Chords for Renaud Hexagone
Tempo:
71.15 bpm
Chords used:
D
Em
E
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
Start Jamming...
[Em] Ils s'embrassent au mois de janvier car une nouvelle année commence
Et depuis les éternités la poitine [D] mange changé la France
Rassez les jours et les semaines, y'a que le décor qui évolue
La mentalité est la même, tous des [Em] tocards, tous des faux-culs
Ils sont pas lourds en février à se souvenir de Sharon
Des matraqueurs assermentés qui [D] fignolèrent leurs besognes
La France est un pays de flics à tous les coins de rue en assaut
Pour faire régner l'ordre public, ils assassinent [Em] impunément
Quand on exécute au mois de mars, de l'autre côté des Pyrénées
Un anarchiste du Pays basque pour lui [D] apprendre à se révolter
Ils crient, ils pleurent et ils s'indignent de cette immonde mise à mort
Mais ils oublient que la guillotine chez nous aussi [Em] fonctionne encore
Etre né sous le [D] signe de l'Hexagone, c'est parce qu'on [E] fait de mieux en ce moment
[Em] Et le roi [D] déconne sur son trône, je travaillerai [E] pas qu'il est flamand
On leur a dit au mois d'avril, à la télé et dans les journaux
Ne pas se découvrir d'un fil, le printemps [D] s'élèvera bientôt
Les vieux trincites du 16e siècle et les traditions imbéciles
Ils les appliquent au pied d'un lait, ils font pitié [Em] à tous ces débiles
[E] Ils se souviennent au mois de mai, d'un sang qui coule à rouge et noir
D'une révolution manquée, qui faillit [D] renverser l'histoire
Je me souviens surtout de ces moutons, effrayés par la liberté
S'en allant voter par millions pour l'ordre et la [E] sécurité
Ils commémorent au mois de juin, un débarquement de Normandie
Ils pensent au brave soldat américain qui est venu se faire [D] tuer loin de chez lui
Ils oublient qu'à l'abri des bombes, les français crient et vivent pétains
Qu'ils étaient bien planqués à Londres, qu'il n'y avait pas beaucoup [E] de chamboulins
[Em] Etre né sous le [D] signe de l'hexagone, c'est pas la [Em] gloire en vérité
Et le roi [D] des cons sur son trône, ne me dites pas qu [Em]'il est portugais
Ils font la [E] fête au mois de juillet, en souvenir d'une révolution
Qui n'a jamais éliminé la misère [D] et l'exploitation
Ils s'appreuvent de balles populaires, feux d'artifices et de flonflon
Ils portent sous pliés dans la bière, qui sont [E] gouvernés comme des fions
Au mois d'août, c'est la liberté, après une longue année d'usine
Ils crient « Vive les congés payés !
» Ils oublient un [D] peu la machine
En Espagne, en Grèce ou en France, ils vont polluer toutes les flages
Et par leur unique présence, abîmer tous [E] les paysages
Lorsqu'en septembre, on assassine un peuple et une liberté
Au cœur de l'Amérique latine, ils sont pas nombreux [D] à gueuler
Un ambassadeur se ramène, à souvenir l'État-Unis
Le fascisme, c'est la corne graine, de Santiago jusqu [E]'à Paris
Elle est sous le signe [D] de l'hexagone, c'est vraiment pas une [Em] sinecule
Et le roi des cons [D] sur son trône, il est français, [Em] sage en Suisse
Fini les vendanges en octobre, le raisin ferme en Porto-Novo
Ils sont très fiers de leur vignoble, leur Côte du Rhône [D] et leur Bordeaux
Ils exportent le sang de la terre, un peu partout à l'étranger
Leurs pinards et leurs camemberts, c'est leur saut de noir [Em] assez taré
[E] En novembre, au salon de l'auto, ils vont admirer par milliers
Le dernier modèle de chez Peugeot, qu'ils ne pourront [D] jamais se payer
La bagnole, la télé, le CRC, c'est l'optium du peuple de France
Y supprimer, c'est le tuer, c'est une drogue [E] à coups d [D]'humance
[E] En décembre, c'est la boteuse, la grande bouffe et les petits cadeaux
Ils sont toujours aussi moroses, mais y a de la [D] joie dans les ghettos, y a de la joie
La terre peut s'arrêter de tourner, ils rateront pas leur grébillon
Moi j'voudrais tous les voir crever, et touffer [E] le nain d'Auvergne
[Em] Être né sous [D] le signe de l'hexagone, on peut [Em] pas dire que ça soit bordant
Mais si le [D] roi des cons perdait son trône, y aurait 50 millions
[E]
[Em] de prétendants
[E] [D] [Em] [D]
Et depuis les éternités la poitine [D] mange changé la France
Rassez les jours et les semaines, y'a que le décor qui évolue
La mentalité est la même, tous des [Em] tocards, tous des faux-culs
Ils sont pas lourds en février à se souvenir de Sharon
Des matraqueurs assermentés qui [D] fignolèrent leurs besognes
La France est un pays de flics à tous les coins de rue en assaut
Pour faire régner l'ordre public, ils assassinent [Em] impunément
Quand on exécute au mois de mars, de l'autre côté des Pyrénées
Un anarchiste du Pays basque pour lui [D] apprendre à se révolter
Ils crient, ils pleurent et ils s'indignent de cette immonde mise à mort
Mais ils oublient que la guillotine chez nous aussi [Em] fonctionne encore
Etre né sous le [D] signe de l'Hexagone, c'est parce qu'on [E] fait de mieux en ce moment
[Em] Et le roi [D] déconne sur son trône, je travaillerai [E] pas qu'il est flamand
On leur a dit au mois d'avril, à la télé et dans les journaux
Ne pas se découvrir d'un fil, le printemps [D] s'élèvera bientôt
Les vieux trincites du 16e siècle et les traditions imbéciles
Ils les appliquent au pied d'un lait, ils font pitié [Em] à tous ces débiles
[E] Ils se souviennent au mois de mai, d'un sang qui coule à rouge et noir
D'une révolution manquée, qui faillit [D] renverser l'histoire
Je me souviens surtout de ces moutons, effrayés par la liberté
S'en allant voter par millions pour l'ordre et la [E] sécurité
Ils commémorent au mois de juin, un débarquement de Normandie
Ils pensent au brave soldat américain qui est venu se faire [D] tuer loin de chez lui
Ils oublient qu'à l'abri des bombes, les français crient et vivent pétains
Qu'ils étaient bien planqués à Londres, qu'il n'y avait pas beaucoup [E] de chamboulins
[Em] Etre né sous le [D] signe de l'hexagone, c'est pas la [Em] gloire en vérité
Et le roi [D] des cons sur son trône, ne me dites pas qu [Em]'il est portugais
Ils font la [E] fête au mois de juillet, en souvenir d'une révolution
Qui n'a jamais éliminé la misère [D] et l'exploitation
Ils s'appreuvent de balles populaires, feux d'artifices et de flonflon
Ils portent sous pliés dans la bière, qui sont [E] gouvernés comme des fions
Au mois d'août, c'est la liberté, après une longue année d'usine
Ils crient « Vive les congés payés !
» Ils oublient un [D] peu la machine
En Espagne, en Grèce ou en France, ils vont polluer toutes les flages
Et par leur unique présence, abîmer tous [E] les paysages
Lorsqu'en septembre, on assassine un peuple et une liberté
Au cœur de l'Amérique latine, ils sont pas nombreux [D] à gueuler
Un ambassadeur se ramène, à souvenir l'État-Unis
Le fascisme, c'est la corne graine, de Santiago jusqu [E]'à Paris
Elle est sous le signe [D] de l'hexagone, c'est vraiment pas une [Em] sinecule
Et le roi des cons [D] sur son trône, il est français, [Em] sage en Suisse
Fini les vendanges en octobre, le raisin ferme en Porto-Novo
Ils sont très fiers de leur vignoble, leur Côte du Rhône [D] et leur Bordeaux
Ils exportent le sang de la terre, un peu partout à l'étranger
Leurs pinards et leurs camemberts, c'est leur saut de noir [Em] assez taré
[E] En novembre, au salon de l'auto, ils vont admirer par milliers
Le dernier modèle de chez Peugeot, qu'ils ne pourront [D] jamais se payer
La bagnole, la télé, le CRC, c'est l'optium du peuple de France
Y supprimer, c'est le tuer, c'est une drogue [E] à coups d [D]'humance
[E] En décembre, c'est la boteuse, la grande bouffe et les petits cadeaux
Ils sont toujours aussi moroses, mais y a de la [D] joie dans les ghettos, y a de la joie
La terre peut s'arrêter de tourner, ils rateront pas leur grébillon
Moi j'voudrais tous les voir crever, et touffer [E] le nain d'Auvergne
[Em] Être né sous [D] le signe de l'hexagone, on peut [Em] pas dire que ça soit bordant
Mais si le [D] roi des cons perdait son trône, y aurait 50 millions
[E]
[Em] de prétendants
[E] [D] [Em] [D]
Key:
D
Em
E
D
Em
E
D
Em
[Em] _ _ _ _ _ Ils s'embrassent au mois de janvier car une nouvelle année commence
Et depuis les éternités la poitine [D] mange changé la France
Rassez les jours et les semaines, y'a que le décor qui évolue
La mentalité est la même, tous des [Em] tocards, tous des faux-culs
Ils sont pas lourds en février à se souvenir de Sharon
Des matraqueurs assermentés qui [D] fignolèrent leurs besognes
La France est un pays de flics à tous les coins de rue en assaut
Pour faire régner l'ordre public, ils assassinent [Em] impunément
Quand on exécute au mois de mars, de l'autre côté des Pyrénées
Un anarchiste du Pays basque pour lui [D] apprendre à se révolter
Ils crient, ils pleurent et ils s'indignent de cette immonde mise à mort
Mais ils oublient que la guillotine chez nous aussi [Em] fonctionne encore
Etre né sous le [D] signe de l'Hexagone, c'est parce qu'on [E] fait de mieux en ce moment
[Em] Et le roi [D] déconne sur son trône, je travaillerai [E] pas qu'il est flamand
On leur a dit au mois d'avril, à la télé et dans les journaux
Ne pas se découvrir d'un fil, le printemps [D] s'élèvera bientôt
Les vieux trincites du 16e siècle et les traditions imbéciles
Ils les appliquent au pied d'un lait, ils font pitié [Em] à tous ces débiles
[E] Ils se souviennent au mois de mai, d'un sang qui coule à rouge et noir
D'une révolution manquée, qui faillit [D] renverser l'histoire
Je me souviens surtout de ces moutons, effrayés par la liberté
S'en allant voter par millions pour l'ordre et la [E] sécurité
_ Ils commémorent au mois de juin, un débarquement de Normandie
Ils pensent au brave soldat américain qui est venu se faire [D] tuer loin de chez lui
Ils oublient qu'à l'abri des bombes, les français crient et vivent pétains
Qu'ils étaient bien planqués à Londres, qu'il n'y avait pas beaucoup [E] de chamboulins
_ [Em] Etre né sous le [D] signe de l'hexagone, c'est pas la [Em] gloire en vérité
Et le roi [D] des cons sur son trône, ne me dites pas qu [Em]'il est portugais
Ils font la [E] fête au mois de juillet, en souvenir d'une révolution
Qui n'a jamais éliminé la misère [D] et l'exploitation
Ils s'appreuvent de balles populaires, feux d'artifices et de flonflon
Ils portent sous pliés dans la bière, qui sont [E] gouvernés comme des fions
Au mois d'août, c'est la liberté, après une longue année d'usine
Ils crient « Vive les congés payés !
» Ils oublient un [D] peu la machine
En Espagne, en Grèce ou en France, ils vont polluer toutes les flages
Et par leur unique présence, abîmer tous [E] les paysages
Lorsqu'en septembre, on assassine un peuple et une liberté
Au cœur de l'Amérique latine, ils sont pas nombreux [D] à gueuler _
Un ambassadeur se ramène, à souvenir l'État-Unis
Le fascisme, c'est la corne graine, de Santiago jusqu [E]'à Paris
Elle est sous le signe [D] de l'hexagone, c'est vraiment pas une [Em] sinecule
Et le roi des cons [D] sur son trône, il est français, [Em] sage en Suisse
_ Fini les vendanges en octobre, le raisin ferme en Porto-Novo
Ils sont très fiers de leur vignoble, leur Côte du Rhône [D] et leur Bordeaux
Ils exportent le sang de la terre, un peu partout à l'étranger
Leurs pinards et leurs camemberts, c'est leur saut de noir [Em] assez taré
[E] En novembre, au salon de l'auto, ils vont admirer par milliers
Le dernier modèle de chez Peugeot, qu'ils ne pourront [D] jamais se payer
La bagnole, la télé, le CRC, c'est l'optium du peuple de France
Y supprimer, c'est le tuer, c'est une drogue [E] à coups d [D]'humance
[E] En décembre, c'est la boteuse, la grande bouffe et les petits cadeaux
Ils sont toujours aussi moroses, mais y a de la [D] joie dans les ghettos, y a de la joie
La terre peut s'arrêter de tourner, ils rateront pas leur grébillon
Moi j'voudrais tous les voir crever, et touffer [E] le nain d'Auvergne
[Em] _ Être né sous [D] le signe de l'hexagone, on peut [Em] pas dire que ça soit bordant
Mais si le [D] roi des cons perdait son trône, _ y aurait 50 millions
[E]
[Em] de prétendants
[E] _ _ _ [D] _ _ _ [Em] _ _ _ _ [D] _ _ _ _
Et depuis les éternités la poitine [D] mange changé la France
Rassez les jours et les semaines, y'a que le décor qui évolue
La mentalité est la même, tous des [Em] tocards, tous des faux-culs
Ils sont pas lourds en février à se souvenir de Sharon
Des matraqueurs assermentés qui [D] fignolèrent leurs besognes
La France est un pays de flics à tous les coins de rue en assaut
Pour faire régner l'ordre public, ils assassinent [Em] impunément
Quand on exécute au mois de mars, de l'autre côté des Pyrénées
Un anarchiste du Pays basque pour lui [D] apprendre à se révolter
Ils crient, ils pleurent et ils s'indignent de cette immonde mise à mort
Mais ils oublient que la guillotine chez nous aussi [Em] fonctionne encore
Etre né sous le [D] signe de l'Hexagone, c'est parce qu'on [E] fait de mieux en ce moment
[Em] Et le roi [D] déconne sur son trône, je travaillerai [E] pas qu'il est flamand
On leur a dit au mois d'avril, à la télé et dans les journaux
Ne pas se découvrir d'un fil, le printemps [D] s'élèvera bientôt
Les vieux trincites du 16e siècle et les traditions imbéciles
Ils les appliquent au pied d'un lait, ils font pitié [Em] à tous ces débiles
[E] Ils se souviennent au mois de mai, d'un sang qui coule à rouge et noir
D'une révolution manquée, qui faillit [D] renverser l'histoire
Je me souviens surtout de ces moutons, effrayés par la liberté
S'en allant voter par millions pour l'ordre et la [E] sécurité
_ Ils commémorent au mois de juin, un débarquement de Normandie
Ils pensent au brave soldat américain qui est venu se faire [D] tuer loin de chez lui
Ils oublient qu'à l'abri des bombes, les français crient et vivent pétains
Qu'ils étaient bien planqués à Londres, qu'il n'y avait pas beaucoup [E] de chamboulins
_ [Em] Etre né sous le [D] signe de l'hexagone, c'est pas la [Em] gloire en vérité
Et le roi [D] des cons sur son trône, ne me dites pas qu [Em]'il est portugais
Ils font la [E] fête au mois de juillet, en souvenir d'une révolution
Qui n'a jamais éliminé la misère [D] et l'exploitation
Ils s'appreuvent de balles populaires, feux d'artifices et de flonflon
Ils portent sous pliés dans la bière, qui sont [E] gouvernés comme des fions
Au mois d'août, c'est la liberté, après une longue année d'usine
Ils crient « Vive les congés payés !
» Ils oublient un [D] peu la machine
En Espagne, en Grèce ou en France, ils vont polluer toutes les flages
Et par leur unique présence, abîmer tous [E] les paysages
Lorsqu'en septembre, on assassine un peuple et une liberté
Au cœur de l'Amérique latine, ils sont pas nombreux [D] à gueuler _
Un ambassadeur se ramène, à souvenir l'État-Unis
Le fascisme, c'est la corne graine, de Santiago jusqu [E]'à Paris
Elle est sous le signe [D] de l'hexagone, c'est vraiment pas une [Em] sinecule
Et le roi des cons [D] sur son trône, il est français, [Em] sage en Suisse
_ Fini les vendanges en octobre, le raisin ferme en Porto-Novo
Ils sont très fiers de leur vignoble, leur Côte du Rhône [D] et leur Bordeaux
Ils exportent le sang de la terre, un peu partout à l'étranger
Leurs pinards et leurs camemberts, c'est leur saut de noir [Em] assez taré
[E] En novembre, au salon de l'auto, ils vont admirer par milliers
Le dernier modèle de chez Peugeot, qu'ils ne pourront [D] jamais se payer
La bagnole, la télé, le CRC, c'est l'optium du peuple de France
Y supprimer, c'est le tuer, c'est une drogue [E] à coups d [D]'humance
[E] En décembre, c'est la boteuse, la grande bouffe et les petits cadeaux
Ils sont toujours aussi moroses, mais y a de la [D] joie dans les ghettos, y a de la joie
La terre peut s'arrêter de tourner, ils rateront pas leur grébillon
Moi j'voudrais tous les voir crever, et touffer [E] le nain d'Auvergne
[Em] _ Être né sous [D] le signe de l'hexagone, on peut [Em] pas dire que ça soit bordant
Mais si le [D] roi des cons perdait son trône, _ y aurait 50 millions
[E]
[Em] de prétendants
[E] _ _ _ [D] _ _ _ [Em] _ _ _ _ [D] _ _ _ _