Chords for Ridan - La Comédie Humaine
Tempo:
150.25 bpm
Chords used:
Em
A
Am
E
C
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
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[N] [E] [Am]
[Em] [Am]
[Em]
[Am]
[Em] [A] Dites-moi, mon bon seigneur, nous serait-il possible [Am] de voir bien au-delà de la limite
de [C] ces champs où l'on [Am] cultive le [Em] mépris, la haine entre [E] les gens, pendant que vous
[Em] dormez sur ces [A] coussins gonflés d'argent ?
Ne comprenez [Am]-vous pas ?
[E] Nous ne sommes qu'un
[Am] différent, nous [A] aimerions tout simplement [E] nourrir nos enfants.
[A] Nous n'avons ni [Em] les biens, ni [E] terre, ni même coussin [Am] que vous offrez [Em] si courtoisement [A] aux
tendres ou [F] courtisanes.
[E] Je blâme [Em] votre honneur tout comme celui de vos descendants, qui dans la file d'attente
n [A]'hésitent pas à [F] passer devant, le torse bombé d'orgueil, les [E] poumons vides d [Am]'inspiration,
à l'image d'un bon père qui [E] exaspère tous ses millions [A] de vils et [F] affamés qui jurent
de vivre comme des [A] damnés et qui pour eux sont prêts à tout pour que naisse la [F] révolution.
Venez voir [Em] le spectacle [A] d'un conteur [Em] de la vie, [Am] tous les soirs de [Em] la semaine se joue
[A] la grande tragédie, du drame à la [Em] passion, [A] au fac de la [Em] fontaine, [Am] sur les bords [Em] de la
scène se joue [Am] la comédie humaine.
[C] [E] [Am]
[C] [E] [A] Dites-moi mon [Em] bon seigneur, [F] entendez-vous [E] la rage [A] qui fait trembler la France et les
pavés sur votre passage ?
Elle gronde [E] les ruelles, les rumeurs se propagent, [A] on brûle
[Em] les calèches [A] et le lion sort de sa cage.
Soutenu par [C] ses penseurs, [E] d'un souci en [Am] révolté, au salon [C] parisien l [E]'absinthe a remplacé le
thé, [Am] rendant la [Em] foule si ivre [Am] de toutes les libertés.
L'individu est né [A] par la force de son poignet, qu'importe les [Em] barricades, [A] le peuple a décidé,
les nids [Em] seront terreurs jusqu'à ce que l'homme [A] trouve dignité.
On arrache [C] les symboles [E] qui brillent comme [A] une idole, qui trônent sur [C] la basse courant
[E] dans ces pauvres âmes si folles, [A] qui rêvent d'un autre monde plus juste et plus honnête
qu'une simple fête de rois où l [Am]'on partage de la galette.
Venez voir [Em] le spectacle [Am] d'un conteur [Em] de la vie, [Am] tous les soirs [Em] de la semaine se [A] joue
la grande tragédie, du drame à [Em] la passion, [A] aux frappes de [Em] la fontaine, [Am] sur les bords
[Em] de la selle se [A] joue la comédie humaine.
[F]
[E] [Am] [F]
[E] Dites-moi mon [Em] bon seigneur, [A] entendez [Em]-vous la fin [A] du règne [Em] féodal qui plane comme un
champ [Am] ?
Le peuple a [E] fait serment, [Am] pour vous les [E] pas
perdus, [A] d'un revers de la faune la France a su reprendre son dû.
Aujourd'hui [C] qu'en est-il de ces [A] combats d'antan, de ces belles [C] déclarations [E] que l'on souille
à chaque instant [Am] ?
Des rôles n'ont pas changé en quelques [A] décennies, la valeur
de la vie s'aligne toujours sur les trottoirs.
Les gens n'ont-ils plus peint ?
Ont-ils un lit le [Am] soir ?
Mais qui donc joue la comédie
sur le dos de mon histoire ?
Venez [Em] voir le spectacle d'un conteur de [Am] la vie, tous les soirs de la [A] semaine se joue
la grande tragédie, du drame à la passion, aux frappes [Em] de la fontaine, sur les bords
de la selle se joue la comédie humaine.
[Em] [Am]
[Em]
[Am]
[Em] [A] Dites-moi, mon bon seigneur, nous serait-il possible [Am] de voir bien au-delà de la limite
de [C] ces champs où l'on [Am] cultive le [Em] mépris, la haine entre [E] les gens, pendant que vous
[Em] dormez sur ces [A] coussins gonflés d'argent ?
Ne comprenez [Am]-vous pas ?
[E] Nous ne sommes qu'un
[Am] différent, nous [A] aimerions tout simplement [E] nourrir nos enfants.
[A] Nous n'avons ni [Em] les biens, ni [E] terre, ni même coussin [Am] que vous offrez [Em] si courtoisement [A] aux
tendres ou [F] courtisanes.
[E] Je blâme [Em] votre honneur tout comme celui de vos descendants, qui dans la file d'attente
n [A]'hésitent pas à [F] passer devant, le torse bombé d'orgueil, les [E] poumons vides d [Am]'inspiration,
à l'image d'un bon père qui [E] exaspère tous ses millions [A] de vils et [F] affamés qui jurent
de vivre comme des [A] damnés et qui pour eux sont prêts à tout pour que naisse la [F] révolution.
Venez voir [Em] le spectacle [A] d'un conteur [Em] de la vie, [Am] tous les soirs de [Em] la semaine se joue
[A] la grande tragédie, du drame à la [Em] passion, [A] au fac de la [Em] fontaine, [Am] sur les bords [Em] de la
scène se joue [Am] la comédie humaine.
[C] [E] [Am]
[C] [E] [A] Dites-moi mon [Em] bon seigneur, [F] entendez-vous [E] la rage [A] qui fait trembler la France et les
pavés sur votre passage ?
Elle gronde [E] les ruelles, les rumeurs se propagent, [A] on brûle
[Em] les calèches [A] et le lion sort de sa cage.
Soutenu par [C] ses penseurs, [E] d'un souci en [Am] révolté, au salon [C] parisien l [E]'absinthe a remplacé le
thé, [Am] rendant la [Em] foule si ivre [Am] de toutes les libertés.
L'individu est né [A] par la force de son poignet, qu'importe les [Em] barricades, [A] le peuple a décidé,
les nids [Em] seront terreurs jusqu'à ce que l'homme [A] trouve dignité.
On arrache [C] les symboles [E] qui brillent comme [A] une idole, qui trônent sur [C] la basse courant
[E] dans ces pauvres âmes si folles, [A] qui rêvent d'un autre monde plus juste et plus honnête
qu'une simple fête de rois où l [Am]'on partage de la galette.
Venez voir [Em] le spectacle [Am] d'un conteur [Em] de la vie, [Am] tous les soirs [Em] de la semaine se [A] joue
la grande tragédie, du drame à [Em] la passion, [A] aux frappes de [Em] la fontaine, [Am] sur les bords
[Em] de la selle se [A] joue la comédie humaine.
[F]
[E] [Am] [F]
[E] Dites-moi mon [Em] bon seigneur, [A] entendez [Em]-vous la fin [A] du règne [Em] féodal qui plane comme un
champ [Am] ?
Le peuple a [E] fait serment, [Am] pour vous les [E] pas
perdus, [A] d'un revers de la faune la France a su reprendre son dû.
Aujourd'hui [C] qu'en est-il de ces [A] combats d'antan, de ces belles [C] déclarations [E] que l'on souille
à chaque instant [Am] ?
Des rôles n'ont pas changé en quelques [A] décennies, la valeur
de la vie s'aligne toujours sur les trottoirs.
Les gens n'ont-ils plus peint ?
Ont-ils un lit le [Am] soir ?
Mais qui donc joue la comédie
sur le dos de mon histoire ?
Venez [Em] voir le spectacle d'un conteur de [Am] la vie, tous les soirs de la [A] semaine se joue
la grande tragédie, du drame à la passion, aux frappes [Em] de la fontaine, sur les bords
de la selle se joue la comédie humaine.
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Em
A
Am
E
C
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_ _ _ _ [Em] _ _ [Am] _ _
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[Em] _ _ _ [A] _ _ Dites-moi, mon bon seigneur, nous serait-il possible [Am] de voir bien au-delà de la limite
de [C] ces champs où l'on [Am] cultive le [Em] mépris, la haine entre [E] les gens, pendant que vous
[Em] dormez sur ces [A] coussins gonflés d'argent ?
Ne comprenez [Am]-vous pas ?
[E] Nous ne sommes qu'un
[Am] différent, nous [A] aimerions tout simplement [E] nourrir nos enfants.
[A] Nous n'avons ni [Em] les biens, ni [E] terre, ni même coussin [Am] que vous offrez [Em] si courtoisement [A] aux
tendres ou [F] courtisanes.
[E] Je blâme [Em] votre honneur tout comme celui de vos descendants, qui dans la file d'attente
n [A]'hésitent pas à [F] passer devant, le torse bombé d'orgueil, les [E] poumons vides d [Am]'inspiration,
à l'image d'un bon père qui [E] exaspère tous ses millions [A] de vils et [F] affamés qui jurent
de vivre comme des [A] damnés et qui pour eux sont prêts à tout pour que naisse la [F] révolution.
Venez voir [Em] le spectacle [A] d'un conteur [Em] de la vie, [Am] tous les soirs de [Em] la semaine se joue
[A] la grande tragédie, du drame à la [Em] passion, [A] au fac de la [Em] fontaine, [Am] sur les bords [Em] de la
scène se joue [Am] la comédie humaine. _ _
[C] _ _ [E] _ _ [Am] _ _ _ _
[C] _ _ [E] _ _ _ [A] Dites-moi mon [Em] bon seigneur, [F] entendez-vous [E] la rage [A] qui fait trembler la France et les
pavés sur votre passage ?
Elle gronde [E] les ruelles, les rumeurs se propagent, [A] on brûle
[Em] les calèches [A] et le lion sort de sa cage.
Soutenu par [C] ses penseurs, [E] d'un souci en [Am] révolté, au salon [C] parisien l [E]'absinthe a remplacé le
thé, [Am] rendant la [Em] foule si ivre [Am] de toutes les libertés.
L'individu est né [A] par la force de son poignet, qu'importe les [Em] barricades, [A] le peuple a décidé,
les nids [Em] seront terreurs jusqu'à ce que l'homme [A] trouve dignité.
On arrache [C] les symboles [E] qui brillent comme [A] une idole, qui trônent sur [C] la basse courant
[E] dans ces pauvres âmes si folles, [A] qui rêvent d'un autre monde plus juste et plus honnête
qu'une simple fête de rois où l [Am]'on partage de la galette.
Venez voir [Em] le spectacle [Am] d'un conteur [Em] de la vie, [Am] tous les soirs [Em] de la semaine se [A] joue
la grande tragédie, du drame à [Em] la passion, [A] aux frappes de [Em] la fontaine, [Am] sur les bords
[Em] de la selle se [A] joue la comédie humaine.
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champ [Am] ?
Le peuple a [E] fait serment, [Am] pour vous les [E] pas
perdus, [A] d'un revers de la faune la France a su reprendre son dû.
Aujourd'hui [C] qu'en est-il de ces [A] combats d'antan, de ces belles [C] déclarations [E] que l'on souille
à chaque instant [Am] ?
Des rôles n'ont pas changé en quelques [A] décennies, la valeur
de la vie s'aligne toujours sur les trottoirs.
Les gens n'ont-ils plus peint ?
Ont-ils un lit le [Am] soir ?
Mais qui donc joue la comédie
sur le dos de mon histoire ?
Venez [Em] voir le spectacle d'un conteur de [Am] la vie, tous les soirs de la [A] semaine se joue
la grande tragédie, du drame à la passion, aux frappes [Em] de la fontaine, sur les bords
de la selle se joue la comédie humaine. _ _
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[Em] _ _ _ [A] _ _ Dites-moi, mon bon seigneur, nous serait-il possible [Am] de voir bien au-delà de la limite
de [C] ces champs où l'on [Am] cultive le [Em] mépris, la haine entre [E] les gens, pendant que vous
[Em] dormez sur ces [A] coussins gonflés d'argent ?
Ne comprenez [Am]-vous pas ?
[E] Nous ne sommes qu'un
[Am] différent, nous [A] aimerions tout simplement [E] nourrir nos enfants.
[A] Nous n'avons ni [Em] les biens, ni [E] terre, ni même coussin [Am] que vous offrez [Em] si courtoisement [A] aux
tendres ou [F] courtisanes.
[E] Je blâme [Em] votre honneur tout comme celui de vos descendants, qui dans la file d'attente
n [A]'hésitent pas à [F] passer devant, le torse bombé d'orgueil, les [E] poumons vides d [Am]'inspiration,
à l'image d'un bon père qui [E] exaspère tous ses millions [A] de vils et [F] affamés qui jurent
de vivre comme des [A] damnés et qui pour eux sont prêts à tout pour que naisse la [F] révolution.
Venez voir [Em] le spectacle [A] d'un conteur [Em] de la vie, [Am] tous les soirs de [Em] la semaine se joue
[A] la grande tragédie, du drame à la [Em] passion, [A] au fac de la [Em] fontaine, [Am] sur les bords [Em] de la
scène se joue [Am] la comédie humaine. _ _
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[C] _ _ [E] _ _ _ [A] Dites-moi mon [Em] bon seigneur, [F] entendez-vous [E] la rage [A] qui fait trembler la France et les
pavés sur votre passage ?
Elle gronde [E] les ruelles, les rumeurs se propagent, [A] on brûle
[Em] les calèches [A] et le lion sort de sa cage.
Soutenu par [C] ses penseurs, [E] d'un souci en [Am] révolté, au salon [C] parisien l [E]'absinthe a remplacé le
thé, [Am] rendant la [Em] foule si ivre [Am] de toutes les libertés.
L'individu est né [A] par la force de son poignet, qu'importe les [Em] barricades, [A] le peuple a décidé,
les nids [Em] seront terreurs jusqu'à ce que l'homme [A] trouve dignité.
On arrache [C] les symboles [E] qui brillent comme [A] une idole, qui trônent sur [C] la basse courant
[E] dans ces pauvres âmes si folles, [A] qui rêvent d'un autre monde plus juste et plus honnête
qu'une simple fête de rois où l [Am]'on partage de la galette.
Venez voir [Em] le spectacle [Am] d'un conteur [Em] de la vie, [Am] tous les soirs [Em] de la semaine se [A] joue
la grande tragédie, du drame à [Em] la passion, [A] aux frappes de [Em] la fontaine, [Am] sur les bords
[Em] de la selle se [A] joue la comédie humaine.
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champ [Am] ?
Le peuple a [E] fait serment, [Am] pour vous les [E] pas
perdus, [A] d'un revers de la faune la France a su reprendre son dû.
Aujourd'hui [C] qu'en est-il de ces [A] combats d'antan, de ces belles [C] déclarations [E] que l'on souille
à chaque instant [Am] ?
Des rôles n'ont pas changé en quelques [A] décennies, la valeur
de la vie s'aligne toujours sur les trottoirs.
Les gens n'ont-ils plus peint ?
Ont-ils un lit le [Am] soir ?
Mais qui donc joue la comédie
sur le dos de mon histoire ?
Venez [Em] voir le spectacle d'un conteur de [Am] la vie, tous les soirs de la [A] semaine se joue
la grande tragédie, du drame à la passion, aux frappes [Em] de la fontaine, sur les bords
de la selle se joue la comédie humaine. _ _
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