidité avec laquelle on peut les faire.
C'est d'un jet que c'est sorti.
Tu savais ce que c'était que la maladie d [A]'Alzheimer?
Oui, je savais ce que c'était.
On l'appréhendait, on savait.
Vous le voyiez?
Oui.
_ Mais là, c'était tombé, c'était ça.
_ Je ne l'ai pas écrit, je l'ai chantée.
Donc, je n'ai pas [N] compris d'où ça venait.
Je suis besoin d _ 'extérioriser quelque chose.
C'est comme ça que c'est sorti.
Je me suis assise au piano, je l'ai jouée et
je l'ai [Eb] chantée.
C'est pour ça [A] que c'est très, très simple.
Les [Ab] accords, je les ai
laissés comme ça.
[B] Je _ trouvais que c'était ça.
C'était le message qui sorti de cette
émotion-là et je l'ai gardée telle qu'elle.
Mais la principale intéressée, elle?
Ma grand-mère, oui.
[E] Ça, c'était spécial [Gb] parce qu'elle n'était pas tout à fait
consciente que je parlais de ça, que je parlais d'elle.
Elle n'était pas du tout consciente.
Mais ce qui est plus drôle, c'est qu'à l'époque, elle _ parlait un peu plus et [A] elle
chantait.
Et ça, ça reste la musique.
C'est vraiment ce qu'on perd à la toute fin.
Les gens se remémorent des chansons.
Ma grand-mère, elle chante mes tunes.
Mais elle les chante
au [N] complet.
Et entre autres, celle-là.
Donc, j'arrive chez elle des fois et je [B] l'entends
et je sais qu'elle chante ça.
C'est _ [Bb] _ _
particulier.
C'est un beau moment.
La [E] musique va toujours
rester super importante pour elle et [N] moi.
Évidemment, il y a des associations qui s'occupent des gens qui sont atteints de cette maladie.
Ils ont été sensibles à cette chanson?
Oui, c'est ça.
Ça a été une super belle rencontre.
Un beau mariage. _
Je suis contente
de m'être affiliée.
Je suis la marraine de la Fédération des sociétés pour la maladie
d'Alzheimer.
Et puis, pour moi, je voulais une cause.
Je voulais embrasser une seule
cause, être là, m'investir.
Puis, ça a été celle-là.
Je pense qu'écrire une
chanson comme ça, ça m'a aussi beaucoup rapprochée de certaines personnes qui m'ont _
raconté.
On termine les spectacles et les gens viennent me voir pour me raconter leur
histoire qui sont _ [A] très extraordinaires.
C'est très personnel.
Ils viennent me raconter
que leurs mères sont atteintes.
Des fois, c'est eux-mêmes. _
Un soir, après un spectacle,
la dame vient me voir entourée de ses amis et me dit « Écoute, c'est [Am] une chanson
qui fait écho, [A] qui est vraiment importante pour moi parce que je suis atteinte de la
maladie.
_ _ » Ça _ crée des liens, ça crée des contacts.
La musique, j'y crois [N] beaucoup.
L'espèce de lien qui se crée entre les gens par la musique.
Et ça, cette chanson-là
me permet de créer des liens comme ça.
Imagine, tu l'avais gardée pour toi.
Oui, ça aurait été un peu triste finalement, peut-être.
Mais en tout cas, j'ose croire
que ça fait du [D] bien à des gens.
[G] Merci.
Merci.
Je nourris des [A] ficelles à tes souvenirs qui s [D]'étirent et [A] le jour où ils s [Bm]'envoleront,
moi j [A]'en ferai des [G] cerfs
[Gm] _ _ [Ab] _ _ _ _ [Cm] _ _
[Gm] _ _ _ [C] _ _ _ _ [Cm] _
_ [Gm] _ _ [C] _ _ _ _ [Cm] _
_ _ _ _ _ _ _ _
_ _ _ _ _ Avec Ingrid St [B]-Pierre, on va raconter l'histoire de la chanson Ficelle.
C'est une chanson
qui est magnifique et qui [N] évoque _ vraiment quelque chose, une maladie qui est très
présente aujourd'hui, la maladie d'Alzheimer.
Comment c'est venu ce sujet-là?
Tu sais, au départ, ce n'était pas une chanson pour moi.
C'était un moment que
j'avais le goût d'exprimer.
Je ne comprenais pas pourquoi, je ne comprenais pas d'où
ça venait.
Cette journée-là, où ma mère m'appelle le matin et me dit « Écoute,
on découvre pourquoi grand-mère, elle allait plus ou moins bien, c'est parce que le
diagnostic est tombé, c'est la maladie d'Alzheimer.
»
Puis, j'ai passé la journée à vaquer à mes occupations et à ne pas trop comprendre
ce qui se passait.
Le soir, je me suis assise au piano.
Il était 4 heures le soir, la fin
de journée.
Et à 4h10, la chanson était composée, texte, piano.
[Bm] Je me suis juste assise.
Ça, [A] c'est le mystère des fois des chansons, la [N] rapidité avec laquelle on peut les faire.
C'est d'un jet que c'est sorti.
Tu savais ce que c'était que la maladie d [A]'Alzheimer?
Oui, je savais ce que c'était.
On l'appréhendait, on savait.
Vous le voyiez?
Oui.
_ Mais là, c'était tombé, c'était ça.
_ Je ne l'ai pas écrit, je l'ai chantée.
Donc, je n'ai pas [N] compris d'où ça venait.
Je suis besoin d _ 'extérioriser quelque chose.
C'est comme ça que c'est sorti.
Je me suis assise au piano, je l'ai jouée et
je l'ai [Eb] chantée.
C'est pour ça [A] que c'est très, très simple.
Les [Ab] accords, je les ai
laissés comme ça.
[B] Je _ trouvais que c'était ça.
C'était le message qui sorti de cette
émotion-là et je l'ai gardée telle qu'elle.
Mais la principale intéressée, elle?
Ma grand-mère, oui.
[E] Ça, c'était spécial [Gb] parce qu'elle n'était pas tout à fait
consciente que je parlais de ça, que je parlais d'elle.
Elle n'était pas du tout consciente.
Mais ce qui est plus drôle, c'est qu'à l'époque, elle _ parlait un peu plus et [A] elle
chantait.
Et ça, ça reste la musique.
C'est vraiment ce qu'on perd à la toute fin.
Les gens se remémorent des chansons.
Ma grand-mère, elle chante mes tunes.
Mais elle les chante
au [N] complet.
Et entre autres, celle-là.
Donc, j'arrive chez elle des fois et je [B] l'entends
et je sais qu'elle chante ça.
C'est _ [Bb] _ _
particulier.
C'est un beau moment.
La [E] musique va toujours
rester super importante pour elle et [N] moi.
Évidemment, il y a des associations qui s'occupent des gens qui sont atteints de cette maladie.
Ils ont été sensibles à cette chanson?
Oui, c'est ça.
Ça a été une super belle rencontre.
Un beau mariage. _
Je suis contente
de m'être affiliée.
Je suis la marraine de la Fédération des sociétés pour la maladie
d'Alzheimer.
Et puis, pour moi, je voulais une cause.
Je voulais embrasser une seule
cause, être là, m'investir.
Puis, ça a été celle-là.
Je pense qu'écrire une
chanson comme ça, ça m'a aussi beaucoup rapprochée de certaines personnes qui m'ont _
raconté.
On termine les spectacles et les gens viennent me voir pour me raconter leur
histoire qui sont _ [A] très extraordinaires.
C'est très personnel.
Ils viennent me raconter
que leurs mères sont atteintes.
Des fois, c'est eux-mêmes. _
Un soir, après un spectacle,
la dame vient me voir entourée de ses amis et me dit « Écoute, c'est [Am] une chanson
qui fait écho, [A] qui est vraiment importante pour moi parce que je suis atteinte de la
maladie.
_ _ » Ça _ crée des liens, ça crée des contacts.
La musique, j'y crois [N] beaucoup.
L'espèce de lien qui se crée entre les gens par la musique.
Et ça, cette chanson-là
me permet de créer des liens comme ça.
Imagine, tu l'avais gardée pour toi.
Oui, ça aurait été un peu triste finalement, peut-être.
Mais en tout cas, j'ose croire
que ça fait du [D] bien à des gens.
[G] Merci.
Merci.
Je nourris des [A] ficelles à tes souvenirs qui s [D]'étirent et [A] le jour où ils s [Bm]'envoleront,
moi j [A]'en ferai des [G] cerfs